Invité Arn0 Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 http://www.liberation.fr/page.php?Article=368410 Les biches sortent du bois… de Boulogne. Et les prostituées aussi. Elles défilaient samedi à Paris, de la place Pigalle jusqu'au centre Beaubourg. Une «Pute pride», la première du genre, pour dire leur fierté de pratiquer le plus vieux métier du monde. Avec des slogans comme «Plus de caresses, moins de CRS», ou «Vous couchez avec nous, vous votez contre nous». Et d'autres, plus politiques, comme «On est putes, on est fiers, Sarkozy, c'est la guerre». Car il s'agissait surtout pour les manifestantes d'exprimer leur indignation contre la loi de mars 2003 dite «loi de sécurité intérieure» de Nicolas Sarkozy, un texte qui établit le délit de racolage passif et le rend passible de deux mois de prison et de 3 750 euros d'amende.Les manifestantes défilaient aussi contre l'absence d'un statut reconnaissant leur métier de «travailleurs, travailleuses du sexe». Dans des tracts, des prostitués des deux sexes demandaient de «faire reconnaître (leur) métier et (leurs) droits humains» et de «mettre fin à la putophobie qui (les) maintient dans un statut de délinquantes ou de victimes». […] Ca me fait me demander quelle est la position de AL sur le sujet? Puisque le but c'est de sortir le libéralisme de son aspect économique ça pourrait faire un bon sujet.
Invité jabial Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Je ne connais pas la position d'AL mais la mienne est claire. Il y a deux types de prostitution : la prostitution volontaire, avec ou sans association, et la prostitution forcée. Dans le premier cas, il n'y a rien à dire tant que les prostituées sont majeures. Dans le second, il s'agit d'esclavage, et je pense qu'une pendaison du maître s'impose. Désolé pour ma brutalité.
Ash Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Idem, la pendaison en moins. Même si ça me démange.
pankkake Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Et le meilleur moyen d'éliminer la prostitution involontaire, c'est bien de légaliser la volontaire (concurrence, qualité du service, tout ça).
Copeau Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Au cas où : http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Prostitution
archiliberal Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 Entièrement d'accord avec jabial. Oui à la prostitution choisie et non à la prostitution subie ! Il n'y aurait que des avantages à légaliser la prostitution exercée en profession libérale : les praticien(-ne)s du sexe auraient statut, droits (et devoirs), cotisations, sécurité (adresse déclarée), local professionnel confortable. Certaines rues retrouveraient de la quiétude. Par contre, pour chaque proxénètes, je veux un procès net ! :-)
Nick de Cusa Posté 20 mars 2006 Signaler Posté 20 mars 2006 La seule solution: la libéralisation. Quant au travail forcé, ce n'est pas un problème spécifique à la prostitution. Il est interdit pour toutes les professions, prostitution incluse. Point à la ligne.
Invité jabial Posté 21 mars 2006 Signaler Posté 21 mars 2006 Je suis tout à fait d'accord pour dire que l'esclavagisme privé n'est pas un problème spécifique à la prostitution en soi. Il est juste beaucoup plus présent dans ce métier que dans l'immense majorité des professions, d'où l'opportunité contextuelle de le mentionner.
Invité Aurel Posté 21 mars 2006 Signaler Posté 21 mars 2006 Partageant la position de Jabial, n'hésitez pas à développer car je rencontre l'un des responsables du mouvement cette semaine afin d'évaluer les enjeux : - comment fixer ce qui relève de l'esclavage, sachant que les femmes sont terrorisées, sans papiers le plus souvent (confisqués par les macs) et effrayées par le risque de reconduite à la frontière pour les clandestines, sans parler des toxicos accrocs : elles ne témoignent pas volontiers, ce qui n'aide pas au démantèlement des réseaux - quelles limites au racolage, sachant que les riverains sont coincés tant que les rues sont publiques ? Le tapin dévalorise l'immobilier environnant. Comment remédier à ce préjudice ? Quid des écoles et de leur proximité ? - Maisons closes : pas de risque d'esclavagisme maquillé ? … La complexité du sujet est réelle, surtout avec l'ouverture des frontières et l'absence de coopération européenne dans la lutte contre les réseaux de proxos. D'ailleurs, pourquoi ne peut-on envisager la légalisation du proxénétisme dans certaines conditions ? L'opacité de ce milieu, même lorsqu'il est légalisé, ne favorise pas le respect des droits des prostitué(e)s vite soumis(es) aux règles du "milieu".,
La Fougère Posté 21 mars 2006 Signaler Posté 21 mars 2006 Je ne connais pas la position d'AL mais la mienne est claire.Il y a deux types de prostitution : la prostitution volontaire, avec ou sans association, et la prostitution forcée. Dans le premier cas, il n'y a rien à dire tant que les prostituées sont majeures. Dans le second, il s'agit d'esclavage, et je pense qu'une pendaison du maître s'impose. Désolé pour ma brutalité. Ce n’est pas ironique. Si la formulation m’a fait bondir (et rigoler) je suis assez d’accord et je vais plus loin. Je pense que l’on doit criminaliser les clients des réseaux d’esclavages avec circonstances aggravantes pour les mineures. Pour moi, un homme surpris en « flagrant délit » avec une fille de 15 ans, une nuit, dans une impasse, aura toujours du mal à me convaincre qu’il est le client d’une prestataire de service… Là je sais que l’on est d’accord… mais le sommes nous toujours si je vous dis que je voudrais le voir être inculpé pour viol ou complicité de viol au minimum ? Au cas où : http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Prostitution L'article: …On le constate tous les jours : la prohibition ne fait pas disparaître la demande (la "guerre contre la drogue" dure depuis un siècle et il n'y a jamais eu autant de consommateurs de stupéfiants), mais en plus, elle enrichit les trafiquants et accroît l'insécurité. La prohibition est la meilleure amie du marché clandestin et des criminels. Entièrement d’accord avec certains points, et en particulier celui que je cite qui tient lieu de conclusion, mais je trouve l’ensemble trop court. Voilà un article qui mériterait d’être développé et illustré de liens nombreux, variés et contradictoires… Partageant la position de Jabial, n'hésitez pas à développer car je rencontre l'un des responsables du mouvement cette semaine afin d'évaluer les enjeux :- comment fixer ce qui relève de l'esclavage, sachant que les femmes sont terrorisées, sans papiers le plus souvent (confisqués par les macs) et effrayées par le risque de reconduite à la frontière pour les clandestines, sans parler des toxicos accrocs : elles ne témoignent pas volontiers, ce qui n'aide pas au démantèlement des réseaux - quelles limites au racolage, sachant que les riverains sont coincés tant que les rues sont publiques ? Le tapin dévalorise l'immobilier environnant. Comment remédier à ce préjudice ? Quid des écoles et de leur proximité ? - Maisons closes : pas de risque d'esclavagisme maquillé ? … La complexité du sujet est réelle, surtout avec l'ouverture des frontières et l'absence de coopération européenne dans la lutte contre les réseaux de proxos. D'ailleurs, pourquoi ne peut-on envisager la légalisation du proxénétisme dans certaines conditions ? L'opacité de ce milieu, même lorsqu'il est légalisé, ne favorise pas le respect des droits des prostitué(e)s vite soumis(es) aux règles du "milieu"., Là je vais faire hurler tout le monde mais le seul proxénète digne de confiance (amha) en cas de légalisation, car peu suspect a priori de vouloir maintenir le filles en maisons closes contre leur gré et qui surtout serait le plus facile à contrôler… c’est l’Etat. Cela existe d’ailleurs déjà à l’étranger. Je dois avoir de vieux articles sur le sujet mais vu le bordel chez moi je ne mettrai jamais la main dessus à temps. - comment fixer ce qui relève de l'esclavage ? Pour ce qui est de définir la limite, c’est effectivement délicat. N’y a-t-il pas eu de nouveaux textes de loi sur le sujet ? Autrement dit une définition légale de la limite… il serait intéressant de la connaître. - Maisons closes : pas de risque d'esclavagisme maquillé ? … Si mais l’esclavagisme maquillé existe aussi sur Internet avec des filles qui se prétendent indépendante pour déculpabiliser le client. Enfin si quelqu’un a les adresses Internet des associations (souvent abolitionnistes oui je sais), les poster ici avec leurs arguments, leurs chiffres, leurs infos… nous permettrait de ne pas discuter dans le vide et de mieux aiguiser nos arguments pour les contrer sur les points anti-libéraux. Sinon on a brièvement (et de façon superficielle) évoqué le sujet ici : Une Polonaise Expulsée De Son Lycée, pour avoir posé pour Playboy http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=25514 S’il y a eu d’autres fils sur le sujet, ça m’intéresse.
Invité Arn0 Posté 21 mars 2006 Signaler Posté 21 mars 2006 Comme il est dit dans l'article d'après la loi on peut être poursuivi pour proxénétisme simplement pou avoir reçu de l'argent d'une prostituée en connaissance de cause. Si proxénète c'est forcer une fille à se prostituer alors on peut être poursuivi pour travail forcé et complicité de viol. Si c’est simplement mettre en relation client et prostituées, ou si c’est mettre des outils de travail (chambre par exemple…) à disposition des prostituées contre rémunération alors il n’y aucun problème. Au passage je vois pas ce qui différencie un proxénète de ce genre et un producteur de films pornos.
von Hayek Posté 21 mars 2006 Signaler Posté 21 mars 2006 Je ne connais pas la position d'AL mais la mienne est claire.Il y a deux types de prostitution : la prostitution volontaire, avec ou sans association, et la prostitution forcée. Dans le premier cas, il n'y a rien à dire tant que les prostituées sont majeures. Dans le second, il s'agit d'esclavage, et je pense qu'une pendaison du maître s'impose. Désolé pour ma brutalité. Tout à fait d'accord avec toi Jabial, surtout qu'aujourd'hui la prostitution existe autant que si elle était légale, le proxénète en plus.
Dardanus Posté 21 mars 2006 Signaler Posté 21 mars 2006 Là je vais faire hurler tout le monde mais le seul proxénète digne de confiance (amha) en cas de légalisation, car peu suspect a priori de vouloir maintenir le filles en maisons closes contre leur gré et qui surtout serait le plus facile à contrôler… c’est l’Etat. Cela existe d’ailleurs déjà à l’étranger. Je dois avoir de vieux articles sur le sujet mais vu le bordel chez moi je ne mettrai jamais la main dessus à temps. Quand on a le bordel chez soi, on devrait se garder de le confier à l'État. S’il y a eu d’autres fils sur le sujet, ça m’intéresse. On s'en doute vu ce qui précède.
Invité jabial Posté 22 mars 2006 Signaler Posté 22 mars 2006 Je n'ai, à dessein, pas parlé de proxénétisme (qui dans de nombreux cas est parfaitement légitime) mais de prostitution forcée en ce qui concerne les gibiers de potence.
Hellboy Posté 22 mars 2006 Signaler Posté 22 mars 2006 HS Je souhaitais préciser à propos des gibiers de potence que je suis contre la peine de mort comme ne le laissait pas supposer mon post précédant… Je préférais clarifier. … @jabial Seriez vous prêt à soutenir comme moi que les clients de ces gibiers de potence doivent être "criminalisé"… A l’avocat ensuite de démontrer la bonne foi* de son client. Quand on a le bordel chez soi, on devrait se garder de le confier à l'État.… Je l’attendais celle là * EDIT par bonne foi comprendre: il ignorait avoir affaire à une esclave
Invité Arn0 Posté 22 mars 2006 Signaler Posté 22 mars 2006 La charge de la preuve est du coté de l'accusation, pas de la défense.
Dardanus Posté 22 mars 2006 Signaler Posté 22 mars 2006 Je l’attendais celle là J'espère bien. Rien ne me plaît davantage que de satisfaire autrui (et gratis).
Invité jabial Posté 23 mars 2006 Signaler Posté 23 mars 2006 Seriez vous prêt à soutenir comme moi que les clients de ces gibiers de potence doivent être "criminalisé"… A l’avocat ensuite de démontrer la bonne foi* de son client. Certainement pas. La présomption d'innocence doit s'appliquer d'autant plus que le crime est grave. Les criminaliser, oui… à condition de prouver sans l'ombre d'un doute qu'ils savaient.
Hellboy Posté 23 mars 2006 Signaler Posté 23 mars 2006 Certainement pas. La présomption d'innocence doit s'appliquer d'autant plus que le crime est grave. Les criminaliser, oui… à condition de prouver sans l'ombre d'un doute qu'ils savaient. Bah on est d'accord alors! La charge de la preuve est du coté de l'accusation, pas de la défense. Aaaah oui autant pour moi… erreur de formulation désolé.
LaFéeC Posté 12 mars 2008 Signaler Posté 12 mars 2008 Up. J'ai trouvé ça : http://bellaciao.org/fr/spip.php?article62731 8 mars : Le Mouvement du Nid défend la cause des femmes en ciblant les "clients"20 commentaires « Novateur », « courageux », « indispensable » ! La Meute contre la publicité sexiste a couronné du Prix Fémino d’Or, ce 6 mars, la campagne de prévention du Mouvement du Nid destinée à interpeller les clients de la prostitution et, plus largement, l’opinion publique. Chaque année, la Meute récompense en France la publicité ou la campagne qui sert le plus la cause des femmes. "Ce prix Fémino récompense le patient travail que fait le Mouvement du Nid pour préparer des générations d’hommes non clients, et faire ainsi reculer la prostitution", a déclaré Grégoire Théry, Secrétaire général du Mouvement du Nid, lors de la remise des prix à la Mairie du XXe arrondissement de Paris. La Meute souligne sur son site Internet qu’elle a apprécié que la prostitution soit abordée par l’angle des hommes qui paient, et non plus celui, éternel, des personnes prostituées ; c’est la première fois en France dans une campagne nationale. Le visuel montre en effet un macho barbu et tatoué arborant le slogan : « Pas ma mère, pas ma sœur ». De nombreux commentaires des votants (à lire sur le site de la Meute : www.lameute.fr ) encouragent non seulement le Mouvement du Nid à poursuivre dans cette voie mais aussi les féministes en France à relayer ce message pour faire avancer la cause des femmes. "Du jamais vu", selon Florence Montreynaud, responsable de la Meute : ce sont 40% des votants qui ont plébiscité ce visuel. Pour le Mouvement du Nid, ce vote est le signe d’une opinion qui identifie de plus en plus la domination et la violence à l’œuvre dans la prostitution, et est désireuse de voir s’exprimer une véritable volonté politique en la matière. Pour appuyer davantage ses actions, l’association lance parallèlement un "Manifeste pour construire une société sans prostitution". Le signer, le diffuser, c’est agir pour faire reculer le système prostitutionnel, qui reste à ce jour l’un des bastions sexistes les mieux gardés… De : Mouvement du Nid vendredi 7 mars 2008 Je conseille de lire les commentaires, et voir ce que pensent ces trouducs du "consentement". La prochaine marche des putes aura lieu le 22 mars.
Ronnie Hayek Posté 12 mars 2008 Signaler Posté 12 mars 2008 La prochaine marche des putes aura lieu le 22 mars. Ce fil me rappelle le passage suivant de L'Aventure, c'est l'aventure. [dailymotion]x4fzs8&v3=1&related=1[/dailymotion]
Skit Posté 12 mars 2008 Signaler Posté 12 mars 2008 C'est une impression où elle souhaite qu'il y ait une prostitution publique? L'état ne garantit pas déjà ça à force de nous enc***?
Harald Posté 12 mars 2008 Signaler Posté 12 mars 2008 Et le meilleur moyen d'éliminer la prostitution involontaire, c'est bien de légaliser la volontaire (concurrence, qualité du service, tout ça). Mais la prostitution est légale en France, seuls le proxénétisme et le racolage sont pénalisés.
Harald Posté 12 mars 2008 Signaler Posté 12 mars 2008 Ce fil me rappelle le passage suivant de L'Aventure, c'est l'aventure.[dailymotion]x4fzs8&v3=1&related=1[/dailymotion] Inspiré du mouvement des prostituées qui a germé durant les années 70 et représenté par la très médiatique Ulla à l'époque. Copeau a dû en entendre parler, c'était une lyonnaise. http://www.brain-magazine.com/index.php?general=magazine&rubrique=reportages&categorie=reportages&folder=paroles_prostituees http://www.lexpress.fr/services/archives/consultation.asp?id=046516F http://fr.mailarchive.ca/soc.feminisme/2005-03/1244.html http://membres.lycos.fr/survivantes/
Ronnie Hayek Posté 12 mars 2008 Signaler Posté 12 mars 2008 C'est une impression où elle souhaite qu'il y ait une prostitution publique? Si fait, et en arguant à partir de la propriété du corps…
LaFéeC Posté 13 mars 2008 Signaler Posté 13 mars 2008 Mais la prostitution est légale en France, seuls le proxénétisme et le racolage sont pénalisés. Le problème c'est que la définition du proxénétisme est bcp trop large et inclus n'importe quelle personne qui aiderait une pute à se prostituer (au hasard, un webmaster, un hôtelier) ou qui profiterait des revenus de la prostitution. D'ailleurs, si on retient cette définition, l'état est le premier proxo de France.
0100011 Posté 13 mars 2008 Signaler Posté 13 mars 2008 Le problème c'est que la définition du proxénétisme est bcp trop large et inclus n'importe quelle personne qui aiderait une pute à se prostituer (au hasard, un webmaster, un hôtelier) ou qui profiterait des revenus de la prostitution.D'ailleurs, si on retient cette définition, l'état est le premier proxo de France. Clairement au trésor public ils ne se posent pas la question de savoir s'ils profitent ou non des revenus d'une prostituée. J'avais d'ailleurs entendu le cas d'une prostituée qui avait poursuivi l'état pour proxénétisme après qu'elle eu reçu un redressement fiscal : elle arguait que le trésors public la forçait à se prostituer plus qu'elle ne l'aurait désiré…
Salatomatonion Posté 13 mars 2008 Signaler Posté 13 mars 2008 Le problème c'est que la définition du proxénétisme est bcp trop large et inclus n'importe quelle personne qui aiderait une pute à se prostituer (au hasard, un webmaster, un hôtelier) ou qui profiterait des revenus de la prostitution.D'ailleurs, si on retient cette définition, l'état est le premier proxo de France. Effectivement, le seul fait d'héberger ou d'être compagnon ou concubin et donc de partager les revenus attire les foudres du vrai proxo le plus puissant qu'est l'état.
LaFéeC Posté 13 mars 2008 Signaler Posté 13 mars 2008 Et donc si aider une pute est un délit, je ne vois pas comment on peut considérer qu'elle peut exercer son activité. (de toute façon, la pénalisation des clients pend au nez)
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