Bisounours

Ben quoi, c'est normal, c'est dans l'intérêt général ! Quasiment une mesure de santé publique, non ?

J'apporte quelques précisions, de mon expérience du boulot A la base, l'ASE intervient lorsqu'elle connait une situation. Donc, si elle est informée de l'empêchement ponctuel d'un parent, c'est soit parce que l'autre parent a fait part de son indisponibilité, soit que l'école, le médecin, bref, un tiers l'a signalé aux services sociaux. Dans tous les cas, un travail sérieux consiste à vérifier si cet enfant a de la famille, ou de l'entourage "digne de confiance", cette formule pouvant être reconnue administrativement et permettre une indemnisation.... Les retraits d'enfants de leur famille sont l'exception, prévalent les aides à domicile, soutien éducatif, travailleuse familiale Un enfant est retiré de sa famille lorsque les autres aides n'ont pas été suffisantes pour le protéger, ou elles ne sont pas tentées lorsque le danger est avéré. Il y a le placement dit "administratif", non judiciarisé, à l'amiable, en quelque sorte, un contrat signé entre l'ASE et les responsables légaux, à durée limitée et renouvelable avec l'accord des parents Il y le placement judiciaire ordonné par le Juge des enfants, qui détermine les causes, les objectifs et la durée de ce retrait de l'enfant. Mis en œuvre lorsque la famille dangereuse n'est pas coopérante. Bon. Ça c'est la théorie, et on essaie de l'appliquer au mieux. Reste à définir la notion de danger, la solution la moins pire entre rester chez les parents ou le placement. En fait, c'est un peu comme l'incarcération.... à ce détail près que c'est la victime que l'on sanctionne en la retirant de son lieu de vie habituel, lequel serait toxique et dangereux, physiquement ou mentalement En effet, les établissements pour enfants en difficulté, bah ils sont fréquentés par des enfants en difficulté, scoop ! Donc on y trouve de beaux spécimens élevés à bonne école. Certains font subir au plus faibles les sévices qu'ils ont connus. (cf la vie carcérale).

Genrisme ?

Pourquoi tu réponds ? C'est tellement débile comme réflexion !

Zut, je peux pas lire l'article

Pffff, tout de suite des images et de la provocation ! Trop facile. Bien. Alors, allons y : ces vaches sont manifestement décédées et destinées à la consommation. La question qui se pose à moi est de savoir si elles ont été abattues avec le minimum de souffrance. Il y a une petite différence entre abattre un animal pour le manger et le torturer juste pour le fun. Le problème est chez celui qui tient l'outil et à quelles fins, et comment il l'utilise C'est compliqué à comprendre ? Et je ne suis pas végétarienne

Je ne défends pas le droit des animaux mais je trouve juste de condamner les actes de cruauté envers eux. Et argumenter avec des histoires de souffrance de la bactérie ou du cri de douleur du moustique, bof. Se défendre est une chose, faire du mal en est une autre. Et pour moi, la corrida, c'est faire du mal au nom d'une coutume gnagnagna. Je déteste aussi le cirque avec des animaux. Et les zoos

Et puis dans la nature, l'animal est dans son élément, en liberté.

Comme tu y vas ! Juste grignoter les oreilles, d'égal à égal, dans une arène, ovationné par de belles romaines

La survie d'un grand prématuré est dépendante de sa prise en charge médicale, et les progrès en ce domaine ont permis qu'ils soient sauvés, et c'est un grand tant mieux, bien sûr. Il s'agit bien là de l'action des équipes médicales, non ? La décision revient à qui ? Pose t on la question aux parents ? Je dis simplement que maintenir en vie un grand préma, c'est le risque qu'il soit grandement handicapé. Ceci étant dit, le problème est le même pour les grands malades.... ou handicapés

Ce qui me questionne c'est l'acharnement thérapeutique des médecins à maintenir en vie à tout prix de très grands prématurés, avec un risque non négligeable de lourdes séquelles. Où l'on voit que les progrès de la science engendrent plus de souffrance que de bien être, parfois. C'est une lourde responsabilité de déterminer ces limites et j'espère bien qu'aucune loi ne viendra jamais imposer des critères alakon qui entraineront des recours et des procès sans fin

J'ai survolé les pages de ce fil, à partir de l'intervention pleine de sagesse de Mr Mas. Tout de même, pour moi, tous les combats entre animaux organisés par l'homme, ou de l'homme contre l'animal sont des actes cruels et immoraux, peu importe qu'il y ait un beau collant à poutre apparente, un boléro à paillettes ou je ne sais quelle tenue ridicule. Que les coqs se tuent entre eux ou les chiens pour une femelle Et que ceux qui s'excitent devant ces spectacles débiles se retrouvent sur un ring et se mordent les oreilles.

Peut on appeler végétarien quelqu'un qui mange du poisson, qui a supprimé uniquement la conso des bêtes à poils ou plumes ? Concernant le miel, c'est déconseillé en alimentation low carb ? C'est quand même du sucre, même si bio et non industriel

267km/h, record de vitesse battu sur l'A10 par une Audi R8. Ça doit décoiffer quand même, non ?

Hahaha,il est connu cet excellent article ! Je l'ai envoyé à une amie toulousaine qui l'a cru

Surtout qu'on peut être végétarien et pas bouffer des carbs. Poisson,(ouais, je sais, c'est végé light) légumes,fruits.

Et puis il est tellement bô le héros.

Boaf, osef, tout ce bruit autour de ce ridicule et affligeant règlement de compte, les analyses de texte et autre commentaires, on est vraiment ds la politique spectacle poubelle.

Dans le sud, on mange des chocolatines, c'est bien meilleur que le pain au chocolat, une pâle copie nordiste

J'ai édulcoré, faut pas exagérer

Non Elphyr, je suis une repentie. Héhé

Un conseil : arrête les substances qui se fument, s'inhalent ou s'injectent, c'est bizarre au début mais on s'y fait. Tu verras

C'est quoi, un enfant hyper actif ? Le contraire d'hypoactif ? J'ai un peu de mal avec ces nouveaux concepts, comme également la pathologie bipolaire.

Laisse tomber, un fonctionnaire, c'est comme la queue d'un lézard, tu l'arraches et il repousse au même endroit

Même pas ! Encore plus au nord, je suis allée, pas loin des plages pour blaireaux, à mi chemin du nord, là où vivent les sauvageons