maurice b. Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 En cas de défaillance le risque est moindre puisque les procédures d'expulsions doivent être plus simples, je pense.J'ai eu la même expérience aux EU, où j'ai pu louer un appart depuis internet en envoyant seulement 100 dollars de caution . C'est vraiment du n'importe quoi au niveau des comparaisons ! Tu ne le dis pas, mais je suppose que ton appart aux E-U était meublé. Si c'est le cas, il faut savoir qu'en France c'est pareil; les législations sont complètement différentes entre les locations vides et les locations meublées. En France, la location meublée, c'est comme à l'hotel, tu n'as pas besoin, non plus, de montrer ta feuille de salaire pour louer.
Stan Selene Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 En France,la location meublée ,c'est comme à l'hotel,tu n'as pas besoin non plus de montrer ta feuille de salaire pour louer.
Alxandr Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 Hier, un présentateur disait que le paquet fiscal ne profitait qu'à 3500 personnes dans toute la France. Est-ce le cas ? Il n'est pas question que je le trouve du coup illégitime, mais ça me parait très léger si c'est le cas, pour quelqu'un qui veut augmenter le pouvoir d'achat. J'avoue que j'ignore le nombre de bénéficiaires de ce paquet fiscal, mais je pense que même si ce nombre est faible, c'est une très bonne mesure en ceci qu'elle va peut-être les dissuader de s'exiler fiscalement. Et par conséquent, en maintenant des richesses en France, permettre davantage de rentrées fiscales à long terme, d'investissements, etc… Un fil dédié existe-t-il sur ce paquet fiscal ? Sur la question du pouvoir d'achat, est-ce un véritable sujet (une réalité économique, ou même un authentique ressenti du peuple) ou bien une simple mayonnaise syndicalo-médiatique ? J'avais lu que le passage à l'Euro avait occasionné des hausses de prix très sensibles d'une quantité limitée de petits produits de tous les jours (ex: un café au bistrot, etc.), et ainsi un sentiment de "vie chère" relayé par les syndicats et les médias sauveurs de l'humanité, mais qui ne se vérifiait pas vraiment statistiquement (en regardant l'ensemble des prix de l'ensemble des biens de consommation, et la progression du confort et de la consommation : high tech, etc…).
Chitah Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 J'avoue que j'ignore le nombre de bénéficiaires de ce paquet fiscal, mais je pense que même si ce nombre est faible, c'est une très bonne mesure en ceci qu'elle va peut-être les dissuader de s'exiler fiscalement. Et par conséquent, en maintenant des richesses en France, permettre davantage de rentrées fiscales à long terme, d'investissements, etc…Un fil dédié existe-t-il sur ce paquet fiscal ? Des centaines voire des milliers de RMIstes dans les DOM TOM sont en train de profiter, par exemple, du bouclier fiscal de 60% mis en place il y a quelques mois.
Alxandr Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 Des centaines voire des milliers de RMIstes dans les DOM TOM sont en train de profiter, par exemple, du bouclier fiscal de 60% mis en place il y a quelques mois. Pour quelle raison ?
Chitah Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 Pour quelle raison ? Parce que le concept de bouclier fiscal correspond au fait qu'on ne versera pas, dans une année, plus de 60% de son revenu en impôts. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-…6-984801,0.html
CédricJ Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 C'est vraiment du n'importe quoi au niveau des comparaisons !Tu ne le dis pas, mais je suppose que ton appart aux E-U était meublé. Si c'est le cas, il faut savoir qu'en France c'est pareil; les législations sont complètement différentes entre les locations vides et les locations meublées. En France, la location meublée, c'est comme à l'hotel, tu n'as pas besoin, non plus, de montrer ta feuille de salaire pour louer. La location meublée n'est tout simplement pas réglementée en France, c'est d'ailleurs pour ça qu'il y en a si peu en dehors des locations de vacances. Et par ailleurs TOUS (ou presque) les apparts en Amérique sont meublés, sans qu'il n'y ai de loi obligeant à le faire; c'est simplement une question de respect du locataire. Et ne vient pas me dire que je ne sais pas de quoi je parle parce que j'ai un père qui travaille dans l'immobilier au Canada, ou j'ai d'ailleurs vécu pendant 18 ans.
h16 Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 C'est vraiment du n'importe quoi au niveau des comparaisons !Tu ne le dis pas, mais je suppose que ton appart aux E-U était meublé. J'ai eu l'occasion de tester la location pendant quelques années aux US (en version non meublée). C'est franchement plus simple qu'en France. Et si on compare avec le Québec (Montréal comme je l'ai dit), c'est encore plus douloureux pour la France. Dans les deux cas (avec mention spéciale pour Montréal), les législations en vigueur sont toujours beaucoup plus simples que le monstre auquel on a droit en France.
Brock Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 je suis dans un non-meuble qui contient un frigo +une cuisiniere par pure tradition locale. Le proprio est super reactif et tient tous ses appartements dans un etat parfait…
Copeau Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 Le beurre ou l'argent du beurre, par Eric Le BoucherLE MONDE | 01.12.07 | 14h39 • Mis à jour le 01.12.07 | 14h39 Ouf ! L'annonce, il y a dix jours, par le président Sarkozy qu'il allait prendre des mesures en faveur du pouvoir d'achat avait franchement inquiété. Les dégrèvements fiscaux décidés à l'été n'ont pas créé " le choc de confiance" promis. Fallait-il refaire un autre " paquet" ? Faire de nouveaux coûteux cadeaux pour compenser la hausse du prix de l'essence et du prix du beurre ? La question posée est celle de la politique économique de Nicolas Sarkozy, en clair de sa cohérence. Depuis le départ, le président nous rejoue une forme de "ni-ni" devenu "et-et" : et étatisme et libéralisme. J'aide la consommation devant les salariés et j'aide les entreprises devant le Medef, je veux une politique de la demande et une politique de l'offre. C'est le président bi. Comme le souligne l'économiste Patrick Artus (Flash n° 463, Natixis), "il faut choisir", parce que les deux lignes correspondent à deux cohérences, et les mélanger aboutit à des "contradictions". Politiquement, on comprend : grâce à une inflexion sociale, Nicolas Sarkozy a pu effacer son image de libéral brutal. Cette "triangulation" l'a fait élire ? Il le dit. Soit. Mais, économiquement, il était temps de clarifier le diagnostic des maux de la France pour apporter un remède de long terme, et pas du "et-et" inefficace, comme le paquet fiscal de l'été. Or le diagnostic est connu : il n'y a pas de problème de pouvoir d'achat en France. Si le président continue de le croire et de le dire, ce qui l'a élu le perdra sûrement. Car il ne pourra jamais "livrer", comme disent ses amis américains, c'est-à-dire tenir cette mauvaise promesse, celle de donner le beurre et l'argent du beurre. Il n'y pas de problème de pouvoir d'achat, car en fait il y a trop de pouvoir d'achat ! La France accuse un déficit croissant de ses comptes extérieurs : 0,3 % de son PIB. C'est la preuve qu'elle consomme plus qu'elle ne produit et, en clair, qu'elle vit au-dessus de ses moyens, comme le souligne Jacques Attali (Le Point du 22 novembre). Elle s'endette pour consommer. Peut-on imaginer une poursuite de la politique économique d'endettement, à l'américaine en somme ? Sur le papier, oui. L'Etat doit déjà 1 100 milliards d'euros, mais, en se moquant de laisser l'ardoise aux enfants, il n'est pas impossible de creuser encore et encore les déficits. Et puis, si l'Etat est au taquet, il n'est pas impossible de demander aux ménages de vider leurs fonds d'épargne. Le hic est que la France n'a pas les moyens de l'Amérique. Ni son autonomie économique (la France dépend plus du commerce extérieur) ni son autonomie monétaire. Elle partage l'euro avec douze autres pays et elle ne peut pas s'endetter en comptant sur les autres pour régler la note. La politique de la demande gonflée, c'est-à-dire de l'endettement permanent, est une politique intenable. La voie américaine ne serait possible qu'à l'échelle européenne tout entière, à commencer par l'Allemagne. "S'il faut soutenir le pouvoir d'achat, c'est en Allemagne qu'il faut le faire", souligne Laurence Boone, économiste chez Barclays. Et, surtout, ce n'est pas la bonne politique. Au lieu d'écouter son conseiller Henri Guaino, qui la prône, Nicolas Sarkozy ferait bien d'écouter les maîtres à penser keynésiens de son conseiller. Ils disent l'inverse de lui. Robert Solow, Prix Nobel, à Paris cette semaine, déclarait : "Compte tenu de l'évolution démographique et de l'augmentation rapide de la population âgée, la France doit accélérer le rythme de croissance de sa productivité si elle veut seulement maintenir le niveau de vie moyen de sa population." Productivité ! C'est la clé : dans toutes les économies, les salaires ne peuvent croître plus vite que la productivité sans déséquilibre. Or, en France, les gains de productivité par salarié ne cessent de décliner : 4 % l'an en 1970, 1,5 % l'an dernier. Pourquoi ? A cause du manque de réformes structurelles, de ce qu'on appelle une politique de l'offre. Faute d'investir assez, faute d'un marché du travail encourageant l'emploi, faute de concurrence dans de nombreux domaines (le commerce), faute d'avoir admis que l'Etat devenait inefficace en grossissant, à cause aussi des 35 heures qui ont promu le loisir, à cause de tout cela réuni : la France vit au-dessus de ses moyens. Répétons : le mal français n'est pas de trop consommer, mais de ne pas produire assez. C'est là que doivent porter les efforts du gouvernement. Le paquet annoncé par Nicolas Sarkozy va finalement dans le bon sens : il pousse à échanger les loisirs contre le travail, sans faire appel aux deniers publics. Le doit-on à François Fillon ? En tout cas, M. Sarkozy s'est rangé (définitivement ?) du côté de la politique de l'offre. Ouf, donc. Reste que s'il n'y a pas de problème macroéconomique de pouvoir d'achat, des catégories de Français ont un réel problème de pouvoir d'achat. La première raison est globale : la modération des hausses est venue du choix des 35 heures. L'Insee donne une deuxième explication, plus spécifique : ce ne sont pas les salariés à temps complet qui souffrent, mais ceux, de plus en plus nombreux, qui ne trouvent qu'un travail à temps partiel ou qui restent inactifs entre deux jobs. Les jeunes et les ouvrières sont les plus touchés. La remise au travail, souhaitée par le gouvernement, est la bonne politique. Mais elle devrait comprendre des mesures spécifiques pour que la flexibilité nécessaire ne se fasse pas toujours aux dépens des mêmes. Eric Le Boucher
Tuncurry Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 En France, la location meublée, c'est comme à l'hotel, tu n'as pas besoin, non plus, de montrer ta feuille de salaire pour louer. En effet, faut juste payer d'avance… Plus sérieusement, je reviens de Montreal ou j'ai loué un appart vide. Super rapide, super simple, formalité minimum, pas de fiches de salaire, juste la signature d'un bail. Ici, j'ai tenté de louer un 2 pièce de 60 m2 pas spécialement bien placé à Paris, organisme locatif tres connu donc meme pas un propriétaire physique: m'ont refusé pour un motif bidon mais probablement lié à absence de fiche de paie ! (je suis gérant d'une boite de conseil depuis 3 ans : bilan 2005 et 2006 fournis : 240 K€ de CA, 60 K€ de Resultat positif et donc pas de fiche de paie puisque je suis non salarié et revenus versés largement supérieurs à 3x le loyer) Evidemment, j'ai trouvé ailleurs… mais ca illustre bien la vision délirante que les gens se font de l'économie et leur attrait pour les fonctionnaires…
Tuncurry Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 Le beurre ou l'argent du beurre, par Eric Le Boucher Décidemment, on se demande comment Eric Le Boucher arrive à se maintenair au Monde…
CédricJ Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 je suis dans un non-meuble qui contient un frigo +une cuisiniere par pure tradition locale.Le proprio est super reactif et tient tous ses appartements dans un etat parfait… Je me suis mal exprimé. Je ne voulais pas dire meublé, je voulais dire équipé d'une cuisine complète et d'espaces de rangement suffisants. Tu dois être bien tombé parce que jusque là en France je n'ai trouvé rien de tel, du moins pas à un prix raisonnable ; quant à mon proprio, je ne l'ai seulement jamais vue, je n'ai rencontré que ses parents, qui m'on fait visiter l'appart…
pankkake Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 En France, la location meublée, c'est comme à l'hotel, tu n'as pas besoin, non plus, de montrer ta feuille de salaire pour louer. :warez: (j'habite dans un meublé)
Alxandr Posté 1 décembre 2007 Signaler Posté 1 décembre 2007 Le beurre ou l'argent du beurre, par Eric Le Boucher De toutes façons, il faudrait être fou pour acheter son beurre chez le boucher.
Ben Posté 2 décembre 2007 Signaler Posté 2 décembre 2007 C'est vraiment du n'importe quoi au niveau des comparaisons !Tu ne le dis pas, mais je suppose que ton appart aux E-U était meublé. Si c'est le cas, il faut savoir qu'en France c'est pareil; les législations sont complètement différentes entre les locations vides et les locations meublées. En France, la location meublée, c'est comme à l'hotel, tu n'as pas besoin, non plus, de montrer ta feuille de salaire pour louer. Mon appartement était totalement vide : juste des plaques et un frigo. J'ai dormi par terre pendant trois jours puis j'ai loué des meubles pour pas cher sans qu'on ne me demande 36000 documents non plus en garantie.
Rincevent Posté 2 décembre 2007 Signaler Posté 2 décembre 2007 De toutes façons, il faudrait être fou pour acheter son beurre chez le boucher.
Invité Arn0 Posté 2 décembre 2007 Signaler Posté 2 décembre 2007 En France les procédures d'expulsion pour la location meublé de résidence principale et la location non meublé sont les mêmes (y compris les temps d'attentes et la trêve hivernal). Les souplesses du bail ne change rien pour le propriétaire qui veut récupérer son logement à cause du non paiement du loyer, et celui-ci demande donc les mêmes garanties ou presque.
Bastiat Posté 2 décembre 2007 Signaler Posté 2 décembre 2007 Cette décision de changer d'indice de référence est une bonne décision. Pfff Sans intérêt On devrait surtout pouvoir y déroger par contrat lutter contre tous les spéculateurs qui se goinfrent en louant n'importe quel taudis à des tarifs prohibitifs. TOUS TAUDIS PROHIBITIF Bonjours le sophisme à 2 balles, tu devrais faire un tour à la LCR toi. Il y a aussi ces salauds de proprios qui attendent leur loyer pour pouvoir payer leur credit immo à taux variable et boucler les fin de mois. Des vrais crapules kapitalistes en effet qui vive du sang des locataires.
h16 Posté 2 décembre 2007 Signaler Posté 2 décembre 2007 Tu dois être bien tombé Jim16 vit à Montréal.
maurice b. Posté 2 décembre 2007 Signaler Posté 2 décembre 2007 Ici, j'ai tenté de louer un 2 pièce de 60 m2 pas spécialement bien placé à Paris, organisme locatif tres connu donc meme pas un propriétaire physique: m'ont refusé pour un motif bidon mais probablement lié à absence de fiche de paie ! Les organismes locatifs qui sont mandatés par les propriétaires, pour rechercher des locataires ont très souvent pour directive de selectionner ,en toute discrétion, des salariés travaillant dans la Fonction Publique. C'est scandaleux mais c'est la triste réalité
maurice b. Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 Source : APLe secrétaire général de Force ouvrière Jean-Claude Mailly, déçu par les mesures annoncées par Nicolas Sarkozy pour renforcer le pouvoir d'achat, a agité aujourd'hui la menace d'"une mobilisation interprofessionelle". "Je le dis clairement, moi j'ai un mandat. On va faire monter la pression "a-t-il dit sur i>télé, sans donner de date. En ce qui concerne les nouveaux assouplissements prévus aux 35 heures, M. Mailly a fermement condamné "la possibilité, demain, de négocier entreprise par entreprise la durée du travail". "Ca, on n'est pas d'accord. Ca, c'est la fin des 35 heures", a-t-il martelé. "Ca veut dire que la durée légale n'existera plus, ça c'est une grosse revendication du Medef * ". * et aussi des Libéraux !
teabag Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 "Ca, on n'est pas d'accord. Ca, c'est la fin des 35 heures", a-t-il martelé. "Ca veut dire que la durée légale n'existera plus, ça c'est une grosse revendication du Medef * " On notera au passage cette particularité propre à nos leader politique et syndicaux, de marteler 100 fois le même mot pour bien faire comprendre que ça, c'est vraiment très mââle. On a l'impression que ce type enfonce un clou.
h16 Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 On notera au passage cette particularité propre à nos leader politique et syndicaux, de marteler 100 fois le même mot pour bien faire comprendre que ça, c'est vraiment très mââle. Mailly fait dans la testostérone ?
Nick de Cusa Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 Les organismes locatifs qui sont mandatés par les propriétaires, pour rechercher des locataires ont très souvent pour directive de selectionner ,en toute discrétion, des salariés travaillant dans la Fonction Publique.C'est scandaleux mais c'est la triste réalité Ça va plus loin que ça. On favorise les amis politiques pour se renforcer dans sa commune et sa circonscription.
vincponcet Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 Les organismes locatifs qui sont mandatés par les propriétaires, pour rechercher des locataires ont très souvent pour directive de selectionner ,en toute discrétion, des salariés travaillant dans la Fonction Publique.C'est scandaleux mais c'est la triste réalité Comment ça "scandaleux" ? Le propriétaire si il est propriétaire, il prête son bien à qui il veux. Et il donne un mandat à quelqu'un pour lui trouver des locataires selon ses critères. Qu'est-ce qu'il y a de scandaleux là dedans ? Pas tout à fait, un bailleur ne peut pas augmenter un loyer (sauf une petite indexation si la date d'anniversaire du bail est proche) entre 2 locataires, sauf s'il a effectué des travaux de rénovation. J'ai encore lu un truc qui disait qu'à la création d'un bail, le prix était libre. Le critère de travaux de rénovation, c'est pour réviser le bail au delà de l'indice de référence lorsque le bail est en cours.
teabag Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 Mailly fait dans la testostérone ? Oui, et c'est surement pour enfoncer son clou j'usqu'au bout. Gloups …
Asphodele Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 Concernant Montréal c'est très simple, l'accès au logement est plus facile parce que les dépots de garantie et les cautions sont interdites, tout passe par la confiance (mais en contrepartie je pense que les procédures d'expulsion sont plus simples qu'en France). L'augmentation des loyers fixés selon l'Etat bcp de propriétaires n'en ont rien à F…, bcp d'entre eux augmentent le loyer comme bon leur semble (exemple mon ancien proprio) tout simplement parce que les locataires sont très dépendants, en effet on ne peut pas quitter son logement du jour au lendemain pour un simple désaccord car les démarches pour en trouver un autre sont difficiles (cautions à avoir sur le compte en banque (ben oui le proprio à 3 mois de délais pour la rendre, autant dire que l'on ne récupère pas ses sous de suite), plus tous les papiers dont les proprio sont friands (relevé d'impots des cautions, + les siens propres+ extrait de casier judiciaire (abusif mais ça existe si si) etc.). Intenter un recours en justice est aussi long et fort coûteux. Alors au final, les locataires se retrouvent à payer des loyers abusifs parce que au final c'est ce qui leur "revient" moins cher. Concernant un éclatement de la bulle immobilière, je ne pense pas que ça sera pour tout de suite (chose déjà prédite depuis bien des années et que l'on attends encore, tant et si bien que les dépenses pour se loger sont au premier poste du budget des français (contrairement à la bouffe il y a 30 ans). Voilà où mènent des procédures judiciaires lourdes et une montée de la méfiance généralisée (on s'attends tjrs au pire avec "l'autre", surtout s'il est jeune et/ou de "couleur", et/ou intérimaire, et/ou pas fonctionnaire, et/ou handicapé etc.), situation qui se retrouve sur le marché de l'emploi (mesures judiciaires trop lourdes qui "verrouillent" la création d'emploi ou de CDI)
h16 Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 Concernant un éclatement de la bulle immobilière, je ne pense pas que ça sera pour tout de suite (chose déjà prédite depuis bien des années et que l'on attends encore, tant et si bien que les dépenses pour se loger sont au premier poste du budget des français (contrairement à la bouffe il y a 30 ans). Attends la bulle alimentaire !
Asphodele Posté 3 décembre 2007 Signaler Posté 3 décembre 2007 Attends la bulle alimentaire ! On aura plus qu'à lécher la peinture de son appart pour survivre alors
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