L'Europe n'a pas le choix ; le drame grec ne finira pas en tragédie. Je cite le Monde (oui j'ai le Monde, mais c'est un journal gratuit et non acheté, donc ne m'insultez-pas :
" L'Europe veut exercer sur Athènes une pression ferme - mais pas fatale - pour s'assurer que non seulement le gouvernement, mais au-delà, le peuple lui-même, comprend bien l'ampleur des sacrifices qu'il doit consentir.[…] L'Europe veulent en retour marteler le message que l'euro fort tiendra bon, et qu'en tout état de cause, une baisse de la devise n'est pas forcément une mauvaise nouvelle puisqu'elle va favoriser les exportations, et donc la reprise ."
Donc la Grèce sera bien sauvée, évidemment. "Que l'aide prenne la forme de prêts bilatéraux, ou qu'elle utilise les canaux communautaires prévus par les traités, peu importe dans le fond : les pays de la zone euro ne laisseront pas Athènes se débattre seul avec sa crise."