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José

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Tout ce qui a été posté par José

  1. José

    Armageddon économique ?

    L'État grec ne rembourse pas parce qu'il est méchant, il ne rembourse pas parce qu'il ne peut pas le faire. C'est si compliqué à comprendre ? Donc il fait faillite et c'est tout. Non sequitur. Un fonctionnaire grec perçoit de l'argent de l'État grec. Pas des banques européennes. Etc. Les grecs ne doivent strictement rien aux banques européennes. Aux époques héroïques, c'est ce qui se faisait. Si Sarko a les couilles, il peut tenter de faire comme Napoléon III au Mexique et envahir la Grèce. Sinon, si faire faillite est du vol, l'accord qui avait été signé la semaine passé qui réduisait de moitié la dette grecque, c'était aussi du vol ? Donc, on se trouverait devant l'alternative où les banques seraient "volées" et la Grèce devient un province proconsulaire de Bruxelles ou les banques seraient "volées" et la Grèce reste souveraine. Les votent pour la seconde option. Qui ne feraient comme eux ? Je sais, il court déjà pleurnicher dans les jupes de la Merkel.
  2. José

    Armageddon économique ?

    Ils seront dans le même caca mou. Certes. Mais ils ne seront pas un protectorat européen. Donc, ils ont intérêt à dire merde.
  3. José

    Armageddon économique ?

    Les banquiers qui prêtent aux États folkloriques savent ce qu'ils risquent. Personne n'a obligé la SG à prêter à l'État grec. Les banquiers ont prêté en connaissance de cause, à des taux d'intérêt conséquents, et en s'assurant. Ils peuvent crever la bouche ouverte s'ils ne récupèrent pas leurs billes grecques. Non, pourquoi ? Ils n'ont reçu aucun argent des banques européennes. Pour mémo, l'État grec n'est pas les Grecs.
  4. José

    Armageddon économique ?

    Si Sarko a les cojones là où il faut, il peut essayer de se payer sur la bête. Ce n'est ni la première ni la dernière fois qu'un État fait faillite. Même la France, durant son histoire, a connu plusieurs banqueroutes de l'État.
  5. José

    Armageddon économique ?

    1° L'État grec fait faillite. 2° La Grèce quitte la zone euro. Retour de la drachme. 3° Spectaculaire fuite de capitaux grec et dévaluation brutale. Les gagnants : les insiders de toujours qui pourront vivre des subsides de l'État grec et les exportateurs. Les perdants : les outsiders, les propriétaires et épargnants grecs. Effectivement, ce ne serait pas du luxe de demander l'avis de la population sur la gestion de leur classe politique qui n'a pas hésité à violer à plusieurs reprises leurs mandats et les traités. Que l'on demande seulement aux Allemands s'ils sont d'accord pour financer €1.000.000.000.000 pour sauver le cul de l'État providence des PIGS et celui des banques françaises ? Sinon rien. On appelle cela la faillite. Ce sont des miyons de faillites qu'il y a tous les jours dans le monde sans que l'on doive hurler au vol. Les Grecs disent merde. Faillite de l'État grec. Sarko l'a dans le cul et Hollande président. End of the story.
  6. José

    Armageddon économique ?

    C'est peut-être simple, mais c'est encore un droit. La soupe que les Grecs ont reçue, ils n'ont mis un revolver sur la tempe de personne pour l'avoir. Ils ne sont redevables de rien. Pour rappel, l'État grec n'est pas la Grèce et encore moins les Grecs. Donc, si les Grecs décident d'envoyer chier tout le monde, c'est leur droit le plus strict. Et la faillite, le défaut de l'État grec sont des options parfaitement envisageables que les Grecs pourraient légitimement choisir, plutôt que de devenir une province proconsulaire de Bruxelles dans le cadre d'une abracadabrantesque usine à gaz eurocratique destinée à sauver le cul des banques françaises aux frais du contribuable européen.
  7. José

    Armageddon économique ?

    Oui… Sauf que l'écrasante majorité de la population grecque est opposée, à tort ou à raison - mais là n'est pas la question, à la gestion de la crise par le gouvernement grec depuis deux ans. Alors, demander une fois pour toute l'avis des Grecs sur la question de savoir s'ils veulent devenir une province contrôlée par Bruxelles - et tout ça pour rester indéfiniment dans la merde comme le rappelle henriparisien -, c'est loin d'être du luxe, non ?
  8. José

    Armageddon économique ?

    En l'occurrence, je ne vois pas où est le problème à mettre le peuple grec devant ses responsabilités. Et puis, n'oublions pas, il ne s'agit pas seulement de se prononcer sur les mesures d'austérité, mais aussi sur le désir ou non pour les Grecs d'être dirigés par des proconsuls européens. +1 avec henriparisien
  9. José

    Armageddon économique ?

    C'est vrai, j'oubliais… On ne demande l'avis du peuple que lorsqu'il est d'accord avec les politocards.
  10. José

    Armageddon économique ?

    Ouais ! Merde quoi… à la fin… Un élu qui demande l'avis de ses électeurs !? Foutu pays du Tiers-monde ! C'est pas dans la Fraônce ouempé que l'on verrait ce genre de clownerie…
  11. José

    Armageddon économique ?

    Ouais ! Merde quoi… à la fin… Un élu qui demande l'avis de ses électeurs !? Foutu pays du Tiers-monde ! C'est pas dans la Fraônce ouempé que l'on verrait ce genre de clownerie…
  12. José

    Flims du moment

    Chitah a des idées bizarres parfois…
  13. Arrêté de lire après cette phrase à la con. (Sinon, rappelons, que pour l'instant, Lugan a réussi un sans faute : depuis le début du Printemps arabe, il a toujours tapé à côté de la plaque.)
  14. José

    Investir, épargner

    Message signalé.
  15. José

    Armageddon économique ?

    La France l'a imposé sous Giscard. Les Français, fouteurs de merde. Quelle nouvelle !
  16. Nous asseoir au bord de la rivière pour y voir passer, flottant, le cadavre de notre ennemi.
  17. José

    FMI

    Le faux exemple parfait. L’Argentine de Menem, c'était quelques privatisations pour avoir un peu de thunes pour acheter les électeurs, mais pratiquement aucune libéralisation, une manipulation monétaire sans fin et une explosion des dépenses clientélistes dans les États régionaux. La privatisation sans libéralisation n'a rien de spécialement libéral. C'est juste un État qui vend ses bijoux de famille pour avoir du cash à dépenser.
  18. José

    FMI

    Le FMI n'a jamais mis en place une seule réformes libérales. Même s'il le voulait, il ne le pourrait pas, ce n'est pas son rôle.
  19. José

    FMI

    Un communiste au FMI.
  20. Ne fais rien et tout sera fait.
  21. fjpqEvqUpv8
  22. Peut-être. Et encore, il y a matière à discuter. Parce que comparer les taux d'imposition entre la France du 21e siècle et celle de l'Ancien régime revient à comparer les taux d'imposition entre la France et Haïti ; et on peut émettre l'hypothèse que la monarchie, si elle avait subsité jusqu'au 21e siècle, aurait également élevé très fortement les impôts. Par ailleurs, parler des seules prérogatives et intrusions du Roi pendant l'Ancien Régime, face à celles des démocraties modernes, en passant au bleu les prérogatives et les intrusions de la noblesse, de l'Église, des parlements, des corporations, etc., c'est vraiment réfléchir n'importe comment. Alors, pour ne prendre qu'un exemple, c'est vrai, le Roi de France n'édictait pas de Code du travail, mais les corporations, si. Mais même si la monarchie d'Ancien Régime taxait moins et était moins intrusive, cet état de fait ne se faisait pas grâce à la bonté de la monarchie, mais malgré elle.
  23. José

    Projet de réponse

    On ignore les cons.
  24. Est-ce qu'il faut te rappeler que les libéraux du 18e siècle se sont justement battus contre la monarchie non démocratique et le despotsime "éclairé" ? Alors, faut être balèze pour soutenir qu'un tel régime serait la panacée libérale. Et si tu crois un seul instant qu'un despote se soucie plus de l'agenda libéral que tout autre régime, c'est que tu fumes de la bonne. Et si jamais il y eu des espaces de libertés sous l'Ancien Régime, ce ne fut pas grâce à la monarchie, mais malgré elle, à commencer par la concurrence de la noblesse.
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