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La Suisse Est Très Déçue


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  Dilbert a dit :

C'est vrai quoi, qu'est-ce qu'ils ont de plus, les Japonais ?

http://tf1.lci.fr/infos/france/0,,3301085,00.html

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Clearstream est-il un outil de interational ? confused004.gif

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Wayne MarsdenSelon le français informé et selon les sources italiennes, Sarkozy, qui est défendu par la presse de néo-contre globale comme la victime d'un « macule la campagne, » a l'air d'être jusqu'à son cou dans les connexions financières, étrangères et suspectes et cela est ce qu'a incité DeVillepin, Chirac, et l'intelligence française examiner l'extrême-droite et le Ministre bruyamment anti- arabe et anti-musulman Intérieur. Sarkozy est soupçonné de liens aux syndicats de mafia russe-Israeliens pareils qui ont été connectés à Abramoff de Cric, Dick Cheney, et les politiciens Israeliens principaux.

Selon le français informé et selon les sources italiennes, Sarkozy, qui est défendu par la presse de néo-contre globale comme la victime d'un « macule la campagne, » a l'air d'être jusqu'à son cou dans les connexions financières, étrangères et suspectes et cela est ce qu'a incité DeVillepin, Chirac, et l'intelligence française examiner l'extrême-droite et le Ministre bruyamment anti- arabe et anti-musulman Intérieur. Sarkozy est soupçonné de liens aux syndicats de mafia russe-Israeliens pareils qui ont été connectés à Abramoff de Cric, Dick Cheney, et les politiciens Israeliens principaux.

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@Etienne & Apollon :

Non non, vous n'y êtes pas : l'homme politique est corrompu, je maintiens. Non pas parce qu'il pique dans la caisse (parce qu'ils ne piquent pas tous), mais de deux façons :

- il s'imagine, par le pouvoir de sa fonction, pouvoir résoudre des problèmes qu'en général un autre homme politique aura aider à créer (si ce n'est lui)

- il a besoin pour ce pouvoir de fonction de "plaire", c'est à dire de vendre l'idée qui consiste à faire remettre tout ou partie de sa liberté dans ses mains par ceux qui l'adoubent contre une hypothétique résolution de leurs problèmes.

Effectivement, il y a des degrés de corruptions plus ou moins grands, mais ce degré n'est jamais nul.

En outre, et c'est le point le plus important : la plupart des politiques sont effectivement convaincus de leurs méthodes et inconscients de ce problème. On peut donc être parfaitement honnête et totalement corrompu :icon_up: (si vous me suivez)

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Tu entretiens tes confusions de vocabulaire : tu entends par "corruption" "corruption morale" alors que par "corruption", dans le contexte politique, on entend quasiment toujours "corruption financière". Et ce n'est pas la même chose. Et du point de vue de la corruption morale, il n'y a pas que les hommes politiques qui sont indemnes !

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  Etienne a dit :
Tu entretiens tes confusions de vocabulaire : tu entends par "corruption" "corruption morale" alors que par "corruption", dans le contexte politique, on entend quasiment toujours "corruption financière". Et ce n'est pas la même chose. Et du point de vue de la corruption morale, il n'y a pas que les hommes politiques qui sont indemnes !

Je n'entretiens rien… Ah, si quelques plantes vertes, mais c'est seulement pour améliorer le rendu général de mon salon. Si tu entends "corruption financière" quand je parle de "corruption", c'est simplement à cause d'un petit bouchon de cérumen coincé là, entre l'oreille moyenne et l'oreille externe, qu'il faudra nettoyer au prochain plouf, car c'est bien là que les bactéries (amorales et corrompues financièrement) attaquent.

Pour moi, la pire des corruption est morale. Elle est la racine du mal bien avant la financière. Et la corruption morale d'un politique est beaucoup plus grave que la corruption morale ou autre d'un quidam lambda qui n'a pas la coercition pour lui. Ca me semble évident.

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A vrai dire, j'attends encore des exemples de politiciens qui n'ont pas piqué dans la caisse/utilisé leurs pouvoir pour leur propre profit. Même dans les petites communes j'ai constaté ça, alors…

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  h16 a dit :
Je n'entretiens rien… Ah, si quelques plantes vertes, mais c'est seulement pour améliorer le rendu général de mon salon. Si tu entends "corruption financière" quand je parle de "corruption", c'est simplement à cause d'un petit bouchon de cérumen coincé là, entre l'oreille moyenne et l'oreille externe, qu'il faudra nettoyer au prochain plouf, car c'est bien là que les bactéries (amorales et corrompues financièrement) attaquent.

Pour moi, la pire des corruption est morale. Elle est la racine du mal bien avant la financière. Et la corruption morale d'un politique est beaucoup plus grave que la corruption morale ou autre d'un quidam lambda qui n'a pas la coercition pour lui. Ca me semble évident.

Quel chef-d'oeuvre de mauvaise foi :icon_up:

Au fait, comment est-il possible d'être pourri par nature ?

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  Apollon a dit :
Quel chef-d'oeuvre de mauvaise foi :icon_up:

Libre à vous de me démonter. Il faudrait cependant faire un tout petit peu plus constructif.

Invité jabial
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H16, je trouve que tu te comportes comme un randien :icon_up:

Tu utilises des termes dans une acception qui n'est pas la plus courante, et tu t'attends à ce qu'on te comprenne. Et bien, ça ne marche pas, et ça ne devrait pas t'étonner que des gens qui ne te connaissent pas bien te croient de mauvaise foi. En fait, tu es de mauvais langage.

La langue sert à communiquer ; il faut utiliser un vocabulaire commun, ou aucun dialogue n'est possible.

Sur le fond du sujet, il existe très certainement des politiciens non corrompus (ie, des altruistes ou simplement des gens honnêtes à qui la propagande a fait croire que leur métier l'est aussi - et mon expérience est que les superstitions résistent à l'intelligence). Néanmoins, la corruption (éthique d'abord, financière ensuite) étant une qualité majeure pour réussir en politique, par sélection naturelle on a tendance à ne retrouver au sommet (c'est-à-dire tout ce qui est au dessus de simple conseiller municipal de coin perdu) que des ordures ou des fanatiques.

J'insiste sur cette deuxième catégorie, qui n'est pas antinomique de la première mais peut bel et bien permettre à quelques politiciens de devenir députés voire ministres sans être moralement corrompus. Ceci dit, ils ne font généralement pas long feu car la souplesse du roseau (ou plutôt, de la girouette) leur fait défait.

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  h16 a dit :
En outre, et c'est le point le plus important : la plupart des politiques sont effectivement convaincus de leurs méthodes et inconscients de ce problème. On peut donc être parfaitement honnête et totalement corrompu :icon_up: (si vous me suivez)

Je ne suis pas d'accord. Pour le moment, je n'ai jamais rencontré un politique honnête. Les gens honnêtes qui envisagent de se "lancer" dans la politique abandonnent rapidement dès qu'ils s'aperçoivent des compromissions obligatoires et des couleuvres à avaler afin de parvenir au sommet.

Au début cela commence par des "coups de mains" ou des renvois d'ascenseur et c'est tout de suite l'engrenage.

Pour que le système démocratique soit viable, il faudrait que tout l'entourage, tous ceux qui file un coup de mains au candidat le fasse de manière totalement désintéressée et quand bien même ce serait le cas, il arrive forcément un jour où il y a conflit d'intérêt entre collectivité et individus. Ce jour, l'élu devra trancher. Il aura beau se cacher derrière "l'intérêt général", comme c'est une notion qui ne veut rien dire, le choix véritable sera fait selon l'alternative suivante: Soit l'élu favorisera ses amis (corruption) soit il ouvrira le parapluie.

Posté
  jabial a dit :
H16, je trouve que tu te comportes comme un randien :warez:

Tu utilises des termes dans une acception qui n'est pas la plus courante, et tu t'attends à ce qu'on te comprenne. Et bien, ça ne marche pas, et ça ne devrait pas t'étonner que des gens qui ne te connaissent pas bien te croient de mauvaise foi. En fait, tu es de mauvais langage.

:icon_up: 'Je parler bien la France et je te merde.' :doigt:

J'ai tout de même du mal à comprendre cette cristallisation sur quelque chose à ce point évident : s'il existe ces termes "corruption financière", "corruption morale", "corruption par oxydation" ou "corruption physique", c'est bien que le terme corruption à lui seul ne veut pas dire "corruption financière"… Bref, passons. L'important étant que cette petite ambiguïté soit levée.

  jabial a dit :
La langue sert à communiquer ; il faut utiliser un vocabulaire commun, ou aucun dialogue n'est possible.

Le commun des uns n'est pas le commun des autres, semble-t-il.

  jabial a dit :
Sur le fond du sujet, il existe très certainement des politiciens non corrompus (ie, des altruistes ou simplement des gens honnêtes à qui la propagande a fait croire que leur métier l'est aussi - et mon expérience est que les superstitions résistent à l'intelligence).

C'est ce que je voulais dire avec "honnête mais corrompus" - ne le sachant pas, en clair.

  jabial a dit :
Néanmoins, la corruption (éthique d'abord, financière ensuite) étant une qualité majeure pour réussir en politique, par sélection naturelle on a tendance à ne retrouver au sommet (c'est-à-dire tout ce qui est au dessus de simple conseiller municipal de coin perdu) que des ordures ou des fanatiques.

J'insiste sur cette deuxième catégorie, qui n'est pas antinomique de la première mais peut bel et bien permettre à quelques politiciens de devenir députés voire ministres sans être moralement corrompus. Ceci dit, ils ne font généralement pas long feu car la souplesse du roseau (ou plutôt, de la girouette) leur fait défaut.

J'ai le pessisme de penser que même les petits conseillers municipaux se corrompent aussi vite que l'alu dans l'acide décamolaire… Je ne vois pas en effet comment obtenir une charge de pouvoir, sans être un jour amené à devoir faire des choix entre le "bien collectif" et son avantage personnel. Seuls ceux qui ne se sont jamais posé la question parce qu'ils étaient trop bêtes sont effectivement incorruptibles. Mais comme disait l'autre, le royaume de Dieu leur appartient.

  Rocou a dit :
Je ne suis pas d'accord. Pour le moment, je n'ai jamais rencontré un politique honnête. Les gens honnêtes qui envisagent de se "lancer" dans la politique abandonnent rapidement dès qu'ils s'aperçoivent des compromissions obligatoires et des couleuvres à avaler afin de parvenir au sommet.

Au début cela commence par des "coups de mains" ou des renvois d'ascenseur et c'est tout de suite l'engrenage.

Pour que le système démocratique soit viable, il faudrait que tout l'entourage, tous ceux qui file un coup de mains au candidat le fasse de manière totalement désintéressée et quand bien même ce serait le cas, il arrive forcément un jour où il y a conflit d'intérêt entre collectivité et individus. Ce jour, l'élu devra trancher. Il aura beau se cacher derrière "l'intérêt général", comme c'est une notion qui ne veut rien dire, le choix véritable sera fait selon l'alternative suivante: Soit l'élu favorisera ses amis (corruption) soit il ouvrira le parapluie.

C'est le sens de mon message au départ ; "honnête & corrompu" étant antinomique, il ne peut subsister que les simples d'esprits un peu épais pour cumuler les deux. Les autres sombrent dans les penchants que tu décris ici.

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