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Francetélévisions tremble


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Posté
Une crise financière et sociale majeure se profile si les contribuables ne renflouent pas les finances de Francetélévisions d'au moins 300 millions d'euros par an .

On croit rêver !

Que Mr de Carolis commence par communiquer le salaire moyen annuel d'un employé lambda de Francetélévisions pour pouvoir le comparer au salaire moyen en France, avant de demander de mettre la main à la poche.

Bravo.

Allez, maurice, un petit effort supplémentaire, et vous terminerez par :

Oh et puis y'en a marre de payer pour ce bastringue de branlouzes cultureux, de pubards baveux et de pisse-copies hermétiques à la loi du marché.

Privatisez-moi tout ce brol !

Posté

Ça me ferait très plaisir que Propagande Télévisions voie son budget réduit, mais j'en doute. :icon_up:

Et sinon, je préfère écouter uniquement des pubs que Le Mouv' et sa musique pour adolescents à pénis inexistant. En plus, BFM est une radio privée qui n'a quasiment pas de pub, mais je suppose que c'est parce qu'ils ne diffusent pas de musique (pas de vampires sacémiens à payer).

Posté

Si vous voulez lire des propos vraiment "stupides" la meilleure adresse est, comme toujours, Le Monde:

mongin

02.07.08 | 17h19

Que l'UMP et ceux qui les soutiennent aillent au diable. Ce n'est pas à ce parti conservateur, partisan d'un contrôle politique des médias et soutenu par le grand capital et les milieux les plus réactionnaires et populistes en France qui a les médias à ses pieds, les pires comme TF1, ce n'est pas à ces forces de parler de libertés. C'est à nous de nous battre contre eux et de conquérir nos libertés.

jacqueline g.

02.07.08 | 17h17

Le President de la Republique veut faire les programmes des chaines publiques et c'est tres grave pour une démocratie. Il n'est pas le patron de la tv publique ,la tv publique appartient aux telespectateurs . :icon_up: Je félicite Mr de Carolys ! Les leçons de respect que donnent ministres et mr lefevre ,devraient s'appliquer à eux memes. Les journalistes humiliés depuis longtemps par le candidat Sarkozy et maintenant President ,avaient le devoir de s'exprimer ,sur les manieres de celui çi

michel c.

02.07.08 | 17h12

Albanel, Lefebvre, Guaino ont réussi à noyer les propos de Patrick de Carolis, ils ont semble-t-il micro ouvert où bon leur semble, quand ils veulent. A quand des média qui équilibrent les choses? Où sommes-nous? Notre régime est-il en train de glisser vers un totalitarisme bon teint? Quant à la stupidité, Sarkozy fait sans doute partie des gens qui "pensent" en être exempts. 3000 ans de philosophie pour en arriver là!

david r.

02.07.08 | 16h41

Il faut soutenir Carolis. A ceux qui pensent que France Télévision et TF1 c'est le même combat, je nevous rappelle que France TV, c'est la 2 (en effet…), les régies régionales de la 3, les emissions culturelles de la 4, la finesse des programmes de la 5, je vous défie de trouver une offre supérieure, voir même égale. depuis 2-3 ans, la qualité des programmes, et même ceux de la France 2, est sensiblement meilleure :doigt:; Je ne vois pas sur TF1 d'emissions comme Histoires Courtes, mots croisés (ce serait plutôt à l'honneur de TF1) ou de vrai 13H d'inf

DIDIER H.

02.07.08 | 16h17

Pauvre de Carolis qui se heurte aux Drs Follamour de la VI° République!Quand tout sera par terre ils diront comme GuillaumeII:"Nous n'avons pas voulu ça!".Ils voulaient juste le libéralisme…pas la folie qui l'accompagne.Oui mais on n'a pas l'un sans l'autre.

Point de vue

Télévision publique ou télévision d'Etat ?, par David A. L. Levy

LE MONDE | 02.07.08 | 14h16 • Mis à jour le 02.07.08 | 14h16

l y a un mois, John R. Bolton, ancien ambassadeur américain à l'ONU, posa la question à un journaliste de la BBC qui l'interviewait : "Combien de temps encore la BBC va-t-elle continuer à être la propriété de l'Etat, et pourquoi ?" Réponse du journaliste : "Si John Bolton n'a pas encore compris la différence entre un service appartenant à l'Etat et un service financé par des fonds publics, il est probablement trop tard pour espérer qu'il y parvienne jamais (…). Penser que la BBC est à la botte du gouvernement parce qu'elle est financée par l'argent public est erroné. La charte fondatrice nous protège de toute intervention ministérielle tout comme elle oblige chacun d'entre nous à pratiquer un journalisme indépendant."

La volonté affichée par Nicolas Sarkozy que, désormais, l'Etat assume sa responsabilité vis-à-vis du service public de télévision… en choisissant son PDG semble indiquer qu'il fait, lui aussi, cette confusion entre financement public et contrôle étatique. C'est d'ailleurs surprenant. En effet, le même président a annoncé le 8 janvier la suppression de la publicité sur les chaînes de France Télévisions en faisant explicitement référence au statut de la BBC. D'où l'invitation qui m'a été faite de participer à la commission Copé.

Il est exact que la BBC n'est pas financée par la publicité, mais le président français semble ignorer que le succès de la BBC repose sur son indépendance à l'égard de l'Etat et à sa relation directe avec ses utilisateurs - notamment au travers de son financement par une redevance substantielle. Or tous ces éléments sont menacés par les projets du président français.

Les critiques n'ont pas manqué lorsqu'il a annoncé son intention de choisir le PDG de France Télévisions, une pratique qui rappelle celles qui prévalaient dans les anciennes "démocraties populaires" d'Europe de l'Est. Son aspect anachronique serait comique si l'indépendance de l'information n'était pas une question aussi importante pour la démocratie. Mais ce qui est en jeu ici, c'est un débat français plus large concernant l'Etat et les médias de service public.

Plusieurs représentants de l'Etat siègent actuellement au conseil d'administration de France Télévisions. Cela serait considéré comme inacceptable dans la plupart des pays occidentaux, mais ne suscite aucune objection en France. La commission Copé a proposé de réduire le nombre de ces représentants à deux, dont l'un aurait le droit de veto sur toutes les décisions. Devant les protestations qu'il suscitait, le principe du droit de veto a été abandonné. Cependant, de nombreux membres de la commission ont dû se battre pour faire admettre une évidence : que la télévision soit propriété publique n'implique pas obligatoirement une représentation de l'Etat au sein de son conseil d'administration, ni que l'Etat ait le dernier mot sur les décisions. Au contraire, certainsntraire établi une analogie avec la SNCF ou d'autres compagnies, dans lesquelles "il est évident qu'en tant qu'actionnaire unique, l'Etat doit avoir le dernier mot" ; c'est précisément la logique invoquée par le président Sarkozy pour justifier son projet.

Pourquoi un opérateur public de télévision devrait-il être traité différemment de la SNCF ? Il est évident que l'efficacité et le bon équilibre financier sont importants dans les deux cas. Mais une des différences essentielles est qu'une programmation télévisée efficace aura un impact sur les idées et la société. Et surtout, que cette télévision pourra demander des comptes au gouvernement, aux politiciens et au président lui-même - un objectif difficilement réalisable si celui-ci contrôle les cordons de la bourse, envoie ses représentants au conseil d'administration et détient le pouvoir d'engager et de révoquer le patron.

Un service public indépendant de télévision exige un changement radical. L'Etat devrait se retirer et déléguer son pouvoir à France Télévisions selon des modalités définies par un cadre de travail clair à long terme puis, le moment venu, lui demander de rendre des comptes sur ses activités plutôt que d'imposer une présence directe dans son conseil d'administration. Cela exigerait de l'Etat qu'il fixe des objectifs clairs à la télévision publique, qu'il les maintienne sur plusieurs années, qu'il dégage le financement nécessaire pour y parvenir et qu'il tienne les diffuseurs pour responsables de leur réussite ou de leur échec.

Théoriquement, le contrat d'objectifs et de moyens (COM) de France Télévisions remplit en partie ce rôle, mais l'Etat a en permanence manqué aux obligations qui lui sont faites dans ce cadre, et le COM actuel a, de fait, été réduit en pièces par la décision présidentielle du 8 janvier. Le système actuel de représentation étatique directe et des bilans annuels traduit un manque de volonté de la part de l'Etat de déléguer son pouvoir ainsi que son désir d'être libre de changer d'avis à tout moment. L'un et l'autre sont incompatibles avec la planification à long terme nécessaire à une véritable indépendance.

La BBC, pour sa part, dispose d'un financement garanti sur six ans et d'une charte prévue pour rester en vigueur dix ans et qui a été établie après trois ans d'un large débat public et de recherches approfondies. Elle doit rendre des comptes aux téléspectateurs plutôt qu'à l'Etat. Enfin, elle jouit d'un haut degré d'indépendance en matière éditoriale comme en matière de création et de gestion. La charte de la BBC contient de nombreuses obligations - dont certaines concernent des objectifs ambitieux comme le passage au numérique - ainsi que des dispositifs rigoureux de contrôle de la gestion. Mais l'indépendance de la BBC est considérée comme si importante que la charte contient cette phrase essentielle : "La BBC sera indépendante dans tous les domaines concernant le contenu de ses programmes, l'horaire et la manière dont celui-ci sera diffusé, ainsi que dans la gestion de ses affaires."

En quoi le financement est-il important pour l'indépendance ? Bien entendu, les déclarations de principe concernant l'importance de l'indépendance ne font pas tout. Cette indépendance doit s'appuyer sur une culture politique qui en reconnaisse la valeur, sur une culture journalistique qui préfère les professionnels indépendants sans concessions aux pistonnés dociles et, surtout, sur des systèmes de financement qui incitent les responsables des chaînes publiques à se préoccuper avant tout de leurs téléspectateurs.

Une augmentation graduelle de la redevance aurait aidé à la transparence, forçant la télévision publique française à devoir se justifier devant les téléspectateurs qui paient pour la regarder, et non devant l'Etat. En revanche, le projet visant à renflouer le manque à gagner consécutif à la suppression des recettes publicitaires par diverses taxes peut paraître ingénieux et indolore, mais il ne fait qu'exacerber le problème.

Lorsque le président a plaidé, le 25 juin pour une fin rapide de la publicité sur les chaînes publiques, il a souligné que même si celle-ci ne représentait qu'un tiers du budget global de France Télévisions, c'est ce tiers-là qui a eu le plus fort impact sur son comportement. Il est certainement conscient que la même logique s'appliquera à son projet de remplacer par des taxes la perte de revenus publicitaires.

En fournissant un nouveau levier financier au gouvernement, il rendra France Télévisions encore plus dépendante de l'Etat. Le contrôle présidentiel sur la nomination du PDG est grave, mais il ne s'agit en réalité que de la cerise sur le gâteau du grand projet consistant à vouloir faire de France Télévisions non plus un diffuseur public mais un diffuseur d'Etat.

Traduit de l'anglais par Gilles Berton

Membre de la commission Copé,

maître assistant en communication

et médias à l'université d'Oxford

David A. L. Levy

Article paru dans l'édition du 03.07.08

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Si vous voulez lire des propos vraiment "stupides" la meilleure adresse est, comme toujours, Le Monde:

Un service public indépendant de télévision exige un changement radical. L'Etat devrait se retirer et déléguer son pouvoir à France Télévisions selon des modalités définies par un cadre de travail clair à long terme puis, le moment venu, lui demander de rendre des comptes sur ses activités plutôt que d'imposer une présence directe dans son conseil d'administration.

Il s'agit là d'un raisonnement complètement théorique que de supposer l'existence d'une neutralité politique à l'intérieur de Francetélévisions quand on connait les liens très étroits tissés entre la rue de Solférino et l'esplanade Henri de France (siège de Francetélévisions).

Tout comme l'Ed Nat, Francetélévisions est contaminée par l'idéologie socialiste.

Posté
Mon Dieu, il n'y a rien de plus insupportable que les pubs à la radio. Le Mouv', c'est très bien, surtout au réveil. Adieu les "MMA 0 traca, 0 blabla", ou les "carglass remplace, carglass répare". :icon_up::doigt:

C'est l'inverse pour le slogan de carglass. Preuve que tu ne l'entends pas tant que ça :mrgreen:

Posté

Les gémissements commencent à se faire entendre dans les locaux de Francetélévisions

source Le Monde 10/07/2008

Une présentatrice de France 3, Audrey P.

-"Je veux continuer à penser qu'il n'y a pas de plan de casse délibéré".

-" On fait une télévision ni élitiste ni bas de gamme : une télévision intelligente, destinée à toucher tous les publics", plaide la jeune femme.

Agnès M. (France 2)

- "Un moment, on s'est dit : mais pourquoi ils ne nous aiment pas ? On n'est pas un vieux machin à l'ancienne !, On a un public. "Thalassa" a un public. "Envoyé spécial" a un public. "Un oeil sur la planète" a un public. "

- "Ils ne regardent pas la télé ou quoi ? On est prêts à se réformer, bien sûr ! Mais on n'a pas envie de finir en télé low cost ! "

Roland M. (technicien France2)

-"Cette crise, pour nous, c'est un danger mortel",

-"On m'avait proposé d'aller à TF1, j'ai refusé"

Frédéric B., cameraman

"J'ai préféré France 2 , qui est restée une chaîne jeune, avec une bonne qualité de l'image et de l'information. Quitte à être payé 30 % à 40 % moins cher",

-"Voilà qu'on se retrouve à "sauver le soldat TF1", c'est un comble !", s'indigne le cameraman.

Philippe G., monteur à France 2.

-"La suppression de la pub, c'est presque une agression physique, on a le sentiment d'une trahison : notre propre actionnaire, l'Etat, nous casse les pattes - non pas pour faire du profit, mais pour aider la concurrence privée"

-"Au fond, ce que veut l'Elysée, c'est assécher financièrement le groupe pour qu'il s'automutile . "

un salarié de France 3.(sous le couvert de l'anonymat )

"France Télévisions va devoir couper lui-même les branches, évitant au gouvernement de se salir les mains"

Le journaliste Gérard G. (France 2)

-"Les gens n'ont que ça dans le crâne : la crainte d'un plan social"

-"Mutualiser les chaînes publiques et fusionner, pourquoi pas, les rédactions de France 2 et France 3, mais ça conduirait immanquablement à des purges", s'inquiète-t-il.

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/art…098_3236_1.html

  • 4 months later...
Posté
Un amendement au projet de loi sur l'audiovisuel propose que France 2 et France 3 passent une demi heure de programmes éducatifs entre 20h30 et 21h.

[…]

Cet amendement stipule que «les créneaux libérés par les messages publicitaires sur les chaînes publiques seront dédiés à la diffusion de spots ayant pour thèmes : l'éducation sanitaire et sociale, le développement durable, l'instruction civique et citoyenne et l'Union européenne». Et si cela n'est pas clair, l'exposé des motifs de l'amendement enfonce le clou : ces spots sont destinés à être diffusés entre 20h30 et 21h. Des programmes sur l'instruction civique ou l'éducation sociale, sont, certes, indispensables pour renforcer «la notion de citoyenneté» mais ils auraient aussi pour effet de faire fuir la très grande majorité des téléspectateurs de France 2 et France 3 avant même le début des programmes de la soirée.

http://www.lefigaro.fr/medias/2008/11/21/0…sur-france-.php

Posté
diffusion de spots ayant pour thèmes : l'éducation sanitaire et sociale, le développement durable, l'instruction civique et citoyenne et l'Union européenne soviétique
Posté
«les créneaux libérés par les messages publicitaires sur les chaînes publiques seront dédiés à la diffusion de spots ayant pour thèmes : l'éducation sanitaire et sociale,

spot 1: aujourd'hui, Fatima avorte.Ses six freres sont envoyes en camp de re-education.Bien fait.

le développement durable,

spot 2:Herve, salaud de chef d'entreprise exploiteur possesseur d'une Porsche, est denonce par ses amis qui prennent le tram; il en prend pour six ans en camp de reeducation, c'est bien fait.Ne soyez pas comme Herve.

l'instruction civique et citoyenne et l'Union européenne»

spot 3: Jurgen est un libre penseur reveur et un peu poete en 1933.Il oublie de voter et a cause de lui Adolf Hitler est elu, il y a la guerre et Jurgen meurt du scorbut.Ne soyez pas comme Jurgen.

vive la tele pubique!

Posté

oh mais comme ça va être magnifique!

On va se fendre la poire grave quand même, des spots à but éducatifs financés par quoi je ne sais pas, déjà que sans pub ça sera tendu du slip pour france télévision, mais là carrément des clips je sais pas vraiment comment ça sera financé, au moins la pub ça rapportait! Là ça va coûter! En plus pour des trucs super nazes, je le sens venir d'ici.

JIM16 a raison

d'autres exemples:

sanitaires et social:

Patrick ne s'est pas lavé les mains après s'être mouché et avoir uriné cet homme cruel va dire bonjour à tous ses collègues et leur refiler son ruhme, sa grippe ou encore son inflation urinaire! Patrick est coupable! Se laver les mains réduit les chances de contaminer les autres, pensez-y!

Se laver les mains un geste simple qui peut sauver les autres.

le développement durable:

Claire et Philippe sont un jeune couple de riches qui se sont faits construire une maison sur la côte d'azur (à mort les propriétaires, du sud en plus, les enfoirés!!!), ils n'ont pas pensé à faire isoler leur maison et à mettre des panneaux solaires ainsi qu'un cumulus noir, ce couple se fout complètement de l'environnement c'est visible, n'agissez pas comme eux, faites isoler votre maison, et penser à la planète. Consommer moins d'énergie c'est plus d'énergie pour notre planète.

Instruction civique et citoyenne:

Laurent est militant dans un parti politique, il vote à chaque élection, il a saisit que son vote avait une symbolique (c'est le cas de le dire) et une importance dans la vie de son pays. Annabelle vote blanc car elle ne sait jamais pour qui voter, elle ne regarde pas assez les informations et ne se renseigne pas assez, son vote blanc ne compte pas, elle pourrait faire mieux en s'intéressant à la vie sociale de son pays. Gontran est un business man avisé, il a prospéré en achetant des appartements puis les louant mais aussi en spéculant sur l'immobilier, comme il le dit les politiques sont impuissants face à l'économie et de toute façon ce sera toujours pareil quelque soit le candidat élu. Gontran n'est pas un bon citoyen, ne l'imitez pas, voter est un acter citoyen fort.

Comme ça va dépoter ces clips, j'ai hâte!

Posté
Des programmes sur l'instruction civique ou l'éducation sociale, sont, certes, indispensables pour renforcer «la notion de citoyenneté» mais ils auraient aussi pour effet de faire fuir la très grande majorité des téléspectateurs de France 2 et France 3 avant même le début des programmes de la soirée.

Ce qui n'est pas plus mal. De toute façon pour véhiculer insidieusement du contenu idéologique douteux, pas besoin d'une émission spécifique. Donc rien de neuf sous le soleil.

Posté

Si c'est H16 qui s'occupe des spots pour le développement durable on aura droit au retour de la cuisine des mousquetaires avec Maïté et Micheline qui nous apprendraient à cuisiner le castor.

Posté
Bientôt sur vos écrans celui-ci :

Pour de bon ?

La seule chose que je retiens et qui restera une phrase culte, pour de nombreuses blagues :

"Tu en as un joli lapin ! Viens… Je vais t'en montrer un vrai."

Posté
Bientôt sur vos écrans celui-ci :

Vous aurez noté ma présence dans ce spot, juste avant le type qui (pro)pose des lapins.

Je ne délivre pas d'autographes. Désolé.

Posté

il y a quelque chose dans la voix off soigneusement rythmee du bonhomme de ce spot qui me donne envie de commettre un chatonticide

Posté
Pour de bon ?

Apparemment, puisqu'il y a le logo du CSA, de l'UE & de Marianne dessus… bien qu'on puisse se poser la question lorsqu'on n'est pas encore familier avec les nouvelles méthodes d'éducation parentale du gouvernement. Je suis sûr qu'il existe au moins une loi qui interdit la contrefaçon de ces marques gouvernementales, sous peine de 10 ans d'emprisonnement et 500 000 E d'amende, ou quelque chose dans ce goût-là.

La seule chose que je retiens et qui restera une phrase culte, pour de nombreuses blagues :

"Tu en as un joli lapin ! Viens… Je vais t'en montrer un vrai."

Ce qui me fait marrer, c'est que le premier danger dans l'odre d'apparition, ce sont les méchants nazis, comme si des enfants se retrouvaient couramment embrigadés dans les jeunesses hitlériennes en tchatant sur MSN.

Evidemment, nulle trace de dangereux bolchéviques avec un couteau entre les dents, ce qui aurait été plus drôle et plus réaliste, vu qu'ils sont légions sur le net, en tout cas beaucoup plus nombreux que leurs homologues nazis.

Quant à l'embrigadement, si les autorités gouvernementales s'occupant de la famille jugeaient qu'il fût vraiment le danger n°1, il faudrait commencer par faire une campagne de prévention afin de protéger les enfants contre le danger de lavage de cerveau marxiste dont ils sont régulièrement victimes à l'école à cause de l'orientation de profs engagés.

Posté
il y a quelque chose dans la voix off soigneusement rythmee du bonhomme de ce spot qui me donne envie de commettre un chatonticide

Ah. Ce n'est pas que moi, alors…

Posté
sanitaires et social:

Patrick ne s'est pas lavé les mains après s'être mouché et avoir uriné cet homme cruel va dire bonjour à tous ses collègues et leur refiler son ruhme, sa grippe ou encore son inflation urinaire! Patrick est coupable! Se laver les mains réduit les chances de contaminer les autres, pensez-y!

Se laver les mains un geste simple qui peut sauver les autres.

Il ne serait pas inutile, celui-ci.

Posté
Il ne serait pas inutile, celui-ci.

Le problème est le spot suivant :

Rappelez-vous. Dans le spot précédent, Patrick se pissait sur les doigts et ne se les lavait pas ensuite, pour aller copieusement enduire d'urine chaude et bactérigène les surfaces palmaires de ses camarades de bureau. Durement sanctionné par trois mois de rééducation, Patrick a appris deux choses : (image : Patrick, les traits tirés, mal rasé et manifestement sous-nourri, se lave les doigts avec du savon) se laver les mains soigneusement, et (image : après un retour arrière continu, l'on voit, gros plan sur le visage émacié de Patrick, un petit bout de langue dépassant d'entre ses lèvres, les sourcils froncés sous une concentration importante, que notre individu vise consciencieusement le centre des gogues - image en plongée, par dessus l'épaule de Patrick, l'ex-délinquant, qui pisse bien droit là où il faut) comment ne pas s'uriner sur les doigts.

Prochain épisode : après 3 mois de rééducation sauvage par des matons exclusivement féminins, on découvrira que Patrick aura réussi à apprendre à relever la lunette des toilettes avant toute opération de miction.

On en redemande ?

Posté

Ce n'est pas tout à fait con.

Les gens auraient gueulé si la redevance montait d'un coup à cause de la suppression des pubs. Donc pour continuer à faire venir de la thune volée sans que ça se voit trop, Pravda télé diffusera des spots d'autres trucs de l'état. Spots qui seront payants (enfin, s'ils ne sont pas débile quoi).

Cela leur permettra de faire venir de l'argent par des moyens détournés le temps de faire monter la redevance petit à petit.

Posté

@Volkhen

les ressources de France télévision seront assurés par les recettes publicitaires des chaines privées donc capter le téléspectateur à 20H30 au lieu de le laisser regarder les PUB des chaines privées se traduirait par une perte sèche pour le service public!

Donc au lieu de commencer les programmes à 20H35 on les commencera à 20H50 en meublant avec des spots que personne ne regardera!

Posté

Et vous pensez que quelqu'un regardera ces spots?… C'est plutot pas mal pour TF1, les gens viendront voir les pubs, ou attendront le film de 20H50 en rangeant la vaisselle et en couchant les gosses. Mais bon, ces chefs d'oeuvres de l'exception culturelle française seront encore payés avec nos impots…

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