L'oeuvre d'Anta Diop est en effet une jolie légende urbaine qui est servie lors du recrutement chez les groupes afrocentristes. Au même titre que les histoires de Shaka ou Kenyatta.
L'homme est né pauvre, il n'a donc pas crée de misère mais l'à au contraire toujours repoussée de plus en plus loin. Les génération futures seront encores plus prospères.