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L'état culturel se porte bien


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France makes bookshop pledge

13.03.08 Barbara Casassus

France's culture minister Christine Albanel has inked a deal aimed at saving France's independent bookshops. The deal was signed on the eve of the Paris Book Fair, Salon du Livre, which opens tonight (13th March) amid controversy over Israel's presence as the guest of honour.

Albanel has signed an agreement with Antoine Gallimard, head of the bookshop development association (ADELC), to create a fund to finance changes in independent bookshop ownership. The fund, derived from several sources, will total €3m. Its aim is to help finance the takeover of independent shops when the owner retires, and thus prevent them falling into the hands of chain booksellers.

Albanel is due to take the place of France's president Nicolas Sarkozy at the opening ceremony this evening. Israeli president Shimon Peres, who is in France on a five-day official visit, and the French president were due to inaugurate the revamped fair together.

Calls for a boycott from the Arab world multiplied in the run-up to the event, including from the 50-nation Islamic Educational, Scientific and Cultural Organization (ISESCO).

Publishers associations from Algeria, Morocco and Tunisia, and the Lebanese culture ministry cancelled their stands. Books from the three Maghreb countries will be represented by booksellers, according to Serge Eyrolles, president of the French Publishers Association, which organises the event.

The calls for a boycott were condemned by the International Publishers Association and Albanel. "Israel has been exhibiting at the fair for 10 years, and no-one has said anything before," Eyrolles said. "We have invited Israeli literature, not the country."

A total of 39 Israeli authors will attend the fair, including Aharon Appelfeld, Ron Barkai, Etgar Keret, Amos Oz, Avraham B. Yehoshua, and David Grossman, leader of the Peace Now movement. Israel, which celebrates its 60th anniversary this year, could a similar outcry in Italy over its invitation as guest of honour at the Turin Book Fair on May 8-12.

Up to 3,000 authors will attend the Paris fair, a total of 5,685 book signings and 368 debates and lectures are scheduled, and the Wednesday--a day off for primary school pupils--has been restored. More spacious aisles, more debates with authors and more emphasis on young people have been planned this year.

The French Booksellers Association (Syndicat de la Librairie Française - SNE) will have its own stand for the first time. Advertising support has been stepped up, and new technologies including e-books, electronic satchels, digital libraries and digitisation in general will have 500 square metres (5,400 square feet) to themselves.

Posté

Oui, ben mon père qui est libraire est tout sauf pour cela!!!!

Il va d'ailleurs en souffrir car toutes les librairies qui risquent de fermer seront peut-être reprise plus facilement par ce mécanisme…

C'est encore une fois une attelle posée sur une bessure que l'on entretien!!!

Il vaudrait mieux supprimer la loir Lang sur le prix du livre et le monopole de l'édition/distribution de chaque titre!!!

Sans parler des autres problème inhérents à tout petit commerces : baux commerciaux spoliateur et bloquants, taxe professionnelle, taxe sur les enseignes, taxes sur l'éclairage des vitrine, stationnement payant et restriction de la circulation, charges salariales etc…

Posté
Sans parler des autres problème inhérents à tout petit commerces : baux commerciaux spoliateur et bloquants, taxe professionnelle, taxe sur les enseignes, taxes sur l'éclairage des vitrine, stationnement payant et restriction de la circulation, charges salariales etc…

Même une ville privée lève un certain nombre de taxes pour financer les services. Concernant le stationnement payant, le problème réside moins dans son existence que dans la manière de le faire respecter. Dites vous bien que sans stationnement payant, les rues des centre-villes seraient totalement engorgées par les véhicules des résidents et les clients iraient voir ailleurs. Dans les centres commerciaux par exemple.

Posté
Dites vous bien que sans stationnement payant, les rues des centre-villes seraient totalement engorgées par les véhicules des résidents et les clients iraient voir ailleurs. Dans les centres commerciaux par exemple.

Pour ça, il y a tout de même le stationnement à durée limitée. C'est gratuit, et ça a le même effet.

Posté
Même une ville privée lève un certain nombre de taxes pour financer les services. Concernant le stationnement payant, le problème réside moins dans son existence que dans la manière de le faire respecter. Dites vous bien que sans stationnement payant, les rues des centre-villes seraient totalement engorgées par les véhicules des résidents et les clients iraient voir ailleurs. Dans les centres commerciaux par exemple.

Les rues devraient appartenir aux riverains, ce qui inclus bien sur les commercants. Une premiere approximation serait de leur reverser les recettes du stationnement payant et de les laisser en choisir le cout.

Ceci dit si le petit commerce disparait, je ne verserai pas une larme, c'est dépassé.

Posté
Ceci dit si le petit commerce disparait, je ne verserai pas une larme, c'est dépassé.

L'humain aussi à ce qu'il semble.

Posté
C'est encore une fois une attelle posée sur une bessure que l'on entretien!!!

Il vaudrait mieux supprimer la loir Lang sur le prix du livre et le monopole de l'édition/distribution de chaque titre!!!

Sans parler des autres problème inhérents à tout petit commerces : baux commerciaux spoliateur et bloquants, taxe professionnelle, taxe sur les enseignes, taxes sur l'éclairage des vitrine, stationnement payant et restriction de la circulation, charges salariales etc…

+1.

Même une ville privée lève un certain nombre de taxes pour financer les services.

Non elle offre des services et le client les paie s'il les désire.

Ceci dit si le petit commerce disparait, je ne verserai pas une larme, c'est dépassé.

+1.

Posté
Je dois être socialiste je continue de fréquenter certains petits commerces, que je préfère à de grandes enseignes, bien trop froides.

Rien a voir avec le capitalisme ou le socialisme, c'est une question de préférence, mais à terme le modèle de la petite boutique va disparaître.

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Mmh, si je te dis que je suis prêt à payer un surcoût pour maintenir ce modèle (et je ne serais probablement pas le seul), tu me crois ? Sinon il va peut-être disparaitre aux USA, mais en France j'en doute, l'Etat fera tout pour maintenir des centre-villes vivants (note que je ne soutiens pas ce maintien non plus)

Posté
Mmh, si je te dis que je suis prêt à payer un surcoût pour maintenir ce modèle (et je ne serais probablement pas le seul), tu me crois ?

Le coté "sympa" d'une boutique dans une rue commercante est un bien public mal financé par la vente des produits… en somme je crois que tu n'es effectivement pas prêt à payer un surcout parce que ce serait vain.

Posté
Le coté "sympa" d'une boutique dans une rue commercante est un bien public mal financé par la vente des produits… en somme je crois que tu n'es effectivement pas prêt à payer un surcout parce que ce serait vain.

Resteront les boutiques de luxe et les restos. J'entends d'ailleurs dans mon oreillette que c'est déja le cas…

Posté
Le coté "sympa" d'une boutique dans une rue commercante est un bien public mal financé par la vente des produits… en somme je crois que tu n'es effectivement pas prêt à payer un surcout parce que ce serait vain.

Heureusement que tu sais mieux que moi ce que je veux.

Posté
Rien a voir avec le capitalisme ou le socialisme, c'est une question de préférence, mais à terme le modèle de la petite boutique va disparaître.

Certainement pas. Les gens sont prêt à payer plus cher pour les garder.

Posté
Rien a voir avec le capitalisme ou le socialisme, c'est une question de préférence, mais à terme le modèle de la petite boutique va disparaître.

J'avais lu il y a quelques temps qu'en France le nombre de boutiques était resté grosso modo stable sur les 20 dernières années. En revanche, le type de boutique évolue fortement. Si les crémeries, merceries, cordonneries ont totalement disparu, d'autres ont vu leur nombre augmenter (comme les coiffeurs) et d'autres apparaître (comme les sandwicheries ou les boutiques de téléphonie qui fleurissent dans le moindre petit bourg, par exemple).

Posté

Bien au contraire, les petites boutiques offrent une grande flexibilite ce qui est tres recherche dans certains secteurs (cordonnerie, pressing etc…)

De plus leurs tailles permet qu'elles puissent s'installer au plus proche des clients.

Sydney doit etre l'exemple type d'une grande ville qui n'a que tres peu de grands magasins. Chacun y trouve son compte.

Posté
J'avais lu il y a quelques temps qu'en France le nombre de boutiques était resté grosso modo stable sur les 20 dernières années. En revanche, le type de boutique évolue fortement. Si les crémeries, merceries, cordonneries ont totalement disparu, d'autres ont vu leur nombre augmenter (comme les coiffeurs) et d'autres apparaître (comme les sandwicheries ou les boutiques de téléphonie qui fleurissent dans le moindre petit bourg, par exemple).

Les retoucheries, aussi, et les bazars. Mon bled est sans doute la capitale régionale des cabinets d'assurance et des agences immobilières.

Invité jabial
Posté

Le stationnement est un service, il vaut cent fois mieux qu'il soit payé par l'utilisateur que par la collectivité. C'est le péage ou l'impôt ; rien n'est gratuit.

Posté

Moi j'aime bien le boutiques tant qu'elles m'offrent ce que je veux, sinon je leur souhaite bonne chance et longue vie, mais franchement je me fiche un peu de ce débat, et les grandes surfaces créent beaucoup de boulot il faut le rappeler, donc la petite larme je l'ai pour les grandes comme pour les petites boutiques et je ne soutiens rien.

En revanche, si en France les petites boutiques disparaissent, en Espagne, elles sont encore très vivaces, c'est ni bien ni mal, j'y vais jamais , j'ai pas le temps, alors passer dix ans à faire mes courses dans dix endroits différents et qui sont plus chers y'a pas marqué stupide sur mon front. En revanche beaucoup de petites boutiques offrent des biens spéciaux qu'il n'y a pas ailleurs.

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