Hobbart Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 La disparition des syndicats? Non. Leur adaptation au monde réel? Oui. +1
h16 Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Où l'on se rend compte que l'illusion du politique est partagée jusqu'à ses pires ennemis. Comme c'est étrange de lire des libéraux argumenter en faveur de l'action du pouvoir politique pour détruire un contre-pouvoir qu'ils n'aiment pas. Traduction : "Je suis très très agacé de voir des contradicteurs se ficher de moi ouvertement et avec style, j'aligne les arguments bidons, y ajoute quelques hommes de paille pas trop frais, et ça ne marche toujours pas." Bisque again.
DoM P Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Thx. You made my point. Tu partages cette croyance que Popper a mis en lumière : celle du caractère manifeste de la vérité, il nous suffirait de la dévoiler. Si nous l'ignorons, c'est qu'elle nous est cachée. Et donc il existe un complot obscurantiste. Tout ce qui n'est pas d'accord avec moi fait partie du complot, soit consciement, soit comme "idiot utile". J'ai dit ça, moi? Je ne sais plus comment m'exprimer avec toi. D'habitude, mes mots sont compréhensibles des autres, mais toi, tu lis une chose et en comprends une autre. Je te conseillerais volontiers la lecture de Revel à ce sujet (La connaissance inutile, ou La grande parade), ou encore François Furet (Le passé d'une illusion), ce qui permettrait à un esprit ouvert de saisir la machine communiste, mais apparemment, tu continuerais à lire l'histoire et comprendre l'Huma. Et tu illustres encore une fois ce que je viens de montrer : yaka faire table rase grâce à l'Etat et les syndicats se reconstitueront sur des bases saines, on nettoie le mal et on recommence etc Mais ça ne marche pas comme ça ! Ce n'est pas faire table rase que de laisser les syndicats se couler, et la concurence faire le reste!
h16 Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Resaissis-toi, merde! A ce point de la discussion, il est dans une phase de cliquet psychologique. Il s'est enferré dans une logique douteuse, ne peut plus en sortir sans que ça se voie. Il faudrait lui offrir une sortie honorable, mais là, j'avoue, ce sera dur. La disparition des syndicats? Non. Leur adaptation au monde réel? Oui. Apollon serait bien en peine de citer un message de toi, RH ou moi-même disant explicitement "disparition des syndicats". J'ai dit ça, moi? Non non. Rhétorique de base. Comme quoi je ne demande qu'a etre convaincu, parfois.Alors qu'avec Rocou président, tout serait tellement simple! Il y aurait une chose différente, dont l'évidence semble t'échapper. Rocou n'étant pas issu de l'appareil d'état, il aurait plus que certainement une vision plus saine de la façon dont fonctionne le pays que l'actuel guignol. Tu pars du principe que nous ne pourrions faire mieux parce que c'est une charge difficile, etc… Mais c'est oublier un peu vite un paramètre important : Sarko se fiche comme d'une guigne que ça aille mieux ou moins bien. Comme le Chi ou Mimitte avant lui, ce qu'il veut, ce qui lui remplit le petit égo tout frétillant, c'est le pouvoir. S'il doit vendre père et mère pour ça, hop, vendu, il le fera. Dès lors, n'importe quel type avec 2 sous de bon sens, mis à sa place, ferait mieux pour le pays. Evidemment, il n'arriverait jamais à cette place parce que précisément, tout (à commencer par la mascarade démocratique) a été conçu pour sélectionner non ceux qui ont du bon sens mais ceux qui veulent du pouvoir. Ergo Sarkozy et pas Rocou.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Traduction :"Je suis très très agacé de voir des contradicteurs se ficher de moi ouvertement et avec style, j'aligne les arguments bidons, y ajoute quelques hommes de paille pas trop frais, et ça ne marche toujours pas." Bisque again. C'est d'ailleurs tellement évident que tu te sens obligé de le signaler au lecteur. Ce n'est pas faire table rase que de laisser les syndicats se couler, et la concurence faire le reste! Un peu facile de réécrire son opinion a posteriori : tu n'as pas souhaité que les syndicats se coulent tous seuls, tu as explicitement demandé à l'Etat de les liquider. Je te cite : Il faut faire passer une bonne grosse réforme, qui les mettra tous dans la rue, et ne pas céder. Apollon serait bien en peine de citer un message de toi, RH ou moi-même disant explicitement "disparition des syndicats". "disparition des syndicats" n'existe même pas dans mes posts. Par contre DomP 20:00.
h16 Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 C'est d'ailleurs tellement évident que tu te sens obligé de le signaler au lecteur. Non, tu es confus. J'explique pour ceux qui n'ont pas le Décodotron. "disparition des syndicats" n'existe même pas dans mes posts. Par contre DomP 20:00. Tiens, pas de quote ? Ah oui, parce qu'en fait, c'est "La disparition des syndicats? Non. Leur adaptation au monde réel? Oui." ON APPELLE CA DE LA MAUVAISE FOI GLUANTE. Berk. Tu es tout gluant. Bisque bisque.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 ON APPELLE CA DE LA MAUVAISE FOI GLUANTE. Enfin h16 tu m'accuses d'avoir prêté des idées à mes contradicteurs et ce faisant tu m'inventes des propos, c'est normal que je conteste. C'est incroyable de se disputer avec h16, un contibuteur remarquable, sur un cas assez simple : on a un utilisateur qui pense que les grévistes sont des brutes sanguinaires [sic] et qui demande à l'Etat d'agir en sorte de les mettre à la rue pour écraser un bon coup des syndicats pleins de fric. Et ceux qui ne sont pas d'accord sont au mieux des idiots utiles. Quid ?
Ronnie Hayek Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Où l'on se rend compte que l'illusion du politique est partagée jusqu'à ses pires ennemis. Comme c'est étrange de lire des libéraux argumenter en faveur de l'action du pouvoir politique pour détruire un contre-pouvoir qu'ils n'aiment pas. Faut pas rêver, hein. Pour faire passer des mesures libérales, l'instrument politique est nécessaire. Le vaudou, je n'y crois pas trop (pas du tout). D'autre part, il faudrait savoir sous quel angle tu abordes la critique anti-anarcap: soit tu reproches aux libertariens de ne pas s'intéresser à la politique concrète (ce qui est erroné), soit tu leur reproches de vouloir y participer. On accorde ici plus de bienveillance à la mafia qu'aux syndicats. Je n'ai rien écris de plus. Tu oses écrire cela à propos de h16, de Dom P ou de moi ? Sans rire ? Et après, tu oses te plaindre que H16 te prête des idées que tu n'as pas proférées (ce qu'il n'a pas fait, du reste) ??
DoM P Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Un peu facile de réécrire son opinion a posteriori : tu n'as pas souhaité que les syndicats se coulent tous seuls, tu as explicitement demandé à l'Etat de les liquider. C'est un quiproquo. La réforme que j'appelle de mes voeux n'est pas celle qui inerdirait l'existence des syndicats, mais une de celles qui sont nécessaires pour remettre la France sur pied. Par exemple la réforme du droit du travail, celle des retraites, ou la PAC, etc. Tout ça, ça fait descendre les syndicats dans la rue. D'où les conclusions qui en découlent. NB : Je viens de t'ouvrir la porte de sortie honorable dont parlait H16.
h16 Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Enfin h16 tu m'accuses d'avoir prêté des idées à mes contradicteurs et ce faisant tu m'inventes des propos, c'est normal que je conteste. Et ceci, c'est du poulet ? La destruction des syndicats ? Le rôle de l'Etat c'est … pas de se servir de la loi … pour accomplir un but politique partisan comme la destruction des syndicats. C'est incroyable de se disputer avec h16, Ah mais je ne me dispute pas. Je m'amuse même beaucoup (mais je vais aller me coucher, là). un contibuteur remarquable, oh, merci, brosse brosse moi dans le sens du pwal, j'aime on a un utilisateur qui pense que les grévistes sont des brutes sanguinaires [sic] Oui, là, je suis d'accord pour dire que DomP va loin. Mais tu noteras n'avoir pas repris ce point précis avant maintenant. Coquin, tenterais-tu une autre diversion ? et qui demande à l'Etat d'agir en sorte de les mettre à la rue Non. DANS la rue, pas A la rue. Faire une réforme qui les mettrait DANS la rue. Relis. Pour info : Cinquième phrase : Il faut faire passer une bonne grosse réforme, qui les mettra tous dans la rue, et ne pas céder. Le Ca change drastiquement le sens de l'intervention, je crois.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 D'autre part, il faudrait savoir sous quel angle tu abordes la critique anti-anarcap: soit tu reproches aux libertariens de ne pas s'intéresser à la politique concrète (ce qui est erroné), soit tu leur reproches de vouloir y participer. On dévie sur l'anarcapie maintenant : je pense que se servir de moyens politiques pour réaliser l'anarcapie c'est avoir des fins et des moyens contradictoire : ouvrir toujours la boite de Pandore du pouvoir étatique pour mieux la refermer. Tu oses écrire cela à propos de h16, de Dom P ou de moi ? Non. C'est un quiproquo. La réforme que j'appelle de mes voeux n'est pas celle qui inerdirait l'existence des syndicats, mais une de celles qui sont nécessaires pour remettre la France sur pied. Par exemple la réforme du droit du travail, celle des retraites, ou la PAC, etc. Tout ça, ça fait descendre les syndicats dans la rue. D'où les conclusions qui en découlent.NB : Je viens de t'ouvrir la porte de sortie honorable dont parlait H16. Il n'y a pas de quiproquo, tu nous as sorti une belle rhétorique frontiste puis tu mets de l'eau dans ton vin. Voir mon post ci-dessus à H16. Ca change drastiquement le sens de l'intervention, je crois. non c'est bien dans ce sens que c'était compris.
Gadsden Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Thx. You made my point. Tu partages cette croyance que Popper a mis en lumière : celle du caractère manifeste de la vérité, il nous suffirait de la dévoiler. Si nous l'ignorons, c'est qu'elle nous est cachée. Et donc il existe un complot obscurantiste. Tout ce qui n'est pas d'accord avec moi fait partie du complot, soit consciement, soit comme "idiot utile". C'est là que tu te trompes , il ne s'agit pas d'un complot obscurantiste , puisque ces gens là avancent en assumant ce qu'ils font . Il ne se contentent pas de vouloir défendre leurs intérêts (ce qui est tout à fait légitime) , mais ils veulent absoluement que par réglement , par loi , par décret , ce qui relève de la négociation , ou de l'équilibre d'intérêts , soit imposé . Ce sont des gens qui ne peuvent concevoir leur rôle que dans l'action de l'état pour les aider. Et parfois même dans le cadre de cetains syndicats ( FSU par exemple) , l'état n'est plus un simple outil , mais une raison d'être , puisque ces syndicats ne semblent avoir pour but que d'augmenter le nombre de fonctionnaires . Alors oui , même s'il ne s'agit pas d'un complot caché , des structures telles que les syndicats français , qui ont pour but , ou moyen, l'hypertrophie de l'état sont des structures malfaisantes .
Ronnie Hayek Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 On dévie sur l'anarcapie maintenant On ne parle pas d'anarcapie en particulier, mais de réformes à moyen terme. J'ai simplement répondu à ceci: Où l'on se rend compte que l'illusion du politique est partagée jusqu'à ses pires ennemis. Comme c'est étrange de lire des libéraux argumenter en faveur de l'action du pouvoir politique pour détruire un contre-pouvoir qu'ils n'aiment pas.
h16 Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 non c'est bien dans ce sens que c'était compris. Dans ce cas, le problème n'est pas ce qu'on écrit. C'est simplement que tu comprends tout de travers. Nous voilà rassurés les enfants. Rien de grave finalement.
DoM P Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Oui, là, je suis d'accord pour dire que DomP va loin. Mais tu noteras n'avoir pas repris ce point précis avant maintenant. Coquin, tenterais-tu une autre diversion ? J'admets volontiers que la généralisation est excessive si vous admettez de votre côté que les gros bras de la CGT, SUD, FO, & co correspondent très exactement à la description que j'en ai faite. Dans ce cas, le problème n'est pas ce qu'on écrit. C'est simplement que tu comprends tout de travers.Nous voilà rassurés les enfants. Rien de grave finalement. J'en étais arrivé à cette conclusion, puis un vain espoir de quiproquo m'a brièvement détourné de cette évidence pourtant flagrante. Il ne lit pas les mots que nous écrivons.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 On ne parle pas d'anarcapie en particulier, mais de réformes à moyen terme. J'ai simplement répondu à ceci: S'arranger pour mettre les grévistes dans la rue et leur mettre une branlée, ce n'est pas une "réforme à moyen terme". Prôner l'emploi de la force contre le force au nom de l'intérêt suprême de la société, ce n'est pas libéral. Dans ce cas, le problème n'est pas ce qu'on écrit. C'est simplement que tu comprends tout de travers. C'est l'inverse, je l'entendais bien comme "mettre dans la rue".
Punu Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 On dévie sur l'anarcapie maintenant : je pense que se servir de moyens politiques pour réaliser l'anarcapie c'est avoir des fins et des moyens contradictoire : ouvrir toujours la boite de Pandore du pouvoir étatique pour mieux la refermer. Il n'y a rien de contradictoire à se servir de l'état pour le supprimer. Par contre, toute augmentation du personnel, des domaines d'action, etc., est illégitime.
Ronnie Hayek Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 S'arranger pour mettre les grévistes dans la rue et leur mettre une branlée, ce n'est pas une "réforme à moyen terme". Prôner l'emploi de la force contre le force au nom de l'intérêt suprême de la société, ce n'est pas libéral. "L'emploi de la force contre le force" ?? Kesako ? De toute manière, défendre les honnêtes gens contre la crapule, c'est parfaitement libéralo-compatible. Si je t'en crois, Thatcher - que tu admires pourtant - n'aurait donc pas été libérale en cassant les reins aux syndicats ?
DoM P Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 S'arranger pour mettre les grévistes dans la rue et leur mettre une branlée, ce n'est pas une "réforme à moyen terme". Prôner l'emploi de la force contre le force au nom de l'intérêt suprême de la société, ce n'est pas libéral.C'est l'inverse, je l'entendais bien comme "mettre dans la rue". Je ne "m'arrange" pas. Je veux réformer. Et je sais que systématiquement, quand on veut réformer, on se tape des milliers d'abrutis dans la rue. C'est un fait que je constate. Je ne l'appelle pas de mes voeux. Sachant cela, j'en tire les conséquences logiques. Maintenant, face à la violence systématique dont usent, je répète, ces brutes sanguinaires (du moins une proportion suffisante de grévistes pour que ce soit significatif) il est indispensable d'user d'une force plus grande encore et de les mâter. C'est légitime. Et c'est même légal, dis donc! "L'emploi de la force contre le force" ?? Kesako ?De toute manière, défendre les honnêtes gens contre la crapule, c'est parfaitement libéralo-compatible. Si je t'en crois, Thatcher - que tu admires pourtant - n'aurait donc pas été libérale en cassant les reins aux syndicats ? Parce qu'il admire Thatcher, lui? Et il me fait tout un patacaisse quand je propose d'appliquer très exactement ses méthodes? T'es sûr?
Ronnie Hayek Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Parce qu'il admire Thatcher, lui?Et il me fait tout un patacaisse quand je propose d'appliquer très exactement ses méthodes? T'es sûr? http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=322328 Ceci dit, je ne vois pas ce que le terme "pataquès" vient faire ici.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Il n'y a rien de contradictoire à se servir de l'état pour le supprimer. Par contre, toute augmentation du personnel, des domaines d'action, etc., est illégitime. Oui mais tout emploi de la politique à fin d'ordonnancer la société ou ses institutions légitime d'autant l'opposition à se servir ultérieurement du même pouvoir politique pour l'ordonnancer en fonction d'autres fins. "L'emploi de la force contre le force" ?? Kesako ? Par exemple ça : comme les grévistes usent de la force pour parvenir à leurs fins, il faut en user également. = nous sommes les plus forts, profitons-en ! De toute manière, défendre les honnêtes gens contre la crapule, c'est parfaitement libéralo-compatible. Si je t'en crois, Thatcher - que tu admires pourtant - n'aurait donc pas été libérale en cassant les reins aux syndicats ? Le but de Thatcher c'était de restaurer l'état de droit, pas d'écraser les syndicats. Thatcher n'a jamais recherché sciement la confrontation - contrairement à ce que raconte la propagande gauchiste de Scargill. Elle a défendu, jamais attaqué. Et grâce à cette conduite, le conflit ne fut pas interprété comme celui du gouvernement de Thatcher contre les travailleurs mais de celui des syndicats gauchistes contre la loi. Et c'est comme ça que Thatcher gagna. Notons au passage que Thatcher n'a jamais vaincu que les syndicats gauchistes. En 1984, de nombreux syndicats se sont abstenus et certains n'étaient pas mécontents que le syndicat des mineurs se ramasse (par exemple les syndicats de l'industrie de l'acier). Je ne "m'arrange" pas. Je veux réformer. Et je sais que systématiquement, quand on veut réformer, on se tape des milliers d'abrutis dans la rue. C'est un fait que je constate. Je ne l'appelle pas de mes voeux. Sachant cela, j'en tire les conséquences logiques.Maintenant, face à la violence systématique dont usent, je répète, ces brutes sanguinaires (du moins une proportion suffisante de grévistes pour que ce soit significatif) il est indispensable d'user d'une force plus grande encore et de les mâter. C'est légitime. Et c'est même légal, dis donc! Bref : yaka niké les méchants, faisons confiance à l'Etat. J'ai honte de ne pas gagner plus facilement ce débat…
DoM P Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=322328Ceci dit, je ne vois pas ce que le terme "pataquès" vient faire ici. Je me doutais bien qu'il y avait une faute, quelque part… Cela étant, ce que "pataquès" vient faire ici : (1)PATAQUÈS s se fait entendre n. m. XVIIIe siècle. Création plaisante imitant les liaisons fautives du type : ce n’est pas-t-à moi, je ne sais pas-t-à qui est-ce.Fam. Faute de liaison dans la prononciation et, par ext., faute grossière de langage. Faire des pataquès. « Il a huit-z-enfants » est un pataquès. Se dit par analogie pour qualifier une faute de tact, un impair. Quel pataquès ! Il en a fait tout un pataquès, toute une affaire.
Calembredaine Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Alors qu'avec Rocou président, tout serait tellement simple! Ce qui serait "plus simple", ça serait de ne plus avoir de président du tout plutôt qu'un bouffon bouffi d'orgueil qui ose prétendre nous diriger. Moi qui croyais naïvement élire des larbins à mon service, je constate que les politiciens sont des gens que l'on élit pour qu'ils nous volent ©Dilbert.
DoM P Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 = nous sommes les plus forts, profitons-en ! Rien à voir. Le but même de la police est d'user de la force ou de l'autorité qu'elle confère. Mise en situation : - La mémé se fait agresser par un loubard (qui use de sa force) - La police intervient (en usant d'une force supérieure) - Apollon nous donne un cours que l'usage immorale de la force qui opprime ce pauvre loubard, qu'on devrait cesser d'appeler "loubard" pour l'appeler "monsieur", parce que ce n'est pas bien du tout de dénigrer ces pauvres gens victime du système. Le but de Thatcher c'était de restaurer l'état de droit, pas d'écraser les syndicats. C'est très exactement ce que je réclame depuis le début J'ai honte de ne pas gagner plus facilement ce débat… C'est que tu comprends tout de travers, ça te complique la tâche. Le pire, c'est que, quand tu comprendras (on finit toujours par comprendre, c'est la durée qui varie), tu t'apercevras qu'on est d'accord sur le fond.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Rien à voir. Le but même de la police est d'user de la force ou de l'autorité qu'elle confère.Mise en situation : - La mémé se fait agresser par un loubard (qui use de sa force) - La police intervient (en usant d'une force supérieure) - Apollon nous donne un cours que l'usage immorale de la force qui opprime ce pauvre loubard, qu'on devrait cesser d'appeler "loubard" pour l'appeler "monsieur", parce que ce n'est pas bien du tout de dénigrer ces pauvres gens victime du système. Mais vu que pour toi tout gréviste est une brute sanguinaire, l'emploi de la force est toujours légitime contre eux. Le but de Thatcher c'était de restaurer l'état de droit, pas d'écraser les syndicats. C'est très exactement ce que je réclame depuis le début Citation : La destruction des syndicats ? Tels qu'ils fonctionnent aujourd'hui, ça semble être une bonne chose. Afin que d'autres renaissent à leur place, et se limitent à leur champ d'action légitime, tout en l'occupant réellement. La disparition des syndicats? Non. Leur adaptation au monde réel? Oui. Un autre syndicalisme est possible ! Faisons-le naitre à coup de batons. C'est que tu comprends tout de travers, ça te complique la tâche. A moins que tu n'assumes pas tes propos..
DoM P Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Mais vu que pour toi tout gréviste est une brute sanguinaire, l'emploi de la force est toujours légitime contre eux.C'est très exactement ce que je réclame depuis le début Citation : Tels qu'ils fonctionnent aujourd'hui, ça semble être une bonne chose. Afin que d'autres renaissent à leur place, et se limitent à leur champ d'action légitime, tout en l'occupant réellement. La disparition des syndicats? Non. Leur adaptation au monde réel? Oui. Un autre syndicalisme est possible ! Faisons-le naitre à coup de batons. A moins que tu n'assumes pas tes propos.. Tu me fatigues. Bonne nuit à tous.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Tu me fatigues.Bonne nuit à tous. Peu de découvertes sont plus irritantes que celles qui exposent la paternité des idées. Lord Acton
Punu Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 Oui mais tout emploi de la politique à fin d'ordonnancer la société ou ses institutions légitime d'autant l'opposition à se servir ultérieurement du même pouvoir politique pour l'ordonnancer en fonction d'autres fins. L'anarcapie n'est pas un "projet de société" au sens gauchiste du terme. Il s'agit simplement de rétablir le respect du dn. L'utilisation de la politique ne poursuit donc pas un objectif idéologique (= normatif et sujet à discussion et retour en arrière) dans le cas des anarcaps.
Apollon Posté 12 septembre 2007 Signaler Posté 12 septembre 2007 L'anarcapie n'est pas un "projet de société" au sens gauchiste du terme. Même si c'est vrai, c'est ce que la plupart des gens croient. Il s'agit simplement de rétablir le respect du dn. Les gauchistes pourraient soutenir la même chose, avec l'égalité en norme suprême. C'est stupide mais vu que les idées sont souvent le cache-sexe des passions, véritable acteur des révolutions, on a plus de chance d'avoir une révolution gauchiste que libertarienne, l'histoire l'illustre bien. L'utilisation de la politique ne poursuit donc pas un objectif idéologique (= normatif et sujet à discussion et retour en arrière) dans le cas des anarcaps. Je dirais que idéologique = représentation du monde + doctrine (mais ça reste imparfait). En ce sens le projet anarcap est idéologique, ce qui ne veut pas dire qu'il vaille autant que les autres. Il se distingue bien évidement sur la question des fins collectives puisque l'anarcapie interdirait les fins collectives propres (il n'y aurait de fins collectives que si celle-ci coïncide avec les fins personnelles de tous les participants).
Leepose Posté 13 septembre 2007 Signaler Posté 13 septembre 2007 Il y aurait une chose différente, dont l'évidence semble t'échapper. Rocou n'étant pas issu de l'appareil d'état, il aurait plus que certainement une vision plus saine de la façon dont fonctionne le pays que l'actuel guignol.Tu pars du principe que nous ne pourrions faire mieux parce que c'est une charge difficile, etc… Mais c'est oublier un peu vite un paramètre important : Sarko se fiche comme d'une guigne que ça aille mieux ou moins bien. Comme le Chi ou Mimitte avant lui, ce qu'il veut, ce qui lui remplit le petit égo tout frétillant, c'est le pouvoir. S'il doit vendre père et mère pour ça, hop, vendu, il le fera. Dès lors, n'importe quel type avec 2 sous de bon sens, mis à sa place, ferait mieux pour le pays. Evidemment, il n'arriverait jamais à cette place parce que précisément, tout (à commencer par la mascarade démocratique) a été conçu pour sélectionner non ceux qui ont du bon sens mais ceux qui veulent du pouvoir. Ergo Sarkozy et pas Rocou. Effectivement, pour etre président de la république, il faut gagner les élections. Il ne suffit pas d'etre (sincèrement) convaincu que ses propres idées feraient le bien du pays. Je vois que ta conscience démocratique est en net progrès, sur ce coup là. Bref, il y a tout un ensemble de mesure a prendre pour faire de la démocratie quelque chose de réel, a commencer par réduire la durée des mandats. Mais je constate que vous etes nombreux a vouloir jeter le bébé avec l'eau du bain.
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