melodius Posté 1 juillet 2008 Signaler Posté 1 juillet 2008 Je ne comprends pas pourquoi je suis tombé sur le "pure evil" dans le test. Et je suis loin de bosser pour AOL ou Microsoft Parce que tu es un poseur. Et sans doute une petite bite. Ce qui en soi ne nous regarde en rien.
Invité jabial Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 C'est marrant, moi j'ai eu la réponse exactement inverse. Je pige pas non plus, je dois dire. Je pense que je pourrais écrire un bouquin en douze volumes avec mes défauts, mes travers et mes erreurs. Heureusement que ce test n'est pas sérieux
CMuller Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 (…)Et oui, on peut constater que le mal absolu existe. (…) Ce qui existe peut être défini. Quelle définition proposes-tu du mal absolu permettant de le distinguer d'un mal relatif (ou contingent) ?
CMuller Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Définis moi l'amour C'est surtout "absolu" qui m'intéresse dans le propos de Melodius. Les définitions usuelles de l'amour me conviennent, celle de Wikipedia France par exemple. Note que je ne conçois pas plus d'amour absolu que de mal absolu. Je comprends l'usage de cet adjectif dans certains contextes spécifiques expliquant leur définition (comme le zéro absolu de la physique), mais je m'interroge justement sur l'usage différent de Melodius et de ceux qui partagent cette idée d'un "mal absolu".
Invité jabial Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Mais c'est bien sûr. Le mal absolu n'existe pas. Et le mal relatif? Bah, c'est un peu d'un truc qui n'existe pas
CMuller Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Mais c'est bien sûr. Le mal absolu n'existe pas. Et le mal relatif? Bah, c'est un peu d'un truc qui n'existe pas Je demande simplement d'expliquer pourquoi le qualificatif "absolu" s'applique au mal, les raisons pour employer ce mot. Ta diversion ironique suggère que tu n'en as pas (de raisons). Je ne comprends pas cet usage, je peux m'imaginer des violences horribles, mais elles sont justement horribles, pas absolues. Je déduis cet horreur de la répulsion que j'éprouve à leur égard, et de la répulsion semblable observée chez mes congénères humains, du moins ceux que l'on qualifie de "normaux" au sens médical du terme. A quoi bon qualifier cela d'absolu, qu'est-ce que cela apporte, qu'est-ce que cela signifie ? A la limite, je comprends mieux le mot "sacré", une chose jugée à ce point précieuse qu'elle est décrétée intouchable.
Invité jabial Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Le mal absolu, c'est le principe même du mal. Il existe au même titre que l'infini en mathématiques ; et pour les mêmes raisons, il ne peut être défini qu'en termes abstraits. Il est illusoire de demander d'exhiber un grain de fierté ou un atome de complétude.
CMuller Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Le mal absolu, c'est le principe même du mal. Il existe au même titre que l'infini en mathématiques ; et pour les mêmes raisons, il ne peut être défini qu'en termes abstraits. (…) Merci. Mais c'est du petit nègre pour moi. Mon esprit n'est sans doute pas fait pour ce genre d'abstractions métaphysiques utilisant des termes communs mal spécifiés. Je vois ce que l'infini apporte à la compréhension des mathématiques, ou du moins comment je parviens rapidement au concept d'infini en faisant des mathématiques, je ne vois pas ce que le concept d'absolu apporte à la compréhension du mal, ni d'ailleurs ce qu'il faut entendre par le "principe même" de ce mal. Toute chose a sans doute son principe, il doit exister une constipation absolue et je vais y méditer, cela fera un bon début.
Hidalgo Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Définis moi l'amour Ah non, pas de biologie sur ce fil!
LeSanton Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Le mal absolu, c'est le principe même du mal. Il existe au même titre que l'infini en mathématiques ; et pour les mêmes raisons, il ne peut être défini qu'en termes abstraits. Il est illusoire de demander d'exhiber un grain de fierté ou un atome de complétude. Il est des gens qui ne comprendront jamais que quelque chose puisse être hors de leur entendement du fait même de la finitude de leur raison.Tout ce qu'ils voient est relatif, donc rien n'est absolu. Par postulat, rien n'existe que ce qu'ils peuvent voir. Le relatif est leur infini. Montrez-leur la lune, ils ne verront que votre doigt.
h16 Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Je savais bien que Mani avait tort. Tiens, nous tenons un Modo chimiquement neutre. C'est très très rare, ça !
CMuller Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Il est des gens qui ne comprendront jamais que quelque chose puisse être hors de leur entendement du fait même de la finitude de leur raison.Tout ce qu'ils voient est relatif, donc rien n'est absolu. Par postulat, rien n'existe que ce qu'ils peuvent voir. Le relatif est leur infini. Montrez-leur la lune, ils ne verront que votre doigt. Il est gens qui parviennent à faire des propositions sur des objets situés hors de leur entendement. Quand ils montrent la lune, ils s'aperçoivent qu'ils sont seuls. D'ailleurs, ce n'est pas la lune, c'est le néon de leur chambre capitonnée.
pankkake Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Le mal absolu, c'est le principe même du mal. Il existe au même titre que l'infini en mathématiques ; et pour les mêmes raisons, il ne peut être défini qu'en termes abstraits. Il est illusoire de demander d'exhiber un grain de fierté ou un atome de complétude. En plus, à reregarder les réponses, je vois qu'il n'y aucun métier qui ne soit pas evil (politicien ? avocat ??), à part peut-être "the job of evilness". Je mange de la viande et pas du poisson, c'est true evil… et autres réponses bizarroïdes qui sont peut-être considérées comme Mal.
h16 Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Il est gens qui parviennent à faire des propositions sur des objets situés hors de leur entendement. Quand ils montrent la lune, ils s'aperçoivent qu'ils sont seuls. D'ailleurs, ce n'est pas la lune, c'est le néon de leur chambre capitonnée. Apparemment, on t'y a installé internet…
CMuller Posté 2 juillet 2008 Signaler Posté 2 juillet 2008 Apparemment, on t'y a installé internet… Pff même pas, transmission de pensée. A force de réfléchir à ce qui dépasse les limites de ma raison, j'ai atteint l'esprit absolu vois-tu. Mes soignants (qui sont de pauvres relativistes) ont doublé les doses, mais rien n'y fait comme tu peux l'observer en me lisant.
h16 Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Pff même pas, transmission de pensée. Aaaaah, je viens de comprendre le ratio signal/bruit aussi médiocre !
Boz Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Mais, mais, mais…Mélodius est gentil ? On m'aurait menti ?
Dardanus Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Mais, mais, mais…Mélodius est gentil ? On m'aurait menti ? L'angélisme c'est cela le Mal absolu.
LeSanton Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Et pourtant, il l'avait bien entr'aperçue, la lune, à travers son soupirail… S'il y a bien une chose dont les progrès des sciences devrait nous avoir vaccinés, sans même aller jusqu'au raffinement de la physique quantique, c'est l'idée que l'homme occupe une quelconque place centrale dans l'univers. A fortiori la raison au sein de l'expérience humaine. Il est poussière et il retournera poussière, voilà au moins une image qui me semble juste - sauf qu'au milieu, je ne vois aucune raison d'accepter avec résignation notre destin poussiéreux. J'en déduis que la rationalité humaine, loin d'avoir une prééminence dans l'univers, conçoit simplement une partie des lois qui déterminent son existence. Mais l'espoir d'une clôture de cet exercice (concevoir toutes les lois qui déterminent tous les univers possibles) me semble vain tant que l'on reste dans le cadre de la rationalité humaine.
Polydamas Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Pour revenir sur le sujet, en tant que catho convaincu, je peux difficilement ne pas croire au diable. Mais le corollaire est toujours la liberté, nul ne peut être forcé de le suivre…
free jazz Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 En tout cas, ce qui me frappe, c'est que contrairement à leur réputation de prédateurs capitalistes mangeurs d'enfants, les libéraux ne sont généralement pas assez méchants. Ce test le confirme : les libéraux ne sont malheureusement pas à la hauteur de la dureté que leur prête l'imaginaire populaire. Je l'ai d'ailleurs constaté dans plusieurs débats, ce n'est pas le penchant à faire le mal qui menace le libéralisme, mais c'est au contraire sa trop grande bonté, sa volonté de faire le bien.
Ronnie Hayek Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 En tout cas, ce qui me frappe, c'est que contrairement à leur réputation de prédateurs capitalistes mangeurs d'enfants, les libéraux ne sont généralement pas assez méchants. Ce test le confirme : les libéraux ne sont malheureusement pas à la hauteur de la dureté que leur prête l'imaginaire populaire. Je l'ai d'ailleurs constaté dans plusieurs débat, ce n'est pas le penchant à faire le mal qui menace le libéralisme, mais c'est au contraire sa trop grande bonté, sa volonté de faire le bien. Le culte du Bonheeeeuuuur…
Invité Arn0 Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Which of the following European countries is your favorite, or with which do you most closely identify?England France Germany Italy Luxembourg Spain Canada
Invité jabial Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Tout le monde sait que la Roumanie n'est pas dans l'Europe. Par contre, les USA, Israël et le Canada, si
José Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Mélodius est gentil ? On m'aurait menti ? Mais tu sais bien… qui fait l'ange fait la bête et toussa…
Rincevent Posté 3 juillet 2008 Signaler Posté 3 juillet 2008 Pas réussi à avoir l'image. Mais j'ai suivi un lien vers deux autres tests : "quelle est la religion qui vous convient", et" quelle est votre morale". Résultats pertinents.
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