Wallace Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 Mouais. Enfin les media, pour différentes raisons, se focalisent sur cette région du monde alors qu'il existe bien d'autres poudrières aussi instables. Justement pour rebondir sur ces propos, je n'arrive pas à comprendre pourquoi le conflit israelo-palestinien fait main basse sur une large partie des spots d'info (télé et radio) alors que c'est une toute petite partie du globe et qu'en plus d'autres conflits font plus de morts (Non pas à considérer que plus un conflit fait de morts, plus il faille en parler.) Ce phénomène est d'autant plus surprenant, que certains jours ou il n'y pas de mort sur la bande de Gaza, les médias s'empressent de souligner ce fait. Quelles sont donc les raisons de cette focalisation ?
Rincevent Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 Justement pour rebondir sur ces propos, je n'arrive pas à comprendre pourquoi le conflit israelo-palestinien fait main basse sur une large partie des spots d'info (télé et radio) alors que c'est une toute petite partie du globe et qu'en plus d'autres conflits font plus de morts (Non pas à considérer que plus un conflit fait de morts, plus il faille en parler.) Beaucoup d'explications ont été données. Bernard Lewis estime que c'est la résultante du fait qu'un nombre anormalement important de personnes s'intéressent aux Juifs, que ce soit en bien ou en mal. Frédéric Encel considère plutôt que c'est la conséquence du fait qu'Israël soit une démocratie (de fait, il est plus facile de circuler et de prendre des photos en Israël qu'au Soudan, au Xinjiang ou dans d'autres endroits chouettes du même genre ; en plus, les hôtels sont plus confortables) ; et de fait, il y a en permanence autant de journalistes étrangers entre la Méditerranée et le Jourdain que dans toute l'Afrique. Mon interprétation est que le buzz s'entretient de lui-même, que les journalistes actuels croient que ça va plaire parce que, gamins, on leur a dit que c'était important : une sorte de reproduction sociologique. Ce phénomène est d'autant plus surprenant, que certains jours ou il n'y pas de mort sur la bande de Gaza, les médias s'empressent de souligner ce fait. Quelles sont donc les raisons de cette focalisation ? Une blague pour mettre en relief le phénomène. Si un moutard de 10 ans jette un caillou contre une voiture de police à Saint-Germain-des-Prés, ça ne fera pas même une ligne dans la gazette du 5ème arrondissement. Si un moutard de 10 ans jette un caillou contre une voiture de police à Gaza, ça passe au 20 heures de TF1.
Wallace Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 Beaucoup d'explications ont été données. Bernard Lewis estime que c'est la résultante du fait qu'un nombre anormalement important de personnes s'intéressent aux Juifs, que ce soit en bien ou en mal. Frédéric Encel considère plutôt que c'est la conséquence du fait qu'Israël soit une démocratie (de fait, il est plus facile de circuler et de prendre des photos en Israël qu'au Soudan, au Xinjiang ou dans d'autres endroits chouettes du même genre ; en plus, les hôtels sont plus confortables) ; et de fait, il y a en permanence autant de journalistes étrangers entre la Méditerranée et le Jourdain que dans toute l'Afrique. Mon interprétation est que le buzz s'entretient de lui-même, que les journalistes actuels croient que ça va plaire parce que, gamins, on leur a dit que c'était important : une sorte de reproduction sociologique. Ces explications se tiennent. Si elles sont vraies, c'est peu reluisant pour les journalistes, s'il faut pour qu'un conflit soit bien couvert médiatiquement, que de bons hôtels se trouvent à proximité, je comprend pourquoi on a peu de nouvelles de la multitude de guérillas qui abondent en forêt amazonienne ou en pleine brousse africaine. Quand au fait qu'un nombre anormal de personnes s'interressent aux juifs, il est quand même douteux d'y voir une relation, parce que ce conflit en somme ne présente aucun suspens, il n'y a absolument aucune originalité du jour au lendemain et d'un mois à l'autre. En bref cela m'étonnerais que le Judéophile ou Judéophobe s'exite devant les spots narrant le nombre de victimmes sur la bande de gaza. Une blague pour mettre en relief le phénomène. Si un moutard de 10 ans jette un caillou contre une voiture de police à Saint-Germain-des-Prés, ça ne fera pas même une ligne dans la gazette du 5ème arrondissement. Si un moutard de 10 ans jette un caillou contre une voiture de police à Gaza, ça passe au 20 heures de TF1.
Apollon Posté 10 février 2007 Signaler Posté 10 février 2007 L'URSS a eu le soutien de la Chine, […] de la Yougoslavie ?! Quant aux autres pays, ils ne soutenaient pas: ils étaient soutenus.
Jeeves Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Je me sentirai presque capable d'utiliser mon avatar pour la peine… ç'est plus efficace qu'un 22 LR!!! Il attend son heure, (probablement comme certain au PS ndlr) pour reprendre les rennes de la campagne et les sondages. Mais je suis preque prêt à utiliser mon avatar!! un bon coup de AK … 47, c'est radical.. à moins qu'un coup de Kärcher bien placé…
Rincevent Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Je me sentirai presque capable d'utiliser mon avatar pour la peine… ç'est plus efficace qu'un 22 LR!!! Il attend son heure, (probablement comme certain au PS ndlr) pour reprendre les rennes de la campagne et les sondages. Mais je suis preque prêt à utiliser mon avatar!! un bon coup de AK … 47, c'est radical.. à moins qu'un coup de Kärcher bien placé… Pas mal, de se citer soi-même…
Apollon Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Il attend son heure, (probablement comme certain au PS ndlr) pour reprendre les rennes de la campagne et les sondages.Mais je suis preque prêt à utiliser mon avatar!! un bon coup de AK … 47, c'est radical.. Tu l'as déjà sortie : elle est nulle.
Giacomo Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Ces explications se tiennent.Si elles sont vraies, c'est peu reluisant pour les journalistes, s'il faut pour qu'un conflit soit bien couvert médiatiquement, que de bons hôtels se trouvent à proximité, je comprend pourquoi on a peu de nouvelles de la multitude de guérillas qui abondent en forêt amazonienne ou en pleine brousse africaine. Quand au fait qu'un nombre anormal de personnes s'interressent aux juifs, il est quand même douteux d'y voir une relation, parce que ce conflit en somme ne présente aucun suspens, il n'y a absolument aucune originalité du jour au lendemain et d'un mois à l'autre. En bref cela m'étonnerais que le Judéophile ou Judéophobe s'exite devant les spots narrant le nombre de victimmes sur la bande de gaza. Allons bon… Il est logique que ce conflit soit au centre des préoccupations médiatiques. Sa valeur symbolique est la plus importante : le point de rencontre des trois religions monothéistes. La guerre se fait sur des valeurs. Quant au fait que l'on n'accorde pas le même linceul médiatique à tous les cadavres, je trouve ça humain et même normal: c'est ce que les journalistes appellent le mort-kilomètre : ce qui vous touche le plus, c'est assurément ce qui vous est le plus proche (symboliquement et géographiquement). Alors oui, les cris de pucelles effarouchées, repues par la consommation outrancière de bonne conscience, m'épuisent…
Jeeves Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Tu l'as déjà sortie : elle est nulle. Merci!!! mais ce n'était pas une blague, plutôt un cri de désespoir… genre prêt à s'immoler sur la place rouge… (ou la place de grève en france?)
Apollon Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 mais ce n'était pas une blague, plutôt un cri de désespoir… genre prêt à s'immoler sur la place rouge… ridicule
DoM P Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 ?!Quant aux autres pays, ils ne soutenaient pas: ils étaient soutenus. Quelles qu'aient pu être les désaccords plus ou moins ponctuels des pays communistes entre eux, lorsqu'il fallait se soutenir, ils étaient tous du même côté. Vous avez déjà vu un pays communiste voter une résolution de l'ONU contre un autre pays communiste? Et les autres pays, s'ils étaient bien obligés de filer droit, leurs positions internationales allaient toujours dans le même sens. J'attends en revanche un exemple de prise de position claire de Mitterrand en faveur de l'URSS.
Apollon Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Quelles qu'aient pu être les désaccords plus ou moins ponctuels des pays communistes entre eux, lorsqu'il fallait se soutenir, ils étaient tous du même côté. La Yougoslavie et la Chine ont chacun à un moment été à deux doigts de la guerre avec l'URSS. Et la guerre Chine - Vietnam illustre bien l'"amitié" entre Etats cocos. Vous avez déjà vu un pays communiste voter une résolution de l'ONU contre un autre pays communiste? Disons plutôt que les communistes n'affichaient par leurs divergences à l'ONU… J'attends en revanche un exemple de prise de position claire de Mitterrand en faveur de l'URSS. Ouh mais c'était ma réplique là, vous avez oublié de quoi on parlait ?
Rincevent Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Allons bon… Il est logique que ce conflit soit au centre des préoccupations médiatiques. Sa valeur symbolique est la plus importante : le point de rencontre des trois religions monothéistes. La guerre se fait sur des valeurs. Quant au fait que l'on n'accorde pas le même linceul médiatique à tous les cadavres, je trouve ça humain et même normal: c'est ce que les journalistes appellent le mort-kilomètre : ce qui vous touche le plus, c'est assurément ce qui vous est le plus proche (symboliquement et géographiquement). […] Bof. Je crois assez peu à la symbolique (qui se rapproche de la thèse de Bernard Lewis, d'une certaine manière), en dehors d'une analyse des représentations qui est de bon aloi en géopolitique, mais peu utile pour ce cas médiatique particulier. Par contre, ça peut être une excellente justification pour certains journalistes qui aiment se prendre pour des intellectuels qu'ils ne sont pas. Quant au mort-kilomètre, théorie déjà plus explicative d'une manière générale, il ne peut pas expliquer pourquoi les media américains en parlent beaucoup eux aussi. Je crois vraiment beaucoup plus aux explications d'Encel (j'ai d'ailleurs eu l'occasion d'en discuter un peu avec lui), qui me paraissent frappés au coin du bon sens. Les journalistes ont du mal à travailler dans un pays totalitaire. Pas dans un pays démocratique. Quelles qu'aient pu être les désaccords plus ou moins ponctuels des pays communistes entre eux, lorsqu'il fallait se soutenir, ils étaient tous du même côté.Vous avez déjà vu un pays communiste voter une résolution de l'ONU contre un autre pays communiste? […] Lors de la crise du fleuve Amour, dans les années 60, Chinois et Russes étaient allés assez loin. Les Chinois s'amusaient d'ailleurs à bombarder les Russes par dessus le fleuve de diverses manières, dont du fumier catapulté ; et les Russes ne s'en sont sortis que par une habile manoeuvre d'influence. De part et d'autre de la frontière, plus d'un million de militaires sont passés à deux doigts de s'affronter. Il n'y a eu, heureusement, que quelques dizaines de morts.
Taranne Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Les explications qu'on donne a posteriori de cet événement ne sont vraiment pas convaincantes alors je regarde les faits et je constate que l'URSS n'a pas eu le soutien politique de la France que l'influence du PC et le tropisme pour les dictatures de la part des intellectuels promettait. C'est parce que les Français ont eu la chance d'avoir un vrai président de droite au moment où il y en avait le plus besoin. Chirac aurait été élu en 1981 que le Mur serait encore debout. Il faut rappeller ceci dit que si Mimi a effectivement euthanasié le PCF et montré une solidarité sans faille avec son camp (affaire des missiles) on ne peut pas dire non plus qu'il ait brillé par son courage au moment de la réunification allemande ou du vrai-faux coup d'état de 1991 où il a presque failli reconnaître Ianaev et sa bande de clowns.
Bellegarrigue Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 C'est parce que les Français ont eu la chance d'avoir un vrai président de droite au moment où il y en avait le plus besoin. Chirac aurait été élu en 1981 que le Mur serait encore debout. Il faut rappeller ceci dit que si Mimi a effectivement euthanasié le PCF et montré une solidarité sans faille avec son camp (affaire des missiles) on ne peut pas dire non plus qu'il ait brillé par son courage au moment de la réunification allemande ou du vrai-faux coup d'état de 1991 où il a presque failli reconnaître Ianaev et sa bande de clowns. Je crois que la différence entre 1981 et 1989 s'appelle simplement Claude Cheysson. C'est lui l'auteur de la "politique étrangère" du début du premier septennat et il faisait partie du courant (disparu pratiquement aujourd'hui) anticommuniste du PS.
Taranne Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Je crois que la différence entre 1981 et 1989 s'appelle simplement Claude Cheysson. C'est lui l'auteur de la "politique étrangère" du début du premier septennat et il faisait partie du courant (disparu pratiquement aujourd'hui) anticommuniste du PS. Vous ne croyez pas si bien dire: je parlais récemment de Jules Moch devant une amie sympathisante socialiste. Réaction immédiate: "Ce vieux facho?"
Bellegarrigue Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Vous ne croyez pas si bien dire: je parlais récemment de Jules Moch devant une amie sympathisante socialiste. Réaction immédiate: "Ce vieux facho?" Ah, Jules Moch ! Ce qui est étonnant c'est qu'elle sache qui c'est ! Pour le PS d'aujourd'hui l'histoire commence avec Mitterrand et s'illumine avec Jack Lang. Je reste réservé sur le rôle de "destructeur du communisme" de Mitterrand : il a effectivement réduit l'influence du PCF en tant que parti constitué mais il a permis au poison bolcho/trotskyste de coloniser complètement le PS et la gauche en général.
Taranne Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Ah, Jules Moch ! Ce qui est étonnant c'est qu'elle sache qui c'est ! Pour le PS d'aujourd'hui l'histoire commence avec Mitterrand et s'illumine avec Jack Lang. Et n'oubliez pas les "grands ancêtres" Jean Jaurès, Léon Blum et Pierre Mendès-France. J'avais blogué voici quelques années sur cette amnésie sélective: http://www.peres-fondateurs.com/taranne/?p=83
Bellegarrigue Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Et n'oubliez pas les "grands ancêtres" Jean Jaurès, Léon Blum et Pierre Mendès-France. J'avais blogué voici quelques années sur cette amnésie sélective:http://www.peres-fondateurs.com/taranne/?p=83 Exact ! sans parler des leaders de la CGT-FO, Jouhaux, Bothereau et Bergeron.
Rincevent Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 […] Je reste réservé sur le rôle de "destructeur du communisme" de Mitterrand : il a effectivement réduit l'influence du PCF en tant que parti constitué mais il a permis au poison bolcho/trotskyste de coloniser complètement le PS et la gauche en général. Je suis encore plus réservé. Le PCF a vu son influence réduite sous Mitterrand, mais ne faisons pas un cum hoc ergo propter hoc non plus. Non seulement le PCF avait déjà très largement perdu de son influence avant 1981, mais de plus il est probable qu'il se serait effondré plus durement encore après 1989 si Miterrand ne l'avait pas rendu "respectable" en le mettant au pouvoir. C'est dans ces moments que j'aimerais être un professionnel de l'histoire contrefactuelle.
Giacomo Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Bof. Je crois assez peu à la symbolique (qui se rapproche de la thèse de Bernard Lewis, d'une certaine manière), en dehors d'une analyse des représentations qui est de bon aloi en géopolitique, mais peu utile pour ce cas médiatique particulier. Par contre, ça peut être une excellente justification pour certains journalistes qui aiment se prendre pour des intellectuels qu'ils ne sont pas. Quant au mort-kilomètre, théorie déjà plus explicative d'une manière générale, il ne peut pas expliquer pourquoi les media américains en parlent beaucoup eux aussi. Je crois vraiment beaucoup plus aux explications d'Encel (j'ai d'ailleurs eu l'occasion d'en discuter un peu avec lui), qui me paraissent frappés au coin du bon sens. Les journalistes ont du mal à travailler dans un pays totalitaire. Pas dans un pays démocratique. Je crois beaucoup à la force symbolique : sans elle, pourquoi les hommes continueraient-ils à se mouvoir ? Vraiment, je ne comprendrais pas. Ce seraient des "pantins considérables" mais sans fils ? Si on accepte ce prémisse, alors on comprend l'intérêt du peuple américain facilement, pourquoi cette question épineuse résonne en lui si fortement et les moyens qu'il met en oeuvre pour la traiter.
Apollon Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 Je reste réservé sur le rôle de "destructeur du communisme" de Mitterrand Rôle que personne ici n'affirme, j'ai simplement rappellé que Mitterrand n'a pas apporté le soutien naturel auquel l'URSS devait s'attendre. Ce faisant il a contribué, avec les autres dirigeant occidentaux, à la chute de l'URSS. Pour le reste, l'évolution collectiviste est le pendant malheureux du recentrage de la politique française cad que les partis de gauche se droitisent (vu de gauche) ou deviennent plus réalistes (vu de droite) mais ce faisant, ils deviennent plus fréquentables et peuvent donc accéder au pouvoir. Si le processus ne s'arrête pas, comme je le pense, alors le reflux collectiviste approche. La campagne en témoigne malgré le concours de promesse traditionnel.
Apollon Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 C'est parce que les Français ont eu la chance d'avoir un vrai président de droite au moment où il y en avait le plus besoin. Chirac aurait été élu en 1981 que le Mur serait encore debout. Le pire c'est que c'est bien possible. La politique de DG n'était-elle pas déjà de renvoyer les deux grands dos à dos ? Et pour les renvoyer dos à dos, il faut bien qu'ils soient deux.
Rincevent Posté 12 février 2007 Signaler Posté 12 février 2007 […] Si on accepte ce prémisse, alors on comprend l'intérêt du peuple américain facilement, pourquoi cette question épineuse résonne en lui si fortement et les moyens qu'il met en oeuvre pour la traiter. Là, tu entres dans l'analyse des représentations à la Lacoste. Les représentations expliquent bien les relations internationales, mais mal les fonctions d'agenda.
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