Freeman Posté 13 juin 2005 Signaler Posté 13 juin 2005 En lisant Capital à la page 88, vous trouverez un article expliquant que les éremistes ont fait le choix de le rester et de ne pas chercher du boulot. A quand la suppression du RMI ?
ibinico Posté 13 juin 2005 Signaler Posté 13 juin 2005 Tu ne précises pas tout, la, tu les fais passer pour des gens qui n'ont réellement envie de rien faire. Or le problème souligner est bien qu'il existe un paradoxe : travailler est devenu moins intéressant que de ne rien faire, car les aides rapportent plus.
Calembredaine Posté 14 juin 2005 Signaler Posté 14 juin 2005 Tu ne précises pas tout, la, tu les fais passer pour des gens qui n'ont réellement envie de rien faire. Or le problème souligner est bien qu'il existe un paradoxe : travailler est devenu moins intéressant que de ne rien faire, car les aides rapportent plus. <{POST_SNAPBACK}> Je pense néanmoins, qu'il vaudrait mieux libéraliser le marché du travail afin de relancer la création d'emplois puis supprimer ces aides et non l'inverse. Enfin bon, je ne suis pas très sûr de moi sur ce coup
arnaud Posté 14 juin 2005 Signaler Posté 14 juin 2005 vous ne dites pas non plus que le RMI n'a été que récemment, pour aider des gens à vivre un minimum décemment. Le RMI incite peut être certaines personnes à ne pas travailler, mais elles sont très minoritaires.
ArnaudB Posté 14 juin 2005 Signaler Posté 14 juin 2005 vous ne dites pas non plus que le RMI n'a été que récemment, pour aider des gens à vivre un minimum décemment.Le RMI incite peut être certaines personnes à ne pas travailler, mais elles sont très minoritaires. <{POST_SNAPBACK}> Comment sais tu quelles sont minoritaires? Partage tes sources stp car lorsque je regarde autour de moi je n'ai pas l'impression qu'elles sont minoritaires.
arnaud Posté 14 juin 2005 Signaler Posté 14 juin 2005 http://www.univ-evry.fr/PagesHtml/laborato…ts/wp/00-04.pdf
Etienne Posté 14 juin 2005 Signaler Posté 14 juin 2005 Le RMI incite peut être certaines personnes à ne pas travailler, mais elles sont très minoritaires. <{POST_SNAPBACK}> En fait, le RMI est problèmatique dans sa systèmatisation inhérente à toute intervention de l'Etat (ce qui ne serait pas le cas pour une association privée). Le fait est, mais Chitah a les chiffres exacts, qu'un tiers des bénéficaires du RMI, le sont depuis son instauration par Rocard, c'est à dire il y a 15ans. Et qu'il est assez fréquent de conjuger RMI et travail au noir (ou allocations chomage et travail au noir). C'est bien sur nécessaire pour ceux qui sont dans la misère, mais le problème vient plutôt du fait que cela soit l'Etat qui prenne sous sa coupe la "solidarité", avec tous les défauts inhérents à ce système.
ArnaudB Posté 14 juin 2005 Signaler Posté 14 juin 2005 http://www.univ-evry.fr/PagesHtml/laborato…ts/wp/00-04.pdf <{POST_SNAPBACK}> Merci pour cette source. Cependant, je continue a ne pas trouver les RMiste qui souhaite rester RMiste soient minoritaire. Je pense que les agents ont du mal a voir leur situation "dynamique" aussi bien que cette etude le fait. Surtout avec le facteur travail au noir. De plus ayant recrute en France, mes observations abondent dans ce sens.
timburton Posté 14 juin 2005 Signaler Posté 14 juin 2005 vous ne dites pas non plus que le RMI n'a été que récemment, pour aider des gens à vivre un minimum décemment.Le RMI incite peut être certaines personnes à ne pas travailler, mais elles sont très minoritaires. <{POST_SNAPBACK}> La seule personne que je connais qui ait touché le RMI est une de mes ex avant que je la connaisse. Elle reconnaissait elle-même que percevoir cette allocation ne la poussait pas à travailler. Ergo 100% des personnes bénéficiaires du RMI que j'ai connues pensent que le RMi est une incitation à ne pas travailler.
Freeman Posté 14 juin 2005 Auteur Signaler Posté 14 juin 2005 Rocou a raison : il faut supprimer le Code du travail, comme ça tout le monde bossera !
walter-rebuttand Posté 15 juin 2005 Signaler Posté 15 juin 2005 Il y a quelques années est paru un article génial dans feu « l’esprit libre ». « Journal d’un RMIste heureux » reprenait le témoignage d’un planqué qui vivait très bien à l’étranger en se réfugiant derrière le délicieux paravent « d’immunité fiscale et sociale » fourni par le RMI. Edifiant !
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