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Tout ce qui a été posté par Punu
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Je ne comprends pas comment on peut faire péter un ordi (mon Commodore 64 fonctionne toujours. Digression : à l'époque, un jeu pour Commodore 64 se vendait 1,25 € au supermarché du coin)
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La fille de Laurence "Matrix" Fishburne devient actrice porno.
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C'est dégueulasse par rapport aux musulmans européens, qui doivent tenir bien plus longtemps.
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Je me demande comment font les musulmans installés au-delà du cercle polaire arctique pour respecter le ramadan.
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Outre le fait qu'on peut taper à toute vitesse et qu'on peut modifier des documents Word, Excel et PPT, l'avantage de RIM c'est qu'aucun fonctionnaire bien intentionné ne peut aisément savoir ce qu'on écrit ni les sites qu'on visite. Tu remarqueras qu'Apple n'a pas de problèmes avec l'Arabie saoudite ou l'Inde, ce qui signifie que leurs gouvernements peuvent accéder au trafic de données sans le moindre problème. La coolitude a un prix.
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Un film étrange. Sa mauvaise cote sur imdb s'explique probablement par un malentendu sur sa nature : il ne s'agit pas le moins du monde d'un film d'action mais d'un film de méditation. L'acteur danois montant Mads Mikkelsen joue le rôle d'un guerrier réduit en esclavage vers l'an mil et utilisé comme gladiateur. Un jour, il s'échappe et rejoint un groupe de convertis chrétiens en route pour Jérusalem. Ils montent dans un bateau et s'enfoncent dans un brouillard sans fin. Ce film est fondamentalement raté, mais compte des passages formidables (le voyage en bateau, l'accostage à Jérusalem). Les scènes maritimes établissent un parallèle saisissant, par le sentiment d'étrangeté et de solitude qui en émane, avec la conquête spatiale. Valhalla Rising atteint presque à ces moments les sommets de 2001 ou de Solaris. Mais il manque une idée maîtresse, une ossature qui en aurait fait un grand film.
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Tout s'explique. À part ça, j'ai peut-être trouvé la pire bande-annonce de tous les temps. (ne pas rater 1'33'') Jean-Luc Godard, 1967.
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Un film de Brian De Palma que je n'ai jamais vu et que je suppose idiot mais dont la bande-annonce est plutôt réussie :
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Le plaisir de que je retire d'un bon film est incomparable à celui d'un type qui "aime" tout ce qui passe sur les écrans, pubs et bandes-annonces comprises.
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Jaloux.
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Ce jour-là, je suis entré vivant dans la légende.
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J'ai vu Salt, avec Angelina Jolie. Je suppose que le réalisateur espérait susciter une vague érection chez les spectateurs pour sauver son film, mais Jolie est devenue si affreusement maigre que même ça est raté. J'ai aussi vu "Knight and Day" avec Tom Cruise. Les 45 premières minutes sont un bon divertissement - c'est en fait la durée d'exposition du personnage joué par Cruise. Les quiproquos sont très amusants. Puis, le film ne parvient pas à se renouveler ni à maintenir l'intérêt autour de Cruise. Suivent 90 minutes interminables où tout, depuis le personnage le plus insignifiant jusqu'à la péripétie la plus secondaire, doit conspirer pour parvenir à un happy end intégral. Mon conseil est donc de sortir après 45 minutes, et d'ailleurs de faire part de cette intention à la caissière afin d'obtenir une réduction sur le prix de la place. Enfin, j'ai vu "El Secreto de sus Ojos", film argentin qui a reçu l'oscar du meilleur film étranger l'année passée. J'ai rarement vu un film aussi prévisible et mal torché (avec des deus ex machina et des clichés à la pelle, aussi bien du point de vue de la psychologie des personnages que de la narration et des rebondissements). Je suis resté dans la salle jusqu'au fameux plan-séquence dont tout le monde parle, pour constater qu'il tombait comme un cheveu dans la soupe et que les raccords étaient grands comme des maisons. Puis je m'en suis allé.
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Vous êtes faits pour la méditation.
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Il ne faut jamais rien dire à des flics, car ils sont là pour clôturer un maximum de dossiers, pas pour trouver la vérité. En outre, ils sont prêts à raconter n'importe quoi (vraiment, je l'ai déjà constaté de visu), à mentir comme des arracheurs de dents, à prêcher le faux pour savoir ce qu'ils imaginent être le vrai. Ils te demandent de jouer un jeu de leur invention dont ils ne respectent pas les règles, un jeu qui est juste là pour t'enfoncer. Que le juge d'instruction ait une mauvaise opinion de toi, tu t'en fous, car c'est ta liberté qui est dans la balance. Tu n'es pas là pour te faire bien voir de gens qui n'hésiteront pas un instant à t'envoyer en taule. Et si tu es coupable, n'avoue jamais quoi que ce soit, et surtout ne t'explique pas, car tu finiras toujours par te couper, et ils te tomberont alors dessus.
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Hystérie collective. Elles courent après ceci :
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Comme quoi il ne faut jamais dire jamais : j'ai vu hier le premier film correct de Fellini (un film où il n'essayait pas de faire du Fellini), "Il Bidone", l'histoire (et pas l'image) de trois escrocs italiens qui arnaquent des paysans en se déguisant en hommes d'Église. Amusant, de bon acteurs (américains pour les premiers rôles) et bien raconté. Ça remet les pendules à l'heure sur la moralité des voleurs mais ça ne casse des briques non plus. (En regardant la bande-annonce italienne de l'époque, on voit quel est l'argument de vente du film et, partant, à quel point la nudité et la concupiscence se sont banalisées.)
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Plus on creuse le hip-hop non-MTV des années 90, plus on est ébloui.
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Plus jeune :
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Ce que tu devrais surtout faire, c'est étudier la grammaire. "de tous horizons", "j'admets", "gâché".
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Le problème d'Aguirre, c'est que c'est filmé à peine mieux qu'un clip touristique et que le portrait d'Aguirre, sur lequel repose tout le film, est incohérent, à moins de combler et d'enrichir soi-même les vides et les clichés alignés. Et l'histoire et les autres personnages sont des fantômes, rendant l'échec encore plus patent. Dans le genre conradien, je préfère de très loin Apocalypse Now. Citizen Kane est très beau mais un peu long, parfois. De Welles, mon film préféré est Campanadas a medianoche.
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En passant devant une énième publicité pour parfum où le modèle ne ressemblait plus à un être humain mais à un idéal corrompu par Adobe Photoshop, je me suis dit que nous détestions définitivement la réalité et que l'informatique mise entre les mains de tâcherons de l'image avait permis de créer une nouvelle esthétique "réaliste" dans la grande tradition communiste.
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Bien ! C'est ce que j'allais répondre. D'autant plus que je n'ai pas dépassé les dix premières minutes de Babylon A.D.
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Non, Citizen Kane et The Man Who Would Be King. À peu près tous les films de Fellini sont à jeter (et Dieu sait si j'en ai vu beaucoup), principalement parce que le grotesque n'est pas intéressant par lui-même. Il est clair que c'était un grand directeur de la photographie, moins bon que Welles toutefois, car j'ai l'impression qu'il se concentrait sur quelques scènes et ne se préoccupait pas des liaisons entre celles-ci. Kubrick est encore à un autre niveau, lui qui combinait toutes les qualités : direction d'acteurs, photographie, narration, montage.
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Suis-je le seul à avoir vu que le titre du fil est "Flims" au lieu de "Films" ? Ne pourrait-on pas le changer ?
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Ce n'est pas de la folie, seulement de la bouffissure.