Lancelot Posté 29 juin 2010 Signaler Posté 29 juin 2010 "Tatoo, gardez le contact avec votre tribu." Conduire en parlant ou avec une seule main, tout le monde le fait tout le temps. Conduire en écrivant ou en lisant, ça c'est vraiment dangereux.
G7H+ Posté 29 juin 2010 Signaler Posté 29 juin 2010 C'est open-bar dans le n'importe quoi ce mois de juin. Il reste encore deux jours et je me demande ce qui va se passer. Un député européen demande la création d'un centre européen d'étude sur les OVNIs.
artemis Posté 29 juin 2010 Signaler Posté 29 juin 2010 Conduire en écrivant ou en lisant, ça c'est vraiment dangereux.
0100011 Posté 29 juin 2010 Auteur Signaler Posté 29 juin 2010 Conduire en parlant ou avec une seule main, tout le monde le fait tout le temps. Conduire en écrivant ou en lisant, ça c'est vraiment dangereux. De plus je n'ai jamais vu personne s'endormir en parlant au téléphone alors qu'en ce moment on a droit à une campagne de pub géante sur les méfaits de la somnolence : http://www.francesoir.fr/securite/la-somno…leau-des-routes On notera la stupidité de l'analyse des chiffres dans cet article : genre si les causes liées à la vitesse et l'alcool alors mécaniquement le pourcentage d'accidents liés à la somnolence sera plus grand sans pour autant que les gens soient plus fatigués (c'est pas évident mais au moins discutable). La somnolence, nouveau fléau des routesEn 2009, le nombre d’accidents corporels a baissé (– 8 %). Mais, la somnolence au volant, de plus en plus fréquente, devient le facteur de danger majeur. Après un accident de la route S’endormir au volant, c’est la mort au tournant. L’an dernier, la somnolence a été à l’origine d’un accident sur trois contre un accident sur six seulement en 1997. Elle dépasse désormais les deux causes traditionnelles d’accident : l’alcool – à l’origine d’un accident sur six – et la vitesse excessive qui cause un drame sur dix. Une étude, commanditée par L’Argus de l’automobile en collaboration avec la Clinique du sommeil confirme le danger que fait courir aux automobilistes cet ennemi insidieux. Un reporter de la rédaction du magazine s’est prêté à une expérience unique. Conduire de Paris à Nice (930 km) équipé de 15 électrodes reliées à un boîtier permettant d’enregistrer ses gestes et ses différents états (éveil, somnolence). Par ailleurs, il était également appareillé, pour la nuit, d’un dispositif spécial afin de détecter d’éventuels signes d’apnée du sommeil. Les résultats sont effarants : « Un automobiliste dort onze minutes au volant lors de son trajet Paris-Nice sans s’en apercevoir ! » 28 % des conducteurs concernés Bien qu’il ait accepté toutes les recommandations d’usages pour lutter contre la somnolence au volant (pauses toutes les deux heures, respecter les limites de vitesses, déjeuner léger…), le conducteur s’est assoupi durant son trajet sans s’en apercevoir ! Autrement dit, il a parcouru un total de 24 km, à une vitesse moyenne de 130 km/h, en état de somnolence. Depuis quatre ans, l’Association des sociétés françaises d’autoroutes (Asfa) se mobilise pour sensibiliser le plus grand nombre de conducteurs au risque de la somnolence au volant. Elle a mis en évidence que la plupart des accidents surviennent le plus souvent entre 2 et 7 heures et entre 14 et 16 heures, et la moitié sur des trajets de moins de deux heures. Dans 65 % des cas, le véhicule est seul en cause et fait une sortie de route. Pour mieux prévenir ce phénomène, l’Asfa a conduit une enquête auprès de 40.000 conducteurs, sous le conseil scientifique du Pr Pierre Philip du CHU de Bordeaux. Cette enquête révèle que : 28 % des conducteurs ont eu à lutter contre la somnolence au moins une fois dans l’année, 4 % avouent avoir eu un « presque accident » sur l’année écoulée du fait de cet état. Ramené aux 35 millions d’automobilistes circulant chaque année sur autoroute, cela représente environ 1,5 million de conducteurs qui ont été exposés à un « presque accident ». A la veille des grands départs en vacances, le chiffre fait froid dans le dos.
Brock Posté 29 juin 2010 Signaler Posté 29 juin 2010 c'est la position de conduite le probleme, assis sur son cul penard en arriere comme dans un sofa, forcement qu'on s'endort !
neuneu2k Posté 30 juin 2010 Signaler Posté 30 juin 2010 Bien qu’il ait accepté toutes les recommandations d’usages pour lutter contre la somnolence au volant (pauses toutes les deux heures, respecter les limites de vitesses, déjeuner léger… Autant les limites de vitesses diminuent la gravité des accidents, autant il n'y a rien de plus propice au sommeil que de rouler a 130km/h sur une piste clairement conçue pour du 180-230 (non, mais sérieusement, vous avez vu le rayon de courbure d'une autoroute, le type qui a fait le plan ne pensais clairement pas a du 130km/h )
0100011 Posté 30 juin 2010 Auteur Signaler Posté 30 juin 2010 Autant les limites de vitesses diminuent la gravité des accidents, autant il n'y a rien de plus propice au sommeil que de rouler a 130km/h sur une piste clairement conçue pour du 180-230 (non, mais sérieusement, vous avez vu le rayon de courbure d'une autoroute, le type qui a fait le plan ne pensais clairement pas a du 130km/h ) Mais comme les limitations changent toutes les 27 secondes et sans raisons apparentes si tu veux les suivre alors il faut que tu sois très attentif ! C'est le double effet kiss-cool de la réglementation.
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