Vengeusemasquée

C'en est fascinant. Merveilleux pour le dico de Novlang...

Lucilio... bof non, laisse tomber.

Je suis horrifiée. Je ne savais pas que ça existait. AU SE-COURS !

Non. Tu ferais mieux de t'habituer.

Ils sont valides les visas ? Si c'est le cas, il suffit de le mentionner et ton récupéreras ton passeport, en insistant évidemment parce que faut pas déconner. Sinon, il faut le déclarer perdu. C'est ce que j'ai fait pour mon dernier. Je n'ai jamais rendu un passeport. Et pis quoi encore ? Ce n'est pas comme si c'était gratuit en plus !

Je n'ai pas dit que ce n'était pas une chouette série ! j'ai beaucoup aimé, je tiens à le souligner.

The Shield est très inégal quand même, alors que les Soprano, c'est bien du début à la fin.

pffff les images ne se sont pas copiées... je peux envoyer un fichier word au besoin.

Sûrement insuffisamment relu de ma part donc n'hésitez pas à le reprendre Miroir, mon beau miroir, dis moi quelle nation a augmenté plus que toutes ses dépenses de protection sociale ?January 18, 2014 by Dan Mitchell Il y a cette vieille blague au sujet de deux gars qui campent dans les bois, quand soudainement, ils aperçoivent un ours affamé les charger. Un des mecs commence à lacer ses baskets quand l’autre lui dit « mais qu’est-ce que tu fabriques ? tu ne pourras pas courir plus vite que l’ours ! ». L’autre lui répond « je n’ai pas besoin de courir plus vite que l’ours mais juste plus vite que toi ». C’est assez drôle mais ça donne aussi une bonne définition de la compétitivité nationale. Dans la bataille pour l’emploi et les investissements, les nations peuvent changer leurs politiques pour améliorer leur attractivité mais ils peuvent également subir les effets, tant positifs que négatifs, des politiques des autres nations. . Le taux américain d’imposition sur les sociétés n’a pas changé depuis des décennies, par exemple, mais les Etats-Unis sont néanmoins désormais de plus en plus à la traine du reste du monde parce que d’autres nations ont réduit leurs taux. Un article du Telegraph anglais nous montre aussi comment les changements relatifs de politique peuvent avoir un effet sur la croissance et la compétitivité. L’article analyse les changements du poids de l’Etat-providence sur les 14 dernières années. Il est assez logiquement centré sur la manière dont le Royaume-Uni s’en est sorti, en comparaison des autres nations européennes. Les dépenses de protection sociale ont augmenté au Royaume-Uni plus rapidement que dans n’importe quel pays européen depuis 2000, comme de nouvelles statistiques le montrent. Le poids de l’indemnisation du chômage, des aides au logement et des pensons de retraite sur l’économie a augmenté de plus d’un quart sur les treize dernières années, une augmentation supérieure à celle de la plupart des pays développés. Ces dépenses sont passées de 18,6% du PIB à 23,7%, soit une augmentation de 27%, d’après les chiffres de l’OCDE, le club de la plupart des nations développées. A titre de comparaison, l’augmentation moyenne des dépenses de redistribution des pays de l’OCDE a été de 16% sur la même période. Cette carte empruntée à l’article montre les changements en matière de politique de protection sociale de plusieurs nations, avec des couleurs plus sombres pour indiquer une plus importante expansion de l’Etat- providence. Le lecteur américain sera peut-être plus intéressé par cet extrait : Dans le monde développé, seuls, les Etats-Unis et les pays sinistrés de l’eurozone comme l’Irlande, le Portugal ou l’Espagne, qui brillent par leur taux de chômage, ont davantage augmenté leurs dépenses de protection sociale que le Royaume-Uni. Oui, vous avez bien lu ! Les Etats-Unis ont connu une expansion de l’Etat-providence plus élevée que la plupart des pays de l’Union européenne. Voici une autre carte dans laquelle j’ai inclus les Etats-Unis et extrait les chiffres des pays qui ont souffert les plus importantes hausses de dépenses de protection sociale. Comme vous pouvez le voir, seuls, l’Irlande et le Portugal ont été plus dépensiers que les Etats-Unis. Inutile de le préciser, ce n’est pas bon signe pour les Etats-Unis. La situation n’est cependant pas désespérée. Les chiffres susmentionnés nous indiquent simplement le taux de change de la protection sociale. Cela ne nous dit rien de quels pays ont de gros ou de petits Etats-providence. C’est pourquoi j’ai également extrait les chiffres montrant le poids représenté par la protection sociale, mesuré sur la production économique, pour les pays de l’Amérique du nord et de l’Europe de l’ouest. Ces données sont plus favorables aux Etats-Unis. Comme vous pouvez le voir, l’Amérique a toujours le plus faible niveau de dépenses sociales des pays développés. L’Irlande se trouve aussi dans une position acceptable donc la vraie leçon à tirer de cette information, c’est que les Etats-Unis et l’Irlande devaient se trouver dans une assez bonne situation en 2000 mais que la tendance des 14 dernières années a été très mauvaise. Ce n’est pas non plus une surprise : la France est le pays développé le plus dépensier en matière de protection sociale. Terminons en regardant les pays qui ont été les plus performants sur cette période. Le Telegraph note que l’Allemagne a été plutôt efficace dans la réduction de la dépense sociale. L’article donne même une version de la Règle d’or de Mitchell en précisant que les bonnes politiques sont celles qui ont pour résultat une augmentation de la dépense inférieure à celle de la production industrielle. Sur les treize années depuis 2000, l’Allemagne a réduit son pourcentage de dépense sociale sur le PIB de 1,5%. De telles réductions ne sont possibles qu’en augmentant les dépenses sociales moins vite que le rythme de croissance de l’économie. La question la plus importante, cependant, est de savoir si certaines nations obtiennent un bon score dans les deux catégories. Autrement dit, existe-t-il des pays ayant maîtrisé leurs dépenses sociales depuis 2000 tout en ayant conservé un Etat-providence restreint ? Voici les cinq nations ayant connu la plus faible augmentation des dépenses de protection sociale depuis 2000. On voit que l’Allemagne a connu la meilleure performance relative mais on remarquera qu’elle ne fait pas partie des pays avec le plus faible poids de dépenses sociales. En effet, les dépenses sociales allemandes consomment 26,2% de PIB. L’Allemagne a donc encore du chemin à parcourir. La nation qui apparaît sur les deux listes pour sa frugalité, en revanche, est la Suisse. Les dépenses ont augmenté de façon assez faible et les Suisses ont aussi le troisième plus faible poids de dépenses sociales. Doit-on y voir une autre preuve que le frein Suisse sur la dette est une politique à émuler ? Par ailleurs, le Canada mérite une mention honorable. Le pays conserve le deuxième meilleur taux de dépenses sociales et a obtenu la sixième performance dans le contrôle de la dépense depuis 2000. Les dépenses sociales de nos voisins du Nord n’ont augmenté que de 10% depuis 2000, à peine le quart de l’augmentation des Etats-Unis pendant les folles années Bush-Obama. Il n’est pas étonnant que le Canada soit désormais bien mieux placé en termes de liberté économique.

@Chitah : je ne vois pas ce que ça changerait. Ce n'est pas comme si la préfecture, même indépendante du CG, était dépolitisée. AMA, la question n'est pas de dépolitiser ou de privatiser, ce que nous sommes d'ailleurs en train de faire. Il faut dépouiller les Départements de leurs compétences. Si tu fais le compte, les compétences obligatoires des Départements sont les collèges et les services sociaux. Ces derniers sont inutiles et coûteux donc il faut les supprimer, purement et simplement, que ce soient les territoires d'action sociale ou les aides financières et laisser les associations financées de manière privée faire leur travail. Quant aux collèges, il faut promouvoir une indépendance stricte des établissements et faire disparaître le statut bâtard des EPLE. @Tremendo : c'est tout mon quotidien. Si je n'avais pas vu de près à quoi ça ressemble, je ne serais pas aussi fortement en faveur de la disparition de ce que je fais.

Ca dépend. On parle bien du Département en tant qu'institution (c'est d'ailleurs la raison pour laquelle on utilise souvent la majuscule). Le Conseil général est l'assemblée délibérative, pas l'institution. Il y a évidemment bien un double-sens pour Département qui est à la fois le territoire et l'institution mais en l'occurrence, c'est bien du second sens qu'il était question. Tout le discours tournait autour des compétences obligatoires des Départements et du fait que personne d'autre n'en voulait et n'était mieux placé que les Départements pour les assumer. Mon collègue était d'accord avec moi quand j'ai dit simplement qu'il suffisait de les supprimer et que les collèges n'avaient pas besoin de nous.

L'élu a commencé son discours par "si vous ne voulez pas être au chômage, il faut protéger les Départements" et c'est ce qui l'a fait le plus enrager. Il sait qu'il fera autre chose, c'est tout. Grosso-modo, je bosse sur les compétences obligatoires du Département dans les collèges publics (RH/entretien/investissement). Le collègue s'occupe spécifiquement de l'entretien (ménager hein, les mains dans la crasse) mais ça ne l'empêche pas de voir les choses ainsi.

Un collège m'a spontanément parlé de Denis Payre hier ! quelqu'un à qui je n'avais jamais parlé de politique et que je ne soupçonnais pas du tout de s'intéresser à cela ! Le contexte s'y prêtait particulièrement. Nous étions en train de regarder/écouter un élu particulièrement répugnant que je ne nommerai pas mais pour situer, il s'agit d'un repris de justice qui vient de se faire réélire conseiller général et va reprendre prochainement son siège de président du conseil général. Il a le même coiffeur qu'Hollande d'ailleurs je pense. Ils utilisent la même teinture... Bref, un discours infâme, d'une mauvaise foi incroyable. Je fulminais. Je voyais au loin mon collègue avec un air consterné. Fin de l'intervention, petit florilège de ses remarques : - Il me faudrait une sulfateuse là maintenant tout de suite - ils sont tous pareils, quel que soit le parti - le problème c'est eux - ils sont convaincus qu'on a besoin d'eux mais on se fout totalement d'eux. Ils nous pourrissent la vie. - on n'a pas besoin de tous ces services publics et de toutes ces réglementations de merde. C'est ce qui nous ruine. - on serait mieux sans eux, ils seraient morts sans nous. On parle d'un fonctionnaire de catégorie C dans la quarantaine qui n'a que sa force de travail et son bon sens pour penser ça. Comme quoi, il y a des erreurs de conditionnement un peu partout ! Je vais lui recommander discrètement H16 dans les plus brefs délais. Il m'a l'air à point pour ouvrir pleinement les yeux.

J'ai mentionné ce truc dans les nouvelles sans intérêt il y a quelques jours : http://www.radioactu.com/actualites-radio/148574/radios-musicales-creation-du-rassemblement-de-stations-musicales-pour-que-ma-radio-reste-libre/#.Uui89tJKHVR puis j'ai y réfléchi, j'ai parcouru le rapport hallucinant du CSA et je me dis que ça vaudrait peut-être le coup de saisir cette occasion pour faire un récap sur les quotas de musique franchouille à la radio et toutes ces conneries. Fondamentalement, j'avoue que ça me fait bien rire de voir les radios râler maintenant. Elles ont été perdues le jour où elles ont accepté les quotas. Il aurait fallu réagir bien avant. J'ai vraiment envie de dire bien fait pour leur gueule. qu'en pensez-vous ? Ca existe déjà ? Quelqu'un est déjà dessus ? Vous avez des idées ?

@Fenster : merci ! Bonne nuit les gars

Je suis convaincue que "c'est commercial donc ça pue" est un argument très répandu parmi nous...

franchement A chaque fois qu'elle ouvre la bouche, t'as l'impression qu'elle va mourir étouffée. Non vraiment, même au lycée, ça ne passait pas. J'écoutais Nightwish moi au lycée et je jetais des tomates à ceux/celles qui écoutaient Evanescence.

Y'a pas marqué de quel moment on parle, dans le titre ! C'était mon film du moment, hier soir.

Sinon, tu peux aussi aller au bistrot quand elle regarde Sex and the City et regarder The Wire avec elle parce que ça vaut vraiment le coup.

je me moquais d'Evanescence en fait. C'est vraiment tout naze.

Encore une petite louchée de propagande à la radio. Le rapport du CSA vous aidera à faire passer le tiers provisionnel.

Pour revenir à la voiture... ah bah non en fait.

J'approuve. Il faut soigneusement éviter les infos mais sinon, c'est vraiment une radio agréable, même si elle est remplie de crypto-communistes et qu'elle respecte les quotas de musique franchouille. Il est vrai que nous avons une très bonne production jazz, par un exploit que je ne m'explique pas.

Je serais un peu plus nuancée parce que cela dépend aussi de quelles porcelaines ornaient le bureau présidentiel. J'aurais tendance à penser qu'il s'agit d'une intox mais attention quand même, le vieux Sèvres, ça peut chiffrer rapidement.