City Journal prouve simplement qu'il peut sacrifier au mauvais goût prog', à la boboïtude (après tout, avec un pareil titre de magazine…) et à la laideur instituée. D'ailleurs, il lui arrive de publier aussi Guy Sorman (je parle en l'occurrence du côté prog', pas de la laideur, je précise)…
Et si tu tiens absolument à faire une lecture politique des Simpsons, libre à toi d'imiter les journaleux de l'année dernière.