Salatomatonion

J'ai mon quart d'heure wikien, je peux mourir en paix.

La culture identitaire, c'est ce qui reste dans les rues quand on a tout oublié. Ceux de Lyon ont été soucieux du moindre détail en tout cas :

Petit rappel d'il y a quelques pages : - si tu te trouves en bas de l'immeuble tu vis dans l'insécurité - si tu regardes à la fenêtre tu vis dans le sentiment d'insécurité - si tu vois cette info à la télé tu vis dans le fantasme d'insécurité Mais à part alimenter des débats sans fin, cela a-t-il quoi que ce soit à voir avec les actions pragmatiques, rapides et TEMPORAIRES qu'il conviendrait de mener face à des voyous, noirs, marrons, blancs ou même United Colors of Racaille ?

Je ne veux pas faire ma précieuse mais le rendu sur le site est effectivement différent de ce que j'avais en tête et proposé > positionnement, taille et couleur de l'ombre. On ressent moins le "mouvement" de cette ombre du coup. Done ! Depuis le début de mois !

Est-ce que maintenant il arrive à pied par la Chine ?

Attention aux attaques de Burqaratékas !

Tu auras moins de remords à le tâcher.

Mais non !

"Hier j'étais au 106, j'ai ramené deux Suédoises, des mannequins. La première je lui ai tout fait fait, j'ai donné, j'ai donné ! - La salooooooope ! Et l'autre ? - Alors l'autre rien du tout, frigide, elle est restée dans son coin. - La saloooooope !"

C'est tout le drame des apprentis-sorciers-pédagogues qui ont créé un système bâtard en détournant la méthode globale telle que pratiquée initialement en Suisse ou en Belgique. Je rends ça tel quel de mémoire mais je m'étais documenté là-dessus à une époque via un site intéressant mais dont le design et le graphisme m'avaient laissé un souvenir douloureux. Ce n'est pas de la globale mais de "l'idéo-visuelle". Le but de la globale était que le gamin appréhende des mots dans leur globalité grâce aux repères de son environnement proche, affectif et familial, de la même manière qu'il comprend "maman" et "papa" d'instinct. C'est pourquoi dans les bouquins de l'époque on avait des phrases comme "Le papa de Paul rentre du travail. La maman de Paul a cuisiné un bon repas", bref des situations de vie dans lesquelles le gamin pouvait se projeter. Mais au début des années soixante-dix, les idéologues ont éliminé des bouquins français toutes ces affreuses références réacs et bourgeoises à l'environnement quotidien du gamin. Vous me direz faudrait voir ce que de la vraie globale pourrait donner aujourd'hui éventuellement. "Le papa de Paul déguisé en maman a déposé Paul en Velov' à l'atelier développement durable du centre social puis il est parti à la Gay Pride rejoindre le deuxième papa de Paul."

C'est symptomatique des décisions d'écrasage de mouche à coup de marteau dictées par l'hystérie et la frustration, bref ça défoule et ça évite de parler des solutions qui permettent d'apporter une réponse adaptée à un système qui manque d'organisation. Cela fait plusieurs fois que je me fais cette réflexion mais à chaque fois que je pense à la délinquance en banlieue, j'y vois un parallèle aussi inattendu qu'étonnant avec le pilotage d'un système d'information et une jolie courbe qui passe de "chaos" à "valeur" après une période de remise à niveau, la mise en place d'actions préventives et une organisation rationalisée avec l'utilisation de plusieurs ressources complémentaires.

Mise à part l'incommensurable connerie de cet imbécile autodafeur, y a-t-il plus de raison de lui faire un procès pour "Il faut brûler Winnie" que pour "Une allumette pour Mahomet" ? C'est une question sérieuse.

Oui je sais, la deuxième barre du neuro sert à cacher le sexe, c'est une odieuse censure.

Arf, ce sont mes yeux qui ont brûlé. C'est un bourricot qui rédige les brèves du Télégramme ?

Suis-je le seul que cette expression maladroitement employée (je suppose) choque ?

Résumons : - si tu te trouves en bas de l'immeuble tu vis dans l'insécurité - si tu regardes à la fenêtre tu vis dans le sentiment d'insécurité - si tu vois cette info à la télé tu vis dans le fantasme d'insécurité

On devrait envisager les relations entre membres de lib.org ainsi, odeurs axillaires en moins éventuellement.

Content que l'idée plaise. En revanche, je viens de m'apercevoir que j'avais fait une copie écran du mot avec l'affreux souligné de correction orthographique.

Grâce à Aulas, à l'empire Cegid, aux chefs d'entreprises suiveurs et jaloux, aux politiques locaux et nationaux intéressés, aux starlettes avec le feu au cul, aux footeux célèbres importés qui forniquaient avec les starlettes ou qui se mariaient avec, pour les plus inconscients, grâce aux restos et aux bars branchouilles où l'on pouvait désormais dire qu'on aimait le foot sans passer pour un beauf', aux journaleux d'astreinte évidemment, et sportifs qui plus est, bref, grâce à l'entrée dans la ronde de toute ce gotha, de très nombreux Lyonnais ont eu ces dernières années l'occasion inespérée de pouvoir parader et clamer que Lyon n'est pas cette vieille bourgeoise provinciale casanière et emmerdante. Si tu savais le nombre incalculable de gens habituellement peu au fait des affaires footesques, -voire totalement allergiques au ballond rond- que j'ai vu se "convertir" au fan club de l'OL il y a quelques années, pile au moment où ça faisait bien sur la photo parce qu'il y avait enfin un niveau d'exhibition politico-économico-médiatico-people conforme à l'image fantasmée de LA ville qui compte et qui rayonne au-delà des frontières. Je suis curieux de voir la constance dans l'effort de tout ce beau monde maintenant que joli bébé footeux fait sa crise de croissance et qu'il a bien besoin d'être supporté.

Non ce sont juste de vrais supporters et je comprends tout à fait ce que décrit Winston étant Ligérien de naissance et connaissant de nombreux supporters de Saint Etienne. J'ai vu des types aller en famille voir jouer les Verts toutes les semaines sans exception et se transmettre ça de père en fils, quel que soit le temps, le classement, les scandales du moment etc.

Le C retourné est une bonne idée mais visuellement il est un peu agressif avec sa queue pointue de diablotin rouge en haut à gauche. Je ne suis pas un pro du graphisme alors ne me jetez pas vos pantoufles, mais est-ce que ça peut-être une solution d'avoir quelque chose comme ci-dessous ? L'idée étant de suggérer un effet de mouvement avec un C qui s'est retourné contre l'autre pour tordre le coup aux idées établies.

Je suis curieux de voir si le public lyonnais qui a découvert le football il y a quelques années seulement va soutenir son équipe maintenant qu'elle est au fond du trou.

Qui attire les masochistes comme un aimant.