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Gauche Archaïque Et Anti-libérale


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Posté

http://www.liberation.fr/page.php?Article=312739

"La vague libérale noie le dialogue social".

Au moins 3 erreurs (pour ne pas dire idioties) :

- confondre les libéraux avec les sociaux-étatistes qui sont au pouvoir (profonde incompréhension de la politique) ;

- opposer libéral et social (profonde incompréhension de l'économie)

- traiter ceux qu'on n'aime pas d'ultralibéraux, ça c'est de la simple mauvaise foi ("les ultralibéraux de l'UMP", :icon_up: )

Posté
J'en vois une autre: parler de "vague" concernant les libéraux  :icon_up:

Ce n'est qu'une question de vocabulaire. Je crains que le mot libéral ne soit tellement sali qu'il ne vaille mieux lui en préférer un autre (libertarien, par exemple)

Posté
Ce n'est qu'une question de vocabulaire. Je crains que le mot libéral ne soit tellement sali qu'il ne vaille mieux lui en préférer un autre (libertarien, par exemple)

Oui, c'est ce que je déplorais dans un autre fil où je me définissais un peu à contre coeur, Rothbardien, faute de me reconnaître dans les termes "libéraux" et "libertariens" complètement dévoyés

Posté

"les mots que vous employez n'étant plus " les mots" mais une sorte de conduit à travers lequel les analphabètes se font bonne conscience"

Léo férré

Ah jvoulais le placer celui la :icon_up:

Posté
Oui, c'est ce que je déplorais dans un autre fil où je me définissais un peu à contre coeur, Rothbardien, faute de me reconnaître dans les termes "libéraux" et "libertariens" complètement dévoyés

Sauf si je me trompe, je n'ai pas l'impression que le terme libertarien ait été tant déformé par les gauchistes … Encore faut-il reconnaître la définition du terme pour soi-même. La définition qu'en propose Martin Masse sur le site du Québecois libre me convient assez bien.

Qu'est ce que le libertarianisme?

Posté

En France, on utilise un vocabulaire particulier. Par le terme "libéral", il faut comprendre "non-stalinien". Ce qui m'interpelle est qu'il y ait encore des gens assez cons dans ce pays pour parler de "modèle français" et oser donner des leçons aux autres pays occidentaux. Notre "modèle", c'est le modèle de ce qu'il ne faut pas faire ; je n'en connais pas beaucoup (notamment du côté des PECO) voulant récupérer un "modèle" qui se résume à 10% de chômeurs, plus d'un million d'RMIstes, une dette explosive et des finances publiques à la dérive.

Posté
tout va bien :icon_up:

J'ai corrigé l'article, cette partie a dû être écrite par le même charlot qui écrivait dans wikipedia :

Le Ku Klux Klan est un mouvement libertarien qui milite pour l'application systématique de la peine de mort contre les communistes.
Posté
En France, on utilise un vocabulaire particulier. Par le terme "libéral", il faut comprendre "non-stalinien". Ce qui m'interpelle est qu'il y ait encore des gens assez cons dans ce pays pour parler de "modèle français" et oser donner des leçons aux autres pays occidentaux. Notre "modèle", c'est le modèle de ce qu'il ne faut pas faire ; je n'en connais pas beaucoup (notamment du côté des PECO) voulant récupérer un "modèle" qui se résume à 10% de chômeurs, plus d'un million d'RMIstes, une dette explosive et des finances publiques à la dérive.

tout à fait d'accord sans compter le nombre de fonctionnaire et dire que à en croire les communistes et les socialiste on manque de fonctionnaire dans ce pays.Je crois que si ils doivent choisir entre le "modèle anglais" et notre modèle auxquelles les "beaufs" tiennent tant je pense qu'il ni a pas la moindre hésitation à avoir

Posté
Je crois que si ils doivent choisir entre le "modèle anglais" et notre modèle auxquelles les "beaufs" tiennent tant je pense qu'il ni a pas la moindre hésitation à avoir

Tiens, en parlant de ça, un article du Guardian (journal anglais le plus à gauche, dans la tradition interventionniste), paru via Courrier International.

Europe / À la recherche du meilleur modèle social 

ROYAUME-UNI - Les Français feraient bien de suivre l’exemple britannique

Agacé par notre mépris vis-à-vis du “modèle anglo-saxon”, le journal de centre gauche The Guardian a entrepris une comparaison chiffrée entre les deux voisins. Le résultat est sans appel.

Depuis plusieurs années déjà, les Français n’ont que mépris pour le modèle britannique, dit “anglo-saxon” : fonctionnement libéral, salariés jetables et prétendus “Mcjobs” – autrement dit, faible niveau de vie et heures de travail à rallonge. C’est donc avec beaucoup de précautions que le Premier ministre Dominique de Villepin a annoncé les réformes du marché du travail grâce auxquelles il espère – à tort – réduire la masse des chômeurs français, tout en soulignant qu’il n’avait aucune intention d’abandonner le cher “modèle social” gaulois.

Et pourtant… Le chômage atteint en France 10 %, soit deux fois plus qu’au Royaume-Uni, et un quart des jeunes Français sont sans emploi, contre un sur dix au Royaume-Uni. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que les premiers soient si nombreux à vouloir venir travailler au Royaume-Uni. Car, de ce côté-ci de la Manche, le taux d’emploi – c’est-à-dire la part des actifs occupés dans la population en âge de travailler – atteint le chiffre record de 72 %, contre un malheureux 63 % en France. Depuis dix ans, dans l’Hexagone, le revenu moyen progresse de 2 % à 2,5 % par an : un rythme identique à celui de l’inflation. En clair, les Français ne s’enrichissent plus. Le Royaume-Uni, lui, enregistre depuis des années une hausse des revenus de 4 % à 4,5 % par an, soit une progression réelle de plus de 20 % en moins de dix ans. Ce qui traduit une augmentation significative du niveau de vie des Britanniques.

Le Royaume-Uni n’est certes pas le meilleur des mondes possibles, mais la croissance économique soutenue y permet au moins de dégager des ressources pour le financement des services publics. En France, le système de santé qu’encensent tous les vacanciers britanniques est aujourd’hui sur la paille. Les Britanniques ne sont pas non plus astreints à d’interminables journées de travail payées une bouchée de pain dans des usines à la Dickens. Le Royaume-Uni a un salaire minimum, d’un montant quasiment identique à celui du SMIC français (respectivement 7,32 euros et 7,61 euros). Mais les Français sont beaucoup plus nombreux que leurs voisins à travailler pour ce minimum garanti.

Venons-en aux heures de travail. Si nous avons tous entendu parler des trente-cinq heures françaises, les Français s’imaginent souvent que nous travaillons tous plus de quarante-huit heures par semaine. C’est vrai pour près de 20 % des actifs britanniques, mais la semaine de travail moyenne est, au Royaume-Uni, de trente-sept heures, à peine plus qu’en France. Idem pour le fantasme des “Mcjobs”, selon lequel les Britanniques travailleraient majoritairement à des postes peu qualifiés dans le secteur des services, et non à des emplois industriels “décents” : la part du secteur industriel dans l’économie française est à peine supérieure à celle qu’il occupe au Royaume-Uni.

C’est le marché du travail qui fait toute la différence

Quant à l’enseignement et au niveau de qualification, nul doute que les résultats affichés par le Royaume-Uni ne sont pas brillants. Mais la France n’est pas non plus un modèle en la matière. “Les niveaux d’éducation sont sensiblement identiques chez les deux voisins”, assure Raymond Torrès, spécialiste du marché du travail à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

En réalité, les deux pays ont plus de points communs que de différences. Leurs économies et leurs populations sont comparables. Si la France est presque deux fois plus vaste que le Royaume-Uni – d’où ces grands espaces si prisés par les vacanciers britanniques –, la proportion de la population active travaillant dans le secteur agricole est aussi faible (moins de 5 %) dans l’Hexagone que chez son voisin. De plus, les deux pays enregistrent des taux de croissance similaires : 17 % depuis 1998 au Royaume-Uni contre 13 % en France, même si la croissance marque en France un net ralentissement depuis deux ans.

C’est donc bien le marché du travail qui fait toute la différence. La France a là son talon d’Achille, un véritable frein dans une économie qui pourrait être extrêmement dynamique. Face à une équation dans laquelle l’embauche coûte plus qu’elle ne rapporte, en particulier pour les postes peu qualifiés, les entreprises françaises ont préféré recourir aux machines ; d’où une productivité (production par tête) nettement supérieure à celle du Royaume-Uni. Prenons l’exemple de Rod Mitchell, un Anglais courtier en hypothèques dans le sud de la France. Il souhaite développer ses activités, mais, à l’en croire, il est à la fois dangereux et coûteux d’embaucher des Français. “Un assistant à temps partiel payé 1 400 euros brut par mois me coûte en fait 2 400 euros avec les charges sociales.” Et, si la personne recrutée s’avère inadaptée pour le poste, la licencier se révèle aussi compliqué et coûteux. “Donc je ne licencie pas.” Et il n’embauche pas non plus. Il existe dans l’Hexagone une kyrielle de politiques du marché du travail. Des politiques qui, de plus, sont extrêmement coûteuses. Ainsi la France dépense sur ce poste cinq fois plus que le Royaume-Uni, pour un taux de chômage seulement double. Les politiques en question sont de fait mal orientées et ne parviennent pas à remettre les gens au travail, ce qui est pourtant leur but. Le Royaume-Uni, lui, a changé l’orientation de sa politique de l’emploi à la fin des années 1980, avec un succès incontestable.

Ashley Seager

The Guardian

La baronne Thatcher doit être, retrospectivement, vu ce que ce journal disait d'elle, aux anges en lisant un tel article.

Posté
Le Royaume-Uni, lui, a changé l’orientation de sa politique de l’emploi à la fin des années 1980, avec un succès incontestable.

A ce sujet, quelqu'un a-t-il entendu parler de la série de rapports sur le chômage en UK de l'université de Sheffield, par les chercheurs Beatty et Fothergill ? Ils révèlent que de nombreux chômeurs britanniques (qui se chiffrent en millions) auraient été rayés des statistiques officielles par un changement de statut, notamment ceux qui transforment des demandeurs d'emploi en "invalides du travail" (source : Université de Sheffield)

Même si la croissance économique est incontestablement présente en UK, on peut soupçonner Blair de vouloir donner une image de son pays plus brillante qu'elle ne l'est en réalité… On peut se poser la question : un modèle national, qu'il soit anglais, français ou allemand, peut-il vraiment constituer un modèle ? Le phénomène du chômage ne dépend-il pas d'une conjoncture qui échappe, dans sa plus grande partie, à toute intervention politique (même s'il est exact que certaines politiques favorisent l'emploi, l'incidence de ces dernières, et ce quelle que soit leur "orientation", resteraient faibles).

Excusez-moi, hein, je suis nouveau et peut-être un peu naïf, je n'ai pas eu le temps de tout éplucher… :icon_up:

Posté
A ce sujet, quelqu'un a-t-il entendu parler de la série de rapports sur le chômage en UK de l'université de Sheffield, par les chercheurs Beatty et Fothergill ? Ils révèlent que de nombreux chômeurs britanniques (qui se chiffrent en millions) auraient été rayés des statistiques officielles par un changement de statut, notamment ceux qui transforment des demandeurs d'emploi en "invalides du travail" (source : Université de Sheffield)

C'est peut être vrai, l'argument "les chiffres du chommages UK/US sont truqués" revient très souvent. Le problème c'est que les chiffres français sont tout aussi pipés : Les rmistes entre autre, ne sont pas comptés comme chommeurs, ainsi qu'un grand nombre d'autre catégorie, si bien qu'après réajustement, les chiffres français sont loin d'être à la heuteur des chiffres UK/US également réajustés, en fait la situation réel est probablement bien pire qu'il n'y parait (on parle de 20% de chommeurs pour la France et la Belgique…)

Posté

Attendez les gars, vous mélangez tout : la France est un pays ultralibéral, à côté Reagan et Thatcher sont hyper-interventionnistes (si si, c'est l'économiste [ah ah] Fitoussi qui le dit dans Alternatives Economiques, le magazine pour ceux dont le QI est inférieur à 50 :icon_up:)

Posté
On peut se poser la question : un modèle national, qu'il soit anglais, français ou allemand, peut-il vraiment constituer un modèle ? Le phénomène du chômage ne dépend-il pas d'une conjoncture qui échappe, dans sa plus grande partie, à toute intervention politique (même s'il est exact que certaines politiques favorisent l'emploi, l'incidence de ces dernières, et ce quelle que soit leur "orientation", resteraient faibles).

C'est parfait, bravo. L'état ne fait rien en matière d'emploi : ce sont les individus et les entreprises qui en créent. Un politicien qui se targue d'avoir redressé l'économie ou d'avoir fait baisser le chômage est un menteur (ou un mythomane) ; tout au plus a-t-il moins entravé la liberté d'échanger.

Le chômage existera toujours et en lui-même n'est pas négatif, c'est le système actuel de chômage étatisé qui l'est. Le seul modèle économique valable c'est le "Laissez faire, laissez passer".

Posté
Si c'est vrai, ce pays est foutu !  :icon_up:

Mais non. La liberté des individus déplace des montagnes ! Il suffit de considérer l'Allemagne en 1945 et l'Allemagne de l'Ouest en 1965 : on est passé d'un pays totalement détruit à un pays très riche. Mais il faut pour ça un homme de l'état convaincu de la nocivité de son action, ce qui est plutôt rare (l'Allemagne de l'Ouest avait plus ou moins trouvé cet homme en Ludwig Erhard).

Posté

Déjà, je pense que les termes "emploi" et "chômage" devraient être bannis de notre vocabulaire. Il s'agit de transactions réalisées ou non réalisées auxquelles on donne un nom spécial.

Si l'Etat s'intéresse à cette notion de chomage, c'est parce que c'est du travail des gens qu'il tire ses ressources, disons que dans ce cas, lorsque l'Etat parle de chomage, c'est un peu comme quand une boulangère parle de ses miches de pain invendues, c'est une perte sèche pour elle.

Et je ne vois pas l'intérêt de faire tout un pataquès sur les miches de pain invendues, lorsqu'on n'est pas un professionel de la filière boulangère.

Posté
Mais non. La liberté des individus déplace des montagnes ! Il suffit de considérer l'Allemagne en 1945 et l'Allemagne de l'Ouest en 1965 : on est passé d'un pays totalement détruit à un pays très riche. Mais il faut pour ça un homme de l'état convaincu de la nocivité de son action, ce qui est plutôt rare (l'Allemagne de l'Ouest avait plus ou moins trouvé cet homme en Ludwig Erhard).

Es-tu sûr de la pertinence de l'exemple de l'Allemagne ? L'Europe, après 1945, s'est reconstruite en grande partie grâce à une politique interventionniste menée par les Etats-Unis, dans le but de faire barrage à l'URSS. Rien de très libéral là-dedans. Néanmoins, j'admets que l'intensification des échanges commerciaux avec l'extérieur, dans le domaine de l'acier par exemple, a pu profiter à l'Allemagne. Mais là encore, cela aurait-il été possible sans la tutelle bienveillante (quoique intéressée) des Etats-Unis (ce que trop d'anti-américains ont tendance à oublier de nos jours) ?

Posté
Et je ne vois pas l'intérêt de faire tout un pataquès sur les miches de pain invendues, lorsqu'on n'est pas un professionel de la filière boulangère.

Disons que si la boulangère était élue par ses miches de pains, celles-ci feraient pression sur elle pour qu'elle les empêche de rassir… :icon_up:

Sérieusement, je trouve ta comparaison un peu choquante. Baudrillard l'a dit, le travail ne sert pas seulement à produire de la valeur ajoutée, mais aussi à entraîner les individus dans une dynamique globale de socialisation (ce que les journalistes appelent "l'intégration", son contraire étant "l'exclusion"). D'un point de vue moral, peut-on vraiment comparer les demandeurs d'emploi à des biens qui s'échangent ? Les miches de pain invendues ne souffrent pas, elles… :doigt:

Posté

Justement. Adenauer a cherché pendant trois ans à supprimer le plan Marshall. Il y est enfin parvenu en '52 et, la semaine qui a suivi (véridique), il n'y avait plus de rationnement et presque plus de files dans les magasins Ouest-allemands. C'est la suppression du plan Marshall qui a accéléré le véritable redressement de l'Allemagne de l'Ouest (et du reste de l'Europe).

Posté
Déjà, je pense que les termes "emploi" et "chômage" devraient être bannis de notre vocabulaire. Il s'agit de transactions réalisées ou non réalisées auxquelles on donne un nom spécial.

Si l'Etat s'intéresse à cette notion de chomage, c'est parce que c'est du travail des gens qu'il tire ses ressources, disons que dans ce cas, lorsque l'Etat parle de chomage, c'est un peu comme quand une boulangère parle de ses miches de pain invendues, c'est une perte sèche pour elle.

Et je ne vois pas l'intérêt de faire tout un pataquès sur les miches de pain invendues, lorsqu'on n'est pas un professionel de la filière boulangère.

Je pense que la communauté toute entiere devrait s'inquieter du developpement du chômage. En effet les inactifs (personnes agées par exemple) vivent des richesses des gens qui travaillent….Le chômage est un drame pour l'Etat mais aussi pour toute la société.

Posté
Disons que si la boulangère était élue par ses miches de pains, celles-ci feraient pression sur elle pour qu'elle les empêche de rassir… :icon_up:

Sérieusement, je trouve ta comparaison un peu choquante. Baudrillard l'a dit, le travail ne sert pas seulement à produire de la valeur ajoutée, mais aussi à entraîner les individus dans une dynamique globale de socialisation (ce que les journalistes appelent "l'intégration", son contraire étant "l'exclusion"). D'un point de vue moral, peut-on vraiment comparer les demandeurs d'emploi à des biens qui s'échangent ? Les miches de pain invendues ne souffrent pas, elles… :doigt:

Je ne pense pas que le travail serve à entraîner les individus dans une dynamique de socialisation. Il les y entraîne naturellement. Baudrillard avait certainement une vision trop marxiste (constructiviste) des choses de ce point de vue.

Ce que voulait dire Chitah, je pense, c'est que l'état fait de la question du chômage un thème de prédilection parce que les chômeurs sont des consommateurs nets d'impôts. Or l'état vit de l'impôt -> les chômeurs sont donc ses ennemis (ce cher Trotsky ne disait-il pas que le chômeur est un traître ? Il parlait également de "militarisation du travail"). Bien évidemment, dans le cadre socio-démocrate actuel, on ne les traite pas d'ennemis mais on tente de les remettre au travail, on les culpabilise, etc.

Posté
Si c'est vrai, ce pays est foutu !  :icon_up:

A mon avis tout n'est pas perdu il est peut etre encore possible de faire quelque chose au moins afin de diminuer l'ampleur du phénomène mais pour celà il va falloir agir rapidement et avec des gauchistes et des syndicats aussi bornés que les notres c'est pas gagné

Posté
Ce que voulait dire Chitah, je pense, c'est que l'état fait de la question du chômage un thème de prédilection parce que les chômeurs sont des consommateurs nets d'impôts.

C'est exactement cela, de même que les miches de pains sont des consommateurs nets de ressources de la boulangère. Je n'ai pas comparé, dans l'absolu, les miches de pains rassies avec les chomeurs.

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