José

Les nazis, les fascistes, les communistes, les socialistes… beaucoup de monde, en effet.

Quand un Français essaie de parler de la Belgique, on a ce genre de chose. C'est con parce qu'ils l'on voulu ainsi ceux qui s'engagent dans cette voie. On leur avait proposé l'examen d'entrée, la solution la plus logique et fair. Mais ça, c'était trop de cruauté pour les pov' choux. Alors, ils ont droit à ce système où ils s'engagent volontairement et en connaissance de cause dans une filière où on leur dit d'avance qu'ils n'auront peut-être pas au bout du chemin le droit d'aller taper dans les caisse de l'assurance-maladie. Qu'ils crèvent la bouche ouverte au coin de la rue, ces fumiers.

Bah… Tintin, à la base, c'est déjà de la merde.

Gné !?

On ne manque jamais assez de respect face à l'escroquerie mémétique, cette manière de créationnisme évolutionniste.

Oui. En ce sens qu'un gouvernant (exécutif ou législatif) ne devrait jamais établir de règles de droit (ou alors à la manière romaine : une loi par an en moyenne). La loi n'est pas le droit.

De manière assez indirecte, car pour moi, contrairement à ce que professent beaucoup par ici, le libéralisme n'est pas une doctrine du droit, mais seulement une doctrine politique qui vise à limiter strictement le pouvoir des gouvernants et à les obliger à respecter le droit.

Il se peut que l'empathie soit en partie innée. Cela ne change rien au fait que le droit correspond à ce qui doit être dans les relations humaines en regard de la Loi naturelle – que cette loi se décline sous la forme d'une empathie partiellement innée, mais raisonnée au final ou sous la forme d'une collaboration dictée par la seule raison.Sinon, dire que les lois naturelles, qu'elles soient physiques ou liées à la nature humaine n'existent pas, me semblent singulièrement couillu. Et penser pouvoir fonder le droit et/ou le libéralisme sur une « volonté de puissance souveraine » et je fais ce que je veux avec mes cheveux, c'est simplement ouvrir la porte à toutes les fenêtres. La négation même de l'être humain, de sa nature et du droit tout court. Car le droit ne naît pas de l'individu, mais apparaît lors de ses relations avec autrui.

Misère…

Les humains ne décident pas du droit. Ainsi, l'inceste est prohibé non pas parce que les humains l'ont décidé ainsi – laissant supposer qu'il pourrait être autorisé –, mais parce qu'une société où l'inceste ne serait pas prohibé et, partant, où la structure familiale et sociale serait foireuse ne saurait survivre. De même manière qu'on ne peut voler en ignorant la loi de la gravité. Mais tu confonds encore : le Droit naturel ne consiste pas à découvrir des lois juridiques naturelles supposément cachées dans la Nature, mais est le processus de découverte du meilleur ajustement entre les êtres humains qui se dégage très objectivement de la nature même des êtres humains et de leurs relations. Et cet ajustement ne dépend pas de notre décision arbitraire mais doit être découvert objectivement à partir de la Loi naturelle, en mettant à jour ce qui est le meilleur pour l'homme, quelles sont les fins les plus conformes à sa nature qu'il faut rechercher, parce qu'elles sont les plus propres à promouvoir son achèvement. Au passage, que l'être humain puisse perdre la raison de manière partielle ou totale, pendant un instant ou définitivement n'enlève rien au fait que l'homme pour vivre en société fait usage de la raison. Un pédophile impénitent, non entravé ne peut vivre dans une société humaine. Le coup de foudre n'est pas un mode de vie en société. Etc.

Yerk ! Je dis toujours aux Équatoriennes que les libéraux sont grands, très grands. Tous. C'est clair, ça les refroidit.

Fais pas ton Berti.

T'as pas compris le véritable intérêt de la danse : justement pouvoir toucher autant une femme et en rester là. Sagesse, vacances, toussa… un jour, je te prendrais comme disciple. Mais, en attendant, tu vas organiser un dîner chez toi avant qu'il n'y fasse trop froid.

Trop belge. Trop bobo. Ce local m'insupporte. La Maison d'Amérique latine donne des cours. Tu m'écoutes pas. Tu cherches les merdes.

Un film doublé en espagnol… Què misère…

Where? J'ai vu que tu étais prêt à tout pour ça. Même grimper sur le Cinquantenaire.

Non. Ça, on fait pas. Jamais. Et ta copine va te cramer.

Pas convaincu. Plutôt l'impression du contraire : tétanisés, les veaux se regroupent volontairement autour du fermier qui les mène à l'abattoir.

Non, le droit, ce ne sont pas des règles du jeux. Le droit est le processus de découverte de ce qui doit être pour que les êtres humains puissent vivre en société en accord avec la Loi naturelle. Les règles de droit ne sont que la fin de ce processus. Les règles de droit ne sont pas le droit en soi. Non, on ne s'accorde pas sur ce qui est bien. Le bien et le juste découle objectivement de la Loi naturelle. Cette dualité n'existe pas : l'homme ne se guide plus par l'instinct depuis des myions d'années. L'homme pour vivre fait usage de sa raison.

Les lois naturelles qui conforment la nature humaine sont essentiellement le fait que l'homme est doué de raison, qu'il agit selon celle-ci, qu'il vit en société, que pour vivre en société, il doit faire usage de la raison, etc. La Loi naturelle est la manière dont les êtres doivent réaliser leur nature, leur fonction, leur fin ou leur bien ; pour l'être vivant en général, c'est de se mouvoir et de se reproduire, etc. Pour l'être humain en particulier, c'est cela également plus le fait d'exercer sa raison.

Jette-toi par la fenêtre, tu en découvriras une.

Les lois de la nature et les lois qui gouvernent la nature humaine (par exemple, l'homme vit en société).

Justement non : le droit pallie l'instinct. Donc, on rappelle en vitesse que le Droit naturel est le processus qui permet de découvrir le meilleur règlement possible d'une situation conflictuelle entre les êtres humains en se fondant sur la Loi naturelle.

On cause de quoi ? De l'existence d'une "internationale" ou d'un mouvement terroriste nazi structuré. C'est du flan. Que les merdias vont en faire leur choux gras ? On s'en tape.

Encore mieux : un plouc.