Sous-Commandant Marco

Je crois que c'est "Dan-Thon Kû" mais c'est à vérifier.

Ca vaut à peu près le "Internet est un très bon réseau, mais il y en a d'autres." de Kim Jong-Chi.

+1 D'après les informations que j'ai pu lire, les prêts "subprime" seraient deux fois plus nombreux à arriver à échéance cette année, par rapport à 2007. Ca risque de dévisser encore.

Tout va bien. Sarko, Chirac et autres adeptes des vacances de milliardaire à l'étranger ne seront pas affectés.

Fredo, que penses-tu de Françoise Dolto?

C'est pas là où un observatoire s'est installé juste pour la pureté de l'air? Sinon, une attaque à main armée a déplacé le Dakar à Atacama. Amusant, non?

Et alors? Tu es parti en congés 3 semaines sans prévenir et personne n'a rien remarqué?

C'est évident et ça ne contredit pas mon propos: un régime totalitaire qui serait maître dans l'usage de la propagande et de la surveillance généralisée mais serait mou du genou lorsqu'il s'agit de sanctionner ne peut pas durer. D'une part, les goulags et la Loubianka n'ont pas disparu sous Brejnev. Je ne suis même pas sûr que la force se soit réduite puisque c'est sous Krouchtchev et Brejnev que l'URSS a développé son arsenal nucléaire et conventionnel. En second lieu, même les régimes de Staline et de Mao ont dû mettre en scène leur violence et recueillir une approbation minimale de la population par le mensonge et d'autres méthodes (les plans qui promettaient des lendemains qui chantent, par exemple). Je maintiens que les purges et les déportations de masse de Staline n'ont touché que des catégories ciblées et minoritaires (les opposants, les koulaks, les peuples périphériques, les "parasites sociaux"), même si le total finit au bout de 30 ans par atteindre des dizaines de millions. Le reste de la population était tenu par la propagande dès l'école, le risque d'être dénoncé, la dépendance économique, autant de choses qui n'ont rien à voir avec l'usage de la force. D'ailleurs, il y a encore des staliniens aujourd'hui. Sont-ils contraints de l'être? Je ne vois pas le rapport. Est-ce que Chirac a cité "1984" lorsqu'il a dit cela? Les socialistes pousseront toujours ces cris idiots. Tu reproches à un livre de ne pas réaliser ce qui est impossible: convaincre les socialiste qu'il ont tort et, à défaut, les faire taire. Nous sommes d'accord sur ce point. L'intérêt de 1984 est qu'il ne décrit pas uniquement les totalitarismes passés. L'ennemi présent n'est d'ailleurs pas une dictature totalitaire.

Tout régime politique, même la social-démocratie, ne repose en dernier ressort que sur la force. Cependant, un régime politique qui ne dissimulerait pas sa force brute grâce aux méthodes décrites dans 1984 ne durerait pas longtemps. Et l'intérêt de ce livre, c'est qu'il décrit des principes utilisés par les régimes politiques actuels, y compris et surtout démocratiques. Les socialistes arriveront toujours à se dédouaner et à accuser leurs adversaires de leurs propres turpitudes. Aucun livre (même culte, comme la Bible ) n'y pourra rien changer. Ta critique de 1984 est donc quelque peu tautologique puisqu'elle revient à écrire qu'Orwell n'était pas anarchiste.

Moi, je ne suis pas d'accord avec l'analyse d'Apollon sur la "perfection" du totalitarisme de 1984. L'expérience de Winston avec la sous-classe prolétarienne exhibe son échec, puisqu'il n'a pas réussi à s'imposer auprès des trois quarts de la population. En URSS, pour la vaste majorité de la population, la force brute du régime était invisible et ils ne se frottaient qu'à ses oripeaux: les cours de matérialisme historique à l'école, la réécriture de l'histoire, la propagande généralisée, …

1984 est mal écrit mais a rendu accessibles plusieurs thèmes novateurs qui n'ont jamais perdu de leur intérêt depuis: le totalitarisme et son hypocrisie (en 1948, alors que l'URSS était encore auréolée de gloire, il fallait tout de même le faire), la manipulation du langage, la répartition des sociétés totalitaires en plusieurs classes, le contrôle des médias, de l'histoire et de la culture, la guerre permanente, etc…

Tu vas en cours avec moins qu'un slip?

Le goût du risque des libéraux m'épatera toujours. Boire de l'eau gazeuse au goulot… Bientôt, ce sera couper le pain avec les mains et manger sa soupe en faisant "slurp". Mais moi, je fais mieux. En ce moment, je surfe sur libéraux.org en slip. Hé oui.

Tu veux dire que les chats sont des femmes, avec un manteau de fourrure naturel?

Tel Bernard Palissy, h16 découpe ses meubles (en commençant par les moins chers) pour les brûler dans son fourneau, à la recherche de la recette ultime de la tarte aux pommes.

Qui traites-tu de cageot?

Que la mode des années 80, bof bof…

Corrigé.

En matière de long capots, j'aime bien la type E:

Le Ouistiti Grand Modèle a encore frappé.

Une ascèse prolongée, entrecoupée de prières et de coups de fouets avec des orties fraîches, peut parfois provoquer ce genre d'hallucinations.

Suis leurs conseils et ne l'achète pas.

Tu vis dangereusement, dis donc. Moi j'ai vu Pierre Lellouche deux fois, une fois sur les champs en train de se faire interviewer et l'autre fois gare de Lyon. Je crois bien que c'est le seul homme politique d'envergure que j'ai vu de près.

J'ai perdu un pari idiot. Heureusement, ma situation financière a rarement été aussi bonne. Je m'apprête hélas à retourner dans les steppes scandinaves de la région parisienne.

Rien que son nom prête à rire. Comment travailler et faire carrière en restant dans son lit? Alexandra nous donne la réponse.