Chitah Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Pardon, mais là, ta réponse n'est pas du tout pertinente Mmmhmh, j'allais quand j'étais petit rendre visite à des amis de mes parents avec eux, à "Saint Romain" près de liens, une cité plein d'immigrés, c'est Saint Romain au Mont d'Or? Ah ben je confonds avec les autres communes "au Mont d'Or" remplies de gens blindés.
xxc Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Bon, il n'empêche que le gamin doit se farcir japonais 3ème langue - et j'imagine qu'on ne va pas lui donner une bonne note parce que papa est directeur d'un autre lycée. C'est pas grave, une série de mauvaises notes n'aura pas d'influence sur le cursus, ce n'est qu'une option. Il suffit de supporter deux heures par semaine la première année de lycée (en 2nde), puis d'abandonner ensuite (une fois qu'on est entré dans le lycée, on peut y rester même si ce n'est pas le lycée du secteur). C'est une technique répandue de contournement de la carte scolaire: demander une option que le lycée du secteur n'a pas. Et sinon, "un établissement où des milliers de parents rêveraient d'y voir leurs mômes" tsk, tsk ! J'ai la main un peu lourde sans doute.
Chitah Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 C'est pas grave, une série de mauvaises notes n'aura pas d'influence sur le cursus, ce n'est qu'une option. Il suffit de supporter deux heures par semaine la première année de lycée (en 2nde), puis d'abandonner ensuite (une fois qu'on est entré dans le lycée, on peut y rester même si ce n'est pas le lycée du secteur). La preuve, moi j'ai fait Allemand second langue et Latin (pour être dans une "bonne classe" d'un "bon collège", c'est comme cela que les profs sélectionnent), et il ne reste rien ni de l'un, ni de l'autre…
Rincevent Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 (J'ai eu témoignage d'un X qui remplissait à ras bord sa casserole pour faire cuire des nouilles, et s'étonnait systématiquement que ça déborde lors de l'ajout des nouilles.) On a tous notre petite histoire sur les X. Mon père connaissait un X qui, quand son bébé faisait tomber ton petit pot de sa chaise haute, calculait la vitesse à l'impact et le temps de chute, sachant la hauteur de la chaise et la gravité. Et un autre qui, quand il montait chez lui par escalier, faisait à chaque palier un petit tour sur lui-même, histoire que les fils qui le reliaient là-haut ne fassent pas de noeuds. Et en même temps, son ancien patron était un X de 35 ans, et sans doute le meilleur manager qu'il ait jamais connu. Justement, c'est le calcul le plus défavorable : - si tu passes le ratio de contribution des étudiants à l'école à 40% comme c'est le cas aux USA je crois, tu passes alors à un paiment de 12 800 euros annuels - si en plus tu considères que ledit élève peut tout de même bosser de quoi ramener 300 € par mois, alors il n'y a plus que 9600 € à sortir. A titre d'information, les frais de scolarité de mon école étaient de 6 000 euros par an. Mais l'école vivait un peu chichement, il est vrai.
h16 Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 La preuve, moi j'ai fait Allemande second langue Et l'Allemande fut comment ?
LaFéeC Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Peut être, mais n'est ce pas aussi de la responsabilité des professeurs ? Personne ne leur interdit de faire réagir leurs élèves, les faire participer de manière plus actives, chercher avec eux des moyens d'utiliser leurs connaissances… Les profs sont une des professions les plus gauchistes qu'on trouve (lire les signataires des pétitions ATTAC et Cie). Anecdote : un soir lors d'un diner chez un ami, une jeune femme nous explique qu'elle a obtenu son CAPES, qu'elle est donc en banlieue parisienne, que c'est formidable d'apprendre aux jeunes. Et la voilà qui se lance dans un discours genre "ce qu'il faut c'est apprendre aux jeunes ce qui est bien, leur donner les clefs de la société, les aiguiller vers ce qui est bon etc.." je bouillonne mais reste silencieuse. Le type d'à côté lui dit qu'il a enseigné un peu l'anglais en collège, que pour lui l'enseignement c'est quasiment le contraire de ce qu'elle dit : tu leur apprends à réfléchir par eux-mêmes, à remettre en cause, critiquer, qu'ils sont des individus, pas des moutons… Je pense tout haut "merci !", et me lance dans une défense passionnée de l'individualisme. Elle rétorque, échaudée, "mais on peut encore croire en l'idéal communiste"… C'est flippant. (et ils sont nbx !)
LaFéeC Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Pour en revenir à l'EN, il faut reconnaître que pendant des années (du moins celles où j'étais au lycée) les filières courtes et technologique étaient le déversoir à "pas fait pour études sup". Tel gars ne maitrise pas les fondamentaux en 3ème, on va l'envoyer en BEP électricité, telle minette, en coiffure ou en couture. Tous les métiers autres qu'intellectuels ont été dévalorisés (et maintenant on fait appel au plombier polonais ) faut pas s'étonner que le péquin moyen se dise "qu'il faut" faire des études, même s'il préfererait bosser vite. Ajoutez à cela, le délire franchouille de gagner plus en en faisant le moins possible, avec les 5 semaines de congés, parce que le travail c'est l'esclavage.. C'est un mélange détonnant qui montre ses limites ! Sur ce forum, je pense qu'il n'y a pas bcp d'artisans, de commerçants, de maçons etc… (on doit avoir un fil qqpart avec les activités de chacun..).
phantom_opera Posté 8 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2007 Les profs sont une des professions les plus gauchistes qu'on trouve (lire les signataires des pétitions ATTAC et Cie).Anecdote : un soir lors d'un diner chez un ami, une jeune femme nous explique qu'elle a obtenu son CAPES, qu'elle est donc en banlieue parisienne, que c'est formidable d'apprendre aux jeunes. Et la voilà qui se lance dans un discours genre "ce qu'il faut c'est apprendre aux jeunes ce qui est bien, leur donner les clefs de la société, les aiguiller vers ce qui est bon etc.." je bouillonne mais reste silencieuse. Le type d'à côté lui dit qu'il a enseigné un peu l'anglais en collège, que pour lui l'enseignement c'est quasiment le contraire de ce qu'elle dit : tu leur apprends à réfléchir par eux-mêmes, à remettre en cause, critiquer, qu'ils sont des individus, pas des moutons… Je pense tout haut "merci !", et me lance dans une défense passionnée de l'individualisme. Elle rétorque, échaudée, "mais on peut encore croire en l'idéal communiste"… C'est flippant. (et ils sont nbx !) Arf, tu es un peu dure LaFéeC Bien sûr les enseignants sont là pour enseigner et non éduquer, mais en banlieue parisienne j'imagine qu'elle devait être confrontée à des cas difficiles. Quelques règles élémentaires à transmettre aux jeunes non en tant que prof mais en tant qu'individu responsable ça me semble un peu normal.
LaFéeC Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Arf, tu es un peu dure LaFéeC Bien sûr les enseignants sont là pour enseigner et non éduquer, mais en banlieue parisienne j'imagine qu'elle devait être confrontée à des cas difficiles. Quelques règles élémentaires à transmettre aux jeunes non en tant que prof mais en tant qu'individu responsable ça me semble un peu normal. Je ne suis pas dure, je me demande comment je vais gérer cette divergence d'opinion quand junior ira à l'école d'ailleurs. Je préfererais nettement être cliente qui paye un service qu'usagère d'un service public.
0100011 Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Les profs sont une des professions les plus gauchistes qu'on trouve (lire les signataires des pétitions ATTAC et Cie).Anecdote : un soir lors d'un diner chez un ami, une jeune femme nous explique qu'elle a obtenu son CAPES, qu'elle est donc en banlieue parisienne, que c'est formidable d'apprendre aux jeunes. Et la voilà qui se lance dans un discours genre "ce qu'il faut c'est apprendre aux jeunes ce qui est bien, leur donner les clefs de la société, les aiguiller vers ce qui est bon etc.." je bouillonne mais reste silencieuse. Le type d'à côté lui dit qu'il a enseigné un peu l'anglais en collège, que pour lui l'enseignement c'est quasiment le contraire de ce qu'elle dit : tu leur apprends à réfléchir par eux-mêmes, à remettre en cause, critiquer, qu'ils sont des individus, pas des moutons… Je pense tout haut "merci !", et me lance dans une défense passionnée de l'individualisme. Elle rétorque, échaudée, "mais on peut encore croire en l'idéal communiste"… C'est flippant. (et ils sont nbx !) T'étais dans un diner de communistes ! C'est vrai qu'il n'y a rien de pire que les profs qui ont vu la vierge marianne leur apparaître dans une grotte la salle des fêtes d'une mairie de banlieue.
LaFéeC Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 T'étais dans un diner de communistes ! C'est vrai qu'il n'y a rien de pire que les profs qui ont vu la vierge marianne leur apparaître dans une grotte la salle des fêtes d'une mairie de banlieue. Pas seulement. Il y a des profs ici, dites moi donc quelles sont les idées politiques majoritaires parmi vos semblables.
0100011 Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Pas seulement. Il y a des profs ici, dites moi donc quelles sont les idées politiques majoritaires parmi vos semblables. J'avoue je suis prof … et en science l'inculture politique est abyssale. Disons qu'ils sont à 97% selon la vulgate soc-dem non réfléchie : genre en trois minutes de discussion tu t'aperçois qu'ils ne pensent rien mais répètent beaucoup. Dans le fond les gens s'en foutent un peu de la politique en termes intellectuels.
phantom_opera Posté 8 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2007 Je ne suis pas dure, je me demande comment je vais gérer cette divergence d'opinion quand junior ira à l'école d'ailleurs.Je préfererais nettement être cliente qui paye un service qu'usagère d'un service public. Je ne pensais pas à des trucs du genre "il faut aider son prochain", "la solidarité nationale c'est bien" ou "Keynes avait raison". Enseignante dans un collège de banlieue parisienne, je pense "qu'apprendre aux jeunes ce qui est bien" c'est plutôt des conseils comme respecter le prof et respecter les autres élèves, ne pas cracher par terre, ne pas céder à la violence, etc.
Bob Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Mmmhmh, j'allais quand j'étais petit rendre visite à des amis de mes parents avec eux, à "Saint Romain" près de liens, une cité plein d'immigrés, c'est Saint Romain au Mont d'Or? Ah ben je confonds avec les autres communes "au Mont d'Or" remplies de gens blindés. Non c'est bien ça, mais j'avais prévenu que je serai pas d'accord avec ton prochain post, quel qu'il soit, et en plus j'ai placé un Sinon les enseignants sont-ils encore (tous) de gauche : la réponse est là.
xxc Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 La preuve, moi j'ai fait Allemand second langue et Latin (pour être dans une "bonne classe" d'un "bon collège", c'est comme cela que les profs sélectionnent), et il ne reste rien ni de l'un, ni de l'autre… J'aimais bien le latin. J'aimais apprendre la grammaire, lire Virgile, traduire des textes, je me souviens assez bien des Catilinaires que j'avais en partie appris par cœur: Quo usque tandem abutere, Catilina, patientia nostra? Quandiu etiam iste furor nos eludet? Etc. 23 ans après, ça ressort d'un trait !
pankkake Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 J'aimais bien le latin. J'aimais apprendre la grammaire, lire Virgile, traduire des textes, je me souviens assez bien des Catilinaires que j'avais en partie appris par cœur:Quo usque tandem abutere, Catilina, patientia nostra? Quandiu etiam iste furor nos eludet? Etc. 23 ans après, ça ressort d'un trait ! Comme quoi il y a vraiment de tout ; moi je suis incapable de me souvenir des trucs exacts (poésies = tortures). Et même un jour après. (Et deux ans de latin, ça m'a suffi.)
xxc Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 poésies = tortures Le "par cœur" est très formateur, ça permet une compréhension intime des textes. Vraiment, avec un bon texte, ça vaut l'investissement. (Au passage, après vérification sur internet, mes souvenirs de latin, s'ils ne sont pas mauvais, manquent d'exactitude… )
Jesrad Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Moi ce que je préférais, dans le latin, c'était la composition de la classe (les plus jolies filles du Lycée en petit comité), et le côté histoire (les intrigues sanglantes de la famille julio-claudienne, Catilina, Néron, Caligula, etc…).
Cochon Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Cochon il faut qu'on t'explique un truc. Ici, on est sur www.liberaux.org, il faut quand même que tu t'attendes à ce qu'il y ait beaucoup de libéraux dans le forum. C'est sympa de savoir qu'il y a une corrélation entre le niveau du diplôme et les revenus, merci beaucoup monsieur Eric Maurin pour cette brillante enquête Ah oui, j'avais oublié la grande affirmation de Mr PO sur les statistiques marxisto-bourdivines… A force de nier la réalité les libéraux vont vraiment devenir virtuels.
Cochon Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Kwak Kwak. Un système unifié mais avec autonomie absolue des établissements, pourrais-tu nous expliquer? La vraie solution, c'est l'autonomie totale des établissements, point barre. Qu'un chef d'établissement souhaite remplacer les cours de maths par des cours de cuisine c'est son droit le plus élémentaire. C'est le cas de la plupart des pays de l'OCDE: un type d'établissement ((high schools, écoles communales scandinaves…) par tranche d'âge, mais autonomie interne large voire absolue (projet pédagogique, recrutement, gestion des RH, ect…) pour chaque établissement pris individuellement. Encore faudrait-il sortir le nez de la France avec ses filières rigidement séparées dans le secondaire pour que ça vous parle. Je te réponds encore une fois, les grandes écoels n'ont pas pour vocation de former toute la population française et encore moins de répondre à elles seules à la demande du marché du travail. Que le nombres d'étudiants ait été multiplié par 30 et que celui des grandes écoles n'ait augmenté que de 10%, et alors? Où est le malthusianisme dans l'histoire? Est-ce que les grandes écoles sont censés fournir tout le personnel des entreprises? On est obligé de recruter des étudiants de grandes écoles? C'est nouveau ça. J'ai répondu chiffres à l'appui sur ma définition du malthusianisme des grandes écoles, qui correspond à un état de fait et à une vraie stratégie (compréhensible d'ailleurs: organiser la rareté a ses avantages), vous blablatez sur des suppostions. Ah oui, statistiques: communisme. Les profs sont une des professions les plus gauchistes qu'on trouve (lire les signataires des pétitions ATTAC et Cie).Anecdote : un soir lors d'un diner chez un ami, une jeune femme nous explique qu'elle a obtenu son CAPES, qu'elle est donc en banlieue parisienne, que c'est formidable d'apprendre aux jeunes. Et la voilà qui se lance dans un discours genre "ce qu'il faut c'est apprendre aux jeunes ce qui est bien, leur donner les clefs de la société, les aiguiller vers ce qui est bon etc.." je bouillonne mais reste silencieuse. Le type d'à côté lui dit qu'il a enseigné un peu l'anglais en collège, que pour lui l'enseignement c'est quasiment le contraire de ce qu'elle dit : tu leur apprends à réfléchir par eux-mêmes, à remettre en cause, critiquer, qu'ils sont des individus, pas des moutons… Je pense tout haut "merci !", et me lance dans une défense passionnée de l'individualisme. Elle rétorque, échaudée, "mais on peut encore croire en l'idéal communiste"… C'est flippant. (et ils sont nbx !) Pas plus que le reste de la fonction publique. Les chercheurs sont des psychopathes dans leur genre, sans parler des "créatifs".
LaFéeC Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 T'es chercheur ? (stp arrêtes d'écrire "les" libéraux, tu n'imagines pas à quel point ça me hérisse le poil)
phantom_opera Posté 8 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2007 J'ai répondu chfiffres à l'appui sur ma définition du malthusianisme des grandes écoles, qui correspond à un état de fait, vous blablatez sur du vent et des suppostions. Ah oui, statistiques: communisme chez vous. Ah pardon, je n'avais pas vue tes "chiffres à l'appui". Je sais de mon côté que les femmes au volant provoquent plus d'accidents de voiture que les hommes, je peux te le prouver chiffres à l'appui: taux de chômage en France 8,6% de la population active (source eurostat que tu peux vérifier sur internet). Déjà si tu pouvais nous expliquer ce que tu veux dire par "les grandes écoles sont malthusiennes". Je suis désolé Cochon mais je n'ai rien compris. Je fais des efforts pourtant tu sais. A force de nier la réalité les libéraux vont vraiment devenir virtuels. Non, les libéraux ne nie pas la réalité. Elle existe. C'est juste qu'ils ont compris qu'on ne pouvait pas la connaître
LaFéeC Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Je sais de mon côté que les femmes au volant provoquent plus d'accidents de voiture que les hommes, je peux te le prouver chiffres à l'appui: taux de chômage en France 8,6% de la population active (source eurostat que tu peux vérifier sur internet). Je suis pas d'accord. Des assurances proposent des tarifs moins élevés pour les femmes, elles coutent moins cher. Le nb d'accidents ne veut rien dire sans le nb de tués/blessés ! Grr
phantom_opera Posté 8 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 8 octobre 2007 Je suis pas d'accord. Des assurances proposent des tarifs moins élevés pour les femmes, elles coutent moins cher.Le nb d'accidents ne veut rien dire sans le nb de tués/blessés ! Grr Hihi. Je voulais juste tenter de prouver scientifiquement un préjugé quoi
ShoTo Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 les femmes au volant provoquent plus d'accidents de voiture que les hommes:non c'est l'inverse, mais ça veut pas dire qu'elles conduisent mieux
Chitah Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 J'aimais bien le latin. J'aimais apprendre la grammaire, lire Virgile, traduire des textes, je me souviens assez bien des Catilinaires que j'avais en partie appris par cœur:Quo usque tandem abutere, Catilina, patientia nostra? Quandiu etiam iste furor nos eludet? Etc. 23 ans après, ça ressort d'un trait ! Ben, moi pas. Encore faudrait-il sortir le nez de la France avec ses filières rigidement séparées dans le secondaire pour que ça vous parle.J'ai répondu chiffres à l'appui [..] vous blablatez sur des suppostions. Ah oui, statistiques: communisme. Je suis pas d'accord. Des assurances proposent des tarifs moins élevés pour les femmes, elles coutent moins cher.Le nb d'accidents ne veut rien dire sans le nb de tués/blessés ! Ce sont les femmes qui sont à l'origine de tous les maux de l'humanité, allez ouste du balai. Merdeuh! Y'a plus de meuf. Y'a plus que des mecs!!!!!! Youhou, où êtes-vous? Hé les filles z'êtes où, chuis tout seul, là.
LaFéeC Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Si on ouvre un nouveau fil sur les femmes et les maux de l'humanité, cela risque de vite dégénérer. Mais à 7 lib.orgiennes on devrait pouvoir faire face.
Chitah Posté 8 octobre 2007 Signaler Posté 8 octobre 2007 Si on ouvre un nouveau fil sur les femmes et les maux de l'humanité, cela risque de vite dégénérer.Mais à 7 lib.orgiennes on devrait pouvoir faire face. Chiche?
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