Je ne vois rien de spécialement idéologique dans l'arrêt de la Cour. Elle semble plutôt essayer de remettre un peu de cohérence dans les contradictions issues des divers textes légaux. Si l'infidélité n'est plus pénalisée, pourquoi l'allégation de non fidélité pourrait servir de base à une plainte en diffamation ?