José Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 …qui divise le PIB des États-Unis par États et compare ces derniers avec différents pays du monde. Pour se rendre compte de la vraie dimension des économies (ainsi la Californie = la France ; le Texas = le Canada ; l'État de New York = le Brésil ; etc.) http://strangemaps.wordpress.com/2007/06/1…h-similar-gdps/
Jesrad Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 L'Utah, c'est le Pérou ? Je soupçonne un coup des Mormons !
Ash Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 Je regarde d'ailleurs une série sur les mormons (entre autre) : Big Love Très drôle. Le gars doit gérer 3 femmes, une vraie horreur ! Sans compter la "communauté" qui veut lui piquer un max d'argent.
xiii Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 Le gars doit gérer 3 femmes, une vraie horreur ! Sans compter la "communauté" qui veut lui piquer un max d'argent. C'est l'équivalant d'un français volage en fait, il gère trois maitresses et se fait piquer son fric par l'état.
Etienne Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 Tout cela n'a pas beaucoup de sens. A ce compte-là, on devrait remplacer sur la carte d'Europe le Luxembourg par l'Afghanistan et Malte par le Swaziland.
Ash Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 C'est l'équivalant d'un français volage en fait, il gère trois maitresses et se fait piquer son fric par l'état. Non ce ne sont pas ses maitresses mais ses femmes. Les 3 maisons vivent côte à côte, ils dînent ensemble avec les enfants et elles se le partagent tour à tour pour chaque nuit.
José Posté 13 juin 2007 Auteur Signaler Posté 13 juin 2007 Tout cela n'a pas beaucoup de sens. L'intérêt est de se faire une idée des grandeurs. Et surtout de remettre à leur place certains. Par exemple, ces intellocreux qui brocardèrent Reagan quand ce dernier arriva à la présidence, le traitant d'acteur raté incapable de diriger le pays, alors même qu'il avait été gouverneur de Californie - un État à la taille économique comparable à la France - pendant huit ans.
Sous-Commandant Marco Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 L'intérêt est de se faire une idée des grandeurs. Et surtout de remettre à leur place certains. Par exemple, ces intellocreux qui brocardèrent Reagan quand ce dernier arriva à la présidence, le traitant d'acteur raté incapable de diriger le pays, alors même qu'il avait été gouverneur de Californie - un État à la taille économique comparable à la France - pendant huit ans. Et puis, si on faisait pareil pour l'Europe, il faudrait mettre la Chine à la place de la France et ça, c'est gênant.
Legion Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 Non ce ne sont pas ses maitresses mais ses femmes. Les 3 maisons vivent côte à côte, ils dînent ensemble avec les enfants et elles se le partagent tour à tour pour chaque nuit. Ceci dit, la branche mormon principale n'accepte plus la polygamie je crois - même si ça se trouve encore dans certaines communautés.
José Posté 13 juin 2007 Auteur Signaler Posté 13 juin 2007 …il faudrait mettre la Chine à la place de la France et ça, c'est gênant. Gênant ? Pourquoi ?
Sous-Commandant Marco Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 Gênant ? Pourquoi ? Gênant pour ceux qui croient que nous sommes toujours la 4ème puissance économique mondiale et qui considèrent les Chinois comme des fabricants de T-shirts (suivez mon regard vers Matignon).
phantom_opera Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 Ce qui fout les boules, c'est que la Californie égale la France avec un population deux fois moins nombreuse…
Rincevent Posté 13 juin 2007 Signaler Posté 13 juin 2007 Ce qui fout les boules, c'est que la Californie égale la France avec un population deux fois moins nombreuse… Hé oui, petit ! C'est ça, la Californie !
Nico Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 [ mode pervers on ] Et en plus y'a de très jolies filles [ mode pervers off ]
Rincevent Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 [ mode pervers on ]Et en plus y'a de très jolies filles [ mode pervers off ] C'était précisément l'objet originel de la remarque de Jack Slater.
phantom_opera Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Quelle référence! Je me souviens encore de la scène où Schwarzi jouait Hamlet, du grand art, un grand classique de Shakespeare! Etre ou ne pas être, telle est la question…
William White Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Ce qui fout les boules, c'est que la Californie égale la France avec un population deux fois moins nombreuse… Californie: 35 millions (2003) (+/- 40 millions en 2007) France: 64 millions (2006)
Messer Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Quelle référence! Je me souviens encore de la scène où Schwarzi jouait Hamlet, du grand art, un grand classique de Shakespeare! Ce film est grandiose :]
Rincevent Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Ce film est grandiose :] Un vrai plaisir à chaque fois que j'ai l'occasion de le revoir. Et à chaque fois, de nouveaux détails apparaissent !
Harald Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Ce film est grandiose :] Un vrai plaisir à chaque fois que j'ai l'occasion de le revoir. Et à chaque fois, de nouveaux détails apparaissent ! Vous êtes vraiment de vils laquais de l'impérialisme culturel américain. Comment osez-vous plébisciter un tel navet alors qu'en France de véritables auteurs se penchent sur la condition humaine, produisent des oeuvres qui poussent à la réflexion sociale et osent remettre en question l'ordre établi par l'imposition des valeurs bourgeoises?
tzecoatl Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Je vous vois sauter comme des chiens foufous. Mais le surcroit de PIB américain est essentiellement dû à la consommation, alimenté grâce aux 75% de l'épargne mondiale qu'ils ponctionnent, grâce à leur monnaie dominante. Par exemple, ils consomment chinois avec de l'argent chinois (dollars recyclés). De plus, ils ont réussi à aliéner les inquiétudes quand à leurs dettes, du fait que trop d'épargne y est focalisé, et ces épargnants internationaux ont intérêt à soutenir le dollar afin d'espérer conserver leur mise, dollar dont le cours est manipulé éhontément. Du moins, ils ont émis des dollars permanents, ce que la zone euro s'est interdit de faire. Nous vivons donc en Europe où tout phénomène économique a irrémédiablement ses conséquences et enferme les agents économiques dans une gangue angoissante, schizophrénique, bref, peu amène pour instaurer la confiance nécessaire à la bonne marche d'une économie.
Rincevent Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Vous êtes vraiment de vils laquais de l'impérialisme culturel américain. … dit celui chez qui l'on peut trouver, fièrement exhibé, un immense drapeau américain. Comment osez-vous plébisciter un tel navet C'est bon, le navet. alors qu'en France de véritables auteurs se penchent sur la condition humaine, produisent des oeuvres qui poussent à la réflexion sociale et osent remettre en question l'ordre établi par l'imposition des valeurs bourgeoises? Avec notre argent; volé par l'institution qui a le plus besoin d'être critiquée ?
Apollon Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Vous êtes vraiment de vils laquais de l'impérialisme culturel américain. Comment osez-vous plébisciter un tel navet alors qu'en France de véritables auteurs se penchent sur la condition humaine, produisent des oeuvres qui poussent à la réflexion sociale et osent remettre en question l'ordre établi par l'imposition des valeurs bourgeoises? Le dernier nanar se distingue particulièrement : La Question humaine (rien que ça), critique dithyrambe du Monde : "La Question humaine" : portrait d'un cynique soldat d'entrepriseLE MONDE | 18.05.07 | 14h05 • Mis à jour le 18.05.07 | 15h53 Mathieu Amalric dans le film français de Nicolas Klotz, "La Question humaine". | SOPHIE DULAC DISTRIBUTION Mathieu Amalric dans le film français de Nicolas Klotz, "La Question humaine". Dégraisser les entreprises, éliminer les fainéants, revaloriser le culte du travail, barrer l'accès du territoire aux gens du tiers monde qui tentent leur chance pour s'intégrer au système : ce pourrait être un programme de gouvernement. Psychanalyser l'économie libérale, démasquer ses plus puissants rouages, confondre le machiavélisme des techniques capitalistes : c'est le plan que ce sont fixé Nicolas Klotz et sa scénariste Elisabeth Perceval dans leur trilogie sur la violence contemporaine. Ils s'étaient placés du point de vue des pauvres et des rejetés dans Paria (2001) et La Blessure (2005). Avec La Question humaine, adaptée d'un roman de François Emmanuel (Stock), ils s'aventurent dans le camp des riches et des cadres de la société industrielle. Le tandem réalise un exploit. Thriller, étude de moeurs, exploration de pulsions, peinture de corps, exploration musicale, film d'espionnage, politique, historique, fantastique : La Question humaine est tout cela à la fois. Magistralement. Simon (Mathieu Amalric, parfait) travaille comme psychologue au département des ressources humaines d'un complexe pétrochimique. L'un de ses supérieurs (Jean-Pierre Kalfon) lui confie une mission secrète : enquêter sur un dirigeant de l'usine (Michael Lonsdale). La direction a des soupçons sur l'état mental de cet homme qui, parfois, arbore la mine d'un neurasthénique et s'enferme dans sa voiture de fonction pour écouter de la musique lyrique. Il y a deux hommes en Simon. Le cadre performant, technicien de l'élimination, applicateur des solutions les plus rationnelles et radicales. Et le séducteur exacerbé par le désir. Celui du jour, corps maîtrisé, rompu à la rigidité ; celui de la nuit, corps déchaîné, proie de fantasmes, qui libère ses envies de défonce, de danse hystérique. Le second est parasité par le premier, et vice versa. En privé, Simon se comporte parfois avec brutalité. Mais l'homme va prendre le dessus sur le démon. IMPATIENTS DE JOUIR Le doute, en effet, s'installe chez le petit soldat cynique à cause d'une note transmise par un mystérieux informateur. Il s'agit d'un document de 1942, où des ingénieurs disent comment améliorer le rendement. Ils préconisent d'éliminer des sureffectifs en les gazant dans un camion. Construit sur les glissements d'un monde et les contaminations insidieuses, La Question humaine ose le brouillage des genres (la fiction est minée par le documentaire), faisant resurgir l'Histoire dans l'idéologie contemporaine. Le film dénonce l'inconscience des jeunes conquérants impatients de jouir et de consommer. Il rappelle que le pouvoir reste aux mains des pères et suggère que ces pères ont du sang sur les mains, otages d'un passé trouble, de comportements douteux durant la seconde guerre mondiale. Et il démasque le langage de ce pouvoir. Rien d'innocent dans ce qui est professé en hauts lieux sur l'art et la manière d'être compétitif, ni sur le dérapage verbal accompagnant le formatage des comportements. Simon fait un lien entre ses pulsions morbides, ses méthodes fascistes, et la façon dont les grands prêtres du libéralisme récupèrent les mots des idéologues de la Shoah : problèmes, planification, marchandise, intransigeance, épuration… Cette thèse, ô combien dérangeante(note ), est mise en scène avec une époustouflante maîtrise. Car cette démonstration d'un hallucinant dérèglement fait l'objet d'incessants dérapages esthétiques, osant une rave endiablée et huit minutes de flamenco a capella, passant du plan fixe à la caméra sur l'épaule, faisant défiler d'austères patrons en costume cravate et des tentatrices en robe noire, ou résonner des formules assassines qui parlent de la nécessité d'obéir au tyran et de l'inutilité d'avoir une âme. Hanté par les corps sanglés, sexuels, ou condamnés à nourrir la machine, le film de Klotz rappelle qu'une part de l'humanité est maudite. Film français de Nicolas Klotz avec Mathieu Amalric, Michael Lonsdale, Jean-Pierre Kalfon. (2 h 21.) Jean-Luc Douin Article paru dans l'édition du 19.05.07.
Etienne Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Le dernier nanar se distingue particulièrement : La Question humaine (rien que ça), critique dithyrambe du Monde. Il y a un fil dans la Taverne où on en a parlé, et où j'ai évoqué cette critique du Monde qui m'est restée un peu en travers de la gorge.
Apollon Posté 14 juin 2007 Signaler Posté 14 juin 2007 Il y a un fil dans la Taverne où on en a parlé, et où j'ai évoqué cette critique du Monde qui m'est restée un peu en travers de la gorge. Tiens oui, je viens de voir qu'il a sacrément dérivé fin du HS.
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