Ronnie Hayek

Front 242 : - . - . Cabaret Voltaire : - . - Here To Go.

Blue Öyster Cult : Godzilla. . .

J'y pensais justement cet après-midi ! Bravo !

Je comprends maintenant pourquoi je ne connaissais pas, ne raffolant pas de Scorsese !

Je ne sais pas ce qu'en pensent nos amis métalleux, mais ce qui suit est d'une ridicule consommé : King Diamond - The Family Ghost. Non, c'est une belle découverte. Pour la fonction de recherche, elle est en effet pénible et en même temps pas assez sophistiquée : c'est ainsi je n'ose pas poster de clips de ZZ Top; il faut des mots de quatre lettres au minimum pour que la recherche soit enregistrée.

Posté par Taranne : http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=325294

Du rock basque : Kortatu - . Koto - Jabdah. Yarbrough & Peoples - Don't Stop the Music. Linx - .

Louis Chedid - Ainsi Soit-il. [dailymotion]x2chyq&v3=1&related=1[/dailymotion] Du même, j'ai cherché en vain un clip de La Belle.

J'avais pourtant posté Moonlight Shadow, où elle était affublée d'un chapeau ridicule. (Et il me semble que l'on y voit bien le compositeur de Tubular Bells.)

Pour Ronibéral : Toto - Hold the Line.

Big Audio Dynamite - E=MC2 Un chanson mobiuso-lucilienne : , par Pizzicato Five. Excellent !

C'est sans doute un coup signé Furax. Autre film de biture avec Chris Lee, que j'ai vu ce soir :

Jean-Michel Gascuel - Le Chien aux yeux jaunes. [dailymotion]x56ak3&v3=1&related=1[/dailymotion] Un peu de chanson belge : Jean Vallée - . - Non, monsieur. [dailymotion]x53a03&v3=1&related=1[/dailymotion]

Absolument, car le personnage principal se fait remettre à sa place par le vieillard qu'interprète Boris Karloff * et qui lui fait remarquer combien il boit en sagouin sans apprécier la beauté du brandy. Une légende court d'ailleurs à propos de ces quelques scènes : Lucilio y aurait doublé le vieux comédien, trop fatigué. ___________ * Private joke : lorsque le protagoniste visite la maison ensorcelée, il dit à son hôtesse : "C'est assez lugubre; il ne manquerait plus que Boris Karloff apparaisse".

Film moins mauvais que ce à quoi je m'attendais. Les scènes les plus réussies sont celles où pèse une menace latente sans qu'on sache trop pourquoi (notamment, les moments où les protagonistes dégustent du brandy). Néanmoins, les scènes purement fantastiques sont ratées (excepté le final) : Le maquillage de B. Steele est grotesque. Quant à ses assistants, ils semblent sortis d'une parodie de BDSM. Reste surtout la confrontation historique entre deux monstres sacrés qui ont campé chacun, à vingt-cinq et trente ans de distance, la créature de Frankenstein, la Momie et le Dr Fu Manchu.

Cela m'arriva jadis.

Soirée nanarde : Vu deux films fantastiques mutilés par leur producteur. 1° Névrose, une adaptation pesante et kitsch de Fall of the House of Usher, par Jesus Franco (1982). (Ceci dit, le matériau tourné par l'Espagnol était déjà quelque peu… approximatif, dirais-je.) 2° La Maison de l'exorcisme, un remontage de Lisa et le Diable réalisé par Mario Bava. Le cinéaste italien a renié ce tripatouillage opportuniste (conçu dans la foulée du succès de L'Exorciste), au point de refuser que son nom figure au générique. Et maintenant, sur ARTE : Curse of the Crimson Altar (1968), avec Boris Karloff, Christopher Lee et Barbara Steele.

Je savais que tu réagirais ! Non, c'est surtout un morceau que j'ai souvent entendu en soirée. Voilà qui est plus classiquement RH : Miami Sound Machine (à tubes ringardos) : Bad Boy.

La grande classe, les gars… Rocou, regarde plutôt dans ton slip.

C'était le sens de ma parenthèse…

Je crois surtout que c'est très féminin (enfin, plutôt : "féminin" comme l'entendent les féministes) de vouloir à tout prix vivre avec quelqu'un qui partage ses idées. Les hommes s'en foutent davantage.

La version originale du Letkiss par l'Orkest Gudrun Jankis :

Billy - Au temps des surprise-parties. [dailymotion]x2gjgr&v3=1&related=1[/dailymotion] Coroner - . Cocteau Twins - . Sandy Marton - . Iggy Pop - Cry For Love. Edgar Winter Group - .

J'ai revu - après plus de vingt ans - le Judex de Franju. L'émerveillement reste intact. La plus belle scène du film :

Minou meets RH :