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Tout ce qui a été posté par Mallory
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Dans ce cas : Bonjour Monsieur l'agent.
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Créer une société offshore n'a en soi rien d'illégal, et s'expatrier pour des raisons politiques encore moins (en Europe en tout cas, à ma connaissance). Par ailleurs, j'ai parlé d'optimisation, pas de "fraude" fiscale; autrement dit, il doit bien exister des façons parfaitement légales d'échapper à une partie de l'arbitraire fiscal en jouant sur les failles d'un système d'imposition trop complexe.
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Tu fais référence à la récente hausse d'impôt sur l'épargne ? Je ne vois pas en quoi cela s'oppose à l'idée de protéger une partie de son patrimoine, tout au contraire.
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Dans une entrevue pour Nouvelles de France, h16 préconise ceci : Quels conseils concrets h16 donne-t-il à ses lecteurs qui ne veulent pas payer avec les autres pour les errements de l’oligarchie ? Il y a 20 ans, j’aurais parlé montages financiers, SCI, sociétés installées à Londres, ou mieux, dans les îles anglo-normandes. Maintenant, je préconise de fuir. Je pense que ces conseils mériteraient d'être plus détaillés, et donc un fil idoine. Avez-vous, d'une part, des recommandations (basées sur l'expérience de préférence) à propos des sociétés qui offrent la création de sociétés offshore; et d'autre part, des suggestions de pays pour un candidat à l’expatriation (sur des critères tels que la fiscalité et le coût de la vie bien sûr, mais aussi la richesse culturelle, la mentalité libérale du peuple en question, etc.) ? Et par ailleurs, pourquoi le premier conseil, concernant l'optimisation fiscale, ne serait plus valable ?
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je retire ce que j'ai dit
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For a New Liberty, chapitre 11 The Privatization of Road and Highways Grosso modo, si les services sont jugés utiles, ils seront potentiellement rentables, donc le marché libre satisfera la demande.
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Je n'ai jamais prétendu que la concurrence porterait sur toutes les lois, bien sûr. Il y aurait concurrence, de même qu'il y a aujourd'hui concurrence entre les sociétés d'arbitrage privées.
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Non, les communistes pourraient fonder une cité communiste, mais uniquement avec des volontaires.
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Quiconque trouvera une réponse satisfaisante à une question de ce genre sur un forum a sans aucun doute bien peu de rigueur intellectuelle. Il faut donc consulter les classiques, par exemple : The Myth of National Defense
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Que les législateurs soient des privés c'est certain puisqu'il n'y aurait aucun Etat, par définition. Et comment ne pas penser que les codes législatifs ne seraient pas en concurrence sur certains points ? C'est déjà le cas entre les différents Etats (sauf que l'on ne change pas de code législatif par contrat, mais en se faisant naturaliser, ou en changeant de lieu de résidence). Comme le dit Lucilio, c'était déjà le cas dans le droit romain. Cf. Freedom and the Law de Bruno Leoni.
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Si tu lis l'anglais, voici la bibliographie de l'anarcho-capitalisme : Anarcho-Capitalism: An Annotated Bibliography Notamment : For a New Liberty, chapitre 12. The Market for Liberty, chapitre 7,8,9,10 et 11
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Si, les législateurs feront les lois (et ces lois, dans une approche jus-naturaliste, devraient se conformer au droit naturel; ou pas, si les législateurs préfèrent opter pour une approche utilitariste). Les législateurs seront des privés : les produits de leur travail, les codes législatifs, seraient en concurrence.
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Si tu t'inscris à un club qui exige de toi un financement, tu es bien obligé de payer pour en faire partie, pour autant cela ne contrevient pas à ta liberté, car rien ne t'oblige à intégrer ce club; ce club pourrait t'obliger à venir en costume à ses réunions (suivre ses lois), mais là encore, ta liberté ne serait pas enfreinte, car il y a eu contrat. De même, le tribunal privé avec lequel tu aurais contracté te forcerait à faire certaine chose, par exemple coopérer avec les policiers de telle société de protection afin de simplifier les procédures, de les rendre plus rapides, moins chères, plus sures, etc.
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Par définition de l'utilité au sens économique (toute chose ayant la propriété de satisfaire le désir d'un consommateur est utile) si un bien marchand est jugé suffisamment utile par l'ensemble des consommateurs, c'est qu'il est rentable (ou plus exactement, il est rentable parce qu'il est jugé comme utile). Car les préférences des consommateurs ("ceci est utile pour moi", "ceci ne l'est pas") ne se révèlent que lorsque ces derniers achètent (où s'abstiennent d'acheter) un bien. Même dans une société anarchiste il y aurait des criminels, des mafieux, etc. Mais aujourd'hui il y a des Etats partout et pourtant les mafieux subsistent.
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A mon humble avis, pour rendre le procédé plus lisible, la personne chargée de l'article devrait présenter son ébauche (comme l'a fait the_student) et chacun proposerait sa petite touche dans le reste du fil (comme d'ordinaire); mais ce serait à la personne responsable de l'article d'intégrer progressivement les remarques faites en modifiant son post initial (avec un code de couleurs si l'on veut que ça fasse joli).
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Alain de Benoist a par ailleurs commis cette critique de l'idéologie libérale...qui commence très mal, et en dit long sur sa compréhension de l'individualisme, et plus généralement du libéralisme : "le libéralisme est une doctrine qui se fonde sur une anthropologie de type individualiste,c'est-à-dire qu'elle repose sur une conception de l'homme comme être non fondamentalement social". Contresens habituel.
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Pour en revenir à la choucroute (et pour ceux que cela intéresse) voici une critique libérale d'un ouvrage portant sur la privatisation de l'exploration spatiale : The Privatization of Space Exploration. Ainsi qu'un article démontrant que : 1- les entreprises aérospatiales privées sont, relativement aux programmes spatiaux nationalisés, plus efficientes dans l'allocation des ressources; 2- la technologie spatiale doit être traitée comme toute autre forme de technologie.
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Je crois que j'ai trop peu d'ancienneté (de posts à mon actif), je ne peux pas modifier l'article principal.
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à propos de la troisième question, sur la finitude des ressources naturelles, George Reisman démontre implicitement dans cet article (http://mises.org/journals/scholar/reismanmises.pdf) que le sophisme environnementaliste ("une croissance infinie est impossible dans un monde fini") repose sur une confusion entre deux concepts, celui de bien marchand d'une part, et celui de ressource naturelle de l'autre. La croissance économique reposant sur la ressource en tant que bien marchand, et non en tant que quantité de matière (donnée par la nature).
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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
Mallory a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Merci -
Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
Mallory a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Existe-t-il un accord entre Contrepoints et le Ludwig Von Mises Institute qui nous permettrait de traduire leurs billets quotidiens (https://mises.org/daily/) ? Après une rapide recherche sur Contrepoints, il ne me semble pas que cela se fasse, ou du moins pas de façon systématique. Si nous y sommes autorisés, je serais ravi de pouvoir contribuer à ces traductions. -
Au contraire, j'en serais très honoré... (et si l'on vous rétorque quelque chose de valable, faite moi signe) Tout à fait d'accord, peut-être même est-ce une raison de s'indigner (profitons-en, c'est encore de mode) sur notre méconnaissance - voire absence totale de connaissance - des thèses adverses (je ne parle, bien sûr, que pour moi). C'est l'occasion pour moi de remercier à nouveau F.mas pour ses références. A propos de Michael Sandel, une bonne introduction à ses ouvrages concernant la philosophie morale (et donc ses critiques portant sur le libéralisme) est peut-être le cours qu'il tient à Oxford sur la justice (12 épisodes d'environ 1 heure chacun : http://www.justiceharvard.org/watch/ ) Ma remarque sur la concordance entre libéralisme et conservatisme culturel chez Hoppe était tout à fait indépendante de la votre
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Telle serait donc la critique qui déboulonnerait les fondements mêmes du libéralisme, ou du moins de la plupart de ses avatars : "Le libéralisme postule l'existence d'un individu abstrait qui précéderait la somme de ses choix" (et autres remarques apparentées qui souligneraient l'absence de considération sur la nature de la société (ou bien de "l'environnement", de la "culture", etc.) au sein de laquelle l'humain est né, élevé, éduqué, etc. ) D'un point de vue praxéologique, cette critique a autant de valeur que : "Enfin... voyons... cher Newton, vous ne pouvez tout de même pas étudier la chute de la pomme sans prendre en compte le fait qu'elle a poussé sur un arbre, sans reconnaitre que c'est une Reinette normande, non pas un pomme d'Api... Newton, cher ami, vous êtes bien un anglo-saxon vous, comme Locke, vous vous permettez de voir une tabula rasa lorsque cela vous chante...Non.. non... vraiment... vous simplifiez le réel !" Qu'elle soit Française ou Malgache, nous observons que "human action is purposeful behavior" etc. (je ne compte pas réécrire Human Action ce soir). Par ailleurs, on cherchera en vain les nombres dans le monde sensible...et pourtant ils constituent un outil extrêmement puissant pour l'appréhender. P.S. : Hoppe est la réfutation incarnée que le libéralisme ne présuppose en rien la négation de la culture, et même qu'elle est d'une importance cruciale dans le développement de l'enfant (et pas uniquement de l'enfant). Voir, par exemple "Du conservatisme et du libertarianisme", chapitre 10 de Democracy, the God That Failed : http://www.institutcoppet.org/2012/11/03/du-conservatisme-et-du-libertarianisme-par-hans-hermann-hoppe/