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Bisounours

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Tout ce qui a été posté par Bisounours

  1. Elle est limite mais elle a des vrais seins, ce qui plaiderait pour le fil jolies gonzesses
  2. Je suis sûre que tu as les capacités d'orienter la discussion
  3. Roooooh, déconne pas, et prends 5 minutes
  4. Gio, j'ai bien compris que tu étais un enseignant conscienceux. Mais tu es neuf dans le métier. Puisses tu durer de cette manière et ne pas ressentir d'encroûtement et de lassitude. Pour un comme toi, cbien se satisfont de ressortir leurs préparations de l'année passée ? Ce qui représente un sacré gain de temps ? Je suis pas enseignante mais j'en connais et j'ai eu l'occasion de discuter avec eux. Ils ne sont ni plus ni moins interpellés par leur métier que des tas d'autres, la différence est la forme de pouvoir et d'influence sur des gamins... qu'ils peuvent exercer grâce au programme de lavage qui déteint en rose le blanc pur de nos chères têtes blondes. Tu pourrais plutôt nous raconter des anecdotes croustifondantes de la salle des profs
  5. Reformulons : que fais tu en dehors des cours d'arts plastiques que tu dispenses ?
  6. Dimanche j'ai appris un truc incroyable : les motos ne sont pas équipées de marche arrière, il faut reculer en s'aidant du pied ! Sauf la Goldwing
  7. dans toute règle il y a une ou deux exceptions : le syndicaliste et l'homme politique en sont les deux plus criantes
  8. no problemo. Tu veux dire que les profs d'aujourd'hui ne sont pas ceux d'hier ? On dirait ma grand mère... c'était mieux avant.... bah non, je crois pas. J'ai eu des profs branleurs, et des profs supers. La vie c'est ça. Et leur statut n'a pas changé. Et je suis pas né à l'époque de Pagnol, hein ! Les rois du monde c'était pas encore et toujours l'instit, le maire et le curé, de mon temps !
  9. les profs d'eps se la coule, sauf que j'en ai eu un qui était top prof d'art plastique (pardon, gio) c'est la planque, mais le mien était génial les arabes sont tous des terroristes bardés d'explosifs, sauf mes voisins, ils sont trop sympas
  10. C'est plus fort que vous, de mettre les profs dans des catégories, genre prof de sport branleur, prof de maths blablabla, bande de collectivistes ! Le cours est ce qu'on en fait, non ? Même avec un carcan casse couille comme un programme de l'ednat, me dites pas qu'un prof pas trop con peut pas en faire quelque chose de cool, non ? Voire même s'en tamponner le coquillard ? Il risque quoi ?
  11. Ah oui, super Bruno Cremer, j'adore l'ambiance poisseuse de Simenon.
  12. La critique est aisée et l'art difficile. Les enseignants sont souvent caricaturés, par ignorance et méconnaissance de leur boulot mais aussi par ras le bol de leurs manifestations incessantes. Ils sont vus comme des privilégiés du fait de : leurs vacances, leur travail garanti à vie, le faible nombre d'heures de cours. Pour le travailleur de base et au vu de ces avantages, leurs râleries sont inadmissibles. Et ça peut se comprendre Pour autant, le temps passé devant une meute de gamins bousculés par leurs hormones, de niveaux tellement disparates alors qu'on leur demande de balancer les mêmes cours, sans qu'ils aient trop de marge de manoeuvre, bah je leur laisse. Le souci comme d'hab, c'est qu'ils râlent et sont mécontents de leur conditions de travail mais se trompent de revendications. Ils feraient mieux de demander qu'on leur foute la paix, exiger l'autonomie des établissements, des recrutements personnalisés, bref plus de liberté mais le souci, c'est le corollaire, à savoir la responsabilité, je suis pas certaine que ça les botte. Dommage, parce que du coup, ils pourraient être mieux payés, car faut le reconnaître, c'est pas cher payé. Des fonctionnaires qui couinent parce qu'ils n'ont pas assez d'autonomie dans leur travail mais qui se retranchent derrière leur employeur et leur statut en cas de merde, ça grouille devant la machine à café
  13. Pareil pour moi, je suis bien contente de m'être abonnée à Netflix. Les séries françaises ne sont pas à la hauteur, c'est clair. Je sais pas trop à quoi ça tient ? Faiblesse des scénarios, nullité de la mise en scène, pauvreté des dialogues ; manque de pognon peut-être ? Je note toutefois un léger mieux, je pense à Engrenages. Mais bien sûr qu'il y a des daubes américaines.
  14. Mais oui mais oui, Gio, j'ai réagi sur ta phrase "avantage : sécurité de l'emploi", ce qu'offre le secteur public de manière objective, ok ? Et ma réponse subjective a été d'énoncer, de façon ironique, les risques d'encroûtement pour tous les métiers où le risque zéro n'existe pas, quoique tu fasses comme connerie. Faut-il en discuter sur dix pages ? Détends toi Tiens, je te mets un grand classique
  15. Un forumeur adepte du poly amour. Y a un fil à ce sujet
  16. Je répondais au sujet des avantages de la sécurité de l'emploi dont tu causais. Donc plutôt dans le public, mais ça vaut pour tout poste 'à vie' où cette sécurité peut avoir des effets secondaires pas sympa si on est pas vigilant. Plus le temps passe et plus c'est compliqué de se défaire de ces liens. Et la routine peut être funeste
  17. C'est un avantage certain en ces temps incertains, mais que tu paies au prix fort : ennui, lassitude, congé pour enfant malade, peur du changement, rtt, cfdt, couillemollisme, règles douloureuses, arrêts de travail, photocopieuse en panne, machine à café pourrie, réunionnite très douloureuse, manifestations, grèves, syndicalisme et tout ça trrrès contagieux
  18. grosso merdo, sur le même principe qu'un litre de carburant, non ?
  19. Et si on rameutait Metazézette, pour relever et étoffer le débat, mmh ?
  20. Tu m'en vois ravie.
  21. petit par la taille mais grand par l'esprit, mmh ?
  22. Jim, tu es minuscule ??? Mon fantasme s'effondre, c'est trop triste
  23. Un fromage qui pue sous la cendre (mais dans sa boîte, c'est plus sûr pour éviter la contamination)
  24. voui, nous sommes partis plus loin, mais en zappant le chapitre insultes
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