-
Compteur de contenus
4 961 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Yozz
-
Tu es déjà presque libertarien
-
Je voyais les réactionnaires comme souhaitant un retour à un état antérieur, mais sans nécessairement préciser quel état antérieur. Ici il paraît que ce soit d'office vers l'Ancien Régime qu'on se tourne. Intéressant
-
Pas de souci Ok, mais donc si je te comprends bien, est réactionnaire qui critique le dévoiement que sont les Lumières mais sans nécessairement devoir adhérer pleinement à l'Ancien Régime. Parce que si Nietzsche conchie les valeurs démocratiques, il ne s'extasie pas devant l'Ancien Régime non plus, mais prônerait plutôt un nouvel aristocratisme mieux fondé. Non? Il faut alors te mettre d'accord avec F.Mas sur Maurras Et je rêve pour de Maistre ou bien?
-
Chez Dostoievski c'est autant du romantisme qu'autre chose non? Certes, mais je n'assimile pas conservateurs et réactionnaires. Les liens conservateurs/libéraux sont évidents, et de la même manière il doit y en avoir conservateurs/réactionnaires, mais précisément je cherche à voir ce qui sépare les réactionnaires des conservateurs et en fait une école de pensée à part.
-
Entendu en ce sens précis, je vois peu de compatibilité avec le libéralisme, en tout cas le rejet de l'égalité formelle me paraît un point d'achoppement. Dans ce cas un Burke est alors exclu de la réaction j'imagine? On retrouve l'idée de mission divine de la France chez de Maistre aussi non? J'avais ça en tête et wikipedia (en anglais) me le confirme, mais n'étant pas fin connaisseur je peux me tromper. Rivarol est assez intéressant, et j'aime bien l'essai que lui a consacré Junger (mais je suis un grand lecteur de Junger, qui était tellement réactionnaire qu'il en est devenu anarque). Connais pas. Je vais jeter un oeil à l'occasion.
-
Je ne connais un peu que de Maistre et Maurras, mais si on s'en tient à eux, on a une touche de nationalisme assez puissant qu'on ne retrouve guère chez les auteurs plus littéraires cités par Free Jazz. Ou me trompé-je? En d'autres termes: si être réactionnaire c'est ne pas s'extasier devant la Révolution Française, une grosse partie des libertariens l'est. Si c'est voir la France comme une lumière devant éclairer le monde, je ne vois pas bien qui ici s'en revendiquerait, pas plus que dans les auteurs (littéraires) cités ci-avant.
-
En fait, j'avoue cerner de moins en moins ce qu'on désigne par réaction, en ce sens que j'ai l'impression qu'il n'a vraiment de sens que comme anathème chez les progressistes enragés. Je connais peu de gens qui se sont revendiqués réactionnaires. Cette revendication existe-t-elle au-delà d'une posture esthétique?
-
J'ai lancé un fil réaction et littérature en philosophie et métaphysique (ouais bon, je ne savais pas trop où ça collerait le mieux) en reprenant nos posts ici, histoire de ne puls déborder dans ce fil-ci.
-
Conversation sympa démarrée ailleurs:
-
Remarque supplémentaire, tous les dandies français sont classés réactionnaires ici, et le dandysme appartient bien plus à l'individualisme qu'à la réaction. Et comme le souligne bien JohnnieBoy, misanthropie n'équivaut pas particulièrement à réaction. Nietzsche réactionnaire ça me parait aussi étrange d'ailleurs.
-
Bonjour Stéphane, bienvenue! Il n'est jamais trop tard pour explorer le monde des idées, tout comme le voyage n'est jamais fini.
-
Il y a plusieurs niveaux. L'indiscutable: les faits, scientifiques notamment. Avant qu'il y ait accord sur la thèse descriptive selon laquelle la terre est ronde, elle l'était, indépendamment de toute convention sociale. Le point de vue libéral jusnaturaliste: il y a des faits qui sont justes ou injustes, indépendamment d'un accord sociétal dessus ou non. C'est ce qui nous permet de dire qu'il y a des lois iniques, que la minorité peut avoir raison. Plus largement, c'est la question du relativisme moral. Par exemple, qu'il y ait une convention sociale dans un pays communiste selon lequel la propriété privée est purement et simplement abolie ne change rien, pour la plupart des libéraux, au fait que l'abolition de force de la propriété privée est inique. L'analyse factuelle du positivisme: même dans un point de vue positiviste (ie, relativiste, pour lequel discuter de normes juridiques du point de vue de la légitimité n'a pas de sens), il est factuellement faux de dire que tout se passe par convention sociale, parce qu'en réalité la constitution et les lois sont fondées sur la force et non la convention sociale.
-
Ou un humain. Donc les barbecues d'enfants sont paleo, ouf! Et par ailleurs, massive lol sur "it's probably a rock"
-
Euh non. Juste non. Cent fois non.
-
Ridicule. Enormément de prénoms se retrouvent dans plein de langues avec des orthographes différentes. Ca se fait depuis la nuit des temps, pas de raison que ça change. Et Adèle, ça vient du germanique (qui ne connaît pas d'accents) Adal, qui veut dire noble. Et présent en anglais depuis belle lurette. http://www.thinkbabynames.com/meaning/0/Adele
-
On ne parle pas de droit positif ici. Sinon on n'aurait qu'une réponse positiviste à donner, in fine tout se fonde sur la constitution.
-
Hugo n'est pas Chateaubriand, c'est évident (bien que c'était son but), mais conchier la Légende des siècles me paraitrait un peu exagéré. Gide connait des tensions évidentes, mais c'est bien ça qui le place en dehors de la réaction pure. Camus réac se défend dans la bouche de Sartre, mais sinon ça reste un peu cocasse à l'époque. Que les réacs d'aujourd'hui se reconnaissent dedans est autre chose et se comprend.
-
Hugo, Gide, Camus? Delamaerd, bien entendu.
-
Nan, te fatigue pas, si je sais que c'est dans ce fil-ci c'est bon, je sais où chercher Merci!
-
Le bon sens aussi La propriété s'acquiert soit par un échange volontaire, soit par une appropriation originelle. L'appropriation originelle c'est trouver quelque chose de naturel qui n'est a personne ("homesteading"), soit créer quelque chose à partir d'autre chose en y mêlant du travail. La question est de savoir si le "trouver quelque chose de naturel" requiert aussi du travail. En général on considère qu'il en faut un minimum, au moins clôturer ou quoi. L'intérêt (au sens bancaire) qui permet de faire vivre le rentier, c'est in fine un échange volontaire (un montant x aujourd'hui contre un montant x+y demain). L'héritage, c'est aussi une transmission volontaire. Il n'y a rien de mal à tout ça. Le seul point qui pose problème, c'est l'échange (ou transmission tout court) involontaire, sous la coercition.
-
Voilà quelqu'un qui m'est éminemment sympathique
-
Popularité des éditeurs de texte sur liborg
Yozz a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Sports et loisirs
Tu n'as jamais eu de carte Nvidia ou d'imprimante canon alors. Mac, pour les cartes graphiques, je ne comprends pas trop ce que tu racontes, ils vendent de l'intégré donc d'office ils supportent les cartes qu'ils vendent (sans doute avec des pilotes tiers, je veux bien) Je n'ai jamais eu de soucis de drivers avec, y compris pour des lecteurs de carte assez sophistiqués dans le monde bancaire, mais il est possible que j'ai eu du bol. -
Inversément, leur bonne santé était peut-être aussi dûe à une activité physique plus grande (versus être derrière un ordinateur toute la journée.) Comparer pur et dur la vie d'un homme au néolithique et au XXIème siècle me paraît toujours périlleux. Ah, c'est donc différent de ce qu'indique wikipedia (grains, legumes, dairy products, potatoes, refined salt, refined sugar, and processed oils.[1][3][4]) ) bon à savoir C'est dans ce fil-ci ou ailleurs? Je rappelle que ma demande initiale est surtout qu'on me pointe vers où on parle de tout ça
-
Popularité des éditeurs de texte sur liborg
Yozz a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Sports et loisirs
Mac OS, c'est quasi-tout centralisé maintenant. Linux, (Debian), c'était génial, sauf quand je devais mettre à jour mes drivers de carte graphique, ou à chaque nouvelle version de distro où X était cassé et j'étais bon pour le réparer à la mimine alors que je ne suis pas doué. La différence entre les deux est qu'il m'est arrivé d'avoir ma machine en rade pendant une après-midi sous Linux. Pas sous Mac OS X. Ni sous Windows 7, mais oui les reboots sont chiants. Tout comme relancer X quand il était mis à jour hein. -
C'est bien possible (en fait certain pour le sucre, j'ai un peu plus de doutes sur les féculents mais je te crois sur parole). Mais ça me donne l'impression de jeter le bébé avec l'eau du bain. Quand j'ai recommencé à manger normalement, avec beaucoup de pâtes (2 à 3 fois par semaine, parfois plus), je me suis juste dit "bon allez, tu arrêtes tes conneries maintenant, une assiette et puis basta". Chiant au début, mais après mon corps s'est habitué. Maintenant sauf à vouloir vraiment me bâfrer, je ne mange pas plus et n'en ai plus envie. Et je profite encore des pâtes. En somme, si la seule raison c'est maîtriser les quantités, ça me paraît un peu radical.