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Les syndicats obligatoires dans les entreprises ?


Nico

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Invité Arn0
Posté
Si le libéralisme est aussi peu admis dans l'opinion, ce n'est pas pour d'autres raisons. Il y a surement d'autres voies que le collectivisme corrompu et le libéralisme débridé qui se contente d'apporter une réponse sémantique à des problèmes concrets dont souffrent beaucoup d'êtres humains …
Le libéralisme est aussi peu admis dans l'opinion que l'était l'abolition de l'esclavage sous la rome antique, et pour des raisons assez proches.
Posté
le contrat conclu souffrira des mêmes tares que dans le cas ou il est limité par l'état, et conduira les contractants dans l'impasse

Par définition non. Si tu instaures un salaire minimum, il est possible que l'employeur n'ait plus intéret à embaucher, et que cela crée du chomage. Ca n'est pas le cas si tu laisses les deux parties libres , si il y a une possibilité d'entente ils la trouveront.

Posté
Si les termes du contrat ne sont pas respectés celui-ci doit être dénoncé, et le cas échéant donner lieu à des réparations.

Euh, Lucilio l'a déjà dit autrement mais :icon_up:

C'est quoi la (fausse)-liberté de ne pas avoir la possibilité de choisir ? Etre obligé de travailler pour gagner sa vie parce qu'on n'est pas né fils de ?

Je réitère ma question : qu'est-ce que pour toi une vraie liberté ?

Vous incluez dans tous vos raisonnements binaires la faculté d'avoir la liberté de choisir :

Libre de dire oui,

Libre de dire non,

Vous appellez pompeusement cela " la liberté"

Le cas de La fée Clochette démontre (et c'est une libérale) qu'elle a choisi …. parce qu'elle n'avait finalement pas d'autre choix à l'époque qu'elle a accepté un contrat qui selon ses dires ne l'enthousiasmait guère, mais qui devait être vital, ce que je comprends.

J'appelle donc cela une fausse liberté, c'est mon droit, et c'est logique dès lors que des éléments extérieurs, comme le fait de devoir se loger, se nourrir, etc … rendent la conclusion du contrat, dans le cas présent, pratiquement obligatoire.

C'est tout … et c'est parfaitement comparable à ce que vous appellez de faux droits, dans la mesure ou le dénominateur commun est une intervention extérieure.

dans le premier cas : celle de l'état, a laquelle je n'adhère pas, je vous le rappelle …

dans le 2eme, la volonté d'un des contractants d'user jusqu'au bout de son droit sachant qu'il peut pousser ses demandes plus loin dans la mesure ou l'environnement est un élément ultra favorable, attitude à laquelle je n'adhère pas non plus.

je ne vois donc dans cet exemple aucune manifestation d'épanouissement de l'individu, aucune avancée du libéralisme, mais au contraire l'affirmation d'un renforcement dogmatique.

Quand à la définition de la liberté …. c'est un autre sujet déjà débattu sur ce forum, je ne vais donc pas me lancer dans la rédaction de nombreuses pages, inutiles si déjà vous ne comprenez déjà pas la nuance que je tente d'exprimer …

Posté
Le cas de La fée Clochette démontre (et c'est une libérale) qu'elle a choisi …. parce qu'elle n'avait finalement pas d'autre choix à l'époque qu'elle a accepté un contrat qui selon ses dires ne l'enthousiasmait guère, mais qui devait être vital, ce que je comprends.

Il faudrait qu'elle précise, mais je suis presque certain qu'elle avait la possibilité factuelle de dire non, et elle ne serait pas morte de faim et ne se serait pas retrouvée à la rue. Elle estimait simplement qu'elle préférait son métier actuel même avec un travail le dimanche à ce qu'elle aurait pu avoir en dehors.

Posté
Ça, c'est du blabla marxistoïde.

Normal:

CITATION("bugs")

je suis juriste (spécialisé en droit social… )

Quelle ouverture d'esprit …

Vous vous trompez lourdement, en plus … mais sans doute que fort de vos certitudes vous êtes omniscient …

Posté
Vous incluez dans tous vos raisonnements binaires la faculté d'avoir la liberté de choisir :

Libre de dire oui,

Libre de dire non,

Vous appellez pompeusement cela " la liberté"

Farpaitement : la liberté c'est le choix, la possibilité d'accepter ou de refuser une situation. C'est précisément cela qui nous différencie de l'animal. Toi, par contre, tu sembles confondre liberté et capacité. Non, je ne suis pas capable de voler. Cela ne veut pas pour autant dire que je suis moins libre.

Invité Arn0
Posté
J'appelle donc cela une fausse liberté, c'est mon droit, et c'est logique dès lors que des éléments extérieurs, comme le fait de devoir se loger, se nourrir, etc … rendent la conclusion du contrat, dans le cas présent, pratiquement obligatoire.
Tu confond contrainte d'un homme sur un autre et contrainte lié à la nature des choses. Les besoins en nourriture et en logement des employés ne sont pas dus à l'employeur, il n'en est pas responsable et je ne vois pas pourquoi il devrait subir des contraintes légales lié à cet état de fait.

De toutes façons même la liberté dans le sens où tu l'entends est largement mieux assuré dans une économie libérale : "les libertés formelles" et "les libertés réelles" se favorisent mutuellement et ne s'opposent pas.

Posté
Le libéralisme est aussi peu admis dans l'opinion que l'était l'abolition de l'esclavage sous la rome antique, et pour des raisons assez proches.

Proches peut être, mais pas temporellement …. :icon_up:

Remarquez, il vaut mieux effectivement tenter de légitimer votre courant de pensée en se basant sur la rome antique, c'est beaucoup plus facile que de s'adresser à ses contemporains.

Invité Arn0
Posté
Proches peut être, mais pas temporellement …. :icon_up:

Remarquez, il vaut mieux effectivement tenter de légitimer votre courant de pensée en se basant sur la rome antique, c'est beaucoup plus facile que de s'adresser à ses contemporains.

Je voulais souligner que l'argument "les gens n'aiment pas le libéralisme" est hors de propos : quel que soit son éventuelle justesse il n'implique rien sur la vérité et la justice du libéralisme. Et surtout que cela ne devait pas nous conduire à modifier nos convictions pour plaire aux gens.
Posté
Tu confond contrainte d'un homme sur un autre et contrainte lié à la nature des choses. Les besoins en nourriture et en logement des employés ne sont pas dus à l'employeur, il n'en est pas responsable et je ne vois pas pourquoi il devrait subir des contraintes légales lié à cet état de fait.

De toutes façons même la liberté dans le sens où tu l'entends est largement mieux assuré dans une économie libérale : "les libertés formelles" et "les libertés réelles" se favorisent mutuellement et ne s'opposent pas.

Non, je ne confonds pas, je fais la distinction entre les contraintes d'une entité dont un individu peut se réclamer mais dont il n'est pas responsable, et celles d'un autre qui s'il n'est pas responsable effectivement de la situation de ses congénères, n'hésite pas à l'exploiter.

les deux attitudes sont pour moi inacceptables.

Je constate que le libéralisme n'apporte aucune solution à ce niveau, c'est tout.

Invité Arn0
Posté
Non, je ne confonds pas, je fais la distinction entre les contraintes d'une entité dont un individu peut se réclamer mais dont il n'est pas responsable, et celles d'un autre qui s'il n'est pas responsable effectivement de la situation de ses congénères, n'hésite pas à l'exploiter.

les deux attitudes sont pour moi inacceptables.

Je constate que le libéralisme n'apporte aucune solution à ce niveau, c'est tout.

La solution au fait qu'il soit dans la nature humaine de devoir manger (et d'une manière générale de subvenir à des besoins) ? Non.

La solution à ce qu'il convient de faire pour que les besoins et les préférences des agents soit assurés le mieux qu'il est possible ? Alors si, et cette solution c'est le laissez-faire.

Posté
Je voulais souligner que l'argument "les gens n'aiment pas le libéralisme" est hors de propos : quel que soit sont éventuelle justesse il n'implique rien sur la vérité et la justice du libéralisme. Et surtout que cela ne devait pas nous conduire à modifier nos convictions pour plaire aux gens.

OK, je comprends votre point de vue.

Vous détenez la vérité, mais pour une idéologie qui est censée représenter l'épanouissement de l'individu, sans parler de plaire aux gens, ce qui pourrait effectivement être assimilable à un parti politique classique sans autre but que de plaire, ce qui est totalement absurde, avouez que le confinement et le fait de rester figé sur des positions sans tenir compte de ceux qui vous entourent est quelque part aussi un peu absurde, le monde change, mais pas les libéraux ?

La solution au fait qu'il soit dans la nature humaine de devoir manger (et d'une manière générale de subvenir à des besoins) ? Non.

La solution à ce qu'il convient de faire pour que les besoins et les préférences des agents soit assuré le mieux qu'il est possible ? Alors si, et cette solution c'est le laissez-faire.

soit le … rien faire ….

Invité Arn0
Posté
OK, je comprends votre point de vue.

Vous détenez la vérité, mais pour une idéologie qui est censée représenter l'épanouissement de l'individu, sans parler de plaire aux gens, ce qui pourrait effectivement être assimilable à un parti politique classique sans autre but que de plaire, ce qui est totalement absurde, avouez que le confinement et le fait de rester figé sur des positions sans tenir compte de ceux qui vous entourent est quelque part aussi un peu absurde, le monde change, mais pas les libéraux ?

Les libéraux (et les autres) doivent modifier leurs opinions lorsqu'elles s'avèrent être fausse ou injuste, et non parce qu'elles sont impopulaires.
Posté
Les libéraux (et les autres) doivent modifier leur opinion parcequ'elle s'avère etre fausse ou injuste, et non parcequ'elle sont impopulaire.

Oui, mais le monde change …. et resté figé n'est pas une posture très rationelle …

Posté
Le cas de La fée Clochette démontre (et c'est une libérale) qu'elle a choisi …. parce qu'elle n'avait finalement pas d'autre choix à l'époque qu'elle a accepté un contrat qui selon ses dires ne l'enthousiasmait guère, mais qui devait être vital, ce que je comprends.

J'appelle donc cela une fausse liberté, c'est mon droit, et c'est logique dès lors que des éléments extérieurs, comme le fait de devoir se loger, se nourrir, etc … rendent la conclusion du contrat, dans le cas présent, pratiquement obligatoire.

De fait on ne supprime pas comme ça les nécessités de la vie de tous les jours (boire, manger, donc travailler). Le libéralisme s'adressent à des personnes assez adultes pour comprendre cela. Autre fait qu'il vous est impossible de récuser frontalement et c'est pourquoi vous jouez de la rétorique : elle avait le choix, elle ne l'a pas pris car il lui paraissait stupide, voir suicidaire.

Je note que vous ommettez sciemment de définir ce que serait une vraie liberté, comme on vous l'a demandé à plusieurs reprise. Mais c'est à proprement parler tellement débile et enfantin que vous n'osez probablement pas l'écrire. Cela reviendrait en effet à exprimer que La fée Clochette est opprimée par le fait de devoir travailler pour vivre et que ce n'est pas une liberté effective. Mais vous rajouterez un "pratiquement" par ci et par là et vous arriverez alors à vous convaincre que votre analyse dépasse le niveau du troquet local.

Posté
Je note que vous ommettez sciemment de définir ce que serait une vraie liberté, comme on vous l'a demandé à plusieurs reprise. Mais c'est à proprement parler tellement débile et enfantin que vous n'osez probablement pas l'écrire.

Je m'attends en effet à un truc dans ce genre. Mais ce doit être parce que j'ai l'humeur polémique ce soir !

Posté
Vous incluez dans tous vos raisonnements binaires la faculté d'avoir la liberté de choisir :

Libre de dire oui,

Libre de dire non,

Vous appellez pompeusement cela " la liberté"

Incroyable. Et de ton côté tu préconises la "liberté de ne pas avoir le choix"? :icon_up:

(l'interdiction du travail le dimanche s'inscrit dans cette ligne)

Posté
De fait on ne supprime pas comme ça les nécessités de la vie de tous les jours (boire, manger, donc travailler). Le libéralisme s'adressent à des personnes assez adultes pour comprendre cela. Autre fait qu'il vous est impossible de récuser frontalement et c'est pourquoi vous jouez de la rétorique : elle avait le choix, elle ne l'a pas pris car il lui paraissait stupide, voir suicidaire.

Je note que vous ommettez sciemment de définir ce que serait une vraie liberté, comme on vous l'a demandé à plusieurs reprise. Mais c'est à proprement parler tellement débile et enfantin que vous n'osez probablement pas l'écrire. Cela reviendrait en effet à exprimer que La fée Clochette est opprimée par le fait de devoir travailler pour vivre et que ce n'est pas une liberté effective. Mais vous rajouterez un "pratiquement" par ci et par là et vous arriverez alors à vous convaincre que votre analyse dépasse le niveau du troquet local.

Si vous faites les questions et les réponses …. assumez les … moi je n'ai pas dit qu'elle était opprimée, etc …. vous n'arrivez décidément pas à sortir de vos discours touts faits, un peu comme certains parti de la gauche de la gauche.

Invité Arn0
Posté
Si vous faites les questions et les réponses …. assumez les … moi je n'ai pas dit qu'elle était opprimée, etc …. vous n'arrivez décidément pas à sortir de vos discours touts faits, un peu comme certains parti de la gauche de la gauche.
Encore une fois ce qui compte ce n'est pas de savoir si nos discours sont tout faits ou non, mais de savoir si ils sont justes ou non. Et sur ce dernier point, le seul qui compte, je ne vois rien chez vous qui puisse infirmer nos idées.

(Au passage reprocher à la liberté des libéraux d’être uniquement formelle cela date au moins de Marx, donc votre discours aussi est "tout fait".)

Posté
Si vous faites les questions et les réponses …. assumez les … moi je n'ai pas dit qu'elle était opprimée, etc …. vous n'arrivez décidément pas à sortir de vos discours touts faits, un peu comme certains parti de la gauche de la gauche.

Bugs, pouvons-nous obtenir une réponse à la question : qu'est-ce qu'une vraie liberté pour vous ?

Posté
Incroyable. Et de ton côté tu préconises la "liberté de ne pas avoir le choix"? :icon_up:

(l'interdiction du travail le dimanche s'inscrit dans cette ligne)

En effet il est assez facile d'affirmer "liberté de choisir" mais liberté de choisir entre "quoi et quoi?". "Choisir" ce n'est rien, ce que le choix propose s'approche peut-être plus du "progrès". C'est peut-être la nature du choix qui importe.

Posté
En effet il est assez facile d'affirmer "liberté de choisir" mais liberté de choisir entre "quoi et quoi?". "Choisir" ce n'est rien, ce que le choix propose s'approche peut-être plus du "progrès". C'est peut-être la nature du choix qui importe.

Encore faut-il l'avoir ce choix, quelqu'en soit sa "nature". Il est incroyable d'entendre et de lire certaines personnes imposer à autrui une interdiction de choisir parce qu'elle jugent les alternatives mauvaises!

Posté

Et bien si c'est une photo de l'état de l'art de ce qu'est la compréhension du libéralisme par la foule on est pas rentré…

Depuis quand le libéralisme promet-il une vie sans obstacles, sans soucis, sans mal de ventre ou sans moustiques?

La vie est complexe, imprévue etc…, qui pourrait avoir la prétention de pouvoir régler ces problèmes? M.Bunny peut-être?

Posté
Attendez, ne tombez pas dans le discours caricatural … je n'ai aucune facheuse habitude, je me contente de vous lire et de relever des points qui me semblent intéressants :

Vous attendez "la" phrase qui vous permets d'écrire "ah vous voyez, les libéraux ci, les libéraux mi"

Je ne vous en veux pas, je ferais pareil à votre place si ça se trouve.

Vous dites "(j'ai bossé à la caisse d'un supermarché ouvert le dimanche, si le travail ce jour là n'avait été imposé, je m'en serai volontiers passé !)", c'est cela qui m'intéresse, pas vos digressions sur les aides sociales …

Evidemment que si je pouvais me passer de bosser les weeks je le ferais ! Pour être honnête, si je pouvais être rentière et ne plus travailler, je le ferais aussi.

Je bosse dans le commerce, je travaille TOUS les samedis, cela ne m'enchante pas, mais encore une fois, il faut savoir ce que l'on veut, et selon le secteur que l'on choisit, on prend les contraintes qui vont avec.

le mot imposé me gène considérablement, car dans le discours libéral on n'entend parler que de choix, c'est tout de même un peu contradictoire , non ?

Contraintes librement acceptées, vous comprenez mieux ? Si je veux devenir représentant commercial, je serai contrainte de faire bcp de kilomètres, en devenant représentante, j'accepte ces contraintes. Mon patron ne me les impose pas, elles font partie du job.

De plus, pourquoi assimiler dans votre réponse le fait de s'interroger sur ce choix qui n'en est pas un , (ie: votre première réponse sur ce domaine citée plus haut) au statut de fainéant patenté qui veut en faire le moins possible … sans prendre de risques … en ayant ses 5 semaines, etc …

Parce que votre réponse appelait cette réflexion : celui qui veut travailler sans se fouler (ie horaires pépères, week ends tranquilles etc) ne trouvera aps gd chose. Et c'est malheureusement devenu le crédo des syndicats dénoncés ici : obtenir des chefs d'entreprises que le nb d'heures baisse, que les salaires augmentent, que la durée des congés s'allonge, que d'autres avantages viennent se greffer à cela (retraite à 55 ans etc). Je trouve cela ridicule, contre productif, nuisible pour les salariés et nuisible à l'idée même que je me fais d'une association de salariés.

Ou est le libre arbitre et l'absence de jugement de valeur sur le souhait d'un salarié et surtout, ou est la liberté ?

La liberté c'est de choisir ce qu'on veut faire et dans quel secteur.

Si on aime pas les vieux, on choisit de ne pas travailler dans les asiles de vieux.

refus du travail du dimanche = assisté ?

Si l'employé force pour que l'employeur *ne puisse pas* ouvrir c'est pire que de l'assistanat. Si l'employé refuse alors que le patron le lui demande, c'est une rupture de contrat ; si l'employeur l'impose sans avoir demandé d'abord aux volontaires (tenez, j'étais bien volontaire pour les inventaires le 31 déc à minuit !!) c'est un goujat, mais des individus indélicats ça court les rues, et aps que chez les patrons.

Si votre définition de la position libérale a ce sujet, a savoir " Les libéraux ne sont pas "pour" l'ouverture des commerces le dimanche, ils sont "pour" la liberté du commerçant de choisir ses jours d'ouverture, point barre." que faites vous de la liberté du salarié de vouloir garder ce jour de repos puisque vous reconnaissez vous même, en tant que libérale, qu'on vous l'avait imposé ?

Ma définition est qu'il faut savoir ce qu'on veut, si on ne veut pas travailler un SEUL dimanche par an ou jours fériés (je vous signale à tout hasard que les employés de la GD savent avant de signer qu'il y aura plusieurs jours fériés travaillés) on travaille pas dans le commerce, point final.

Ma définition est que n'est imposé aucun contrat de travail, chaque signataire sait où il va (comme ci une infirmière se plaignait de travailler le dimanche ?!) AVANT dont c'est une contrainte acceptée volontairement. Tout comme mes samedis travaillés et l'impossibilité de prendre plus de 4 jours en saison sont des contraintes que j'ai accepté en acceptant mon emploi actuel (d'ailleurs, le nb de candidats qui ne donnent pas suite à cause de ça c fou).

j'avoue que je suis curieux de lire votre réponse …

Suffit de demander.

Ce que vous appellez de faux droits, au non de la liberté, c'est votre logique de pensée, la mienne c'est d'appeller fausse liberté, la liberté de ne pas avoir la possibilité de choix, comme c'était le cas pour La fée clochette …

C'est aps Clochette d'abord. Ensuite, j'étais libre d'accepter le contrat, tout comme j'ai été libre de le rompre un mois plus tard (et aps à cause du dimanche)

Posté
Vous attendez "la" phrase qui vous permets d'écrire "ah vous voyez, les libéraux ci, les libéraux mi"

Je ne vous en veux pas, je ferais pareil à votre place si ça se trouve.

Evidemment que si je pouvais me passer de bosser les weeks je le ferais ! Pour être honnête, si je pouvais être rentière et ne plus travailler, je le ferais aussi.

Je bosse dans le commerce, je travaille TOUS les samedis, cela ne m'enchante pas, mais encore une fois, il faut savoir ce que l'on veut, et selon le secteur que l'on choisit, on prend les contraintes qui vont avec.

Contraintes librement acceptées, vous comprenez mieux ? Si je veux devenir représentant commercial, je serai contrainte de faire bcp de kilomètres, en devenant représentante, j'accepte ces contraintes. Mon patron ne me les impose pas, elles font partie du job.

Parce que votre réponse appelait cette réflexion : celui qui veut travailler sans se fouler (ie horaires pépères, week ends tranquilles etc) ne trouvera aps gd chose. Et c'est malheureusement devenu le crédo des syndicats dénoncés ici : obtenir des chefs d'entreprises que le nb d'heures baisse, que les salaires augmentent, que la durée des congés s'allonge, que d'autres avantages viennent se greffer à cela (retraite à 55 ans etc). Je trouve cela ridicule, contre productif, nuisible pour les salariés et nuisible à l'idée même que je me fais d'une association de salariés.

La liberté c'est de choisir ce qu'on veut faire et dans quel secteur.

Si on aime pas les vieux, on choisit de ne pas travailler dans les asiles de vieux.

Si l'employé force pour que l'employeur *ne puisse pas* ouvrir c'est pire que de l'assistanat. Si l'employé refuse alors que le patron le lui demande, c'est une rupture de contrat ; si l'employeur l'impose sans avoir demandé d'abord aux volontaires (tenez, j'étais bien volontaire pour les inventaires le 31 déc à minuit !!) c'est un goujat, mais des individus indélicats ça court les rues, et aps que chez les patrons.

Ma définition est qu'il faut savoir ce qu'on veut, si on ne veut pas travailler un SEUL dimanche par an ou jours fériés (je vous signale à tout hasard que les employés de la GD savent avant de signer qu'il y aura plusieurs jours fériés travaillés) on travaille pas dans le commerce, point final.

Ma définition est que n'est imposé aucun contrat de travail, chaque signataire sait où il va (comme ci une infirmière se plaignait de travailler le dimanche ?!) AVANT dont c'est une contrainte acceptée volontairement. Tout comme mes samedis travaillés et l'impossibilité de prendre plus de 4 jours en saison sont des contraintes que j'ai accepté en acceptant mon emploi actuel (d'ailleurs, le nb de candidats qui ne donnent pas suite à cause de ça c fou).

Suffit de demander.

C'est aps Clochette d'abord. Ensuite, j'étais libre d'accepter le contrat, tout comme j'ai été libre de le rompre un mois plus tard (et aps à cause du dimanche)

Excusez pour la clochette, j'ai pas fait attention, je me suis laisser emporter par mon imagination …. (oups ! )

je vous remercie de votre réponse franche et précise et j'aie presque envie de dire que je suis globalement d'accord avec vous.

La seule chose qui me gène est de faire cohabiter la notion de contrainte et celle de liberté, les deux mots sont en effets quelque part un peu opposés.

Pour répondre a ceux qui me demandent de définir une vraie liberté, je leur dirait que a question … b*t*, réponse du même tonneau :

Une vraie liberté est par exemple celle de mettre des chaussettes bleues …. si on l'a décidé librement, bien sur.

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