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Si Vous Ne Voulez Pas Vomir Ne Regardez Pas


tommylib

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J'ai regardé, et j'ai vraiment envie de vomir !

Ne serait-ce pas un intéressant cas de projection freudienne ?

Quant à son argumentaire, je pourrais avantageusement l'utiliser pour fustiger l'Etat et l'étatisme, plutôt que le "néo-libéralisme" !

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Ce type est à ce point carricatural qu'il en devient ridicule. Il ne me donne pas envie de vomir, il me fatigue … son discours est d'une affligeante banalité et doit ressembler à très peu de choses près à ce que beaucoup d'enseignants professent dans leurs classes.

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Jacques Généreux est notoirement une caricature, il a commis un livre : Pourquoi la droite est dangereuse qui explique qu'avant -au moins- la droite était dans l'erreur mais cherchait le bien alors que maintenant Chirac et Sarkozy mènent une politique ultralibérale… Bref soit il cherche à sauter des connes soit il ne cherche que l'argent que l'occupation de la niche de littérature gauchiste procure à flots.

Maintenant que vous avez le ventre vide, vous pouvez lire ceci d'un autre âne, plus zélé encore dans la nullité :

L'eugénisme au service du libéralisme, par Jacques Testart

LE MONDE | 18.04.07 | 13h49 • Mis à jour le 18.04.07 | 16h54

Avant de s'illustrer récemment dans la rubrique "eugénisme" en affirmant le caractère inné de certains troubles de conduite, Nicolas Sarkozy affichait son ostracisme à l'égard des immigrés. Pourtant, ce serait une erreur de croire que Sarkozy est d'abord raciste, il est viscéralement ultra-libéral. Là où les attardés de la France profonde s'entêtent à séparer le bon sang du sang étranger, Sarkozy, porte-parole de la "droite décomplexée", ne juge les hommes que par leur utilité. Sa loi relative à l'immigration et à l'intégration promulgue l'étiquetage de produits humains venus d'ailleurs, parce qu'il est de bonne pratique économique de qualifier les ingrédients de la machine à produire, afin de valider la planification pour obtenir la compétitivité.

De même, l'égalité des chances et la discrimination positive induiront davantage de concurrence entre de nombreux postulants à l'exploitation, et la carte de séjour temporaire indiquant la raison retenue pour importer chaque étranger est une façon enfin sérieuse de gérer le capital humain : les scientifiques ou footballeurs acceptés à l'import dans la case "compétences et talents" mériteront bien une carte de trois ans renouvelable "pour le développement et le rayonnement de la France".

Bien sûr, la stratégie de prise du pouvoir peut aussi amener à faire plaisir aux électeurs sensibles à la démagogie anti-immigrés. Mais ces concessions tactiques cachent la philosophie de libre concurrence qui fonde le projet de société de Sarkozy. Car, au-delà des niaiseries racistes, les carences innées ou acquises sont à risque économique si elles créent des handicaps ou des dysfonctionnements qui entravent la compétitivité.

Finies les sottises criminelles en vogue au siècle dernier sous le nom d'eugénisme. Les tolérances de Sarkozy pour les communautarismes religieux montrent qu'il ne hiérarchise pas les héritages culturels. Et si les femmes sont encore moins bien rétribuées que les hommes, c'est la rançon de pesanteurs historiques aujourd'hui indéfendables.

Ainsi, l'ultralibéral accepte l'égalité biologique entre catégories humaines parce qu'elle multiplie les occasions compétitives en jetant dans le même sac (le même marché) tous les sexes, races, origines. En revanche, la proclamation d'inégalités innées entre individus d'une même catégorie permet de justifier les échecs, malgré tous les efforts d'un pouvoir bienveillant et démocratique…

C'est une des pesanteurs de la social-démocratie que de fonctionner avec le même moteur libéral et le même carburant scientiste que le capitalisme, mais sans avoir ni le goût ni l'audace d'assumer les exclusions…

Par là s'explique peut-être la relative passivité qui a accueilli les propos récents de Nicolas Sarkozy sur le caractère inné de certains comportements. Des responsables politiques de gauche se sont débarrassés du vilain bébé eugénique en le remettant aux scientifiques. Comme si l'enjeu était de démontrer une vérité définitive plutôt qu'affirmer des convictions pour une société capable de gérer humainement les différences.

Grâce à la science on pourra faire mieux dans l'identification et la sélection. Selon le souhait du gouvernement où siégeait Sarkozy on pourrait connecter ensemble tous les fichiers informatisés pour accéder à des éléments de la vie privée que le travailleur ou le chômeur auraient préféré dissimuler. Mais voilà que l'informatique se marie avec la génétique : Google veut créer une base de données qui mettrait en ligne toute l'information disponible sur les génomes pour l'avènement de "la médecine personnalisée", laquelle permettrait à chacun de gérer son existence en fonction de son capital génétique… et aussi à chaque employeur d'évaluer "scientifiquement" son personnel.

"IMMIGRATION CHOISIE"

Nous n'en sommes qu'à l'"immigration choisie" mais, comme prévu il y a un demi-siècle par le généticien progressiste Hermann Muller (Prix Nobel en 1946), "l'eugénisme de la société future, libéré des traditions de caste, d'esclavage, de colonisation, pourra être une eugénique véritable et radicale". Comme à Singapour où on récompense le mariage entre diplômés aussi bien que la stérilité des couples sans diplômes. Comme en Europe où, encore récemment, la stérilisation forcée ne visait pas tant la dissémination d'une "tare génétique" que l'incapacité du porteur à "assurer la subsistance de ceux qu'il pourrait engendrer".

Le philosophe américain Peter Singer a tiré profit des récentes connaissances génétiques : puisqu'il y aurait davantage de différences entre le génome d'un trisomique et celui d'un homme "normal" qu'entre le génome du même homme et celui d'un chimpanzé, il faudrait utiliser des "mongoliens" plutôt que des singes dans l'expérimentation… Le futur des hommes sans qualités s'illumine avec les propositions des "transhumanistes" pour enrichir le corps humain en nanoprocesseurs afin d'"optimiser" les performances du muscle ou du cerveau.

Le message d'Hermann Muller est en bonne voie pourvu qu'on ne perçoive pas l'eugénisme par la lunette étroite du racisme ou de l'antisémitisme : dès qu'on saura produire les oeufs humains en abondance et sans instrumentaliser les femmes, le tri des pontes au laboratoire sera intensifié pour la sélection du meilleur bébé possible. Cette mise en compétition de leurs embryons permettra à chaque couple, et hors de toute suspicion de racisme, de remplir efficacement la case sarkozienne "compétences et talents"… avec confirmation grâce à des tests pratiqués dès l'âge de 3 ans.

La "cérémonie d'accueil dans la citoyenneté", baptême tardif aujourd'hui exigé pour les immigrés élus, fera alors place au combien plus précoce et scientifique Diagnostic génétique préimplantatoire (DPI), concours médical d'entrée dans la jungle compétitive. Et ce tri biologique promettra encore l'égalité des chances pour tous les géniteurs, quelle que soit leur origine.

Décidément, le libéralisme économique est bien l'ennemi de l'humanisme, et le scientisme est toujours son allié.

Jacques Testart est directeur de recherches à l'Inserm.

Le philosophe le plus reconnu contre le scientisme est Karl Popper or, ô surprise, celui-ci était un grand ami de Friedrich Hayek, et il est même un fondateur de la néolibérale société du Mont-Pèlerin. Les néolibéraux ont toujours dénoncé le scientisme au coeur du projt socialiste de planification économique de la société. Cet article illustre la nullité et l'ignorance de nos sous-intellectuels.

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Jacques Testart (né le 3 octobre 1939) est un biologiste français, qui a permis la naissance du premier bébé éprouvette en France en 1982.

Et il vient nous parler d'eugénisme ?

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Et il vient nous parler d'eugénisme ?

En fait ce texte est tellement bête que je me demande si Le Monde ne l'a pas publié à dessein de ridiculiser la gauche hystérique et indiquer discrètement le bon vote.

La gauche hystérique est d'ailleurs convaincue que le Monde roule pour le candidat de l'UMP.

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La gauche hystérique est d'ailleurs convaincue que le Monde roule pour le candidat de l'UMP.

La gauche hystérique est convaincue qui quiconque n'est pas suffisamment de gauche et en même temps suffisamment hystérique vote Sarko.

Posté

C'est incroyable quand même comme on voit que ce type est un imbécile. Un temps, il parle d'un système "néolibéral" (ce mot est complètement stupide puisqu'il est dénué de sens), et après, il dit qu'aux USA on jette les noirs en prison… Pour moi, ça n'a donc rien d'un système libéral. Bref, ce type est un nul.

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je suis désolé d etre impoli, mais c'est quoi ce conard???!!!ou est ce qu'il a pu dire des conneries pareil???faut l'enfermer !!!

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C'est incroyable quand même comme on voit que ce type est un imbécile. Un temps, il parle d'un système "néolibéral" (ce mot est complètement stupide puisqu'il est dénué de sens), et après, il dit qu'aux USA on jette les noirs en prison… Pour moi, ça n'a donc rien d'un système libéral. Bref, ce type est un nul.

Néolibéral a bien un sens. Ton raisonnement ne convaincra personne, les communistes pourraient dire la même chose.

faut l'enfermer !!!

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En fait ce texte est tellement bête que je me demande si Le Monde ne l'a pas publié à dessein de ridiculiser la gauche hystérique et indiquer discrètement le bon vote.

La gauche hystérique est d'ailleurs convaincue que le Monde roule pour le candidat de l'UMP.

Quand je compare les titres quotidiens du Figaro (pro-sarkozyste, c'est clair) à ceux du Monde, j'ai l'impression que ce dernier est pro-Royal.

Posté
Je vais le ressortir à un coco quand il me dira ça. Quel sens donner à néolibéral alors ?

Je ne vois pas l'utilité de rentrer dans les controverses sémantiques improductives qui sont les jeux favoris des gauchistes frustrés.

Posté

Généreux développe sous une autre forme un discours marxiste type, sauf que le nécessaire effondrement du capitalisme est remplacé par la hausse du chômage et de la délinquance et l'aliénation des travailleurs par l'invention de "nouvelles valeurs" dont il parle à la fin.

Posté
Généreux développe sous une autre forme un discours marxiste type, sauf que le nécessaire effondrement du capitalisme est remplacé par la hausse du chômage et de la délinquance et l'aliénation des travailleurs par l'invention de "nouvelles valeurs" dont il parle à la fin.

ouais des excuses bidons pour se justifier

mais son discours est bourré d'incohérences , genre le régime néolibéraliste met les noirs en prison

que il s'étonne que ce néolibéralisme comme il l'appelle est présent dans les régimes démocratiques

en méme temps il faut qu'il réfléchisse que on n'est plus libre dans un systéme démocratique que fasciste

et il s'étonne que les citoyens veulent la liberté et pas sa société coercitive qu'il souhaite

il s'étonne peut étre que les gens préférent mettre des gens qui leur assurent la liberté plutot que des collectivistes qui veulent créer leur société par la force

Posté
Néolibéral c'est le "nouveau" libéralisme.

Peut pas faire mieux désolé.

néolibéralisme = "nouveau" libéralisme

Encore un mot inventé par la gauche pour dénigrer le libéralisme. Du style, "quand je parle du libéralisme, je parle de la philosophie pas du libéralisme économique" et bla bla bla.

l'utilisation du mot néolibéral est bien un dénigrement alors. Il va falloir apprendre à tous ces gens que le libéralisme économique fait partie de la philosophie libérale. Il va falloir aussi leur apprendre que l'Etat a créé des privilèges et qu'ainsi, c'est une atteinte à l'abolition des privilèges qui a été déclarée la nuit du 4 août 1789. Que les privilèges à l'époque étaient aussi des privilèges économiques et tout ça.

Invité Arn0
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Il me semblait que le terme néolibéralisme a été inventé par les libéraux eux-même, pour se distinguer du "liberalism" à l'américaine. Je me trompe peut-être.

Invité jabial
Posté
Encore un mot inventé par la gauche pour dénigrer le libéralisme. Du style, "quand je parle du libéralisme, je parle de la philosophie pas du libéralisme économique" et bla bla bla.

Vous vous trompez tous les deux. Néolibéralisme, ou "new liberalism" est une création de Keynes.

Au passage, il y aurait quelque part une liste des bouquins les plus carricaturaux contre le libéralisme? S'il pouvait y en avoir écrits par des fachos, ce serait encore mieux.

Posté
Vous vous trompez tous les deux. Néolibéralisme, ou "new liberalism" est une création de Keynes.

Au passage, il y aurait quelque part une liste des bouquins les plus carricaturaux contre le libéralisme? S'il pouvait y en avoir écrits par des fachos, ce serait encore mieux.

Les anglophones appuient sur l'opposition entre le new liberalism de Keynes et le néolibéralisme à la Milton Friedman, cf l'article de wikipedia en anglais.

  • 4 months later...
Posté

Testart a récidivé : après Sarkozy qualifié d'ultralibéral et l'assimilation du libéralisme économique au scientisme et à l'eugénisme, voici l'appel à une "science citoyenne" (sic) :

Point de vue

Pour une science citoyenne, par Eric Gall et Jacques Testart

LE MONDE | 26.09.07 | 15h03

Valérie Pécresse a raison : oui, la science est en crise, et cette crise ne sera surmontée que si les scientifiques s'ouvrent à la société. Mais, le constat étant posé, il est naïf d'affirmer, comme le fait la ministre de la Recherche (Le Monde, 21 septembre), que les défis sanitaires et environnementaux auxquels nous sommes confrontés "resteront insurmontables si notre société ne renoue pas avec la confiance qu'elle accorde traditionnellement à ses scientifiques (car) c'est d'eux que viendront les réponses que nous attendons aujourd'hui".

Confrontée aux effets secondaires de certaines technologies, une bonne partie de notre société estime au contraire que tout "progrès" n'est pas bon à prendre, et doute à juste titre de la capacité de la "technoscience" à contrôler les effets de ses propres innovations. Parallèlement, les capacités de recherche et d'expertise des forces associatives, syndicales et citoyennes, constituent dorénavant un véritable "tiers-secteur scientifique", tâchant de répondre aux besoins sociaux et écologiques croissants mais négligés par les orientations scientifiques dominantes, qu'elles soient le fait de l'Etat ou de l'industrie. La science est en effet à mille lieues des aspirations citoyennes. A eux seuls, la recherche militaire et les programmes technologiques nucléaire, aéronautique et spatial absorbent plus de 40 % de la dépense publique de recherche. De plus, la France accuse un déficit considérable de recherche dans la plupart des domaines liés au développement durable : santé environnementale et toxicologie, écologie, énergies renouvelables, agriculture biologique et durable, chimie et ingénierie vertes, etc.

Encourager les instituts de recherche à établir des "partenariats public-privé" qui confèrent à l'industrie le contrôle des programmes de recherche, faire rentrer les entreprises dans les universités, évaluer les chercheurs en fonction du nombre de brevets déposés et du "facteur d'impact" de leurs publications, et en général encourager plus avant la privatisation de la recherche, comme le propose le gouvernement, ne feront qu'aggraver la crise.

Car c'est bien la marchandisation de la science qui est la cause principale de la fracture entre science et société. Si la connaissance joue un rôle accru dans la production et la captation de la valeur ajoutée économique, en retour les normes marchandes se sont imposées dans la production et la validation des savoirs, au point que l'on assiste à une véritable privatisation de la connaissance et du vivant. Aux Etats-Unis, des compagnies se permettent d'acheter des départements entiers de recherche universitaire, telle la firme BP, en passe de s'offrir l'université de Berkeley contre un modeste chèque de 500 millions de dollars.

Or on ne peut pas à la fois déplorer, comme le fait Valérie Pécresse, qu'"aux yeux du public, le scientifique ne ressemble plus à ces aventuriers du savoir que je rencontre", et vouloir faire des chercheurs des businessmen. Car les principes qui régissent le monde des affaires sont différents des règles de validation des savoirs scientifiques, et ce malgré l'accumulation de codes de déontologie ou de comités d'éthique. Le premier objectif d'une entreprise est de faire du profit. On ne peut pas exiger d'un chercheur qu'il soit d'abord "compétitif" et espérer que cette injonction reste sans effet sur sa déontologie, ou sur les priorités de son institut.

La domination de la logique de profit dans le secteur scientifique a des effets graves et pernicieux : au-delà de l'hégémonie de certaines disciplines scientifiques jugées, à tort ou à raison, plus rentables à court terme, combien de chercheurs ont vu leur carrière brisée pour avoir fait état de résultats contraires aux intérêts financiers ? Crédits coupés, diffamation, entrave à la publication et "mise au placard" sont le lot de ces "lanceurs d'alerte". C'est tout simplement la liberté de la science qui est en jeu. Dans ces conditions, et compte tenu de la pénurie des recrutements, comment s'étonner de la désaffection des jeunes pour les carrières scientifiques ?

Pour faire face aux défis du XXIe siècle, il faut aller plus loin que les déclarations d'intentions et refonder notre système de recherche autour d'un nouveau contrat entre science et société, de nouvelles missions et orientations de la recherche et d'une alliance forte entre les acteurs de la recherche publique et la société civile, porteuse d'intérêts non marchands.

C'est le sens des propositions de la Fondation sciences citoyennes pour le Grenelle de l'environnement : permettre aux associations et aux citoyens de participer à l'orientation de la recherche, donner aux instituts de recherche publique la possibilité de s'engager dans des partenariats avec la société civile - sur le modèle des partenariats recherche publique/société civile (PICRI) mis en place par la Région Ile-de-France -, soumettre le crédit impôts recherche à des critères d'écoconditionnalité, élaborer une loi pour la protection des lanceurs d'alerte et pour garantir expertise indépendante, transparente et contradictoire. Pour réconcilier les scientifiques et les citoyens, il s'agit de faire réellement entrer les sciences en démocratie.

Eric Gall et Jacques Testart sont administrateur et président de la Fondation sciences citoyennes.

Article paru dans l'édition du 27.09.07.

L'exception française !

Posté
Testart a récidivé : après Sarkozy qualifié d'ultralibéral et l'assimilation du libéralisme économique au scientisme et à l'eugénisme, voici l'appel à une "science citoyenne" (sic) :

L'exception française !

*

Si selon le modèle de ces messieurs, c'est la masse qui orientait la science, l'Homme en serait encore à se barbouiller avec son caca.

Posté
Aux Etats-Unis, des compagnies se permettent d'acheter des départements entiers de recherche universitaire, telle la firme BP, en passe de s'offrir l'université de Berkeley contre un modeste chèque de 500 millions de dollars.

:icon_up:

C'est le sens des propositions de la Fondation sciences citoyennes pour le Grenelle de l'environnement : permettre aux associations et aux citoyens de participer à l'orientation de la recherche

J'aimerai bien qu'on booste les recherches sur la téléportation, moi, et sur des médicaments qui rendent le sommeil inutile.

Posté
Le hareng n'est pas une marchandise!

Hé, mais où je vais acheter mes schmaltz herring maintenant ! :icon_up:

J'aimerai bien qu'on booste les recherches sur la téléportation, moi, et sur des médicaments qui rendent le sommeil inutile.

:doigt:

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