José

Propriété privée des moyens de production = propriété étatique des moyens de production. OK

Salut en de kost, fieu. En de wind van achter !

Des Marocains... pas boire d'alcool...

J'en ai déjà vu des hypothèses à la gomme, mais alors cette-là... !

https://originofspecious.wordpress.com/2016/02/17/hayek-was-wrong-because-girard-was-right/

Les communes belges, c'est aussi souvent des foutues baronnies héréditaires.

Incroyable.

Ce reproche est bien injuste.

En France, je ne sais pas, mais en Belgique : instit' maternelle, c'est €2 000 à l'âge de 40 ans ; prof secondaire, c'est €1 500 pour un mi-temps (14 x 50 minutes de travail).

Ce qu'il y a surtout, c'est qu'il mélange la vision de la nation qu'en avaient les libéraux - qui sont à l'origine de ce concept - avec celle des émules de Johan Gottfried Herder. Et donc, il s'empêtre dans un gloubi-boulga en tentant de se raccrocher aux branches d'une société sans État, alors même que l'idée de nation est intrinsèquement liée à celle d'État.

Le bourgmestre n'est pas élu (sauf en région wallonne, où ça a changé), il est nommé par le Roi - il joue un peu le rôle du préfet français en ce sens -, choisi souvent après bien des tractations bien politiciennes entre les différents partis et listes électorales ad hoc constituées dans la commune. Souvent de la vraie tambouille bien dégueu.

Déjà que son passage sur le "grand remplacement" des Baltes par "l'ethnie russe" est de la merde de taureau certifiée 100% bio. Et puis, quelle tristesse que de voir un anarcap parler d'immigré "illégal".

Bah... l'antisémitisme a certainement été l'une des choses les mieux partagées au travers des partis, des classes sociales, etc.

C'est pas comme s'il n'était pas prévenu.

Bande défilée : la dessinatrice qui réinvente la BD sur smartphone http://phallaina.nouvelles-ecritures.francetv.fr/

Lutte contre le tabagisme à Moscou : "Fumer tue plus qu'Obama".

Bien évidemment : l'idée de nation est, à l'origine, une idée libérale. Cette idée est née en réaction à l’absolutisme politique de l’Ancien Régime, quand les possessions des princes ne connaissaient pas de frontières et les individus passaient arbitrairement d’un joug à l’autre selon les caprices dynastiques ou le hasard des guerres. Pour les libéraux, la nation représentait l’association politique d’individus libres, en remplacement de la communauté traditionnellement structurée autour d’une lignée royale ou d’une religion ; et patriote signifiait avoir l’esprit ouvert. L’idée de nation n’était pas dirigée contre l’étranger mais contre le despote, qui tyrannisait également cet étranger. Malheureusement, au fil du temps, ce nationalisme libéral, pacifique, qui n’était pas hostile aux gens, mais seulement aux princes se transforma en ce nationalisme militant, exclusif et liberticide que nous connaissons depuis. Aujourd'hui, après la perversion du nationalisme contemporain, la seule manière pour un libéral d’adhérer à nouveau à l’idée de nation, c’est de se rappeler que la nation n’est pas une création de l’esprit, encore moins la concrétisation déterministe d’une loi historique inexorable. Mais qu’elle est un processus évolutif qui donne bien lieu à une réalité : une association politique – qui n’a aucune assurance de durer immuablement dans le temps et l’espace – d’individus sur un territoire donné et bordé de frontières qui servent seulement à indiquer jusqu’où s’étend la juridiction de l’autorité en charge de protéger leurs droits naturels. La nation n’est pas une limite pour les cultures, ni les peuples.