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Michel Onfray, chou-fleur & sparassis crépu


Messages recommandés

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Dans la série les cuistres narcissiques ont la parole, Onfray dénonce dans ses dernières conférences les faux rebelles et la fausse subversion de la culture d'Etat subventionnée, s'en prend pêle-mêle aux Inrocks, Teknikart, Télérama, au festival d'Avignon, à l'art comptantpourien et aux suceurs d'argent public des conseils régionaux. Il doit l'avoir mauvaise de ne pas en avoir croqué!

 

Le thème de cette série estivale est pompeusement intitulé : « L’autre pensée 68 »

 

http://www.franceculture.fr/emission-contre-histoire-de-la-philosophie-saison-11-questions-reponses-1-2013-08-02

 

http://www.franceculture.fr/emission-contre-histoire-de-la-philosophie-saison-11

Posté

Un couple rentre à la maison après avoir fait les courses. Une fois les poches de matière organique-mais-pas-que transportées d'une main volontaire sur la table de la cuisine, le mari demande à sa chère et tendre épouse d'une voix gutturale mais néanmoins charmante : "Chérie, as-tu pensé à mettre les bières onfray ?"

 

:blagounette:

:lol:

Posté

Dans la série les cuistres narcissiques ont la parole, Onfray dénonce dans ses dernières conférences les faux rebelles et la fausse subversion de la culture d'Etat subventionnée, s'en prend pêle-mêle aux Inrocks, Teknikart, Télérama, au festival d'Avignon, à l'art comptantpourien et aux suceurs d'argent public des conseils régionaux. Il doit l'avoir mauvaise de ne pas en avoir croqué!

 

Le thème de cette série estivale est pompeusement intitulé : « L’autre pensée 68 »

 

http://www.franceculture.fr/emission-contre-histoire-de-la-philosophie-saison-11-questions-reponses-1-2013-08-02

 

http://www.franceculture.fr/emission-contre-histoire-de-la-philosophie-saison-11

 

Michel Onfray n'est pas justement justement un suceur d’argent public professionnel ?

  • 9 months later...
Posté

http://ericzemmour.blogspot.fr/2014/06/videos-zemmour-naulleau-sur-paris.html

Onfray n'a pas voté aux européennes car il ne veut plus voter pour un libéral. (On parle d'ailleurs beaucoup du libéralisme dans cette émission, Finkielkraut nous dit que l'une des illusions libérale est de croire que les hommes sont interchangeables.)

En revanche, lucidité étonnante d'Onfray à propos de Mélenchon.

Posté

Je me rappelle quand il avait commencé à soutenir Mélenchon, il venait de lâcher Besancenot parce qu'il trouvait scandaleux que ce dernier tolère une femme voilée dans son parti. Il est pas très fidèle à ses idoles politiques, je me demande quelle sera la prochaine, peut-être Narine ?

 

 

EDIT : Rofl, ce type, mais ce type quoi !  :facepalm:

 

Posté

Je me rappelle quand il avait commencé à soutenir Mélenchon, il venait de lâcher Besancenot parce qu'il trouvait scandaleux que ce dernier tolère une femme voilée dans son parti. Il est pas très fidèle à ses idoles politiques, je me demande quelle sera la prochaine, peut-être Narine ?

Son flirt avec Mélenchon n'avait pas duré très longtemps. Dès qu'il a vu que celui-ci était fan de Robespierre et de Castro...
Posté

Je me rappelle quand il avait commencé à soutenir Mélenchon, il venait de lâcher Besancenot parce qu'il trouvait scandaleux que ce dernier tolère une femme voilée dans son parti. Il est pas très fidèle à ses idoles politiques, je me demande quelle sera la prochaine, peut-être Narine ?

 

 

EDIT : Rofl, ce type, mais ce type quoi !  :facepalm:

 

 

Le libéralisme, c'est donc lorsqu'on arrête de soigner les malades parce que ça coute trop cher…

Leconleconleconlecon, mécépapossiiiiible !

Posté

 

Rien de très original.

En apologiste de l'Etat et par conséquent du service publique il n'entrevoit la mise en place de services arbitrairement jugés publics qu'à travers la violence étatique. Bizarrement d'ailleurs ces gens critiquent toujours le marché spoliateur et avide mais ne questionne jamais le bien fondé de la "violence légitime".

 

Dans un monde horriblement libéral, si un ensemble de professionnel de la santé crée par exemple une clinique privée et s'assure d'effectuer des soins abordables pour leurs patients car ils se doutent bien qu'il y a des écarts de richesse dans la société, (sans parler de leur couverture par leur mutuelle) d'après Onfray ce sont des êtres malfaisants ?

 

J'adore au passage l'air bêtement consentant du voisin de gauche d'Onfray avec sa grande écharpe style penseur parisien.

Posté
s ces gens critiquent toujours le marché spoliateur et avide mais ne questionne jamais le bien fondé de la "violence légitime".

 

 

parce que dans leur esprit c'est de la legitime defense et c'est le prive qui a commence.Comme d'habitude on a affaire a des 'intellectuels' qui sont en fait des cretins.

Posté

Rien de très original.

En apologiste de l'Etat et par conséquent du service publique il n'entrevoit la mise en place de services arbitrairement jugés publics qu'à travers la violence étatique. Bizarrement d'ailleurs ces gens critiquent toujours le marché spoliateur et avide mais ne questionne jamais le bien fondé de la "violence légitime".

 

Dans un monde horriblement libéral, si un ensemble de professionnel de la santé crée par exemple une clinique privée et s'assure d'effectuer des soins abordables pour leurs patients car ils se doutent bien qu'il y a des écarts de richesse dans la société, (sans parler de leur couverture par leur mutuelle) d'après Onfray ce sont des êtres malfaisants ?

 

J'adore au passage l'air bêtement consentant du voisin de gauche d'Onfray avec sa grande écharpe style penseur parisien.

Il me semble que dans ce passage Onfray a raison sur un point. Dans la doctrine libéral c'est le marché, c'est à dire vous et moi, qui dictons ce qu'il nous semble utile. Dans un système collectiviste c'est l'Etat qui dicte la conduite à tenir, les valeurs qu'il juge bon pour l'individu. 

 

Il me semble assez incroyable qu'il estime que dans un système de santé non étatisé sa compagne, malheureuse victime d'un cancer, aurait été moins bien soigné que dans un système de santé étatisé car il me semble qu'au moins dans un système de santé libéral le patient aurait le choix de choisir le lieu et les méthodes de traitement tandis que dans un système collectiviste le choix n'existe pas vraiment ou serait très mince.

Posté

Dans la doctrine libéral c'est le marché, c'est à dire vous et moi, qui dictons ce qu'il nous semble utile.

 

Ben non, dans le marché, chacun dit ce qui lui semble utile.

Posté

Vous remarquerez dans son discours qu'il faut toujours qu'il y ait un organisme qui fasse la loi. Si ce n'est pas l’État, c'est le marché et inversement.

Il n'y a donc pas d'individualité dans une société ?

Posté

Le problème des gens c'est pas qu'ils pensent que l'État peut mieux faire que le privée. Le problème c'est qu'ils pensent qu'il en a envie et qu'en plus il va le faire gratos.

Posté

Vous remarquerez dans son discours qu'il faut toujours qu'il y ait un organisme qui fasse la loi. Si ce n'est pas l’État, c'est le marché et inversement.

Il n'y a donc pas d'individualité dans une société ?

 

Voulez vous dire par cela que vous estimez que, pour Onfray, le marché est un organisme dans le sens où il est régulé par des normes et des valeurs et que ce n'est point une "émergence spontanée", issue de la rencontre entre 2 volontés?

  • 2 months later...
  • 1 month later...
Posté
J'ai acheté son livre.

C'est intéressant.

J'en suis aux deux premiers temps de sa démonstration :

- Onfray est un pur produit du système, non un quelconque révolutionnaire (tant en fait qu'en idée.).

- Onfray n'a pas seulement une définition limitée de l'hédonisme mais une définition non pensée. Et cela pose problème.

Posté

Perso ce qui me sidère chez Onfray le "libertaire" c'est son côté majorité = peuple.

Pas mal comme concept la liberté dirigée par 51% des voies. 

 

Posté

Donc, le PCF est ultralibéral.

 

Tout le monde est libéral, c'est pour ça que ça va si mal en France.

Vite, appliquons une vraie politique de gauche !!

Posté

Ah non ! Pas le peuple, une partie du peuple...qui n'est pas d'accord moi.

 

Le truc, c'est Confrais parle du peuple comme s'il était une personne, un individu…

Le peuple, il est patati, le peuple, il est patata, etc…

Posté

Le truc, c'est Confrais parle du peuple comme s'il était une personne, un individu…

Le peuple, il est patati, le peuple, il est patata, etc…

 

Oui, malheureusement il est pas le seul. Et vous remarquerez que c'est la référence ultime, quand on parle au nom du peuple tout le monde se tait car le peuple a toujours raison.

Cette manie montre justement comment le collectivisme fait maintenant partie de nos gènes, on ne raisonne en terme d'individus mais en terme de groupes, le groupe qui a toujours étant le peuple.

En fait le peuple c'est un peu tout le monde c'est-à-dire...personne.

Posté

Donc toute démocratie est collectiviste? Je ne sais pas dans quel monde vous vivez. 

 

Pour ma part, il m'a fallu attendre 25 ans et un voyage au japon pour comprendre que le peuple n'est pas forcément un gros mot plébéien. 

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