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Ronnie Hayek

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Tout ce qui a été posté par Ronnie Hayek

  1. … Et à promouvoir encore plus de politiques de prévention pour faciliter une consommation dite "responsable".
  2. Absolument. (Ce qui fait de moi, de surcroît, un absolutiste.)
  3. Moi aussi, et La Nouvelle Censure (également d'époque). (mais je les garde )
  4. Hé bien, merci de confirmer mon propos : cela ressemble fort aux paranoïaques procès d'intention zekiens pour d'autres questions.
  5. Marrant comme tu es sourcilleux quand il s'agit de ta prose, alors que tu déformes allègrement les réponses de tes contradicteurs. Sinon, je pensais à ce passage-ci : De plus, qui a parlé de "la drogue" ? Cela fait deux fois au moins que tu nous sors cet homme de paille.
  6. Je crois que tu n'as bien saisi mon propos… (Et puis, de grâce, évitons l'emphase.)
  7. Ronnie Hayek

    Top ringardos

    Gilbert O'Sullivan - .
  8. C'est ce qui s'appelle avoir le sens aiguisé du débat.
  9. Tout comme Zek qui voyait des défenseurs de la censure et des lâches "dhimmis" en ceux que n'emballaient pas les caricatures de Mahomet, tu sous-entends que sont des laquais de l'étatisme ceux qui prennent au sérieux le caractère dangereux de la consommation de drogues. PS: et je me passe de compliments venant de quelqu'un qui est suffisamment malhonnête pour prétendre que lui furent opposés les arguments "Les junkies sont débiles" et "Si l'état dit que c'est dangereux alors ça doit être vrai".
  10. Psyché. Kassad serait-il à la législation anti-drogues ce que Zek fut à la pseudo-"guerre des civilisations" ?
  11. Ronnie Hayek

    Top ringardos

    Elvis Presley - .
  12. C'est pour éviter que tes ailes de géant t'empêchent de marcher que tu as oublié un L ?
  13. Tu mens par la gueule. Ou alors, je vais vraiment finir par croire que tu as pris quelque chose.
  14. Kassad est le roi pour enfoncer des portes ouvertes, faisant comme s'il t'apprenait une vérité longtemps dissimulée.
  15. … Que je n'ai pas employé. Ce n'est justement pas ce que j'ai écrit. Le discours pro-drogues émane souvent de personnalités du show-biz qui s'imaginent que leur lifestyle est la plus digne d'admiration qui soit et qui conchient le populo trop conservateur à leur goût (marrant, un peu comme tant de libéraux ). Une autre icône à ranger dans le musée des héros libéralement corrects, le cabot à la seringue entre les dents : Alors, arrête d'en prendre. Cela t'évitera de prendre tes interlocuteurs pour des imbéciles et de faire comme s'ils n'avaient jamais entendu parler des exemples que tu cites par ailleurs.
  16. Ronnie Hayek

    Minou a faim

    Minou découvre un ami :
  17. Vous êtes tellement engoncés dans vos habits chics de dissidents que vous ne vous rendez même plus compte que vous reproduisez le discours ambiant (je veux dire: celui qui est produit par les vrais penseurs de notre temps que sont les gens du show-biz et autres cultureux, toujours prompts à prendre les gens du commun pour des neuneus ringards).
  18. Et ça, c'est pas un beau poncif "les drogues à l'origine de créations artistiques" ? Je m'attendais à ce que tu le sortes tôt ou tard, voilà qui est fait ! Involontairement, c'est bien la preuve que le discours destiné à relativiser le caractère négatif des stupéfiants pour mieux assurer leur promotion est bien le lot de certains milieux, plus intéressés égoïstement par leur "droit à" prendre du splif qu'aux dégâts provoqués par leur triste exemple.
  19. Les avantages de l'alcool (consommé dans une juste mesure) existent bel et bien, notamment en termes de socialité. En revanche, pour la coke ou l'héro, je peine à voir ce qu'elles peuvent apporter socialement. Quant au discours vantant les aspects "positifs" des drogues, il est difficile de nier son existence dans certains milieux (étudiants, notamment). Ensuite, tu renverses l'ordre des choses en oubliant que l'État a interdit ces produits en invoquant leur nocivité, laquelle n'est pas une invention étatiste pas plus qu'elle ne résulte pour l'essentiel de la prohibition de ces substances. Autrement dit, ce n'est pas parce que l'État les a proscrites que nombre de gens décèlent un danger dans leur usage.
  20. Je devais avoir trop bu quand j'ai cru assister à ses ravages.
  21. Pour ma part, les ravages de l'alcoolisme, je connais un peu (je veux dire : que j'en ai été témoin, pas de méprise), et personne (hormis Lucilio ) ne niera que l'alcoolisme existe. Mais Kassad omet charitablement de préciser que ce sont les tenants de la défonce citoyenne (oeuvrant dans des associations et officines subventionnées) qui ne cessent de remettre ce fait sur le tapis comme si cela rééquilibrait la dure réalité des présumés "paradis artificiels". Ce faisant, il relaie la propagande de ceux qui veulent opérer un changement culturel à des fins politiques peu avouables. Or, entre la première cuite prise à la suite d'un repas familial et la fumette comme pousse-café ou le fix en guise de dessert, les situations sont clairement différentes. D'ailleurs, si l'on reste sur le terrain des comparaisons, à l'argument lié à la libéralisation des drogues selon lequel elle permettrait que de la drogue de bonne qualité soit mise sur le marché, on pourrait rétorquer que la vente libre de l'alcool n'a jamais empêché de pauvres diables de se flinguer le cerveau à coups de gros rouge qui tache, de bière pisseuse ou de vodka bon marché. Je précise que je ne prétends pas ainsi m'opposer à la dépénalisation, mais c'était seulement pour montrer que certains arguments pro-dépénalisation ne sont pas toujours aussi solides que d'aucuns le croient. En vérité, plutôt que de pénaliser les consommateurs (ce qui est absurde et inique), il faut oeuvrer sur le terrain moral pour les dissuader de s'adonner à l'usage de stupéfiants.
  22. Raisonnement que tu pourrais alors appliquer aussi à la persistance de la mentalité étatiste…
  23. Entre ces derniers et les zombies de la seringue, le choix est vite fait…
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