Minus Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Les famines chroniques à Gênes et Venise sont réputées, en effet…
Nick de Cusa Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Ce serait une très bonne chose. Est-ce que c'est pour des raisons légales qu'ils ne s'implantent pas en France ? Tu parles, nos grandes familles de la distribution savent à qui s'adresser pour que ce genre de chose ne se produise pas. La réponse à Wal Mart, ça serait ctpc. Sinon, ils s'étaient implantés en Allemagne et ils ont renoncé, tout fermé et plié bagage. Je ne sais pas pourquoi. Droit social? Quelqu'un sait?
Salatomatonion Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 …..je vis dans l'abstinence . N'imp' puissance 10 again. Je ne me prive de rien. Qu'on ait besoin absolument de concurrence dans la grande distribution pour que les enseignes arrêtent de se gaver est une certitude mais tu nies le fait avéré que les gens peuvent parfaitement adapter leur consommation sans atteindre à leurs ressources vitales et surtout sans qu'aucun politique ne vienne s'approprier la pseudo victoire pour leur pouvoir d'achat en se mêlant des règles de base de l'offre et de la demande. Si les membre éminents de ton parti cessaient de fréquenter les marchés uniquement en période de tapinage électoral ils se rendraient compte que dans la vraie vie, on y fait, avec un peu de patience et de goût, d'excellentes affaires sur des produits bien meilleurs que la merdouille calibrée et insipide que vendent les hypermarchés à prix d'or. Sinon, ils s'étaient implantés en Allemagne et ils ont renoncé, tout fermé et plié bagage. Je ne sais pas pourquoi. Droit social? Quelqu'un sait? Une explication trouvée via lien Google : Il est vrai que les explications simplifiées et raccourcies sont plus rapide à prendre place dans l'esprit et on tendance à deveir tenance par la suite. Grâve défaut si l'on veut être efficace dans la compréhension des systèmes.Wal-Mart en Allemagne, c'est royalement planté, car le management américain n'y a envoyé que des expatriés qui pour la plupart ne parlaient même pas l'allemand. De plus ces derniers ont voulu à tout prix imposer la façon de faire américaine: tous les salariés sont devant les portes à l'ouverture pour accueillir les clients: ces derniers n'ont pas vraiment appréciés le spectacle; ils assistent les clients pour emballer les articles: les Allemands ne sont pas impotents, ça les a fait râler. Premier mauvais point. Le merchandising, présentation des articles était assez calamiteuse chez Wal Mart, à la façon américaine, alors que les concurrent discounter Allemand, Metro, Aldi etc, s'offre des gavages de rayon (comme Carrefour), y compris le long des escaliers, les Allemands aiment l'opulence. Deuxième mauvais point. La propreté: c'est propre en Allemagne, le système Wal Mart fait des économies de structure sur les frais de nettoyage: bilan des magasins sales par rapport à la concurrence: les Allemands n'ont pas du tout aimés. Troisième mauvais point. Alors que la force de Wal Mart aux USA repose sur des produits standardisés, partout ou ces produits peuvent être vendus, le premier distributeur mondial peut casser les prix, mais des "kleus" ou l'interminable liste de saucisses ques seuls les Allemands savent faire, les bratwurst, les kielbasa, les weisswurst etc, ne peuvent être achetées qu'en Allemagne. Sur ce point, Wal Mart c'est retrouvé avec des produits 30% plus cher que la concurrence. Quatrième mauvais point. Bilan : 2 milliards d'euros de perte. Si quelqu'un a une explication contradictoire.
Herbert West Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Tu parles, nos grandes familles de la distribution savent à qui s'adresser pour que ce genre de chose ne se produise pas. La réponse à Wal Mart, ça serait ctpc.Sinon, ils s'étaient implantés en Allemagne et ils ont renoncé, tout fermé et plié bagage. Je ne sais pas pourquoi. Droit social? Quelqu'un sait? Je viens de trouver cet article. En gros : les différences culturelles. Le mode de gestion, le fonctionnement des magasins, les produits américains n'étaient pas adaptés à l'Allemagne (et vice-versa). C'est peut-être aussi une des raisons qui fait qu'ils ne viennent pas en France.
teabag Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Hé bien en fait, c'est le cas. Un peu partout et depuis 4000 ans même, d'après cet article.Cela dit, le résultat ne fût bien évidemment jamais très brillant : restrictions, famines… L'empire romain l'a fait. Résultat ? La crise économique du IIIe siècle qui le fit s'effondrer. De nombreuses villes à la fin du moyen-âge contrôlaient les prix, notamment en Italie, et surtout pour les céréales. Elles n'ont pas sombré pour autant dans la famine ou la disette. N.B : cela ne justifie en rien l'action gouvernementale , mais c'est un fait historique. Il est vrai que le Moyen-Âge est réputé pour l'abondance de ses récoltes. Merci d'avoir éclairé ma lampe à pétrole. The authors begin by quoting Jean-Philippe Levy, author of The Economic Life of the Ancient World,as noting that in Egypt during the Third Century B.C. "there was a real omnipresence of the state" in regulating grain production and distribution. "[A]ll prices were fixed by fiat at all levels." This "control took on frightening proportions. There was a whole army of inspectors." C'est clair que ça ne date pas d'hier ! French politicians repeated the same mistakes after their revolution, putting into place the "Law of the Maximum" in 1793, which first imposed price controls on grain, and then on a long list of other items. Predictably, "in some [French] towns, the people were so badly fed that they were collapsing in the streets from lack of nourishment." A delegation from various provinces wrote to the government in Paris that before the new price control law, "our markets were supplied, but as soon as we fixed the price of wheat and rye we saw no more of those grains. The other kinds not subject to the maximum were the only ones brought in." The French government was forced to abolish its evil price control law after it had literally killed thousands. When Robespierre was being carried through the streets of Paris on the way to his execution the crowds shouted, "There goes the dirty Maximum!" If only this were a lesson learned by contemporary politicians. http://www.mises.org/story/1962
maurice b. Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 L'empire romain l'a fait. Résultat ? La crise économique du IIIe siècle qui le fit s'effondrer. L'histoire de l'Antiquité ré-écrite.Encore, un délire qui va faire hurler de rire tous les agrégés d'Histoire.
Nick de Cusa Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 L'histoire de l'Antiquité ré-écrite.Encore, un délire qui va faire hurler de rire tous les agrégés d'Histoire. Ah, cet inculque de Lucilio, il nous fait bien marrer, hein maurice b.?
Harald Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 L'histoire de l'Antiquité ré-écrite.Encore, un délire qui va faire hurler de rire tous les agrégés d'Histoire. Intéressez-vous donc un tant soi peu à l'histoire romaine avant de vous lancer dans ce genre d'intervention. Oui, Rome contrôlait le prix des céréales entre autres. En parallèle elle pratiquait l'assistanat avec l'annone.
Nick de Cusa Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Je viens de trouver cet article.En gros : les différences culturelles. Le mode de gestion, le fonctionnement des magasins, les produits américains n'étaient pas adaptés à l'Allemagne (et vice-versa). C'est peut-être aussi une des raisons qui fait qu'ils ne viennent pas en France. Ce qui laisse un espace béant dans le marché où des entrepreneurs ne manqueraient pas de s'engouffrer si on les laissait. Ça n'a pas besoin d'être Wal Mart eux-même, bien sûr. N'importe quel gros monstre qui a un levier de négociation suffisant pour peser, et qui fait jouer une concurrence réelle au lieu d'un petit oligopole confortable avec trois copains. Merci pour la petite recherche.
Salatomatonion Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Ce qui laisse un espace béant dans le marché où des entrepreneurs ne manqueraient pas de s'engouffrer si on les laissait. Ça n'a pas besoin d'être Wal Mart eux-même, bien sûr. N'importe quel gros monstre qui a un levier de négociation suffisant pour peser, et qui fait jouer une concurrence réelle au lieu d'un petit oligopole confortable avec trois copains.Merci pour la petite recherche. Naaan t'es fou, ça n'aura jamais la puissance de feu d'un parti qui prône le contrôle des prix.
teabag Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Maurice, un jour peut-être saura-tu placer correctement les espaces après les points et les virgules.
Timur Posté 25 février 2008 Auteur Signaler Posté 25 février 2008 L'histoire de l'Antiquité ré-écrite.Encore, un délire qui va faire hurler de rire tous les agrégés d'Histoire. C'est toi qui nous fait hurler de rire pour l'instant. Lucilio a parfaitement raison. Ajouté à la hausse de la taxation et au protectionnisme, c'est effectivement ce socialisme qui est la principale raison de la chute de Rome.
Normous Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Vous n'avez rien compris à la politique de Sarkozy. Il a poussé l'ouverture jusqu'à Fidel castro qu'il a réussi à débaucher de son poste de Cuba. C'est lui qui lui a soufflé cette idée de contrôle de prix…
jmserigny Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Le premier ministre a annoncé lundi soir trois mesures pour lutter contre la flambée des prix des produits alimentaires et pointe du doigt la responsabilité des industries et des distributeurs.«Il y a manifestement des abus de la part des industries et des distributeurs qui profitent (des) hausses des matières premières agricoles pour accroître leur marge». Le premier ministre, François Fillon, qui s'exprimait lundi soir à l'issue d'une réunion interministérielle «sur l'évolution des prix des denrées alimentaires» a voulu afficher la détermination du gouvernement. Un gouvernement qui, a-t-il dit, «ne restera pas inactif face à des comportements qui sont inacceptables et qui nuisent à nos concitoyens». En conséquence, il a annoncé trois mesures pour faire face à la hausse de ces produits, récemment épinglée par l'Institut national de la consommation. Parmi celles-ci, la création d'une «Haute autorité de la concurrence avec des pouvoirs accrus» pour «renforcer la concurrence». François Fillon a également annoncé «une opération coup de poing dont l'objectif est d'enquêter sur les comportements de marge». «Il s'agit de voir où sont les abus», a-t-il déclaré. Les services du ministère de l'Economie vont ainsi mener une enquête qui ferait «toute la transparence sur la part des hausses attribuables aux cours internationaux d'une part, et aux marges de transformation, d'intermédiation et de distribution, d'autre part» et identifierait «les abus», selon le communiqué de Matignon. L'objectif est également d'expliquer les raisons des prix plus élevés en France que chez nos voisins européens, a précisé Matignon dans un communiqué. Le premier ministre a enfin annoncé le lancement d'une opération de «vérification de l'évolution réelle des prix des produits alimentaires» dont les résultats devraient être connus avant le 10 mars prochain. «Un premier panel, portant sur vingt produits phares, sera analysé d'ici la fin de la semaine», précisé le communiqué. «Croyance mythique» Le porte-parole du Parti socialiste, Julien Dray, a estimé que les décisions prises «dans l'urgence» par le gouvernement étaient «décevantes et révélatrices de l'incapacité, qui (…) devient inquiétante, à répondre efficacement à l'envolée des prix et à la baisse du pouvoir d'achat des salaires». Dans un communiqué, il dénonce «la croyance mythique, que par la simple concurrence et le rappel à l'ordre, les grands groupes industriels de l'agroalimentaire ou de la grande distribution vont prendre peur». À l'origine de cette réunion qui rassemblait également Christine Lagarde (ministre de l'Économie), Michel Barnier (Agriculture) et Luc Chatel (Consommation), une polémique sur le prix des produits alimentaires : une étude à paraître mardi dans le mensuel «60 millions de consommateurs» a démontré une forte hausse des prix des aliments. L'étude porte sur 1.055 produits et montre une hausse quasi générale pour le lait et les yaourts, et des hausses jusqu'à 45% pour certaines pâtes ou jambon de marques. Au total, près de 200 références alignent des augmentations de plus de 10%. Si les hausses du blé et du lait sont réelles, elles ne suffisent pas à expliquer ces augmentations, l'opacité du système ne permettant pas de savoir précisément à qui profitent cette flambée des prix. Agriculteurs, industriels et distributeurs tendent à se rejetter la faute. . Je pense que c'est de l'esbrouffe pour calmer le bon peuple. Il est illusoire et impossible d'enqueter sur les origines des marges de chaque produit, meme un échantillon. Par contre on peut s'attendre à un résultat positif si les raisons pour lesquelles les prix en Allemagne sont de 20% inférieurs à la France sont expliquées et que des réponses sont apportées (plus de concurrence car moins de régelmentation). Je ne vois pas tout cela d'un mauvais oeil.
rodbeck Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 L'Etat n'est pas une création ex nihilo, une sorte de monstre froid ou un léviathan, l'Etat ce sont des hommes, influencés notamment par les puissances financières quand ce ne sont pas les mêmes qui dirigent comme on peut le voir en Russie. Accuser l'Etat de façon systématique, c'est bien pratique, mais cela ressemble davantage à une forme de religion. Et quand bien même il y a de la corruption, entre le corrupteur et le corrompu, le coupable est le corrompu, car c'est lui qui a la possibilité de dire non au corrupteur.
Timur Posté 25 février 2008 Auteur Signaler Posté 25 février 2008 Par contre on peut s'attendre à un résultat positif si les raisons pour lesquelles les prix en Allemagne sont de 20% inférieurs à la France sont expliquées et que des réponses sont apportées (plus de concurrence car moins de régelmentation). Toi tu as un white russian de trop dans le nez pour croire une seule seconde que de telles réponses seront apportées.
WALDGANGER Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Si c'est vraiment le conseil de la concurrence qui va mener l'analyse, je suis plutôt confiant.
jmserigny Posté 25 février 2008 Signaler Posté 25 février 2008 Toi tu as un white russian de trop dans le nez pour croire une seule seconde que de telles réponses seront apportées. La 6 avait sorti un bon reportage sur Capital ou ils montraient les frontaliers qui partaient faire leurs courses en allemagne. La journaliste mettait bien en avant les conséquences facheuses des lois galland et balladur. Les mentalités commencent peut-étre à changer. Comme disait Lenine "you look at the people who benefit and, you know, well..oh fuck"
Timur Posté 25 février 2008 Auteur Signaler Posté 25 février 2008 Dire et faire sont deux choses différentes…
Calembredaine Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 Si c'est vraiment le conseil de la concurrence qui va mener l'analyse, je suis plutôt confiant.
José Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 L'histoire de l'Antiquité ré-écrite. Penche-toi un peu sur la législation de Dioclétien (De maximis pretiis rerum venalium) concernant le contrôle des prix, tu y trouveras peut-être quelques idées à proposer à l'UMP : de sévères peines d'amendes, les galères pour ceux qui ne respectaient pas les prix maximum autorisés, la mort pour ceux qui préfèraient vendre au marché noir leurs produits plutôt que de vendre à perte sur le marché officiel, la mort également pour ceux qui acceptaient d'acheter à un prix supérieur au prix officiel, etc. La conséquence de cette législation de décision et d'action ? Chute du pouvoir d'achat de 250% et pénurie des produits qui n'arrivait pas aux marchés, comme l'observa un contemporain, Lactance. Un Romain l'a fait en 301. Un Hongrois peut le faire en 2008.
WALDGANGER Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 C'était pas une blague Leurs attributions en font forcément un organisme non libéral. Mais les économistes qui bossent là bas sont plutot compétents. Rincevent aime citer une étude faite par uné économiste qui s'appelle Claire Chambolle, sur la grande distri, elle ne bosse pas là bas, mais c'est le même millieu et ils produiront le même genre d'analyses. C'est à dire rien de révolutionnaire dans notre sens mais rien non plus de stupide ou démago.
vincponcet Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 Ne mélangeons pas tout ! L’une des principales attributions de l’ARCEP est de veiller à ce que la concurrence s’exerce effectivement sur les 18 différents segments de marché - dits marchés pertinents - identifiés par la Commission. Il lui appartient, au terme de son analyse, d’identifier les opérateurs puissants sur ces marchés et de leur imposer le cas échéant des obligations justifiées, proportionnées et fondées sur la nature du problème concurrentiel identifié. Cette action s’exerce principalement sur les marchés de gros. Ces obligations, ou remèdes, sont définies dans les directives : Les obligations listées dans la directive " accès " : - transparence - publication d’une offre de référence - non discrimination - accès à des ressources de réseau spécifiques et à leur utilisation - contrôle des prix et des obligations relatives au système de comptabilisation des coûts (orientation des tarifs vers les coûts) ; - séparation comptable. Renouvellement des licences GSM Les autorisations d’Orange France et de SFR ont été renouvelées en mars 2004 pour une durée de 15 ans (celle de Bouygues Telecom arrive à échéance plus tard, le 8 décembre 2009). Suite à ces renouvellements, les opérateurs GSM doivent se soumettre à de nouvelles obligations dans le but de faciliter la concurrence (limitation du verrouillage des terminaux, libre paramétrage des terminaux), faciliter l’accès (personnes handicapées, obligations de couverture renforcées), de protéger l’environnement (implantation des antennes, etc) et renforcer la lutte contre le vol des terminaux (blocage des terminaux volés) . Il est écrit que l'ARCEP doit veiller à la bonne concurrence dans un contexte de cartel légal (licences mobiles en nombre limité à 3). Formidable, n'est-il pas ?
maurice b. Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 et surtout sans qu'aucun politique ne vienne s'approprier la pseudo victoire pour leur pouvoir d'achat en se mêlant des règles de base de l'offre et de la demande. La Fédération Nationale Porcine apporte un démenti cinglant à ce que tu préconises. Source AFP Le Figaro 26/02/2008"La Fédération Nationale Porcine a pris note avec étonnement de la hausse des prix du jambon de 44%", écrit la FNP dans un communiqué. Elle "en appelle à l'autorité et à l'action de l'Etat pour mettre fin à ces pratiques assimilables à du racket, afin de rétablir les conditions de négociations commerciales plus équilibrées", ajoute le texte.
pankkake Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 Bon, les communistes de droite ou de gauche ne sont pas les bienvenus sur ce forum.
Lexington Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 La Fédération Nationale Porcine apporte un démenti cinglant à ce que tu préconises. Les producteurs chercheraient à protéger leur business en faisant appel à l'Etat? Je suis sur les fesses..
José Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 La Fédération Nationale Porcine apporte un démenti cinglant à ce que tu préconises. Parce que les fédérateurs nationaux porcins sont des cons provinciaux. Le prix des denrées alimentaires flambe partout dans le monde (70% d'augmentation en 17 mois) : La faute à qui ? Aux connards qui prennent des décisions et agissent et subventionnent les bio-carburants, déséquilibrant ainsi le marché mondial des céréales et, par ricochet, celui de la viande en général.
rixxe Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 Parce que les fédérateurs nationaux porcins sont des cons provinciaux. Le prix des denrées alimentaires flambe partout dans le monde : La faute à qui ? Aux connards qui prennent des décisions et agissent et subventionnent les bio-carburants, déséquilibrant ainsi le marché mondial des céréales et, par ricochet, celui de la viande en général. Bon pas uniquement semblerait. http://news.bbc.co.uk/2/hi/business/7264653.stm Why are wheat prices rising?Wheat prices have hit record highs and tight supplies of the staple crop have ignited concern about rising food costs. The price of spring wheat jumped almost 25% on Monday - the biggest one-day increase to date. The rise comes as the UN's World Food Programme warns that it will have to start cutting rations or feeding fewer people if it does not get more money to cope with the higher cost of food. Wheat is used to make staple foods such as bread, pasta and noodles. EXPORT CURBS The main reason behind Monday's sudden rise in wheat prices was a decision by Kazakhstan to impose export tariffs to curb sales. Kazakhstan, which is one of the world's largest exporters of the grain, said the curbs would help it battle an inflation rate of nearly 20%. The move follows similar restrictions imposed by Russia and Argentina. DROUGHT World wheat stocks are expected to hit a 30-year low this year, partly driven by the worst drought in Australia in 100 years, which halved the winter wheat crop to 12 million tonnes in 2007. Reports of drought and water shortages in north-west China, where most of the country's wheat is grown, have also spurred buying in recent days. LAND FOR BIOFUELS Demand for alternative energy sources has led farmers to sow less wheat and convert land to crops such as corn, sugarcane and rapeseed, that can be turned into biofuels. Ethanol, diesel and other liquid fuels can be made from processing plant material. But this means there is less land for growing food crops. Wheat prices may come down as high prices convince farmers to devote more land to the crop, but this takes time. "Ample supply is likely to emerge in the second half of the year, with farmers increasing their portion of acreage attributed to wheat," said analysts at Barclays Bank. GROWING DEMAND In addition to the supply problems pushing up prices, there has also been growing demand. Increasing wealth in China and India, for example, has led to consumers eating more meat, which means more grain is needed to feed farm animals. The US Department of Agriculture forecasts that Chinese imports of pork will double over the next 10 years. SPECULATIION BY INVESTORS Wheat prices have also soared as commodities have found favour among investors struggling with poor returns in other markets. Stock markets have lost ground as the world economy slows and the fallout from the sub-prime crisis continues. Il n'en reste pas moins que les gouvernements sont responsables de la plupart des causes de l'augmentation du prix du blé (dans ce cas).
maurice b. Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 La faute à qui ? Aux connards qui prennent des décisions et agissent et subventionnent les bio-carburants, déséquilibrant ainsi le marché mondial des céréales C'est une plaisanterie, j'espère. La FNP connait très bien le prix des céréales (qui a augmenté) puisque ses membres en achètent pour nourrir le bétail et répercutent le prix de la nourriture sur le prix de vente de leurs bêtes.Mais ce n'est pas le prix de vente des animaux qui est en cause dans cette "ténébreuse affaire" mais bien le prix d'un produit dérivé (le jambon) Parce que les fédérateurs nationaux porcins sont des cons provinciaux. Avec toujours la salve de propos insultants adressés aux diverses couches de la population française, traitées comme du bétail ignare (aujourd'hui une féderation agricole …à qui le tour demain ?)
h16 Posté 26 février 2008 Signaler Posté 26 février 2008 C'est une plaisanterie, j'espère.La FNP connait très bien le prix des céréales (qui a augmenté) puisque ses membres en achètent pour nourrir le bétail et répercutent le prix de la nourriture sur le prix de vente de leurs bêtes.Mais ce n'est pas le prix de vente des animaux qui est en cause dans cette "ténébreuse affaire" mais bien le prix d'un produit dérivé (le jambon) … car chacun sait que le prix du jambon n'a rien à voir avec le prix du cochon qui n'a rien à voir avec le prix des céréales. Bien sûr. Avec toujours la salve de propos insultants adressés aux diverses couches de la population française, traitées comme du bétail ignare (aujourd'hui une féderation agricole …à qui le tour demain ?) Réclamer l'assistance du saboteur pour réparer le mécanisme qu'il vient de foutre en l'air, ce n'est en tout cas pas faire preuve de beaucoup de lucidité.
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