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Tout ce qui a été posté par Bisounours
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Elle n'existe que parce qu'elle perroquette ce que d'autres rédigent pour elle.
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Le confinement et les autres mesures autoritaires : diktat médical, pour quoi ?
Bisounours a répondu à un sujet de Freezbee dans COVID-19
C'est le variant brésilien qui attaque l'Inde, ce pays immense de plus de un milliard d'habitants est-il bien équipé en hôpitaux et tout le tremblement ? -
Ça fait mal ? Ça se soigne ?
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Oui, faut voir... faut peut être ne pas trop idéaliser la situation des enfants avant que l'État et les administrations s'en mêlent ; ci-dessous un article intéressant à ce propos. https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2013-3-page-16.htm Tu critiques mais tu préconises quel type d'intervention dans ton univers sans État ? Par exemple, tu as connaissance d'un enfant gravement maltraité (pas la baffe occasionnelle, hein) dans ton voisinage/environnement. Il se passe quoi ? Tu fais comment ? Tu t'adresses à qui ? Le secteur associatif ? Un service privé d'intervention ? Sur quelle base ? Quel est le circuit, si il y en a un ? Par ailleurs, j'aimerais bien savoir d'où tu tiens cette source de milliers d'enfants maltraités (et de quelle maltraitance il s'agit ?) dans les familles d'accueil, puisque ici on aime bien les sources... et en proportion du total d'enfants confiés. Je ne nie pas cette réalité, bien évidemment. Il faut être excessivement prudents lorsqu'il s'agit de retirer un enfant à sa famille, et ne le faire que lorsque le danger est avéré, en dernier recours.
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aaaah ok, je saisis. Il y a effectivement asymétrie en termes de nombre, quoique le parent a toujours la possibilité d'être défendu par un avocat. Et que le juge, lorsqu'il s'agit de mesures judiciaires, soit en faveur des parents (oui, ça arrive plus souvent qu'on le croit). Mais en imaginant un autre dispositif en dehors de l'État, comment s'organiserait la protection des enfants en danger, je veux dire réellement maltraités ? J'ai rien contre, bien évidemment.
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Comment ça ?
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La procédure est compliquée et longue oui. Mais je pensais plutôt au niveau de la création du lien.
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Non ce n'est pas à la fois. Ça dépend des situations. Dans le premier cas il s'agit de déchéance de l'autorité parentale afin que l'enfant soit confié à l'adoption. C'est définitif, le lien de filiation est rompu, ce qui explique que la notion de lien soit assez souple, et que la décision soit prise prudemment.Et ça peut parfois sembler assez révoltant. La mesure éducative dans tous les cas a pour objectif de réparer le lien abîmé et donc le retour de l'enfant avec ses parents à plus ou moins brève échéance. Un placement n'est jamais motivé pour des petits soucis éducatifs ou des références éducatives différentes. Autrement tous les enfants de manouches non scolarisés seraient placés par exemple. La protection de l'enfance c'est aussi l'intérêt des parents. Les deux sont liés. Faut trouver le bon équilibre. Et ce n'est pas l'État mais le département qui s'en occupe. Le système est perfectible bien évidemment. Mais ce sont toujours des humains qui prennent ces décisions difficiles. État où pas État.
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Le confinement et les autres mesures autoritaires : diktat médical, pour quoi ?
Bisounours a répondu à un sujet de Freezbee dans COVID-19
Ah je viens d'apprendre qu'il fallait un ausweis en ce moment dans le cadre des balades à moins de 10 km. Et qu'on ne peut pas aller rendre visite à des amis. C'est pas dans les clous. -
Oui bien sûr, il existe d'autres façons de "faire une famille". Différences de culture, toussa. Là on cause de la culture occidentale, avec la législation afférente, parfois très contraignante, c'est vrai.
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Faut arrêter 5 mn avec ça. Avec ou sans lui, une fille enceinte jeune, ou pas, et qui ne souhaite pas le faire savoir à ses parents ou à son mari en a rien à foutre de État pas État. Elle se fera avorter au lieu de conserver sa grossesse et donner son enfant à l'adoption. Avant la création de l'état civil, tu penses que les femmes jeunes ou pas n'interrompaient pas leur grossesse non désirées avec tout et n'importe quoi ? Et dire que les familles toxiques ne tiennent pas à leurs enfants, bof bof. Les parents maltraitants ++ aiment leurs enfants, à leur façon. Les barjots aussi. Sauf qu'ils ne sont pas compétents, contrairement à ce qu'ils croient.
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Peut-être, oui, mais interrompre une grossesse ou la mener à terme pour ensuite abandonner le nouveau-né, ce n'est pas la même démarche. Toutes les femmes ne sont pas armées pour faire ce choix. Ne serait-ce que les mineures, par exemple.
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Adopter, c'est autrement plus compliqué en termes d'investissement, que de fabriquer soi même son enfant, effectivement.
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J'en sais rien, je te dis la réalité, que je trouve absurde mais en l'occurrence, l'État privilégie le maintien du lien naturel avec les parents géniteurs, envers et contre tout, c'est dans la loi. Alors, faudrait savoir, c'est mieux de déchoir des parents dangereux, car il y en a, désolée, ou bien on préfère que ce magnifique lien soit maintenu envers et contre tout ? Et par ailleurs, si tous les enfants de couples dysfonctionnels devaient être placés/retirés/confiés à l'adoption, il n'y aurait pas assez de place dans les foyers de l'enfance. Par ailleurs, il y a pas mal de gamins qui sont confiés à leurs grands-parents, ou à des tiers, avec ou sans reconnaissance légale. Faut pas croire. Alors, bon, ok, c'est pas la culture polynésienne, ou africaine, bien sûr.
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À peine caricatural
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Parce que pour qu'un enfant soit adoptable, il doit avoir été abandonné légalement. Et l'abandon en France est rendu très difficile, pour ne pas dire impossible puisque prévaut le lien avec la famille naturelle. L'article 350 du Code civil conditionne l’abandon judiciaire à la preuve qu’un parent s’est manifestement désintéressé de son enfant pendant l’année qui a précédé la demande. Ce peut être une seule visite dans l'année par exemple... ou quelques coups de fil... Des enfants restent donc jusqu'à leur majorité confiés au service de l'ASE car leurs parents sont réellement incompétents pour ne pas dire dangereux. Les candidats à l'adoption se tournent donc vers l'international. À moins qu'ils ne soient tentés par une adoption simple, mais va composer avec madame Groseille, toi
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Ou l'inverse
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Et donc, quelle solution ?
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Les juges de la cour d’appel ont immédiatement rendu une ordonnance d’hospitalisation d’office, car Kobili Traoré présente une dangerosité psychiatrique extrême, disent les experts, « que nous considérons comme durable en dehors d’un milieu psychiatrique ». Il restera hospitalisé tant que les médecins de son établissement le jugeront utile. S’ils décidaient que ces soins n’étaient plus nécessaires, le représentant de l’État dans le département devra ordonner une expertise conduite par deux experts extérieurs à l’établissement. En cas de consensus sur la possible levée d’une hospitalisation sans consentement, le représentant de l’État ordonne la levée des soins. En cas de désaccord, il devra en informer le directeur de l’établissement, qui saisira alors le juge des libertés et de la détention, qui tranchera. Cette conclusion me va, dès l'instant où il est réellement écarté de la société. Le problème se posera lors d'une évaluation relative à son éventuel retour à la vie normale...
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Le confinement et les autres mesures autoritaires : diktat médical, pour quoi ?
Bisounours a répondu à un sujet de Freezbee dans COVID-19
La covidémence de plein air arrive dans mon coin du sud-ouest : obligation du masque sur un chemin surplombant l'océan, donc pour le moins bien ventilé, iodé etc. Alors, oui, comme il est relativement étroit à certains endroits, on doit se croiser de relativement près à condition de ne pas avoir anticipé ce dangereux instant l'espace d'une minute ou deux, le temps pour le virus à ailettes de se précipiter dans les narines du promeneur, et de l'occire. Le niveau de grand n'importe quoi est stratosphérique. -
Autrement, le diable en vend https://www.amazon.fr/s?k=chaussons+isotoner+homme&__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&ref=nb_sb_noss_1
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Le féminisme
Bisounours a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
œuf course ! Et ça ne se fait pas en un claquement de doigts ou par décret -
Le féminisme
Bisounours a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
L'éducation relève de l'environnement familial avant toute chose. Les autres propositions sont du blabla pour compenser les défaillances de départ. -
Donc carrément pas de procès (sur décision de la cour de cassation), l'auteur de ce crime est donc bien reconnu irresponsable pénalement. On attend les manifestations de protestation, les commentaires scandalisés de vedette du showbizz conscientisées, et bien sûr quelques embrasements de cité habituels. https://www.lefigaro.fr/vox/societe/affaire-sarah-halimi-le-risque-de-recidive-n-est-pas-illusoire-20210416 Question : il va être interné ou bien rien du tout, une vague injonction thérapeutique ?
