A.B. Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 Pour ma part, j'ai reçu de nombreuses baffes, des fessées, du martinet et de la cravache. J'avais 18 ans quand j'ai reçu mon dernier coup de martinet Toujours justifiés donc toujours acceptés, je n'en ai jamais voulu à mes parents, cela ne m'a même jamais traversé l'esprit. (des conneries, j'en ai fait des tonnes, du découpage au canif des draps qui sèchent sur le fil, à l'incendie du bois derrière chez moi en passant par des expériences sur les chats du voisin) Hum cela ne parle pas en faveur de l'efficacité de la punition on dirait. Par contre, j'en ai terriblement voulu à mon père qui un jour a décrété que les BDs c'était pour les "demeurés et les dégénérés" et a tout brûlé. J'avais 11 ans. J'ai fini par le traiter de "con" et j'ai eu droit à la cravache, punition pour le coup, justifiée. A 3 ans on comprend pas forcément autre chose qu'une fessée, a 11 ans oui. Cravacher un môme de 11 ans pour une insulte c'est lamentable, d'ailleurs il t'a lui même traité de demeuré et de dégénéré et qui plus est brûlé ce qui semblait t'appartenir. Si qqun mérite des coups de cravache dans cette histoire c'est bien ton père. --> j'ai une petite idée de l'exemple à suivre. tu as deux points stastistiques, je prefere l'a priorisme a ce niveau la.
Fredo Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 Comme je l'indiquais plus haut, il me semble - et ce n'est pas être "alter-éducatif", ni gauchiste que de penser cela - que la sanction doit, dans la mesure du possible, avoir un lien clair et proportionné avec l'acte sanctionné. Oui, avoir un lien. Voilà pourquoi il faut bien y réfléchir quand on donne comme punition une privation future, qui donc n'a rien à voir avec le comportement en cause.
Highlife Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 Si d'un coté on veut promouvoir une société ou l'on bannit la violence excepté lorsqu'elle est légitime (et tout le monde sait ici quels sont les cas où elle l'est), comment habituer les générations futures si on n'applique pas ce précepte dès le berceau? C'est juste une question que je viens de me poser et je vous la pose.
Fredo Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 L'intérêt de la routine est le fait qu'on puisse agir sans se poser à chaque fois d'interminables questions, ce qui permet bien souvent de gagner en réactivité. Le problème, c'est que cela peut se transformer en actes automatiques qui ne sont plus jamais questionnés et qui, s'ils étaient valables au moment où ils ont été intégrés par la personne, peuvent s'avérer inadéquats dans l'instant présent, sans que la personne s'en rende compte. Oui, mais cela suppose d'accepter de remettre de temps en temps en question des actes qui nous paraissent "évidents". Voilà, ce sont les inconvénients des avantages de tout apprentissage (inconsciemment compétent pourrait-on dire) issu de généralisations à partir de l'expérience, par exemple.
Calembredaine Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 Hum cela ne parle pas en faveur de l'efficacité de la punition on dirait.A 3 ans on comprend pas forcément autre chose qu'une fessée, a 11 ans oui. Cravacher un môme de 11 ans pour une insulte c'est lamentable, d'ailleurs il t'a lui même traité de demeuré et de dégénéré et qui plus est brûlé ce qui semblait t'appartenir. Si qqun mérite des coups de cravache dans cette histoire c'est bien ton père. tu as deux points stastistiques, je prefere l'a priorisme a ce niveau la. Il est clair que tu n'as rien compris à mon intervention. J'ai du mal m'exprimer. Je trouve que mes parents ont été d'excellents parents. Ils n'ont pas été parfaits, d'où mon anecdote sur les BD mais ce sont des exemples à mes yeux. Cravacher un môme de 11 ans pour une insulte c'est lamentable Non, c'est salutaire. Le respect des parents est primordial pour l'éducation des enfants, c'est la base. (Rassure toi, je n'ai jamais eu de marque)
A.B. Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 Le respect des parents est primordial pour l'éducation des enfants Si c'est le respect par la crainte ça ne vaut pas tripette à mon avis.
Calembredaine Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 Si c'est le respect par la crainte ça ne vaut pas tripette à mon avis. Oui, sans aucun doute
Ronnie Hayek Posté 17 août 2007 Signaler Posté 17 août 2007 Par contre, j'en ai terriblement voulu à mon père qui un jour a décrété que les BDs c'était pour les "demeurés et les dégénérés" et a tout brûlé. Scoop, Lucilio est en réalité bien plus vieux qu'il ne le dit: c'est le père de Rocou !
wapiti Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Cravacher un môme de 11 ans pour une insulte c'est lamentable. C'est au contraire très sain (pas forcément la cravache, mais bon …). Un gamin qui insulte ses parents, c'est pour moi la pire des chose, malheureusement monnaie courante aujourd'hui sans que les parents réagissent.
Ronnie Hayek Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Si qqun mérite des coups de cravache dans cette histoire c'est bien ton père. Pensée 68, quand tu nous tiens…
POE Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 On enseigne jamais bien par la violence. Il y a une différence entre nier l'autorité des parents (esprit de 68), et dire que la violence n'est pas une bonne chose dans l'éducation. Il est tout à fait possible d'avoir une autorité ferme et rigoureuse, sans user de la violence physique ou verbale. C'est certes plus difficile que de céder à la pulsion d'envoyer une gifle à l'enfant qui nous exaspère.
Ronnie Hayek Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Il est tout à fait possible d'avoir une autorité ferme et rigoureuse, sans user de la violence physique ou verbale. Personne n'a prétendu le contraire.
wapiti Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Il est tout à fait possible d'avoir une autorité ferme et rigoureuse, sans user de la violence physique ou verbale. C'est certes plus difficile que de céder à la pulsion d'envoyer une gifle à l'enfant qui nous exaspère. Il est sans doute tout à fait possible d'avoir de l'autorité sans foutre de gifles*, mais il est très facile de se laisser bouffer par ses gamins parcequ'on ne veut pas recourir à une bonne fessée pour remettre un mioche à sa place, et ce n'est bon ni pour les parents ni pour les gamins. Le problème de fond, c'est une vision de l'éducation laxiste et complètement déconnectée de la réalité (on doit tout expliquer aux enfants, etc.). L'interdiction des punitions corporelles n'est que l'aboutissement de cette idéologie absurde. PS: pour reprendre l'exemple des insultes, l'idéal est qu'un gamin n'en arrive jamais là. S'il le fait, il faut réagir efficacement et immédiatement ; si la cravache est la seule solution qu'on trouve, ça vaut mieux que rien. * pour ma part, je n'ai reçu qu'un gifle dans mon enfance, mais j'étais un gamin sage (du moins à la maison …).
Invité jabial Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Je pense pour ma part que tout doit bien être expliqué aux enfants, et je ne vois pas le rapport avec les giffles. Ca n'a rien d'incompatible.
Ronnie Hayek Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Il est sans doute tout à fait possible d'avoir de l'autorité sans foutre de gifles*, mais il est très facile de se laisser bouffer par ses gamins parcequ'on ne veut pas recourir à une bonne fessée pour remettre un mioche à sa place, et ce n'est bon ni pour les parents ni pour les gamins. Le problème de fond, c'est une vision de l'éducation laxiste et complètement déconnectée de la réalité (on doit tout expliquer aux enfants, etc.). L'interdiction des punitions corporelles n'est que l'aboutissement de cette idéologie absurde. . Je plussoie.
POE Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Il est sans doute tout à fait possible d'avoir de l'autorité sans foutre de gifles*, mais il est très facile de se laisser bouffer par ses gamins parcequ'on ne veut pas recourir à une bonne fessée pour remettre un mioche à sa place, et ce n'est bon ni pour les parents ni pour les gamins. C'est précisemment un échec de l'autorité lorsque celle ci a besoin de la force pour s'imposer. L'adulte qui ne peut se passer de la violence pour éduquer un enfant, démontre au contraire à l'enfant tout le pouvoir que ce dernier peut avoir sur lui. Ce qui est au fond, exactement le contraire de ce qui voudrait être enseigné.
wapiti Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Je pense pour ma part que tout doit bien être expliqué aux enfants, et je ne vois pas le rapport avec les giffles. Ca n'a rien d'incompatible. Le respect, la politesse, l'honnêteté, ça ne s'explique pas à un gamin de 8 ans, ça s'apprend. En grandissant, on comprend tout seul l'intérêt de ces valeurs alors qu'on n'a pas les moyens de le comprendre au moment ou on doit les acquérir.
wapiti Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 C'est précisemment un échec de l'autorité lorsque celle ci a besoin de la force pour s'imposer. L'adulte qui ne peut se passer de la violence pour éduquer un enfant, démontre au contraire à l'enfant tout le pouvoir que ce dernier peut avoir sur lui. Ce qui est au fond, exactement le contraire de ce qui voudrait être enseigné. On ne parle pas de tabasser son gamin tous les soirs à coup de ceinturon, mais il y a quand même une sacrée marge entre la maltraitance et une bonne gifle bien mérité de temps à autres. Tant qu'elle reste exceptionnelle, la punition corporelle est une manière simple de faire sentir à un gamin qu'il a dépassé les bornes. Il y en a d'autre, mais tous les parents ne sont pas forcément capables de les mettre en oeuvre, et certains gamins difficiles incapables de comprendre autre chose. Comme souvent, le mieux est l'ennemi du bien : à vouloir une éducation parfaite, on faire pire que ce qu'on obtient avec des méthodes imparfaites qui ont fait leurs preuves. PS: L'adulte qui ne peut se passer de la violence pour éduquer un enfant, démontre au contraire à l'enfant tout le pouvoir que ce dernier peut avoir sur lui. Psychologie à la mords moi le noeud, valable peut-être dans certains cas exceptionnels, mais dont la généralisation abouti à des absurdités comme celle dont on parle dans ce fil. En revanche, des parents qui passent tout à leurs enfants, j'en vois régulièrement, et il est clair que ceux-ci ont tiré toutes les conséquences de la faiblesse de leur parents quant au pouvoir qu'ils peuvent avoir sur eux.
Calembredaine Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 On ne parle pas de tabasser son gamin tous les soirs à coup de ceinturon, mais il y a quand même une sacrée marge entre la maltraitance et une bonne gifle bien mérité de temps à autres. Tant qu'elle reste exceptionnelle, la punition corporelle est une manière simple de faire sentir à un gamin qu'il a dépassé les bornes. Il y en a d'autre, mais tous les parents ne sont pas forcément capables de les mettre en oeuvre, et certains gamins difficiles incapables de comprendre autre chose. Comme souvent, le mieux est l'ennemi du bien : à vouloir une éducation parfaite, on faire pire que ce qu'on obtient avec des méthodes imparfaites qui ont fait leurs preuves.
Patrick Smets Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 La gifle est un acte de violence. C'est une agression caractérisée qui part le plus souvent dans un moment d'exaspération. C'est très limite, mais parfois, c'est compréhensible. Par contre, la fessée ne relève pas de la violence physique. Elle a la même efficacité qu'elle fasse mal ou non. C'est avant tout un acte rituel de domination.
Calembredaine Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 La gifle est un acte de violence. C'est une agression caractérisée qui part le plus souvent dans un moment d'exaspération. Dans ce cas, la portée de la gifle est très limitée et peut-être contre productive. Elle est a proscrire, bien évidemment. A mon sens, il y a trois types de gifles productives: -La gifle de danger immédiat: il s'agit de provoquer une forte réaction chez le gosse. (exemple de LaFéeC, le gosse se met en danger, il faut réagir vite) -la gifle de remise en place immédiate: le gosse sait pertinemment qu'il fait une connerie. La réaction doit être rapide et cinglante. (Les explications ne servent à rien du tout à ce moment) -la gifle, équivalente à ta fessée, qui vient après avertissement verbal.
Patrick Smets Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 ok pour les deux premières la troisième me semble inférieure à la fessée. Toucher la tête ou le cul, c'est pas la même chose. tiens par ailleurs… l'émotion et la mémoire sont profondément liées. est-ce que la gifle ne serait pas un facteur qui améliore la mémorisation de ce qui suit immédiatement (la règle à suivre) ? Dans le film sur les croisades d'il y a un ou deux ans, au moment de se faire adouber par son père, la personnage principal recevait un torgnole juste avant d'entendre le serment qui doit guider un chevalier… un moyen pour qu'il n'oublie jamais. (je ne sais pas si c'est authentique comme histoire).
Invité jabial Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Le respect, la politesse, l'honnêteté, ça ne s'explique pas à un gamin de 8 ans, ça s'apprend. En grandissant, on comprend tout seul l'intérêt de ces valeurs alors qu'on n'a pas les moyens de le comprendre au moment ou on doit les acquérir. Tu fais ici une liste d'éléments premiers de civilisation, de choses qui de toute façon ne s'expliquent pas, donc forcément tu as raison en l'espèce. Il reste que, par exemple, quand tu interdis à ton gamin de sortir, ça ne va pas te tuer de lui dire que c'est dangereux plutôt que "parce que c'est comme ça".
Patrick Smets Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Tu fais ici une liste d'éléments premiers de civilisation, de choses qui de toute façon ne s'expliquent pas, donc forcément tu as raison en l'espèce. Il reste que, par exemple, quand tu interdis à ton gamin de sortir, ça ne va pas te tuer de lui dire que c'est dangereux plutôt que "parce que c'est comme ça". -ne traverse pas la route au rouge ! -pouquoi ? -parce que c'est dangereux ! -pourquoi c'est dangereux ? -parce qu'il y a des voitures ! -Pourqoui il y a des voitures ? -parce que les gens ont besoin de se déplacer -Pourquoi les gens ? … -PARCE QUE C'EST COMME CA, BORDEL !!!!
Jesrad Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 -ne traverse pas la route au rouge !-pourquoi ? -parce que c'est dangereux ! -pourquoi c'est dangereux ? -parce que tu peux être blessé ! -c'est quoi être blessé ? -*SBAF* C'est ça. Bon, en fait, il y a une erreur dans l'explication: il ne faut pas dire "ne traverse pas au rouge", mais "ne te fais pas écraser par une voiture", puis "le signal rouge est utile pour éviter de se faire écraser".
POE Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Le respect, la politesse, l'honnêteté, ça ne s'explique pas à un gamin de 8 ans, ça s'apprend. En grandissant, on comprend tout seul l'intérêt de ces valeurs alors qu'on n'a pas les moyens de le comprendre au moment ou on doit les acquérir. Le point commun à ces valeurs est de ne pas faire à autrui ce que l'on ne voudrait pas qu'il nous fasse. Chacun souhaite qu'on s'adresse à lui de façon courtoise, souhaite qu'on le respecte, et qu'on soit honnête avec lui, cela peut être compris par un enfant. Par contre, si on cherche à enseigner ce genre de principes alors qu'on ne les respecte pas soi même, l'enfant ne risque pas de comprendre : d'un côté on l'engage à respecter les grandes personnes, de l'autre on ne le respecte pas, et on ne suit pas soi même les principes qu'on professe. La meilleure éducation est celle de l'exemple.
wapiti Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 Le point commun à ces valeurs est de ne pas faire à autrui ce que l'on ne voudrait pas qu'il nous fasse.Chacun souhaite qu'on s'adresse à lui de façon courtoise, souhaite qu'on le respecte, et qu'on soit honnête avec lui, cela peut être compris par un enfant. N'empèche, si un gamin me traite de con, je lui colle un baffe, je ne lui demande pas poliment si ça lui plairait que je le traite d'enc…. Par contre, si on cherche à enseigner ce genre de principes alors qu'on ne les respecte pas soi même, l'enfant ne risque pas de comprendre : d'un côté on l'engage à respecter les grandes personnes, de l'autre on ne le respecte pas, et on ne suit pas soi même les principes qu'on professe. Corriger un enfant n'est pas un manque de respect. Est-ce si difficile à comprendre que les enfants ne sont pas des adultes et qu'il est absurde de vouloir les traiter comme tels ?
Ash Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 De fait, on discute d'une polémique qui n'a pas lieu d'être. Donner des claques et des fessées à ses gamins c'est une attitude normal et utilisée de manière non excessive par bien 90% des parents. Plutôt que de considérer tout ça avec sérieux, on ferait mieux de s'inquiéter de la tendance hautement liberticide de l'UE et du progressisme ambiant.
Invité jabial Posté 18 août 2007 Signaler Posté 18 août 2007 -ne traverse pas la route au rouge !-pouquoi ? -parce que c'est dangereux ! -pourquoi c'est dangereux ? -parce qu'il y a des voitures ! -Pourqoui il y a des voitures ? A ce niveau là tu arrêtes. Il y a des voitures, point. La dangerosité est démontrée. Donc à ce stade, c'est l'heure du "parce que c'est come ça". N'empêche que quand j'étais petit, mes parents m'expliquaient toujours pourquoi telle chose était interdite et telle autre obligatoire, et que la première fois que j'ai entendu un parent répondre à un ami "parce que", j'ai été tout étonné, n'ayant jamais connu ça chez moi. Ce qui n'empêchait pas mon père de me baffer quand je le méritais. N'empèche, si un gamin me traite de con, je lui colle un baffe, je ne lui demande pas poliment si ça lui plairait que je le traite d'enc…. Corriger un enfant n'est pas un manque de respect. Est-ce si difficile à comprendre que les enfants ne sont pas des adultes et qu'il est absurde de vouloir les traiter comme tels ? Tout à fait.
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