océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Un pas vers la prohibition ? Pour les intéressés
Etienne Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Le phénomène est en tout cas pris au sérieux par les députés qui ont créé une mission parlementaire sur la santé des étudiants et ont l'intention de consacrer une large part de leurs travaux aux problèmes d'alcool. Afin, selon le président de la mission, l'UMP Laurent Wauquiez, de «ne plus laisser faire n'importe quoi». Mais qu'est-ce qu'ils nous emmerdent ! Enfin, de toute façon, je ne crois pas qu'ils puissent y changer grand chose. (Petite info croustillante, qui m'avait fait rire : parmi le staff du BDE d'HEC, qui doit compter 20-25 personnes, il y a deux responsables "alcool".) Sinon : http://www.campushec.com/cp/article.php5?a…0bdc93b6fcacc3e.
A.B. Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Sinon : http://www.campushec.com/cp/article.php5?a…0bdc93b6fcacc3e. Pfff, meme pas de debit illegal de boisson, pt'its joueurs.
océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 Mais qu'est-ce qu'ils nous emmerdent ! Enfin, de toute façon, je ne crois pas qu'ils puissent y changer grand chose.(Petite info croustillante, qui m'avait fait rire : parmi le staff du BDE d'HEC, qui doit compter 20-25 personnes, il y a deux responsables "alcool".) Sinon : http://www.campushec.com/cp/article.php5?a…0bdc93b6fcacc3e. Tu es à HEC ? Si, oui, je voulais savoir si l'article n'exagerait pas inutilement la situation. En gros, les journalistes savent-ils vraiment de quoi ils parlent ?
A.B. Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Tu es à HEC ? Si, oui, je voulais savoir si l'article n'exagerait pas inutilement la situation. En gros, les journalistes savent-ils vraiment de quoi ils parlent ? Je ne suis pas passe par HEC (mon dieu non) mais je peux te confirmer que les soirees y sont tres tres arrosees et que l'article n'exagere pas du tout. Ca reste sans comparaison avec les soirees medecine ceci dit. Je ne pense pas qu'on exagere la question de l'alcool dans les grandes ecoles… Le fait de vivre sur un campus isole n'aide clairement pas.
océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 Je compatis. Et lui en patit… (blague toute pourrie, désolée)
Etienne Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Je ne suis pas passe par HEC (mon dieu non). C'est bien du snobisme digne d'un taupin, ça !
océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 Je ne suis pas passe par HEC (mon dieu non) mais je peux te confirmer que les soirees y sont tres tres arrosees et que l'article n'exagere pas du tout. Ca reste sans comparaison avec les soirees medecine ceci dit. Je ne pense pas qu'on exagere la question de l'alcool dans les grandes ecoles… Le fait de vivre sur un campus isole n'aide clairement pas. Les réactions des élèves d'HEC (sur le lien d'Etienne) tendent à minimiser la situation. Boit-on plus aujourd'hui ou parle-t-on plus de ces soirées qui peuvent choquer dans un pays en crise ?
Lexington Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 J'y suis et cet article m'énerve franchement, comme tout ces articles pour faire plaisir aux grand mères qui lisent ce journal. Avec leurs c******** on va encore avoir droit à une loi nous disant que c'est pas bien de boire. Ils exagèrent pas mal les choses mais le fond est vrai quand même. En résumé, ils savent de quoi ils parlent mais amplifient. Par exemple, dès le départ c'est amplifié. Ils disent 15€ alors que la soirée à elle seule coute plutôt 20€, sans compter le transport. Idem sur les "vomissements à répétition" and co pour lesquels le journaliste transforme l'exception en règle. Les soirées HEC sont arrosées, oui, mais bien plus softs qu'en médecine et ce sont bien plus les filles de l'école que l'alcool qui attirent les cars d'ingés du plateau de Saclay Pour Océane, on boit moins qu'avant, en particulier avec le nouveau directeur des études. Mais attention au syndrôme "c'était mieux avant"
océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 J'y suis et cet article m'énerve franchement, comme tout ces articles pour faire plaisir aux grand mères qui lisent ce journal. Avec leurs c******** on va encore avoir droit à une loi nous disant que c'est pas bien de boire. Ils exagèrent pas mal les choses mais le fond est vrai quand même. En résumé, ils savent de quoi ils parlent mais amplifient.Par exemple, dès le départ c'est amplifié. Ils disent 15€ alors que la soirée à elle seule coute plutôt 20€, sans compter le transport. Idem sur les "vomissements à répétition" and co pour lesquels le journaliste transforme l'exception en règle. Les soirées HEC sont arrosées, oui, mais bien plus softs qu'en médecine et ce sont bien plus les filles de l'école que l'alcool qui attirent les cars d'ingés du plateau de Saclay Pas de trash attitude donc à HEC ?
Lexington Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Pas de trash attitude donc à HEC ? Oh que si Mais il y a pire, chez les centraliens ou les médecins. Et comme partout, c'est une question de choix, tu n'es pas obligé de boire. Et puis tout bêtement vu la lenteur du service, tu peux pas trop faire d'excès! Cet article c'est vraiment pour aller agiter les pères la vertu. Ca fait déjà 2 jours que je l'ai en 24/24 à la maison donc ça commence à me chauffer franchement.
océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 Je ne suis pas passe par HEC (mon dieu non) mais je peux te confirmer que les soirees y sont tres tres arrosees et que l'article n'exagere pas du tout. Ca reste sans comparaison avec les soirees medecine ceci dit. Je ne pense pas qu'on exagere la question de l'alcool dans les grandes ecoles… Le fait de vivre sur un campus isole n'aide clairement pas. L'État doit-il pour autant s'en mêler… La direction de l'École n'a pas intérêt à voir ce genre d'article et s'occupera bien assez de régler ce genre de problème. La fin de l'article atteint les sommets de la bétise. Pour reprendre la dernière phrase de l'article, j'ai bien peur que l'État fasse "n'importe quoi" en "ne laissant pas faire".
Lexington Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 L'État doit-il pour autant s'en mêler… La direction de l'École n'a pas intérêt à voir ce genre d'article et s'occupera bien assez de régler ce genre de problème. La fin de l'article atteint les sommets de la bétise. Pour reprendre la dernière phrase de l'article, j'ai bien peur que l'État fasse "n'importe quoi" en "ne laissant pas faire". Parfaitement d'accord. AB résumer ces soirées à du bourrage de gueule comme le fait l'article c'est franchement exagéré. Oui il y a des dérives mais ça reste bon enfant généralement
A.B. Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 AB résumer ces soirées à du bourrage de gueule comme le fait l'article c'est franchement exagéré. Oui il y a des dérives mais ça reste bon enfant généralement Certes, mais je suis un peu degoute par le collectivisme qui fait passer les subventions de la vie etudiante dans de l'alcool. Je ne bois pas une goutte donc je suis peut-etre un peu biaise contre la beuverie, mais ce que j'ai vu m'a choque. Voir des galettes sur le sol c'est pas tres digne. L'État doit-il pour autant s'en mêler… Ah mais certainement pas… tu demandes si c'est vraiment comme decrit dans l'article. Je dis que d'apres moi oui c'est tout. Maintenant legiferer serait d'une immense stupidite, les etudiants se saouleront dans leur coin ce qui est pire.
Lexington Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Certes, mais je suis un peu degoute par le collectivisme qui fait passer les subventions de la vie etudiante dans de l'alcool. Je ne bois pas une goutte donc je suis peut-etre un peu biaise contre la beuverie, mais ce que j'ai vu m'a choque. Voir des galettes sur le sol c'est pas tres digne. Tant que c'est financé par une entreprise qui croit qu'elle convaincra les étudiants de venir bosser chez elle en les alcoolisant, ça ne me dérange pas. Après si mes frais de scolarité servent à payer l'alcool, là bof. Mais je crois que ce sont les cotisations volontaires (sur le papier au moins..) au BDE qui le finance. A vérifier cependant.
A.B. Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Les réactions des élèves d'HEC (sur le lien d'Etienne) tendent à minimiser la situation. Boit-on plus aujourd'hui ou parle-t-on plus de ces soirées qui peuvent choquer dans un pays en crise ? Je pense qu'a l'origine de la beuverie il y a une forme de collectivisme. A partir du moment ou on vit dans une societe ou la responsabilite individuelle compte et ou l'individu est reconnu je pense qu'on a moins tendance a aller vomir partout.
Domi Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 L'alcool à l'école, c'est pas cool! L'interdire? c'est une colle! Précision: je n'ai pas bu.
A.B. Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 Tant que c'est financé par une entreprise qui croit qu'elle convaincra les étudiants de venir bosser chez elle en les alcoolisant, ça ne me dérange pas. L'entreprise croit donner de l'argent aux etudiants mais il est en realite distribue au BDE… maintenant il est vrai que le BDE a peut-etre contacte ses entreprises, et elles sont libres de distribuer l'argent a qui elles veulent, y compris au BDE… je ne pretend pas que ce soit illegitime, mais la mentalite collectiviste des BDE me derange, ce sont des mini-etats en plus demagogiques, plus politiquement-corrects et plus corrompus. Mais je crois que ce sont les cotisations volontaires (sur le papier au moins..) au BDE qui le finance. La cotisation "volontaire" au BDE est souvent assortie de fortes pressions psychologiques. Et par ailleurs si tu ne cotises pas, as-tu acces aux soirees? Si non comment est-ce justifiable vu que les locaux appartiennent a l'ecole et non au BDE?
océane sitbon Posté 7 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2006 Ah mais certainement pas… tu demandes si c'est vraiment comme decrit dans l'article. Je dis que d'apres moi oui c'est tout. Maintenant legiferer serait d'une immense stupidite, les etudiants se saouleront dans leur coin ce qui est pire. Désolé, j'extrapolais effectivement. Le problème c'est que le début de l'article provoque la fin. Je m'explique : il y a une suite logique qui me dérange fortement. 1/Un constat qui dérange "les pères la vertu" --> 2/ Il faut trouver une solution (je crois que c'est le maillon faible) —> 3/ La solution ne peut-être que dans la loi, les règles,… . Cette logique interne à l'article est celui qui guide la majorité des français dans chacune de leur réflexion. Ce que j'écris n'est pas très original mais cet article est une telle caricature de ce raisonnement, que je désespère de voir un jour les français réfléchir autrement… La cotisation "volontaire" au BDE est souvent assortie de fortes pressions psychologiques. Et par ailleurs si tu ne cotises pas, as-tu acces aux soirees? Si non comment est-ce justifiable vu que les locaux appartiennent a l'ecole et non au BDE? La cotisation ne donne que des avantages financiers d'après mon expérience. La non-cotisation n'entraîne pas ce genre d'interdiction. J'imagine qu'à HEC c'est la même chose.
Lexington Posté 7 octobre 2006 Signaler Posté 7 octobre 2006 La cotisation ne donne que des avantages financiers d'après mon expérience. La non-cotisation n'entraîne pas ce genre d'interdiction. J'imagine qu'à HEC c'est la même chose. Non, la cotis te permet d'aller aux "pows" qui sont réservés aux HEC. Et si tu peux théoriquement ne pas adhérer, tu n'as pas le choix en fait, comme le faisait remarquer AB. Sur ce je vous laisse, histoire de suivre quelque chose au Parrain
xara Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Un pas vers la prohibition ?Pour les intéressés Récapitulons en tenant compte du contexte général. Le tabac dans les lieux "publics", c'est maaaaal. L'alcool dans les grandes écoles, c'est maaaaal. Et ça ne fait pas autant de bruit dans les médias (c'est le cas de le dire), mais les décibels, c'est maaaaal aussi. Donc, interdisons les soirées HEC et tant qu'à faire, toute soirée dans n'importe quelle boîte de nuit où il y aurait de la fumée, de l'alcool et du son.
SilenT BoB Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Pour avoir fait une école de commerce et organisé plusieurs soirées étudiantes, voilà comment cela fonctionne. Au départ, il y a deux solutions, soit la soirée est sur le campus et alors il faut se plier aux règles de l'école (dans la miennes les soirées étaient interdites), soit il faut louer une boite de nuit et alors on fait ce que l'on veut. Une fois le lieu choisi, il faut de l'alcool et là c'est simple au va au BDE et on demande le numéros des deux gros producteur dont ricard. Il vous fournissent beaucoup de choses, pas mal de gobelet, mais il faut en racheter par derrière. Il y aaussi les week end d'intégration et de déintégration (début et fin de l'école), là j'avoue c'est assez orgiaque, perso j'étais assez sec durant ces week ends. Pour les soirées en général il y a environs 10 mecs bien bourrés, le reste se tient plus ou moins. Le truc c'est que les députés pourront voter toutes les lois qu'ils veulent, ce sont des associations loi 1901 qui organisent des soirées privées dans des lieus privés, en aucun cas l'école n'est mélée à ces soirée (en tout cas concernant mon école). Chaque année on a droit à un topo la-dessus de la part d'un journaleux dont le fils est choqué parce que son fils ou sa fille étaient defaits lors des premières soirées étudiantes. Les députés ne pourront rien changer, tout est fait en privé l'école n'aparaît pas donc, aucun pouvoir de nuisance possible, mais bon vu qu'ils se foutent de la propriété privée… Pour les prix, c'est entre 5 et 7 euros l'entrée (sauf lors des élections du BDE c'est gratuit) le verre de soft c'est 0,5 euro, le verre avec alcool c'est 1,5 ou 2 euros. Il faut dire que les doses dans les verres sont assez importantes 1/4 d'alcool voir 1/3 en fin de soirée (quand le barman est bourré aussi) EN ce qui concerne la cotisation au BDE, elle est de 150 à 200 euros et ne se fait qu'une fois pour les trois ans, une fois payée elle vous permet d'avoir des réductions sur tout ce qui est organisé par des associations de l'école. Les associations organisent des activités karting, billard, mini-motos,paintball, etc… le prix diminue si vous êtes cotisant. Si vous comptez faire un max de soirées, d'activités alors ça vaut le coup sur trois ans. Si vous ne cotisez pas c'est votre choix, on pousse un peu mais pas d'obligation, parce que l'argent sert également à faire vivre les associations qui n'ont pas la puissance financière de faire des soirées, pour certaines 500 euros c'est énorme déjà. Mais une fois la période de cotisation passée vous n'en entendez plus parler. Mais pourquoi ces soirées? Dans les écoles de commerce il a des personnes de la France entière, une vie s'organise donc autour d'associations d'élèves (sous loi 1901) et qui bénéficient de locaux dans l'établissement. Le BDE coordonne en général les assoces même si elles sont très indépendantes. Le but des soirées est de faire du bénéfice afin de renfluer les comptes des associations. Une association a besoin de fonds pour vivre, les soirées génèrent environs 450 à 1000 euros de bénéfice (une boite de nuit c'est environs 2500 à 3000 euros la nuit de location avec la sécurité). Voilà vous en savez maintenant un peu plus sur le pourquoi et le comment des soirées d'écoles de commerce.
Chitah Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Pfff, meme pas de debit illegal de boisson, pt'its joueurs. Les HEC sont les spécialistes du bobard, non? Le fait de vivre sur un campus isole n'aide clairement pas. Oh que si Mais il y a pire, chez les centraliens ou les médecins. Qu'est-ce que c'est que ces calomnies?
h16 Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Les HEC sont les spécialistes du bobard, non? Rémunéré.
océane sitbon Posté 8 octobre 2006 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2006 Récapitulons en tenant compte du contexte général. Le tabac dans les lieux "publics", c'est maaaaal. L'alcool dans les grandes écoles, c'est maaaaal. Et ça ne fait pas autant de bruit dans les médias (c'est le cas de le dire), mais les décibels, c'est maaaaal aussi. Donc, interdisons les soirées HEC et tant qu'à faire, toute soirée dans n'importe quelle boîte de nuit où il y aurait de la fumée, de l'alcool et du son. Hier, Eric Zemmour beuglait encore sur France 2 que la France pouvait se targuer d'être une "URSS qui fonctionne". "Voilà le miracle à la française" a-t-il lancé à un journaliste américain vivant en France (Ted Stanger) et qui vient de sortir "Sacrés Fonctionnaires", un pamphlet sur la bureaucratie hexagonale. "La France préfère l'égalité à la liberté" finit par expliquer Zemmour, ce nain prétentieux, pour conclure le lynchage en règle (par l'ensemble des invités et du public) de ce journaliste. J'ai été outrée de voir la réaction du public face à une critique juste et que je croyais pourtant partagée par bon nombre. Je vous le dit : rien ne va plus, faîtes vos malles…
h16 Posté 8 octobre 2006 Signaler Posté 8 octobre 2006 Hier, Eric Zemmour beuglait encore sur France 2 que la France pouvait se targuer d'être une "URSS qui fonctionne". "Voilà le miracle à la française" a-t-il lancé à un journaliste américain vivant en France (Ted Stanger) et qui vient de sortir "Sacrés Fonctionnaires", un pamphlet sur la bureaucratie hexagonale. "La France préfère l'égalité à la liberté" finit par expliquer Zemmour, ce nain prétentieux, pour conclure le lynchage en règle (par l'ensemble des invités et du public) de ce journaliste. J'ai été outrée de voir la réaction du public face à une critique juste et que je croyais pourtant partagée par bon nombre. Je vous le dit : rien ne va plus, faîtes vos malles… Tant qu'un discours juste sera porté par quelqu'un que même certains sympathisants trouvent nain & prétentieux, il est clair que le décillement salvatoire des Français n'est pas pour demain.
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