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Libertariens vs. libéraux


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Posté
Ouais c'est cool la liberté, on peut même se suicider sans que son cadavre croupisse en taule !  :icon_up:

Vous saviez que dans le régime soviétique, c'est la famille qui était inquiétée en cas de suicide ?

Alors vous ne croyez pas si bien dire.

Posté
Vous saviez que dans le régime soviétique, c'est la famille qui était inquiétée en cas de suicide ?

Alors vous ne croyez pas si bien dire.

je ne le savais pas mais je dis "woooooooow! …. grave!" :doigt::icon_up:

Invité jabial
Posté
Faré, la plaie sociale qui s'invite aux soirées privées où il n'est pas le bienvenu, et refuse en outre de respecter la volonté du propriétaire quand celui-ci lui fait remarquer qu'il n'est pas le bienvenu, ose décerner des brevets de cohérence ? Si les gens chez qui il est venu jouer le pique-assiette avaient appliqué à ce rustre les solutions qu'il prône sur son blog, il sucerait des pissenlits par la racine à l'heure qu'il est.

Je signale à tout hasard que j'ai eu une description exacte des faits par un observateur neutre, et que ce qu'il m'a rapporté, c'est que Faré a demandé s'il pouvait rester, ce à quoi on lui a répondu par l'affirmative. Faré lui-même m'a par ailleurs rapporté qu'il n'a compris qu'il n'était pas le bienvenu qu'une fois sur place ; il croyait qu'on l'avait tout simplement oublié.

Donc, sauf si l'observateur neutre est un menteur (faites gaffe, il est sur ce forum :icon_up: ), Faré ne se serait pas fait tirer dessus puisque le propriétaire ne lui a jamais demandé de quitter les lieux.

Invité jabial
Posté
Si une ville est privée, elle est privée, point.

Elle appartient à ses habitants.

Et ils ont le droit de refuser qui ils veulent.

Et ça n'a rien d'antilibéral.

Non ; si. Une ville est une ville ; "ville" est une notion publique/politique. Une ville n'est pas un club ; ce n'est pas parce qu'elle serait née selon un processus rothbardien qu'elle devient "privée" : la théorie libertarienne n'a rien à voir avec la distinction public-privé, que Rothbard abandonne. Or Constantin a eu la bonne intuition, c'est cette dernière qui importe ici.

Cette dilution à l'infini de la sphère privée que vous proposez est très dangereuse et conduit effectivement à des paradoxes. "Elle appartient à ses habitants" = socialisme (béat, j'ajouterais).

Il n'y a rien de public dans une ville. Le mot "public" est une escroquerie intellectuelle en soi.

Si une structure privée est née selon un contrat, la seule chose antilibérale qui puisse arriver est :

a) que les Droits des personnes soient violés

:icon_up: que leurs biens soient spoliés

c) que ce contrat ne soit pas respecté

Si le contrat spécifie que la ville est une expérience sociale de hippies, qui refuse les non-hippies, et bien personne n'a le droit d'exiger de venir s'y installer sous prétexte que tout le monde il est pareil. Tout le monde est égal en Droits, point barre. Je suis pas nudiste, et j'exige pas le droit de me balader habillé dans les villess nudistes, et c'est normal.

Invité jabial
Posté
Ma réticence majeure est celle-ci:

- les libéraux tendent, dans leur ensemble, à espérer une disparition de la politique pour certains (anarcaps) une réduction drastique pour d'autres (minarchistes) et d'une façon générale une limitation de cette pratique humaine detestable.

- dire "toi tu es libéral, mais toi là-bas tu ne l'es pas", c'est faire de la politique, c'est créer des camps politiques.

Ca me paraît pour le moins deux choses contradictoires, à moins que je ne me trompe.

Tant que la politique existe, on est obligé d'en faire pour en sortir.

De même, tant que des criminels existeront et inicieront la violence, on sera obligé de recourrir à la violence pour les empêcher de nuire.

Invité jabial
Posté
Non, ça c'est la licence. (Et puis, si tu as envie de tuer, tu es libre de le faire, d'après ta définition)

Certes pas : tu n'as pas le corps d'autrui.

Posté
Je signale à tout hasard que j'ai eu une description exacte des faits par un observateur neutre, et que ce qu'il m'a rapporté, c'est que Faré a demandé s'il pouvait rester, ce à quoi on lui a répondu par l'affirmative. Faré lui-même m'a par ailleurs rapporté qu'il n'a compris qu'il n'était pas le bienvenu qu'une fois sur place ; il croyait qu'on l'avait tout simplement oublié.

Donc, sauf si l'observateur neutre est un menteur (faites gaffe, il est sur ce forum :icon_up: ), Faré ne se serait pas fait tirer dessus puisque le propriétaire ne lui a jamais demandé de quitter les lieux.

"Il croyait qu'on l'avait tout simplement oublié"… C'est révélateur de la modestie du bonhomme, je trouve ! :doigt:

Posté
Je signale à tout hasard que j'ai eu une description exacte des faits par un observateur neutre, et que ce qu'il m'a rapporté, c'est que Faré a demandé s'il pouvait rester, ce à quoi on lui a répondu par l'affirmative. Faré lui-même m'a par ailleurs rapporté qu'il n'a compris qu'il n'était pas le bienvenu qu'une fois sur place ; il croyait qu'on l'avait tout simplement oublié.

Donc, sauf si l'observateur neutre est un menteur (faites gaffe, il est sur ce forum :icon_up: ), Faré ne se serait pas fait tirer dessus puisque le propriétaire ne lui a jamais demandé de quitter les lieux.

Et moi, j'étais à côté de l'organisatrice au moment ou Faré a ramené sa fraise et s'est fait vertement accueillir. Je me fiche donc de ce que dit votre obsevateur neutre, vu que j'ai assisté à la scène. A moins bien sûr que vous ne souhaitiez me traiter de menteur ?

J'ajoute, puisqu'on y est, que j'ai déjà eu l'occasion à d'autres moments de constater que l'inspecteur gadget du libéralisme ne brille pas en société par ses bonnes manières. Je ne raconterai pas, par charité chrétienne, ce à quoi j'ai déjà assisté un jour où j'étais assis à la même table que ce rustre, mais j'ai quelques "témoins" qui pourront confirmer que je sais de quoi je parle.

Invité jabial
Posté
Et moi, j'étais à côté de l'organisatrice au moment ou Faré a ramené sa fraise et s'est fait vertement accueillir. Je me fiche donc de ce que dit votre obsevateur neutre, vu que j'ai assisté à la scène. A moins bien sûr que vous ne souhaitiez me traiter de menteur ?

Avant de le faire ou non, j'ai besoin de connaître factuellement votre version des faits. Pour l'instant, j'ai surtout votre jugement sur ceux-ci.

Posté
J'ajoute, puisqu'on y est, que j'ai déjà eu l'occasion à d'autres moments de constater que l'inspecteur gadget du libéralisme ne brille pas en société par ses bonnes manières. Je ne raconterai pas, par charité chrétienne, ce à quoi j'ai déjà assisté un jour où j'étais assis à la même table que ce rustre, mais j'ai quelques "témoins" qui pourront confirmer que je sais de quoi je parle.

:icon_up: vous en avez pas marre de cette vieille histoire ? Oui, Faré est un nerd, ca n'en fait pas un mauvais garçon….

Posté
Avant de le faire ou non, j'ai besoin de connaître factuellement votre version des faits. Pour l'instant, j'ai surtout votre jugement sur ceux-ci.

Et bien ce brave garçon est arrivé au Bal bien après le cocktail de bienvenue, lorsque les convives avaient déjà pris place et que nous en étions aux discours. A ce moment, les convives étant presque tous arrivés, les organisateurs ne contrôlaient plus à l'entrée si les personnes qui entraient étaient bien sur les listes des invités. L'organisatrice, qui était à côté de moi, a aperçu Faré au bras d'une demoiselle. Elle est devenue rouge de colère et s'est adressée à Faré : "Faré, que fais-tu ici ? Tu ne fais pas partie des invités". Ce à quoi Faré a rétorqué "Ben quoi ? Y a encore de la place, non ?". La demoiselle qui accompagnait Faré a pris la tête de quelqu'un qui aurait voulu se trouver à cent mille kilomètres de l'endroit.

Posté
:icon_up: vous en avez pas marre de cette vieille histoire ? Oui, Faré est un nerd, ca n'en fait pas un mauvais garçon….

C'était pour souligner l'absence de manière du personnage.

Ceci dit, si j'ai évoqué l'histoire du Bal, c'est pour faire remarquer le manque de cohérence entre les principes de Faré et ses actes.

Posté
Notamment les enfants avec les sucessions, je parie ?

Quelle succession ? :icon_up: (Tout appartenait à l'Etat)

Non, mais à certaines périodes quand le travail était "militarisé", les absences des ouvriers étaient sévèrement réprimées. L'ouvrier et la famille étaient déportés. Même en cas de suicide. Le gouvernement considérait ces absences comme des désertions. Et bien sur, si un ouvrier se suicidait, cela ne pouvait pas être de la faute de l'Etat et de son régime imbécile. C'était donc la faute de la famille qui n'avait pas "aimé" suffisament le "suicidé".

Voyez que Chirac a encore beaucoup de marge dans l'absurdité.

Posté
"Il croyait qu'on l'avait tout simplement oublié"… C'est révélateur de la modestie du bonhomme, je trouve !  :doigt:

de Villepin m'a "oublié" également dans la composition du nouveau gouvernement. Ce ne serait pas grave si Raffarin et Jospin n'avaient, auparavant, commis la même erreur. :icon_up:

Posté
de Villepin m'a "oublié" également dans la composition du nouveau gouvernement. Ce ne serait pas grave si Raffarin et Jospin n'avaient, auparavant, commis la même erreur.  :icon_up:

Au vu du sondage, c'est moi qui aurait dû être zeprimeminister, je te jure que si ça avait été le cas, tu y aurais eu une bonne place! :doigt:

Posté
Non, mais à certaines périodes quand le travail était "militarisé", les absences des ouvriers étaient sévèrement réprimées. L'ouvrier et la famille étaient déportés. Même en cas de suicide. Le gouvernement considérait ces absences comme des désertions. Et bien sur, si un ouvrier se suicidait, cela ne pouvait pas être de la faute de l'Etat et de son régime imbécile. C'était donc la faute de la famille qui n'avait pas "aimé" suffisament le "suicidé".

Voyez que Chirac a encore beaucoup de marge dans l'absurdité.

Ah…

En France aussi il fut un temps où le suicide était une infraction pénale. Alors on empêchait les enfants de toucher tout le patrimoine qu'avait édifié le suicidé.

Il y avait aussi la mort civile, abolie en 1884 si ma mémoire est bonne, mais ça c'est encore autre chose… On considérait les détenus et les ermites comme morts.

  • 4 years later...
Posté
Hoppe est peut-être libertarien, mais pas libéral. Pour lui, la société qu'il appelle de ses voeux exclurerait quiconque n'est pas un WASP. Il confond droit de propriété et souveraineté, de sorte qu'un proprio aurait quasiment tout droit sur les choix de ses locataires. Surtout, il semble partir du principe que toute assemblée libertarienne de copropriétaires devrait être composée de blancs, chrétiens, abstinents (ou, en tout cas, peu sujets à taquiner la bouteille ou le joint), hétérosexuels, etc.

En fait, il veut incorporer sa morale réac' aux principes libertariens. Il ne s'en cache d'ailleurs pas dans Democracy: The God That Failed : pour lui, le libertarianisme ne se développera qu'à la condition de se confondre totalement avec les visées conservatrices.

Entre société fermée et société ouverte, Hoppe opte pour la première branche de l'alternative.

Mais selon le principe de Hoppe cela peut aussi bien être des indiens qui ne veulent pas d'un wasp. Pour la suite peut de choses sont si orientés, le plus fort est tout de même la fin, il est conservateur, donc fermé. :icon_up: Les progressistes qui veulent imposer leurs dits progrets seraient donc liberals. :doigt:

Invité jabial
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C'est bien de lire le passé du forum. C'est bien. Indubitablement, bien.

Par contre, à moins d'avoir quelque chose de très, très, très intelligent à dire, répondre non pas à un mais à plusieurs messages vieux de plusieurs années, c'est mal.

Posté

Surtout quand le contributeur n'est plus ici.

Mais selon le principe de Hoppe cela peut aussi bien être des indiens qui ne veulent pas d'un wasp. Pour la suite peut de choses sont si orientés, le plus fort est tout de même la fin, il est conservateur, donc fermé. :icon_up:Les progressistes qui veulent imposer leurs dits progrets seraient donc liberals. :doigt:

Oui.

Quant au caractère de cette société fermée voulue par Hoppe, elle est décrite dans ce que vous citez. Je ne vois pas où est le soucis.

Posté
C'est bien de lire le passé du forum. C'est bien. Indubitablement, bien.

Par contre, à moins d'avoir quelque chose de très, très, très intelligent à dire, répondre non pas à un mais à plusieurs messages vieux de plusieurs années, c'est mal.

Pardon, mais par souci de ne pas encombrer le forum de trop de débats identiques, je préfére continuer d'anciens débats.

Posté
Oui.

Quant au caractère de cette société fermée voulue par Hoppe, elle est décrite dans ce que vous citez. Je ne vois pas où est le soucis.

Le progressisme c'est un concept qui peut paraitre trés beau. Mais au fond quesque que le progresisme? Une idéologie du progrès.

Et c'est justement quesque le progrès? il y à peu de notions aussi subjectives. Pour Lenine le progrès c'est la lutte des classe, pour Hitler la victoire des aryens et la mort des juifs, pour Pol-pot l'égalité absolue et pour les jacobins c'est encore autre chose.

Appeler son idéologie le progressisme c'est s'arroger le monopole du progrès et imposer sa conception du bien et du mal, pire c'est ilusioner les gens en leurs fesant penser que tout ce qui est anciens est mauvais et ce qui s'y oppose est bon, c'est avec cette idéologie entre autre, que Lenine, Musolinie ou Hitler sont monté au pouvoir.

Maintenant, séssont la langue de bois, quesque le progresisme concrètement aujourdhuit, c'est bien simple, tout ce qui est européen, riche, conservateur, courageux, familiale, traditionelle, remigieux, moral ou simplement rural est mauvais, tout ce qui est nouveaux et minoritaire à réson. S'en suit des campagne de spoliations et d'expropriations, d'impots inhumains ex… pour les aventagés. Que vous le vouliez ou non le progressisme est naissésairement étatique.

Ensuite pour ce qui est de la socièté proposé par Hoppe, s'opposer à ceux que l'ont puisse refuser une persone chez nous, c'est rendre imposible toute libertés, c'est l'inverse du progès, je vous ferez remarquer qu'il est tout aussi envisasable dans le principe de Hoppe de faire un térritoire ouvert à tous, cela ne corespond donc pas plus à une société fermé qu'ouverte, mais simplement à une société libre.

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Le progressisme c'est un concept qui peut paraitre trés beau. Mais au fond quesque que le progresisme? Une idéologie du progrès.

Et c'est justement quesque le progrès? il y à peu de notions aussi subjectives. Pour Lenine le progrès c'est la lutte des classe, pour Hitler la victoire des aryens et la mort des juifs, pour Pol-pot l'égalité absolue et pour les jacobins c'est encore autre chose.

Appeler son idéologie le progressisme c'est s'arroger le monopole du progrès et imposer sa conception du bien et du mal, pire c'est ilusioner les gens en leurs fesant penser que tout ce qui est anciens est mauvais et ce qui s'y oppose est bon, c'est avec cette idéologie entre autre, que Lenine, Musolinie ou Hitler sont monté au pouvoir.

Maintenant, séssont la langue de bois, quesque le progresisme concrètement aujourdhuit, c'est bien simple, tout ce qui est européen, riche, conservateur, courageux, familiale, traditionelle, remigieux, moral ou simplement rural est mauvais, tout ce qui est nouveaux et minoritaire à réson. S'en suit des campagne de spoliations et d'expropriations, d'impots inhumains ex… pour les aventagés. Que vous le vouliez ou non le progressisme est naissésairement étatique.

Ensuite pour ce qui est de la socièté proposé par Hoppe, s'opposer à ceux que l'ont puisse refuser une persone chez nous, c'est rendre imposible toute libertés, c'est l'inverse du progès, je vous ferez remarquer qu'il est tout aussi envisasable dans le principe de Hoppe de faire un térritoire ouvert à tous, cela ne corespond donc pas plus à une société fermé qu'ouverte, mais simplement à une société libre.

Mais on ne dit pas le contraire :icon_up:

Posté
Le progressisme c'est un concept qui peut paraitre trés beau. Mais au fond quesque que le progresisme? Une idéologie du progrès.

Et c'est justement quesque le progrès? il y à peu de notions aussi subjectives. Pour Lenine le progrès c'est la lutte des classe, pour Hitler la victoire des aryens et la mort des juifs, pour Pol-pot l'égalité absolue et pour les jacobins c'est encore autre chose.

Un économiste dirait que le progrès, c'est la substitution du capital au travail. Un philosophe aurait répondu que le progrès est l'extension de l'étendue de ce qu'on peut réaliser sans en avoir conscience / sans savoir comment ça marche. Un scientifique dirait que le progrès, c'est le rapprochement avec la vérité, la réalité et la simplicité. Difficile à synthétiser, mais on sent bien qu'il y a un dénominateur commun là-dessous.

Que vous le vouliez ou non le progressisme est naissésairement étatique.

M'en fous, je suis mélioriste. Je ne considère pas que l'Histoire avance irrémédiablement vers le progrès, mais que le "mieux" est éminemment souhaitable.

Posté
Un économiste dirait que le progrès, c'est la substitution du capital au travail. Un philosophe aurait répondu que le progrès est l'extension de l'étendue de ce qu'on peut réaliser sans en avoir conscience / sans savoir comment ça marche. Un scientifique dirait que le progrès, c'est le rapprochement avec la vérité, la réalité et la simplicité. Difficile à synthétiser, mais on sent bien qu'il y a un dénominateur commun là-dessous.

M'en fous, je suis mélioriste. Je ne considère pas que l'Histoire avance irrémédiablement vers le progrès, mais que le "mieux" est éminemment souhaitable.

Qu'êtes vous en train de dire, que le progrès est bien. Qu'il est un bute. Je ne vois pas qui peut s'opposer à ça. Mais là où il y a un problème, c'est que l'on le progressisme ce n'est pas le fait d'être pour le progrès, mais c'est en résumer l'idéologie égalitariste qui s'arroge le droit de s'appeler ainsi, si l'idéologie traditionnelle s'appelait le raisonnable, cela voudrait dire que les autre sont contre la raison, le bute de cette appellation est de discréditer les gens qui ne pense pas comme eux, d'où l'instance dans les discours de la révolution française, soviétique et allemande du caractère inévitable de la propagation du nouvelle esprit révolutionnaire, en dehors du sectarisme que dégage ces agissements, transposé en politique cela mène à une politique totalement liberticide.

Posté

Pour commencer je ne suis pas progressiste, même s'il peut m'en rester des travers.

Enfin je n'ai jamais fait que vous faire remarquer que vous avez mal compris la remarque de RH (qui n'est plus sur ce forum) concernant sa critique de Hoppe.

Ah et liberals dans le sens anglais, c'est bien la gauche progressiste. Puis peut-être bien en dehors du cas anglo-saxon si ça se trouve mais c'est un vieux débat.

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