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Cugieran

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Tout ce qui a été posté par Cugieran

  1. Parlons prospective alors... http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/La-Suisse-de-2017-vue-en-1987--le-jeu-des-7-erreurs-24593704
  2. Il faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain.
  3. Je vais pas avoir la rudesse de te renvoyer aux 347 pages précédentes mais tout de même, on a expliqué ici un paquet de fois que sur des observations extrêmement partielles, avec des modèles dont les postulats sont les solutions et une grosse pression financière (essaie d'obtenir du pognon sans mettre global warming dans le titre de ton projet de recherche...), il y avait de quoi faire preuve d'humilité face à ces affirmations qui sont d'ailleurs bien moins péremptoires quand il s'agit de scientifiques divers (incluant astrophysiciens comme climatologues ou géologues) que quand il s'agit de politiques ou de médias...
  4. Le constat du réchauffement climatique est directement biaisé. Tout le reste suit.
  5. Innovations dans un contexte taxé et réglementé ? Forcément ça va bien se passer. On innovera quand on aura un problème. On ne peut pas commander l'innovation pour quelque chose qui ne se produit pas aujourd'hui. L'innovation, c'est un truc spontané. On a trop souvent tendance, de nos jours, à vouloir provoquer voire planifier l'innovation (en entreprise ou à plus grande échelle) mais il ne fait pas se toucher la nouille : besoin, marché, cerveau meilleur que la moyenne = innovation. Quand c'est en titre de tous les journaux, il faut préserver son image et répondre aux peurs générées. Parce que la peur est un excellent outil de manipulation et parce que GS se ferait payer pour boire la boue des latrines alors s'il y a un con pour payer... Les entreprises, pas qu'américaines, soignent leur image. Elles ont raison. Mais le marché n'est pas libre parce que les informations sont absentes ou biaisées, dans le meilleur des cas incomplètes. Pourquoi la situation serait alarmante ? Ouais c'est tout autant désespéré que désespérant...
  6. Une théorie de plus en plus répandue et complètement sotte. C'est triste. Il n'y a aucun problème de surpopulation mondiale. Il y a un problème d'allocation des richesses parce que le marché n'est pas partout. C'est très difficile de répondre à ça sans aller chercher les stats de pauvreté qui diminuent à échelle mondiale...
  7. Ah ça, la sportive est la plus jolie, comme toujours
  8. Il est bien évident que je parlais d'innovation pour ce qui est des solutions alternatives aux recours à l'émission de CO2. Tranquillise toi : celles qui n'existent pas encore sont en passe d'exister. Tranquillise toi deux fois : le marché n'aime pas les risques. Il couvrira les miches de la planète avant que ça chie. Il enrichit tout le monde à vitesse grand V depuis des siècles. Il va pas s'arrêter sous prétexte qu'une partie du monde ne peut pas vivre comme à Miami, avec la clim. Plus généralement, quand je parlais d'inconfort, je ne voulais pas parler d'accès au wifi...
  9. Je ne suis pas sûr non plus mais ils n'ont plus rien tenté depuis si longtemps, ils ont tellement abandonné les idées, que cette fois, ça leur a claqué à la gueule. C'est quand même un peu bien fait pour leur pomme je me dis.
  10. Je vais réitérer : Donc quand viendra l'inconfort, on réagira parfaitement bien parce que l'humain découvre très vite que de toutes les personnes sur terre, la plus difficile à tuer c'est soi-même.
  11. Oui alors que je pourrais très bien accepter qu'un climatologue dise : écoutez les gars, ça se pourrait qu'on ait un gros problème. Soit vous avez un plan pour mitiger, soit il faut éviter. Comparez les coûts, étudiez la question, mais c'est un problème qu'il faudra très probablement traiter un jour ou l'autre. D'une manière générale, il est effectivement possible de moins faire le con avec l'environnement sans moralisation et en gardant une pétée de fun.
  12. L'innovation du siècle sortira invariablement d'une situation d'inconfort. La précaution n'amène jamais l'innovation.
  13. ... et encore faut-il les mettre en relation avec les coûts énormes, non supposés ceux-là, pour essayer de s'en prémunir.
  14. Ca n'arrange rien à la formulation. C'est peut-être plus clair à la barre. Je sais pas. J'aime pas l'eau navigable ou buvable. Juste celle des rivières.
  15. Ils méritaient de perdre : https://www.contrepoints.org/2017/06/19/292437-droite-meritait-de-perdre
  16. easy J'imagine bien que ça correspond à un rayon de braquage ou quelque chose comme ça mais c'est précis...
  17. Le ciel t'entende... mais je pense que tu sous-estimes l'impact de tout ça. mouais...
  18. Ca m'embête beaucoup ces fourchettes. A 1.3, j'ai un problème pour passer autant de réchauffement dans 60 ans. A 0.5, je peux le passer naturellement. Ouais, c'est toujours le même problème
  19. Turgot, Tuuuurgot Ouvre les yeux. Au nom de l'environnement, les décisions les plus irrationnelles qui soient sont prises. Et ce n'est rien à coté de celles qui sont proposées et qui finiront par passer, tôt ou tard. Il n'y a pas de petite privation de liberté, en particulier si cela ne sert aucun dessein particulier.
  20. Les affirmations contenues dans ce paragraphe sont toutes, sans exception, plus ou moins certaines.
  21. Avec les vignes, il y a aussi une question de techniques de culture qui ont quand même sérieusement évolué. Mais quoi qu'il en soit, toute la question est sur l'emploi que tu fais du mot problème pour désigner cette évolution. En fait, à l'heure actuelle, il est factuel que les températures sont élevées par rapport à certaines époques récentes comme les années 50 à 80. On peut discuter sur les valeurs exactes, mais c'est net qu'il y a quelque chose. Il est moins clair qu'elles soient si élevées que ça par rapport aux années 20-40, pauvres en mesures. Certaines photos de glaciers des années 30 semblent confirmer que ce n'était peut-être pas si différent d'aujourd'hui. Il est à peu près clair qu'elles sont plus élevées que dans les années 1890-1910. Il y a donc des variations. La variation actuelle parait forte, dans un contexte, rappelons-le, de moindre tolérance aux catastrophes, aux vagues de chaleur, de froid, à la neige, à la grippe et au rhume... et en gros, à tout ce qui fait que la vie n'est pas nécessairement un confortable trajet dans le Golden Pass (je recommande). La question est : quelle est la part anthropique de la variation récente ? 100%, 20% ? Aujourd'hui le GIEC admet qu'il est, je cite, probable que la majorité de la hausse constatée (0.8 en 100 ans) soit d'origine humaine. Probable, pour moi, c'est 50 à 70% de chances que 0.4° ou un peu plus soit du aux humains. Une fois ça posé, qu'est-ce qu'on fait ? Est-ce que c'est grave et problématique ? Comme pour un traitement médicamenteux, il faut voir le coût-bénéfice. Le formidable développement de l'humanité en lien avec les émissions de CO2, qui est un modèle spontané, ça ça nous plait à nous libéraux, doit-il être perturbé avant sa fin naturelle (dans longtemps quand même) pour éviter des effets que rien n'indique qu'on ne saura pas gérer ? Et si on se refait mettre 0.4°C de moins dans 15 ans, est-ce que c'est si grave ? Est-ce que ça vaut les centaines de milliards et les privations le libertés ? Franchement, sans être scientifique et donc dans la difficulté face à des réflexions comme celle-ci, je pense que ce sont plutôt ces derniers éléments qu'il faut mettre en avant.
  22. La nature est belle.
  23. En direct de Malatafoune Street

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