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Posté

Une ancienne stripeuse qui fait une FAQ.

 

Part 1

Part 2

Part 3

 

En soi pas trop de surprises, mais il y a une partie sur les femmes dans les strips clubs assez marrante:

 

 

As a feminist, I think women have every right to go wherever they want. As a stripper, they mostly annoy me. 1 out of 10 is a cool girl who wants to tip, be polite, get dances, and genuinely enjoy herself like the good male customers do. I very occasionally see lesbians come in and spend/behave like the men do, which is so refreshing and progressive. But 9 out of 10 women show up out of morbid curiosity or laugh value. They look at the dancers like “Oh look, a crackhead prostitute, how quaint!” They act like fucking idiots after three cocktails; giving their guy friend’s lap dances, groping the dancers because they think it’s somehow okay because they have a vagina, screaming and whooping like morons, and making out with their chick friends to regain the attention of the males in their group. These are all things I think they do to validate themselves because it’s hard for women to give other women the spotlight - even when the other woman are performers and they KNOW THAT.

This girls-going-to-strip-clubs things is a recent phenomena. Until the nineties, women were only allowed in with a male escort, or were not allowed at all. I think strip clubs are a kind of special place for guys to go and have masculine leisure, and the women customers cause negative interference. Men censor themselves when they think a female peer of theirs is watching. It would make my job a lot easier and the big spenders enjoyment a lot more comfortable if female customers were not allowed. I wish I encountered more cool girls like the 1 out of 10 I mentioned so I my mind could have been changed.

 

Btichz gonna bitch

Posté

Je veux pas lancer un débat mais il y a une sacré différence d'attitude entre les militants :

 

 

En tête du cortège, une grande banderole [...] affichait le slogan « Libre d'être contre l'IVG ». Une autre appelait à un « statut de l'embryon » [...] « Oui à la vie » [...] « Ne les tuez pas ».

 

vs.

 

 

« Avorter c'est mon droit, intégristes hors la loi », « mon corps, mon choix, à bas le patriarcat » ou « avortement, t'es pas d'ac ? Dégage, réac ! »

 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/01/19/appel-a-manifester-des-anti-avortements_4350620_3224.html

Posté

C'est justement pour ça que je poste dans le sujet sur le féminisme et que je dis que je lance pas un débat, c'était une remarque sur le ton féministe, pas sur le problème de l'avortement.

Posté

OMG

 

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Déclarer la grève des utérus
 
17 JANVIER 2014
 
La nouvelle loi sur l’avortement sera, avec l’irlandaise, la plus restrictive d’Europe. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique.
Enfermés dans la fiction individualiste néolibérale, nous vivons avec la croyance naïve que notre corps nous appartient, qu’il est notre propriété la plus intime, alors que la gestion de la plupart de nos organes est assurée par diverses instances gouvernementales ou économiques. (...) Corps né avec utérus, je ferme les jambes devant le national catholicisme. Je dis à Rajoy et Varela qu’ils ne mettront pas un pied dans mon utérus : je n’ai jamais enfanté, ni n’enfanterai jamais au service de la politique espagnoliste. Depuis cette modeste tribune, j’invite tous les corps à faire la grève de l’utérus. Affirmons-nous en tant que citoyens entiers et non plus comme utérus reproductifs. Par l’abstinence et par l’homosexualité, mais aussi par la masturbation, la sodomie, le fétichisme, la coprophagie, la zoophilie… et l’avortement. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique. N’enfantons pas pour le compte du PP, ni pour les paroisses de la Conférence épiscopale. Faisons cette grève comme nous ferions le plus «matriotique» des gestes : une façon de déconstruire la nation et d’agir pour la réinvention d’une communauté de vie post-Etat nationale où l’expropriation des utérus ne sera plus envisageable.
 
 
Posté

Ce qui est cool, c'est qu'elle veut bien qu'on l'encule.

Posté

Ohlala mais qui voudrait lui faire un gosse à cette harpie. Qu'elle se tranquillise, on va pas se bousculer, même fin rond.

Nous vivons une époque formidable.

Je connaissais pas sa tête, je m'attendais à un cas typique de lesbienne mal assumée, mais là on est dans la catégorie hors piste. 

Posté

Une femme qui veut se faire enculer et manger du caca.

 

C'est mignon tout plein <3

Posté

Je connaissais pas sa tête, je m'attendais à un cas typique de lesbienne mal assumée, mais là on est dans la catégorie hors piste. 

 

 

pour avoir l'air un peu serieux elle devrait jongler en habit de clown

 

Posté

Ça ne sert à rien de se foutre torse nu si elle n'a rien à montrer :(

 

bizarre hein? a croire que les filles a gros seins ont mieux a faire

Posté

Ben oui, elles au moins elles ont beaucoup plus facilement notre attention, pas la peine de se faire pousser la moustache pour qu'on les remarques.

 

Posté

Ohlala mais qui voudrait lui faire un gosse à cette harpie. Qu'elle se tranquillise, on va pas se bousculer, même fin rond.

Nous vivons une époque formidable.

Je connaissais pas sa tête, je m'attendais à un cas typique de lesbienne mal assumée, mais là on est dans la catégorie hors piste. 

 

Elle m'a bien fait marrer quand-même : "Par l’abstinence et par l’homosexualité, mais aussi par la masturbation, la sodomie, le fétichisme, la coprophagie, la zoophilie… et l’avortement. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique."

 

On peut lui décerner un Darwin Award à elle et ses copines gouinasses hystériques. 

 

Le féminisme contre la liberté, suite : Soeur Fourest, qui n'est pas avare de coprophagie, vient participer à la curée contre Taddéï.  

 

 

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Posté

http://madame.lefigaro.fr/societe/lutte-contre-violences-200114-673646

 

"La lutte contre le sexisme

 

Le CSA sera chargé de veiller à ce que les femmes soient mieux représentées dans les médias, et pourra sévir contre les propos sexistes et la diffusion d’images dégradantes. Les étudiants en journalisme devront être sensibilisés à ces problématiques lors de leur formation. La loi prévoit également que les propos sexistes, homophobes ou handiphobes fassent partie des contenus pouvant être signalés aux équipes de modération de plateformes comme YouTube ou Dailymotion."

 

Bonjour la censure...

Posté

le mec qui a invente tweeter est un genie

 

Twitter est un formidable outil de détecteurs à con(nes). Entre la Filoche et le Furet on a des exemples parfaits.

Posté

 

On peut lui décerner un Darwin Award à elle et ses copines gouinasses hystériques. 

 

Non, franchement là c'est salir la réputation de Darwin dans des proportions que le Pape lui-même refuserait.

 

Là c'est un abonnement "Godwin Magazine" à vie qu'il lui faut, au minimum.

Posté

Twitter est un formidable outil de détecteurs à con(nes). Entre la Filoche et le Furet on a des exemples parfaits.

 

c'est l'occasion pour les cons d'ouvrir leur grande trappe a bruit et la garantie pour les politiciens francais de reveler a la face du monde leur incompetence crasse :)

Posté

Jusqu'où nous imposeront-ils leurs névroses constructivistes? Les quotas, l'épuration du langage, le totalitarisme doux. 

 

 

Le « bon père de famille » pourrait disparaître du droit français

 
Le Monde.fr | 20.01.2014 
Par Jonathan Parienté
 
L'Assemblée nationale débat, depuis lundi 20 janvier, en séance publique du projet de loi sur l'égalité entre les femmes et les hommes. Comme de coutume, des dizaines d'amendements ont été déposés par les parlementaires de tous bords. Des élus d'Europe Ecologie-Les Verts ont notamment proposé de supprimer le terme « en bon père de famille » qui figure, assurent-ils, « quinze fois dans les parties législatives des codes en vigueur ».
Dénonçant une expression « désuète » qui rappelle une tradition patriarcale, les députés écologistes ont soumis au vote de leurs pairs son remplacement par le terme « raisonnable ». Le député des Français de l'étranger Sergio Coronado, l'un des auteurs de l'amendement, y voit un nécessaire « toilettage » des quelques textes où cette « expression surannée » subsiste, surtout à l'heure où la structure de la famille a grandement évolué. 
 
L'expression vient du latin « bonus pater familias », qu'on retrouve dans le droit romain. Le code de l'éducation, par exemple, précise qu'un logement concédé aux personnels d'Etat peut lui être retiré si celui-ci n'en « jouit pas en bon père de famille ». Dans le code de l'urbanisme, il est expliqué que « la personne publique qui s'est rendue acquéreur d'une réserve foncière doit en assurer la gestion en bon père de famille ». Idem dans le code rural, où il est écrit que le bénéficiaire d'un bail est « tenu d'user de la chose louée en bon père de famille ».
 
« UNE NOUVELLE ATTAQUE CONTRE LA FAMILLE »
 
Selon le dictionnaire Larousse, « en bon père de famille » signifie « comme le ferait un administrateur soigneux et diligent » ; Le Petit Robert le dit synonyme de « sagement ». Dans tous les cas, l'expression incriminée peut opportunément être remplacée par le terme « raisonnable ».
 
Depuis que ces députés situés à gauche de la majorité ont rendu public leur amendement, les moqueries vont bon train sur l'urgence de réformer ainsi le droit. Et ce notamment dans les milieux proches de l'opposition au mariage entre personnes du même sexe, où certains y voient « une nouvelle attaque contre la famille ».
 
Un peu surpris par la mini-tempête suscitée par ce dépoussiérage du droit, M. Coronado espère que ses collègues n'en « feront pas tout un plat ». Ceux qui se lèveraient contre cet amendement symbolique « seraient un peu hors de propos et ridicules eu égard à l'importance du texte sur l'égalité homme-femme et aux articles qui auront une grande portée sur la vie des gens ».
 
Parmi les articles de ce projet de loi – adopté en première lecture par le Sénat en septembre – figurent des mesures aménageant le congé parental du « deuxième parent », une garantie contre les pensions alimentaires non versées ou encore l'instauration de quotas dans les conseils d'administration des entreprises de plus de 250 salariés.

 

" Le député des Français de l'étranger"  :icon_confus: 

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