maurice b. Posté 18 février 2008 Auteur Signaler Posté 18 février 2008 Ceux de mes anciens profs qui étaient chercheurs au CNRS et CEA trouvent eux-mêmes qu'il s'agit des structures les plus staliniformes (et donc invivables) qui soient. il serait bon qu'ils fassent connaitre leur point de vue à la presse ou dans des émissions de TV (éventuellement sous couvert d'anonymat)
Apollon Posté 18 février 2008 Signaler Posté 18 février 2008 Depuis quand les dires des dinosaures du PS et de la maffia syndicale sont paroles d'évangile ?Au contraire, un mec critiqué par toutes cette racaille doit forcément avoir un peu de bon. C'est bien ce qu'il disait. Bof, la vraie réforme serait de supprimer le CNRS. Tout simplement. +1
teabag Posté 18 février 2008 Signaler Posté 18 février 2008 Effectivement, ça serait bien que la Recherche publique française mette l'accent sur la recherche. Avec de vrais scientifiques, pas des pêcheurs de mégalithes ou des sociologues en théories-politiques.
pankkake Posté 18 février 2008 Signaler Posté 18 février 2008 il serait bon qu'ils fassent connaitre leur point de vue à la presse ou dans des émissions de TV (éventuellement sous couvert d'anonymat) Mais la presse et la TV ne veut pas de leur point de vue. Ce serait trop facile.
Rincevent Posté 18 février 2008 Signaler Posté 18 février 2008 il serait bon qu'ils fassent connaitre leur point de vue à la presse ou dans des émissions de TV (éventuellement sous couvert d'anonymat) Certains tentent. D'autres veulent juste finir leur petite vie à l'ombre des barreaux de leur prison dorée. Dans tous les cas, ça n'intéresse aucun media.
Salatomatonion Posté 18 février 2008 Signaler Posté 18 février 2008 Bof, la vraie réforme serait de supprimer le CNRS. Tout simplement. Tu es fou ! Comment organiser les débats quotidiens du "Téléphone Sonne" de France Inter avec sa "brochette de spécialistes" (copyright GOOSSENS).
roubachov Posté 18 février 2008 Signaler Posté 18 février 2008 Ceux de mes anciens profs qui étaient chercheurs au CNRS et CEA trouvent eux-mêmes qu'il s'agit des structures les plus staliniformes (et donc invivables) qui soient. C'est clair. On y entre entre 25 et 30 ans grace à des protections mandarinales après un doctorat à l'audience marginale (du genre: "l'apparition du concept de subjectivité dans la Chine ancienne"), et jusqu'à 65 ans, on rédige quelques publications et communications davantage pour se faire plaisir que pour apporter quelque chose de substantiel aux connaissances de l'Humanité. Bref, c'est bien souvent une place de planqué … en dehors du CNRS, il y a d'ailleurs peu de chance que les intéressés trouvent du travail si ce n'est à la Mission locale du coin Comme aurait dit le Général (la phrase est vraisemblablement apocryphe), "des chercheurs on en trouve, mais des trouveurs on en cherche" … Ce bouquin dirigé par Bernard Zimmern, paru voici quelques années, contient d'ailleurs un chapitre à la fois amusant et éloquent sur les "trouvailles" du CNRS:
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