melodius Posté 29 janvier 2008 Signaler Posté 29 janvier 2008 Roniberal a dit : Je ne le savais même pas. Honte sur moi. C'aurait été étonnant que tu sois un spécialiste en charcuterie tu diras.
Roniberal Posté 7 février 2008 Auteur Signaler Posté 7 février 2008 http://edition.cnn.com/2008/WORLD/europe/02/06/italy/ Citation Italy elections may see Berlusconi back ROME, Italy (CNN) -- Unable to form a new government, Italian President Giorgio Napolitano dissolved parliament Wednesday, paving the way for new elections that could see a return to power by former premier Silvio Berlusconi. The move comes nearly two weeks after Italian Prime Minister Romano Prodi lost a vote of confidence and stepped down from power. Trying to avoid new elections, Napolitano called on Italian Senate Speaker Franco Marini -- whom he appointed last week -- to form an interim government, but Marini was unable to do so. The Cabinet later set the election date for April 13-14. Berlusconi's challenger will be Veltroni, the current mayor or Rome. By Italian standards, at 52, he is a young politician. "Veltroni and Berlusconi share the ability to speak directly to the people, avoiding complicated political lingo that often bores voters and supporters. He will put up a formidable challenge against Berlusconi, but still he is unlikely to win," says CNN's Rome bureau chief Alessio Vinci. A reason for this is Italy's election law, which President Napolitano has been trying to reform and many blame for the continual breakdown of the nation's governments. "One of the reasons for political instability is the current electoral law, which is highly proportional and allows small parties with minimal representation to become king makers in any coalition government," Vinci says. The election law allows for proportional representation in the Senate, giving even the smallest parties potentially the same power as Italy's largest parties. "Prodi needed nine political parties to muster enough support to run a government. They often squabbled, bickered and struggled to remain united," Vinci says. Prodi's government -- which had been in office for 20 months -- fell late last month when he lost his slim Senate majority after a small centrist Catholic party withdrew from his coalition government. Veltroni has promised voters he will not seek a similar coalition with small parties (like Communists and Greens for example) and therefore he will run alone. However Berlusconi will lead a center-right coalition, so even if Veltroni receives more votes than Berlusconi he will still have less votes than his opponent, who is running together with allies of his former government. Until now, Napolitano has rejected a demand from former Prime Minister Berlusconi, Italy's richest man, that he call new elections. advertisement Berlusconi's center-right Forza Italia party is currently the most popular party in Italian opinion polls, but they may indicate that Italian's are becoming further disilllusioned by Italian politics. "Polls may suggest that Berlusconi will likely win this election, but they also indicate that Italians are fed up with politics, politicians and their perceived inability to care about the country's needs," says Vinci. DEHORS LA GAUCHE! Et à ceux qui s'émerveillaient encore du gouvernement Prodi, cet article (trouvé sur www.libres.org) remet les pendules à l'heure: Citation ITALIE : LA CHUTE DU PROFESSORECela devait arriver un jour ou l’autre, mais on ne l’attendait pas si tôt. La coalition de gauche au pouvoir en Italie a éclaté (même si le prétexte est mineur : la mise en accusation d’un ministre, dont le petit parti n’a pas apprécié de ne pas être soutenu par PRODI). Faut-il s’en étonner ? La majorité était très étroite, surtout au Sénat, à la merci de la moindre défection. Or cette majorité était ingouvernable, allant de centristes-chrétiens modérés aux divers partis communistes et même aux partis gauchistes. En tout, 13 partis dans la coalition… Le Sénat a donc fait tomber le gouvernement PRODI, qui a dû démissionner aussitôt. Certes, Romano PRODI lui-même, catholique de gauche, n’est pas un dangereux gauchiste et il semblait désireux de réformer l’Italie sur certains points (comme l’ouverture à la concurrence des professions fermées). Mais son action pendant 20 mois a été paralysée par les tensions de sa majorité hétéroclite et l’a empêché de faire la moindre réforme sérieuse. Certes, il affirme avoir essayé de redresser les finances publiques. Et il est vrai que le déficit budgétaire a été réduit, passant de 5 à 2% du PIB. Mais la dette publique reste énorme, dépassant toujours les 100% du PIB (le gouvernement annonçait 100% en 2011 !). De plus, le redressement budgétaire est illusoire, car il a été obtenu par une hausse des impôts, et une lutte stricte contre la « fraude fiscale », alors que les dépenses publiques progressaient toujours. Le problème reste donc entier et la hausse des impôts menace la croissance. On ne s’est pas attaqué à la cause du déficit, le dérapage des dépenses publiques. Et le redressement apparent (1,9% de croissance du PIB en 2007) s’explique par le rebond provisoire de croissance en 2006 entraîné par l’économie mondiale. Il est vrai que la seule réforme tangible a concerné l’ouverture à la concurrence de certaines professions, taxis, notaires, produits pharmaceutiques, mais le gouvernement avait lâché un peu de lest face aux manifestations. Et les accords sur les retraites et les salaires des fonctionnaires sont autant de fuites en avant, consacrant de nouvelles dépenses sans résoudre aucun problème de fond. Les vraies réformes de structure n’ont donc pas été mises en œuvre. Résultat : une tendance à l’appauvrissement et surtout une perte de compétitivité. Les dossiers en cours n’ont même pas été traités sur le fond (comme celui d’Alitalia). Que va-t-il se passer ? Deux solutions étaient possibles. L’une consistait à provoquer immédiatement des élections anticipées, avec le mode de scrutin actuel (la proportionnelle, donnant tout pouvoir aux partis, maîtres de la désignation des listes, où même les partis ayant moins de 2% des voix peuvent avoir des élus !). L’autre à former un gouvernement de transition, chargé, tout en expédiant les affaires courantes, de réformer la constitution ou du moins le mode de scrutin, afin de pouvoir dégager après des élections au nouveau mode de scrutin une majorité nette, quelle qu’elle soit. En cas d’élections immédiates (souhaitées par BELUSCONI et toute la droite), il était probable que la droite, en tète dans les sondages (55% contre 45%), gagne. Avec un gouvernement de transition, les choses sont plus incertaines, ne serait-ce qu’en raison du nouveau mode de scrutin. Et aussi parce que le temps joue peu à peu contre BERLUSCONI, en raison de son âge. Il n’avait pas envie d’attendre deux ans. Cette seconde solution, le gouvernement de transition, a eu la préférence du Président de la République, Giorgio NAPOLITANO, qui est un ancien communiste et dont le cœur penche fortement à gauche. Il ne veut pas d’un retour de BERLUSCONI. Le Président a donc demandé, après avoir consulté les partis, au président du Sénat, Franco MARINI, 74 ans, de former un gouvernement de transition. Ce gouvernement sera chargé de trouver un consensus sur la réforme du mode de scrutin. MARINI est membre de la Marguerite, un des partis de l’ancienne coalition de gauche. Il se présente lui-même plutôt comme un « centriste catholique », mais dont le cœur penche, lui aussi, à gauche. C’est de plus un ancien leader syndicaliste. Affaire à suivre donc, car on ne sait pas si ce gouvernement pourra fonctionner et changer la loi électorale. Le 6 février 2008
Roniberal Posté 29 avril 2008 Auteur Signaler Posté 29 avril 2008 Allez, dehors Rutelli now! http://fr.news.yahoo.com/afp/20080428/twl-…pr-c99dde2.html Citation Municipales à Rome: la droite triomphe et enlève la capitale à la gauchePar Emmanuelle ANDREANI AFP - Lundi 28 avril, 21h55 ROME (AFP) - La droite a triomphé à Rome, son candidat Gianni Alemanno réussissant à enlever la capitale italienne à la gauche qui la dirigeait depuis 15 ans, grâce à une confortable avance de sept points, selon des chiffres définitifs publiés lundi soir par le ministère de l'Intérieur. Ce résultat est une catastrophe pour le Parti démocrate (PD) de centre gauche de Walter Veltroni, déjà nettement battu aux législatives des 13 et 14 avril par Silvio Berlusconi. C'est "une victoire historique", s'est félicité le futur chef du gouvernement, tandis que Walter Veltroni déplorait "une défaite très grave, très lourde". M. Alemanno l'a emporté avec 53,65% des voix, contre 46,34% à son rival, le ministre de la Culture sortant et ex-maire de Rome Francesco Rutelli. Ce succès "vient compléter notre victoire aux législatives" et "les Romains ont choisi le programme de bonne gouvernance du PDL dont l'objectif est de conjuguer une plus grande sécurité à Rome et la modernisation des infrastructures urbaines", a estimé Silvio Berlusconi, chef du parti du Peuple de la liberté (PDL). "J'ai la ferme intention d'être le maire de tous les Romains. Je remercie ceux qui ont voté pour moi et aussi ceux qui ont fait un autre choix que je respecte", a déclaré Gianni Alemanno, un ancien néo-fasciste passé au parti conservateur Alliance Nationale. Le visage défait, M. Rutelli a reconnu la victoire de son adversaire en faisant état d'"une très grande amertume". Comme le craignaient les états-majors politiques, en particulier la gauche qui en a le plus pâti, la participation s'est inscrite en forte baisse à 63% contre 73,5% au premier tour il y a quinze jours. Les Romains ont en effet été nombreux à déserter la capitale (2,7 millions d'habitants) à l'occasion d'un week-end ensoleillé. La gauche avait subi un revers inattendu au premier tour il y a 15 jours avec la mise en ballottage de Francesco Rutelli (54 ans) par Gianni Alemanno (50 ans), ex-ministre de l'Agriculture de Silvio Berlusconi. Au premier tour, M. Rutelli, déjà maire de Rome entre 1993 et 2001, avait recueilli 45,8% des voix face à Gianni Alemanno qui avait obtenu 40,7% des suffrages. La campagne électorale, beaucoup plus virulente que celle des législatives, a été dominée par le thème de la sécurité, après le meurtre d'une Romaine à l'automne dont est accusé un immigré roumain. Deux viols commis la semaine dernière à Milan et à Rome pour lesquels sont poursuivis un Egyptien et un Roumain ont contribué à durcir la bataille opposant les deux candidats, la droite reprochant à la gauche son laxisme en matière de criminalité et d'immigration. M. Alemanno a promis notamment d'expulser 20.000 immigrés clandestins ayant eu maille à partir avec la justice tandis que M. Rutelli s'est engagé à renforcer les mesures de surveillance et de prévention pour faire face à la criminalité. Rappelant les débuts en politique du candidat de la droite, au sein du parti MSI, héritier du fascisme, la gauche radicale avait appelé à la mobilisation contre l'élection d'un "maire fasciste" et le "retour de la marée noire" à Rome. Walter Veltroni avait dû démissionner à la mi-février de son poste de maire de Rome avant le terme de son second mandat de cinq ans, pour conduire le centre gauche aux législatives. Il avait été élu en 2006 dès le premier tour avec 61,4% des voix dans la capitale italienne, contre 37% à M. Alemanno.
Dardanus Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 Citation Les Romains ont en effet été nombreux à déserter la capitale (2,7 millions d'habitants) à l'occasion d'un week-end ensoleillé. Encore un effet de la concurrence déloyale du soleil. A quand une pétition des marchands d'illusion pour protester contre cette situation et réclamer des mesures efficaces de l'Etat ?
Ash Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 Et quand il pleut, ils restent à la maison. C'est jamais le bon moment pour une défaite de la gauche…
Taranne Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 Citation Les Romains ont en effet été nombreux à déserter la capitale (2,7 millions d'habitants) à l'occasion d'un week-end ensoleillé. Voilà qui me rappelle un certain dimanche d'avril, il y a six ans. Sinon je suis désolé mais je ne vois pas qu'il y ait matière à se réjouir: la gauche italienne est un tel marigot que tout ce qui pourrait contribuer à la recentrer doit être encouragé; or la défaite de Vetroni et de son parti vont permettre à Rifondazione et autres bargeots de continuer à peser dans toutes les élections et coalitions à venir. Bon, je sais que ça fait plaisir de voir qu'il y a des pays encore plus mal barrés que la France, mais tout de même…
Dardanus Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 On se console comme on peut quand on est le cancre de la zone euro.
Rincevent Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 Dardanus a dit : On se console comme on peut quand on est le cancre de la zone euro. De l'OCDE, veux-tu dire.
Dardanus Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 Rincevent a dit : De l'OCDE, veux-tu dire. Je faisais simplement référence à l'actualité.
Roniberal Posté 29 avril 2008 Auteur Signaler Posté 29 avril 2008 Taranne a dit : Sinon je suis désolé mais je ne vois pas qu'il y ait matière à se réjouir: la gauche italienne est un tel marigot que tout ce qui pourrait contribuer à la recentrer doit être encouragé; or la défaite de Vetroni et de son parti vont permettre à Rifondazione et autres bargeots de continuer à peser dans toutes les élections et coalitions à venir. Je comprends ta position mais à t'écouter, il faudrait donc votre pour le centre-gauche, uniquement pour éviter une "gauchisation" des prochaines coalitions? La popotte interne de la gauche ne doit pas nous amener à nous positionner uniquement en fonction de cela? Taranne a dit : Bon, je sais que ça fait plaisir de voir qu'il y a des pays encore plus mal barrés que la France, mais tout de même… Aucun rapport avec mes pensées, en tout cas.
Taranne Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 Roniberal a dit : Je comprends ta position mais à t'écouter, il faudrait donc votre pour le centre-gauche, uniquement pour éviter une "gauchisation" des prochaines coalitions? Non. Mais l'Italie sera bipartite ou ne sera pas - tant que la droite aura besoin de la Ligue du Nord, et la gauche de Rifondazione, le pays sera ingérable. Un score honorable de Vetroni lui aurait permis de garder la face et à son parti de s'imposer dans le paysage politique italien. Occasion ratée donc, et je le déplore. Citation Aucun rapport avec mes pensées, en tout cas. Je n'en doute pas.
Ash Posté 29 avril 2008 Signaler Posté 29 avril 2008 Quand on voit la France où le gouvernement a tous les pouvoirs qu'il faut pour réformer, on se demande si c'est vraiment ça le problème…
Roniberal Posté 29 avril 2008 Auteur Signaler Posté 29 avril 2008 Taranne a dit : Non. Mais l'Italie sera bipartite ou ne sera pas - tant que la droite aura besoin de la Ligue du Nord, et la gauche de Rifondazione, le pays sera ingérable. J'avoue ne pas avoir suivi, dans les détails les plus scrupuleux, l'actualité politique italienne entre 2001 et 2006: quelles réformes majeures la Ligue du Nord a-t-elle saboté? Taranne a dit : Un score honorable de Vetroni lui aurait permis de garder la face et à son parti de s'imposer dans le paysage politique italien. Occasion ratée donc, et je le déplore. J'ai la plus grande méfiance pour ces gauches pseudo-réformatrices. La plate-forme sur laquelle Berlusconi a été élue était relativement libérale, notamment en matière fiscale. On peut donc dire que des idées assez libérales ont été récompensées lors de ces élections. Mais rassure-toi, je ne suis pas stupide au point de croire, une seule seconde, qu'il tiendra ses engagements. Berlusconi est l'incarnation même du pur politicien.
Taranne Posté 30 avril 2008 Signaler Posté 30 avril 2008 Roniberal a dit : J'avoue ne pas avoir suivi, dans les détails les plus scrupuleux, l'actualité politique italienne entre 2001 et 2006: quelles réformes majeures la Ligue du Nord a-t-elle saboté? Aucune, puisqu'il n'y en a pas eu. Mais elle a certainement tiré le gouvernement Berlusconi vers la droite, notamment sur la question de l'immigration. Citation J'ai la plus grande méfiance pour ces gauches pseudo-réformatrices. C'est toujours mieux que les gauches franchement révolutionnaires.
Ash Posté 30 avril 2008 Signaler Posté 30 avril 2008 Taranne a dit : Aucune, puisqu'il n'y en a pas eu. Mais elle a certainement tiré le gouvernement Berlusconi vers la droite, notamment sur la question de l'immigration. C'est bien ce que je me disais !
Tremendo Posté 30 avril 2008 Signaler Posté 30 avril 2008 Taranne a dit : Non. Mais l'Italie sera bipartite ou ne sera pas - tant que la droite aura besoin de la Ligue du Nord, et la gauche de Rifondazione, le pays sera ingérable. Un score honorable de Vetroni lui aurait permis de garder la face et à son parti de s'imposer dans le paysage politique italien. Occasion ratée donc, et je le déplore.Je n'en doute pas. Je crois que si ce pays va mal, ça dépasse largement les histoires d'alliance et compagnie si tu veux mon avis, la France est ingérable et bipartite, l'Italie est ingérable et multipartite divisée en deux alliances, dans les deux cas ça va mal parce qu'il y a des abrutis ou des fins calculateurs des deux côtés qui personnifient exactement les travers de la démocratie et des organisations politiques.
Ash Posté 7 mai 2008 Signaler Posté 7 mai 2008 Il y a pas à dire, c'est vraiment un fasciste ! Citation Le nouveau maire de Rome veut déménager le musée de l'Ara PacisGianni Alemanno, nouveau maire de Rome et ancien néo-fasciste, a annoncé le 30 avril qu'il comptait faire déplacer le dernier-né des musées romains, l'Ara Pacis, inauguré il y a deux ans seulement, avant de proposer plus tard un référendum sur ce sujet. "Le musée de (Richard) Meier est quelque chose qu'il faut enlever. Bien entendu ce n'est pas la première de nos priorités", a déclaré M. Alemanno au cours d'une conférence de presse à l'hôtel de ville, qu'il a ravi à la gauche lundi à l'issue d'un ballottage aux municipales. Plus tard dans la soirée, M. Alemanno est revenu sur le sujet au cours d'une émission télévisée en proposant un référendum sur cette question. "A la première bonne occasion, j'organiserai un référendum en demandant 'le musée Meier, oui ou non' et comme cela, ce sera aux citoyens de décider. S'ils décident +non+ alors nous trouverons un moyen pour le déplacer", a-t-il dit. M. Alemanno a précisé qu'il entendait organiser le référendum à l'occasion d'un scrutin, quel qu'il soit, afin d'économiser l'argent du contribuable. Il y a deux ans déjà, M. Alemanno avait dénoncé l'ouverture du musée et l'avait comparé à "une balafre dans le coeur de la cité, un acte d'arrogance intellectuelle envers les citoyens", assurant que lorsque la droite remporterait les municipales dans la capitale italienne, elle "démonterait l'oeuvre de Meier pour la reconstruire en banlieue". Le musée de l'Ara Pacis a été inauguré en avril 2006. Le bâtiment imaginé par l'architecte américain Richard Meier est un écrin moderne de verre abritant un petit autel antique, qui a nécessité sept ans de travaux et suscité de nombreuses critiques. L'Ara Pacis Augustae (Autel de la paix augustéenne) est un petit enclos sacrificiel de dix mètres sur onze, en marbre blanc, orné de sculptures représentant notamment l'empereur Octave Auguste et la famille impériale accomplissant des rites religieux. L'Ara Pacis Augustae a été bâti entre 19 et 13 avant Jésus-Christ pour célébrer la paix établie par cet empereur après ses victoires en Gaule et en Espagne. En 1938, Mussolini avait fait reconstruire cet édifice sur les berges du Tibre. http://lemoniteur-expert.com/actualite/arc…t/D2FC71F5C.htm
Invité Arn0 Posté 7 mai 2008 Signaler Posté 7 mai 2008 Cela pourrait faire un joli précédent : à quand la destruction de cet horreur de musée Beaubourg ?
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