DiabloSwing Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Le capitalisme n'a pas la cote chez les français Alors que se multiplient les livres critiques, près de deux Français sur trois, selon notre sondage, rejettent le capitalisme et le pouvoir des actionnaires.par Hervé NATHAN LIBERATION : vendredi 04 novembre 2005 ntre le capital et les Français, c'est le grand désamour. Le sondage réalisé par LH2 pour Libération (1) est absolument catégorique : selon le panel interrogé, l'opinion publique rejette le capitalisme à près des deux tiers des voix. Le libéralisme économique ne se porte pas mieux. Le socialisme semble lui (de peu) majoritaire dans le pays (51 % d'opinions positives). Un résultat surprenant, tant la libre entreprise semblait faire consensus. Selon François Miquet-Marty, directeur de LH2 Opinion, ce palmarès «révèle certes la difficulté, déjà connue, de la société française à accepter l'idée de libéralisme économique, mais il désigne surtout l'ampleur du malaise suscité par la notion de capitalisme, alors que ce dernier n'a jamais été mieux établi». Alors, Marx pas mort ? A entendre certaines réponses, on pourrait le penser. Ainsi, 41 % des interrogés décrivent le capitalisme comme «l'exploitation de l'homme par l'homme», et 45 % comme «l'accumulation des richesses» par un petit nombre de personnes. «Place du travail». «Il ne faut pas se tromper de perspective, commente François Miquet-Marty, les Français répondent par rapport à leur expérience. C'est le capitalisme d'aujourd'hui, dominé par la sphère financière, qui les fait réagir, et non le système de production du XIXe siècle.» Ce «vécu» quotidien se retrouve dans la réponse à la question posée aux seuls salariés du privé : «Qui a le pouvoir dans l'entreprise ?» Les deux tiers répondent «les actionnaires», et les mêmes souhaitent que les salariés aient davantage de pouvoir (67 %), soient associés aux bénéfices (57 %). Par comparaison, ils ne sont que 43 % à demander une forte augmentation des salaires. Comme s'ils souhaitaient une association capital-travail, version gaulliste, ou «rhénane». «C'est le résultat de ce que vivent les salariés, des décisions économiques qui leur semblent incohérentes, comme actuellement chez Hewlett-Packard», commente François Miquet-Marty. «Les Français ont davantage les pieds sur terre qu'on ne le dit, se réjouit Jean-Christophe Le Duigou, de la CGT. Ils ont conscience que les inégalités sont produites par le mouvement du capital, et que c'est bien la place du travail dans la société qui est la clé du problème.» Le sociologue Henri Vacquin n'est pas d'accord : «Le mot capitalisme est un épouvantail. On ne peut qu'être contre. Cela masque le vrai débat, qui est comment réguler, ou corriger l'économie de marché.» Par catégories professionnelles, le rejet est quasiment identique chez les professions intermédiaires (61,7 %), les employés (68,3 %) et les ouvriers (69,8 %). Il est majoritaire chez les artisans et commerçants, et encore fort chez les cadres (44,8 %). Pas question non plus de voir l'anticapitaliste s'éteindre avec les générations qui ont vécu l'affrontement entre capitalisme et communisme : les jeunes de 18 à 34 ans sont frontalement (60 %) opposés au système, presque autant que leurs aînés. Un réservoir de contestation pour le futur est d'ores et déjà constitué. Reste une interrogation : quelle serait la traduction politique d'un tel sentiment ? «Il n'y en a guère, répond Miquet-Marty. L'anticapitalisme revendiqué est le monopole de la LCR et de Lutte ouvrière. Même le PCF est discret sur ce sujet. La gauche est muette. Mais les Français sont en pleine contradiction : ils sont contre le système mais, lorsque l'on ouvre le capital de GDF ou de EDF, les salariés de ces entreprises se ruent sur les actions.» Sirène. Le sentiment du panel s'ajoute à une prise de conscience de la fragilité du capitalisme contemporain. Plusieurs essais (lire ci-dessous), écrits par des experts acquis à l'économie de marché, tirent la sonnette d'alarme. Selon Thierry Pech, directeur de la République des idées (et éditeur du livre de Jean Peyrelevade), cette conjonction éditoriale est due «aux incertitudes sur ce que devient l'économie capitaliste et son articulation à la sphère politique et sociale. Le capitalisme est seul en scène, et on ne voit pas, dans des économies ouvertes sur le monde, où seraient les contre-pouvoirs». Ces économistes, s'ils sont critiques, ne sont donc pas en rupture. Mais le peuple ? (1) Réalisé les 28 et 29 octobre auprès de 1004 personnes. http://www.liberation.fr/page.php?Article=335983 Il y a du boulot à faire, non pas dans une perspective économico-économique, mais apaiser les esprits dans le sens de la liberté (le circuit associatif à but non lucratif est très compatible avec le libéralisme)…
Sous-Commandant Marco Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Je crois déceler une certaine allègresse dans le ton de cet article, par exemple dans cette phrase: Un réservoir de contestation pour le futur est d'ores et déjà constitué. Suis-je le seul?
antietat Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Je crois déceler une certaine allègresse dans le ton de cet article, par exemple dans cette phrase:Suis-je le seul? <{POST_SNAPBACK}> Ce qui est marrant c'est de les voir rêver tout éveillé : "Alors, Marx pas mort ? A entendre certaines réponses, on pourrait le penser." Ajouter à cela que jamais au grand jamais le capitalisme n'a été aussi fragile ajoutent un certains nombre d'économistes de carnaval. "Alors le grand soir pas mort ?" Ont ils envie d'ajouter. Mais dans le même temps les grèvistes de la SNCM viennent de manger leur chapeau, les actions d'EDF sont mises sur le marché. Et HP (c'est ce qui m'a fait le plus marrer dernièrement) vient de proposer de réduire de 240 le nombre des licenciements envisagés à condition de revenir sur l'accord des 35 heures. Mais de même que le grand soir s'est trompé de camp ceux qui fabriquent une "fausse conscience" autre concept marxiste, ce sont eux. Ils rendent les français schizophrenes avec une propagande idéologique qui véhicule une représentation de la réalité à l'opposée de ce quelle est.
Calembredaine Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Le capitalisme n'a pas la cote chez les françaishttp://www.liberation.fr/page.php?Article=335983 Il y a du boulot à faire, non pas dans une perspective économico-économique, mais apaiser les esprits dans le sens de la liberté (le circuit associatif à but non lucratif est très compatible avec le libéralisme)… <{POST_SNAPBACK}> Quelqu'un a-t-il pu voir les questions posées? Car si la question est: "Le capitalisme est-il connoté négativement?" Je réponds oui. Et l'interprétation peut être: Rocou est anticapitaliste.
h16 Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Ce qui est marrant c'est de les voir rêver tout éveillé : "Alors, Marx pas mort ? A entendre certaines réponses, on pourrait le penser." Ajouter à cela que jamais au grand jamais le capitalisme n'a été aussi fragile ajoutent un certains nombre d'économistes de carnaval. "Alors le grand soir pas mort ?" Ont ils envie d'ajouter. Mais dans le même temps les grèvistes de la SNCM viennent de manger leur chapeau, les actions d'EDF sont mises sur le marché. Et HP (c'est ce qui m'a fait le plus marrer dernièrement) vient de proposer de réduire de 240 le nombre des licenciements envisagés à condition de revenir sur l'accord des 35 heures. Mais de même que le grand soir s'est trompé de camp ceux qui fabriquent une "fausse conscience" autre concept marxiste, ce sont eux. Ils rendent les français schizophrenes avec une propagande idéologique qui véhicule une représentation de la réalité à l'opposée de ce quelle est. -- (ce sont les grévises de la RTM qui mangent leur chapeau, au demeurant - dans le temps moyen la SNCF pose un préavis ; serait-ce du harassement ?) -- Ceux qui rêvent tout haut, ce sont finalement toujour les mêmes : ceux qui réclament l' "égalité des chances", la "redistribution des richesses" etc… Ils réclament ça car ils s'imaginent être soit porte-paroles de plus faibles (ce qu'ils sont rarement) , soit parce qu'ils ont le sentiment que ces revendications leur profiteraient directement (ou indirectement). De toute façon, quand bien même le communisme a montré sa totale inefficacité face au capitalisme, quand bien même l'étatisme montre partout ses limites, la presse distille toujours le même discours, l'EN aussi, et le gouvernement reprend en croyant aller dans le sens de l' "opinion publique" si facilement manipulée. Effectivement, les français vont devenir schizo. D'un côté, les tenants du tout état, pétris de leurs contradictions, qui réclament (et obtiennent) toujours plus de moyens, et vont faire s'enfoncer encore un peu plus chaque jour le mammouth dans sa gangue de subventions. De l'autre, les gens confrontés à la réalité du marché, ceux qui voient (sans forcemment le comprendre) que l'interventionnisme nuit partout à court, moyen et long terme… Petit à petit, ils finiront par faire le lien entre tous les dysfonctionnements qu'ils observent. Petit à petit, ils vont voir qu'on les a enflé, tous les jours un peu plus… La seule question : combien de temps encore ?
ricotrutt Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Pour moi la seule question n'est pas "combien de temps encore" (position attentiste) mais "comment leur faire ouvrir les yeux au plus vite?" (position active. Concernant le sondage, je suis sûr qu'en payant le CSA pour avoir un sondage pour lib.org on obtiendrait les résultats exactement inverses alors…
h16 Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Pour moi la seule question n'est pas "combien de temps encore" (position attentiste) mais "comment leur faire ouvrir les yeux au plus vite?" (position active. Bonne position. Mais en aurez-vous le temps ? Il ne tient qu'à vous de produire des questions dont la réponse tendrait à prouver que le libéralisme est fortement ancré dans les têtes françaises… J'admets qu'ensuite, le faire passer et le faire publier serait coûteux. Mais pas établir le questionnaire …
Freeman Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Quand j'aurais une entreprise à monter, je la monterais ailleurs. Quand je vois la mentalité de certains de ma faculté, et j'ai beau être en droit… MISERE !!!!! Comment peut-on être aussi c… ? Tu me diras, c'est le système lui-même qui les a rendus comme ça. On créé un mouvement libéral, pourquoi pas, mais c'est trop tard. On a les générations Mitterrand qui vont prendre le relais. Et celles-ci sont furieusement anti-libérales au possible ( t'as vu les programmes scolaires ? ). Concernant les jeunes c'est hallucinant et ça fait peur… J'ai constaté un certain étonnement venant de quelques uns quand je leur sortais que la DDHC de 1789 était d'inspiration libérale, ou même quand je leur disais que libéralisme économique et droits de l'homme étaient liés d'eux-mêmes… Et je ne parle pas des trucs que j'ai entendu " le libéralisme est mort dans trente ans, vive l'altermondialisme ! " Bon c'est décidé : ma boîte ce sera aux states.
h16 Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Bon c'est décidé : ma boîte ce sera aux states. Choisissez le Delaware. Mais il peut y avoir d'autres alternatives plus intéressantes que les US, à ce sujet…
pankkake Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 Bon c'est décidé : ma boîte ce sera aux states. <{POST_SNAPBACK}> Je ne comprends tellement rien à la paperasse que si jamais j'ai à créer une entreprise, j'irai plutôt voir quelqu'un capable de le faire à ma place. Parce que faire son entreprise à l'étranger si on est français, je sais pas si c'est possible. Et puis par exemple j'avais un petit projet en France mais j'ai vu qu'il fallait obligatoirement des bureaux* (sauf cas exceptionnels bizaroïdes) mais bref je n'y ai rien compris et ça m'a saoulé. * Dont je n'aurai pas eu besoin, au moins au début. Je ne sais pas non plus à partir de quel moment on doit créer une entreprise, par exemple si je fais un site avec des liens amazon et que je gagne plein d'argent grâce à ça, dois-je créer une entreprise ?
antietat Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 La seule question : combien de temps encore ? <{POST_SNAPBACK}> Plus l'Etat est gros plus plus il est vulnérable car il a des besoins de financement considérables. Lors de l'effondrement des dispositifs publico sociaux les investisseurs étrangers vont prendre conscience que la France n'est plus solvable (i.e que l'Etat ne peut plus rançonner davantage le contribuable) la derniere source de fuite en avant, l'opération de cavalerie que représente l'émission d'obligations d'Etat va alors se tarir. D'autre part les etatistes ont confiance dans les inerties sociologiques : "la grosse masse de ceux que nous exploitons le plus ne partira pas". Ce en quoi ils se trompent car ceux qui ont intérêt à immigrer sont les plus mobiles et ceux pour lesquels l'opération est la plus facile à mener car bien des coûts, pas simplement financiers mais aussi psychologiques ont considérablement baissé. On vit très bien partout en europe maintenant et quand le différentiel avec les autres pays s'accroit cela créé un appel d'air. Or, quelque part il existe un seuil de prélèvements/réglementations qu'ils vont franchir un jour sans s'en apercevoir et qui va considérablement accélérer les choses. Boum !
Sous-Commandant Marco Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 […]Or, quelque part il existe un seuil de prélèvements/réglementations qu'ils vont franchir un jour sans s'en apercevoir et qui va considérablement accélérer les choses. Boum ! <{POST_SNAPBACK}> A mon avis, ce seuil est déjà dépassé, mais, comme tu l'as remarqué, il faut aussi prendre en compte l'endettement. Aux dernières nouvelles, alors qu'il a déjà du mal à rembourser les obligations à 5 ans, l'Etat en est à émettre des obligations à 50 ans. Après moi le déluge, comme commentait le blog où j'ai lu cette nouvelle. Si l'on tient compte de la hausse croissante des engagements pour les retraites des fonctionnaires (les baby-boomers partent en retraite en ce moment), de couverture des déficits et de remboursement des dettes de la sécu et autres entreprises publiques, il suffirait d'une petite récession à la 1993 pour l'envoyer au tapis. Peut-être l'an prochain?
antietat Posté 5 novembre 2005 Signaler Posté 5 novembre 2005 A mon avis, ce seuil est déjà dépassé, mais, comme tu l'as remarqué, il faut aussi prendre en compte l'endettement. Aux dernières nouvelles, alors qu'il a déjà du mal à rembourser les obligations à 5 ans, l'Etat en est à émettre des obligations à 50 ans. Après moi le déluge, comme commentait le blog où j'ai lu cette nouvelle. Si l'on tient compte de la hausse croissante des engagements pour les retraites des fonctionnaires (les baby-boomers partent en retraite en ce moment), de couverture des déficits et de remboursement des dettes de la sécu et autres entreprises publiques, il suffirait d'une petite récession à la 1993 pour l'envoyer au tapis. Peut-être l'an prochain? <{POST_SNAPBACK}> En finissant mon post j'ai pensé comme toi que ce seuil est peut être déjà dépassé. C'est Gobet qui a écrit un livre qui s'intitule "Le choc de 2006" qui doit évoquer les conséquences de la retraite des baby boomers ? Effectivement nous y sommes. Cerise sur le gateau, nous avons en avant première, la féria des banlieues qui doit en partie son existence à l'intériorisation du discours misérabiliste tiers mondiste. "Avec nos gueules de métèques de juifs errants, de pâtre grecs et nos cheveux crêpus au vent, nous sommes discriminés et parqués à la périphérie des grandes villes frustrés en permanence de ne pouvoir consommer que le montant des allocations sociales de misère qui nous sont allouées. Nos femmes s'habillent, se maquillent et parlent comme des putes mais s'intégrent mieux que nous. Alors non ! Brulons toutes ces voitures symboles d'une consommation à la laquelle si peu d'entre nous arrivent à accéder honnêtement. A vrai dire j'aimerais bien voir comment les socialistes, s'ils arrivent au pouvoir en 2007, vont se dépatouiller avec tout ça ? EDIT : la récession ? Je n'y crois pas les perspectives mondiales sont bonnes paraît il pour qq années. C'est dommage…
h16 Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 En finissant mon post j'ai pensé comme toi que ce seuil est peut être déjà dépassé.C'est Gobet qui a écrit un livre qui s'intitule "Le choc de 2006" qui doit évoquer les conséquences de la retraite des baby boomers ? Effectivement nous y sommes. Cerise sur le gateau, nous avons en avant première, la féria des banlieues qui doit en partie son existence à l'intériorisation du discours misérabiliste tiers mondiste. "Avec nos gueules de métèques de juifs errants, de pâtre grecs et nos cheveux crêpus au vent, nous sommes discriminés et parqués à la périphérie des grandes villes frustrés en permanence de ne pouvoir consommer que le montant des allocations sociales de misère qui nous sont allouées. Nos femmes s'habillent, se maquillent et parlent comme des putes mais s'intégrent mieux que nous. Alors non ! Brulons toutes ces voitures symboles d'une consommation à la laquelle si peu d'entre nous arrivent à accéder honnêtement. A vrai dire j'aimerais bien voir comment les socialistes, s'ils arrivent au pouvoir en 2007, vont se dépatouiller avec tout ça ? EDIT : la récession ? Je n'y crois pas les perspectives mondiales sont bonnes paraît il pour qq années. C'est dommage… Après un tel tableau, vous pensez vraiment que le pays sera suffisamment serein pour voter (à droite ou à gauche) ?
Dardanus Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Le capitalisme n'a pas la cote chez les françaishttp://www.liberation.fr/page.php?Article=335983 Il y a du boulot à faire, non pas dans une perspective économico-économique, mais apaiser les esprits dans le sens de la liberté (le circuit associatif à but non lucratif est très compatible avec le libéralisme)… <{POST_SNAPBACK}> La confusion libéralisme-capitalisme mais aussi l'affirmation que le capitalisme n'a pas de contre-pouvoirs. Le capitalisme désigne le fonctionnement réel de l'économie : que viennent faire dans cet article, ces idées de contre-pouvoirs ? Surtout quand on lit que tout le monde rejette le pouvoir des actionnaires mais que l'on se rue poura cheter des actions. Or, beaucoup d'articles de presse manquent singulièrement de logique quand il s'agit de parler de capitalisme. Le capitalisme mot créé péjorativement par les socialistes ne peut qu'être reçu négativement.
Messer Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 C'est ce genre d'articles qui me fait encore plus détester mon peuple.. Me demander si leur offrir la liberté c'est offrir des perles à un cochon. Je ne perds pas espoir cependant, ce qui va intervenir dans les prochaines années va permettre de trancher radicalement avec ce qui se passe actuellement. Esperons que ce soit dans le bon sens. Freeman>Fais moi une place dans tes bagages mon brave je t'accompagne.
Legion Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 C'est ce genre d'articles qui me fait encore plus détester mon peuple.. <{POST_SNAPBACK}> Peux-tu me dire quelle défintion recouvre les termes "[ton] peuple" dans l'usage que tu en fait ?
labbekak Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 C'est ce genre d'articles qui me fait encore plus détester mon peuple.. Me demander si leur offrir la liberté c'est offrir des perles à un cochon. Hola, le ruminant, mes amis les cochons ont certainement plus de goût que tes sujets !
h16 Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Peux-tu me dire quelle défintion recouvre les termes "[ton] peuple" dans l'usage que tu en fait ? En fait, Meuhlavach, c'est le Comte de Paris. Et tout s'explique.
Freeman Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Freeman>Fais moi une place dans tes bagages mon brave je t'accompagne. Ca dépend où tu veux aller, qu'est-ce qui te branche ?
Messer Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Peux-tu me dire quelle défintion recouvre les termes "[ton] peuple" dans l'usage que tu en fait ? <{POST_SNAPBACK}> Mes sujets, la plèbe, mes larbins quoi. Le peuple auquel j'appartiens, mes con-patriotes quoi ! Labekkak> Je ne rumine pas espèce de citerne à lisier Freeman> Cote Ouest ou sinon Nord Est Sinon je crois que c'est plus la création d'une entreprise et l'activité et l'épanouissement que ca engendre qui me plairait, plus que l'activité en elle même. Je dirais activité de service de préférence.
labbekak Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Labekkak> Je ne rumine pas espèce de citerne à lisier A chacun son environnement
Messer Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 J'ai une impression de déjà vu, d'être comme chez moi… Manque plus que le bousier étatiste qui veuille prendre sa part du gateau..
labbekak Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Les fils hallucinants de fins de week-ends … Je m'en voudrais de ne pas en remettre une couche !
Freeman Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Freeman> Cote Ouest ou sinon Nord Est Sinon je crois que c'est plus la création d'une entreprise et l'activité et l'épanouissement que ca engendre qui me plairait, plus que l'activité en elle même. Je dirais activité de service de préférence. Faut qu'on se mette d'accord alors… Wash ? La cité des vents ? The Big Orange ? The Big Apple ? Boston ? Denver ? La ville des jeux ? The Gay City ?
Messer Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Si je savais de quoi tu parlais pour "La cité des vents", the Big Orange, et the Gay City ca irait mieux =P Boh S.F, Seattle, au pire Las Vegas pour l'Ouest sinon NY, Philadelphie, Boston, Wash'… Tiens dans le NE pour info les revenus par foyer les plus élevés sont dans le Connecticut
Freeman Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Si je savais de quoi tu parlais pour "La cité des vents", the Big Orange, et the Gay City ca irait mieux =PBoh S.F, Seattle, au pire Las Vegas pour l'Ouest sinon NY, Philadelphie, Boston, Wash'… Tiens dans le NE pour info les revenus par foyer les plus élevés sont dans le Connecticut Allez je t'aide : la cité des vents est la troisième ville des USA Non, toujours pas ? Elle a la tour la plus haute des US ( la Sears tower ) Toujours rien ? Y'a un grand lac à côté… Allez là, t'as deviné The Big Orange c'est LA, bon le problème c'est qu'il y a du smog ( pollution ) parfois tu vois rien tellement y'en a dans les jumelles ! ) et… ça remue, quoi, et ça surprend quand on est pas habitué. Si on créait une entreprise à LA tous les deux, pourvu qu'on s'enrichisse très vite, j'ai repéré des maisons du côté de Beverly Hills ( pour 1 500 000 dollars ) pas chères et tu verrais ce que c'est ! The Gay City ben c'est San Francisco ! Très européenne, et pratique parce qu'à côté il y a la Silicone Valley. Mais là encore, ça bouge. Quand j'y suis allé, une secousse de 5 sur l'échelle de Richter. D'ailleurs, ça m'avait tellement marqué que depuis, à chaque fois que j'entends un grondement bizarre, je me fous sous une porte ou sous une table. On me dit " mais non c'est le tram ! " Ouf ! Seattle ? Pour voir Bill Gates ? C'est la seule chose à voir. Las Vegas, c'est très bien et très dynamique, le maire étant un ancien avocat de propriétaires de casinos, c'est très facile d'y ouvrir un casino hotel. Mais si c'est pas ça ton objectif ! NY est en faillite, je te le déconseille d'aller y mettre les pieds là-dedans sauf si tu aimes la ville ( mais visites avant ). Philadelphie ? Il n'y a rien de plus ennuyeux que cette ville. Ah, si, Colombus dans l'Ohio ! Non, même pas ? Allez, passes ton chemin, tu vas t'y faire ch… Boston, la ville de Kerry je présume ? Pourquoi pas, c'est une très jolie ville à ce qu'on m'a dit, et en plus, il y a Harvard qui n'est pas très loin. Pratique pour les enfants. Pourquoi pas en effet ? Wash c'est très bien si on n'a pas peur de se faire voler ( encore que la pire est Baltimore ). Sinon il y a de jolies coins, de jolis bois avec le Potomac qui passe pas loin… Pour visiter ça va, pour y vivre par contre… T'as toujours un illuminé qui va bloquer la circulation en menacant de se faire péter la gueule ou de sauter d'un immeuble ( faut pas être pressé ) !
h16 Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Créer une société sur place n'est pas un problèmes (étudiez le Delaware, j'insiste). Y travailler, par contre, suppose ou bien des moyens initiaux conséquants, ou bien l'obtention d'un visa… Je vous déconseille amicalement l'illégalité
Freeman Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Le Delaware, je ne connais pas très bien… C'est au Nord Est ?
h16 Posté 6 novembre 2005 Signaler Posté 6 novembre 2005 Effectivement. Mais il s'agit surtout de raisons juridiques & financières : les taxes y sont basses… La plupart des entreprises du nyse y sont enregistrées, il me semble.
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