Bastiat Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Tout ce qu'elle mérite, maintenant qu'elle a recouvré la liberté, c'est un accident vasculaire cérébral de plus qui la laisse tétraplégique. Prisonnière de son corps. Je lui souhaiterais alors longue vie.Salope. +1 Je trouve que 9 ans c'est bien faible pour meurtre de sang froid, c'est plutôt 20-25 ans l'usage non ? Il est clair qu'il y a les gentils terroristes du quartier latin quisebattentpourlacausedupeuple et les autres. ça me fait penser à la mort de Soljenitsyne à part "La croix" aucun n'a dit qu'il s'agissait d'un résistant au communisme. il est résistant au "stalinisme" ou à la "dictature" … Il semble même que les propos de Merkels, aient été quasi systématiquement tronqués sur ce point. Les Papon ou Boudarel et autres Menigon méritent tous d'être condamnés à hauteur de leur crimes ET au moins aussi longtemps qu'ils sont dangereux et le plus tôt possible afin d'éviter que la mémoire des témoins ne se flétrisse. On se fiche des détails concernant tel ou tel chef d'inculpation, en revanche dans certains cas la mémoire des circonstances est utile à l'appréciation d'un crime, 50 ans c'est bien trop long pour bien juger dans un sens comme dans l'autre.
free jazz Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Le comble de la forfaiture démagogique a été atteint dans la campagne compassionnelle des médias bien-pensants pour apitoyer l'opinion publique sur le sort de la terroriste Marina Petrella, afin qu'elle échappe à la justice. Condamnée en Italie à la perpétuité pour sa participation à divers attentats et le meurtre de sang-froid d'un policier, cette ex-brigadiste bénéficie ainsi d'une mansuétude particulière relayée par les mandarins de l'humanitarisme depuis qu'elle a entamé une grève de la faim. Grève de la faim qui lui attire la sympathie du camp réputé progressiste. On explique ainsi, la larme à l'oeil, que cette pauvre femme à l'article de la mort serait victime d'un acharnement judiciaire, d'un règlement de compte politique et qu'il serait inhumain de la livrer à la justice italienne. Le message implicite qui soutient cette belle indignation est hélas connu : les terroristes, lorsqu'ils sont étiquetés de gauche, seraient au fond de gentils résistants un peu égarés par le romantisme révolutionnaire. Leur cause est condidérée comme bonne. Les punir serait un crime et les bons sentiments commandent de "pardonner". On voit à quel point de déliquescence sociale conduit cette compassion socialiste pour les criminels. Sa libération est devenue une cause nationale, elle serait presque à en croire les journaux, une nouvelle Ingrid Betancourt, "otage" du gouvernement. Le parti socialiste a ainsi politisé cette affaire et dénonce "une justice de classe" en allant jusqu'à exiger qu'elle soit libérée , car son état est "extrêmement préoccupant". Pour Ouest France, Marina Petrella doit être sauvée. Laberration évoque ce matin un espoir pour Marina Petrella, alors que la Cour d'Appel réexamine aujourd'hui sa demande de liberté.
john_ross Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Dans cette affaire la gauche UMPiste n'est pas à la traine du PS: Sarkozy avait demandé la grâce de Petrella : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/…l?idfx=RSS_notr
Nick de Cusa Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Dans cette affaire la gauche UMPiste n'est pas à la traine du PS:Sarkozy avait demandé la grâce de Petrella : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/…l?idfx=RSS_notr Mais quelle petite crotte celui là.
free jazz Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Dans cette affaire la gauche UMPiste n'est pas à la traine du PS:Sarkozy avait demandé la grâce de Petrella : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/…l?idfx=RSS_notr Sarkozy est une fois de plus, à l'image de la pourriture mentale de la social-démocratie. Trouvé sur le site du nouvel-obs : Un article du collectif Droits des femmes contre l'extradition de Marina Petrella Un rassemblement de femmes est prévu lundi prochain 1er Octobre 2007, à 18h30, Place de l’Opéra (Paris 1er). En signe de paix, merci de venir avec foulards, mouchoirs ou châles BLANCS.Ce rassemblement a été autorisé par la Préfecture de Police de Paris. Appel des femmes contre l’extradition de Marina Petrella Il y a trente ans, en Italie, Marina Petrella fut de ces dizaines de milliers de jeunes militants dont la révolte s’était radicalisée jusqu’à la lutte armée. Poursuivie à l’époque et condamnée en Italie, avec des centaines d’autres, dans le cadre de lois d’exception – lois « d’exception » qui n’ont cessé de leur être appliquées depuis – Marina a passé 8 années en détention préventive puis s’est réfugiée en France après les années 80. et : "Une pétition de soutien à Marina Petrella" (7341 signatures) http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=51798#sp51798 Que même des journaux mainstream comme le Nouvel Obs, Ouest France, Laberration ou France Dimanche s'engagent dans cette campagne est le symptome d'une radicalisation inquiétante de l'opinion publique et d'un retour en force de la propagande communiste.
john_ross Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Marina Petrella remise en liberté http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/08/…-en-liberte.php
Taranne Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 La mobilisation de la gauche en faveur de Battisti pouvait s'expliquer par le spectre de l'erreur judiciaire: Battisti, après tout, se disait innocent. Petrella, en revanche, ne nie aucun des crimes pour lesquels elle a été condamnée. Ses défenseurs montrent donc leurs vraies couleurs. Sinon, il est intéressant de comparer les versions française et italienne de sa fiche Wikipedia, pas besoin de maîtriser la langue de Dante pour saisir la différence: Marina Petrella (née en 1954) est une ancienne membre du groupe terroriste italien d'extrême gauche Les Brigades rouges. Marina Petrella (23 Agosto 1954) è una terrorista italiana
WALDGANGER Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Ce qui est formidable c'est que Petrella ne menace pas de se suicider, elle ne fait pas une greve de la faim, elle est en "abandon de vie". Tous les média ont servilement repris l'idée qu'elle était malade alors qu'en substance sa technique c'est "si vous ne me libérez pas j'arrête de respirer".
Saucer Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Ce qui est formidable c'est que Petrella ne menace pas de se suicider, elle ne fait pas une greve de la faim, elle est en "abandon de vie". Tous les média ont servilement repris l'idée qu'elle était malade alors qu'en substance sa technique c'est "si vous ne me libérez pas j'arrête de respirer". Il n'y a rien de plus odieux qu'un chantage au suicide, et il n'y a rien de plus effrayant qu'une compassion cédant à ce chantage.
Harald Posté 5 août 2008 Signaler Posté 5 août 2008 Il n'y a rien de plus odieux qu'un chantage au suicide, et il n'y a rien de plus effrayant qu'une compassion cédant à ce chantage. Rien d'étonnant à ce qu'un député béarnais s'y soit prêté.
Samizdat Posté 7 août 2008 Signaler Posté 7 août 2008 Rien d'étonnant à ce qu'un député béarnais s'y soit prêté. Je proteste vigoureusement ! Une délocalisation de 50km est un prétexte hautement légitime et cet exemple prouve l'efficacité de ces méthodes afin que le pouvoir écono-faschiste prennent enfin en considération ces droits humains fondamentaux bafoués.
Apollon Posté 8 octobre 2008 Signaler Posté 8 octobre 2008 J'ai failli le mettre dans "Ces phrases qui vous ont hérissé le poil" mais il me parait plus à sa place ici. J'ai déjà écrit que Le Monde sait flinguer une opinion en laissant s'exprimer un fanatique dans la page opinion, un bon exemple : Point de vueQui a peur de Jean-Marc Rouillan ?, par Aline Louangvannasy LE MONDE | 07.10.08 | 13h14 • Mis à jour le 08.10.08 | 15h46 Quel est le crime de Jean-Marc Rouillan, crime qui lui vaut d'être reconduit manu militari en prison ? Contrairement à ce qu'on lui fait dire de part et d'autre, ce n'est ni l'apologie de la violence ni son manque de regret à l'égard du meurtre de Georges Besse (l'ancien PDG de Renault, en 1986), puisque sur cette question il ne s'exprime pas, car il n'en a pas le droit. Son crime, c'est d'être cohérent avec lui-même. Et, là, tout le monde est bien embêté, à gauche surtout, parce qu'il devient le miroir de nos hypocrisies et de nos petits arrangements avec nos utopies. Il vaudrait donc mieux qu'il se taise définitivement, d'autant plus que, après trente ans de prison, dans des conditions parfaitement inhumaines, sa vitalité semble mettre en échec la logique disciplinaire du régime carcéral. BOUC ÉMISSAIRE Nous vivons à une époque où le capitalisme a atteint son maximum de violence. La crise financière exige des têtes, des coupables à désigner à la vindicte populaire. C'est fait, on peut même dire qu'il y a consensus sur le nom des coupables. Mais, attention, nous pourrions prendre M. Sarkozy au mot, et aller attendre Carlos Ghosn à la sortie de l'usine pour lui demander des comptes. Ce n'est pas le fantôme de Jean-Marc Rouillan qu'il faut craindre, c'est le degré d'exaspération sociale qui a atteint un tel niveau qu'il deviendra de plus en plus difficile de la canaliser, aussi bien par des politiques sécuritaires que par des utopies édulcorées. Même si nous la refusons, la violence est toujours une possibilité. D'autant plus imminente et probable que nous sommes confrontés à l'incapacité de nos élites dirigeantes, quelles qu'elles soient, à construire un espace politique qui prenne en compte nos aspirations au bonheur, à la reconnaissance et à la justice. Au nom de la justice, parce que nous avons condamné la rétention de sécurité, au nom de la liberté d'expression, parce qu'elle est le seul rempart contre l'arbitraire, nous devons exiger la remise en semi-liberté de Jean-Marc Rouillan, qui a payé sa dette à la société, et cela quoi qu'on puisse penser individuellement des faits qui l'ont conduit en prison. Il ne doit pas être le bouc émissaire de notre propre impuissance. Aline Louangvannasy est professeur de philosophie. Entre autres problèmes de cette authentique trahison des clercs : * Croire que Rouillan retourne en prison à cause de… la crise financière, dont il serait le bouc émissaire, et non pour ses turpitudes, * Reprendre sans aucun recul le discours catastrophiste et misérabiliste anticapitaliste, * Excuser Rouillan par la justesse de son combat… la fin justifie les moyens, * Ne pas savoir compter (Aujourd'hui 2008 - Besse assassiné en 86 = 30 ans ??), * Faire une comparaison bien douteuse entre Besse et Ghosn, pas loin de l'appel au meurtre, * Raconter que le seul crime de Rouillan serait d'être cohérent, en niant qu'il puisse insulter les proches des victimes, et en occultant qu'étant en liberté conditionnelle, il n'a pas fini sa peine et n'a donc pas purgé sa dette à l'égard de la société.
Ash Posté 8 octobre 2008 Signaler Posté 8 octobre 2008 Son blog devrait plaire à Taranne (badurl) http://alinelouangvannasy.blog.lemonde.fr/2008/06/ (badurl) (badurl) http://alinelouangvannasy.blog.lemonde.fr/2008/06/02/penser-le-neoliberalisme/ (badurl)
Normous Posté 8 octobre 2008 Signaler Posté 8 octobre 2008 On dirait le fake de Taranne du 1er avril.
Taranne Posté 8 octobre 2008 Signaler Posté 8 octobre 2008 On comprend mieux pourquoi les gauchistes sont tellement attachés à l'enseignement de la philo; c'est l'un de leurs meilleurs débouchés. Balises code, svp. Nous n'avons pas besoin que la dame ou ses copains viennent nous rendre visite.
h16 Posté 9 octobre 2008 Signaler Posté 9 octobre 2008 Balises code, svp. Nous n'avons pas besoin que la dame ou ses copains viennent nous rendre visite. Amuse tes amis : Grâce à la balise "badurl" du bbcode, tu peux toi aussi insérer des liens qui seront déréférencés.
Taranne Posté 10 octobre 2008 Signaler Posté 10 octobre 2008 No comment again. (badurl) http://www.causeur.fr/rouillan-la-part-maudite-de-la-democratie-francaise,1088 (badurl) Morceau choisi, garanti sans ajout ni modification: Abattre un patron d’entreprise nationalisée devant son domicile est inacceptable. Licencier par dizaines de milliers des ouvriers, transformer des villes entières du Nord et de l’Est en friches gigantesques, provoquer des suicides, des divorces, des dépressions l’est tout autant. Et les commentaires des internautes…
Normous Posté 11 octobre 2008 Signaler Posté 11 octobre 2008 Abattre un patron d’entreprise nationalisée devant son domicile est inacceptable. Licencier par dizaines de milliers des ouvriers, transformer des villes entières du Nord et de l’Est en friches gigantesques, provoquer des suicides, des divorces, des dépressions l’est tout autant. Cela signifie implicitement qu'abattre le patron d'une entreprise privée l'est.
Taranne Posté 14 octobre 2008 Signaler Posté 14 octobre 2008 http://dinersroom.free.fr/index.php?2008/1…marina-petrella
Barbapapa Posté 14 octobre 2008 Signaler Posté 14 octobre 2008 Abattre un patron d’entreprise nationalisée devant son domicile est inacceptable. Licencier par dizaines de milliers des ouvriers, transformer des villes entières du Nord et de l’Est en friches gigantesques, provoquer des suicides, des divorces, des dépressions l’est tout autant. Cela signifie implicitement qu'abattre le patron d'une entreprise privée l'est. Cela signifie également qu'abattre le patron d'une entreprise nationalisée sur son lieu de travail l'est ?
Adrian Posté 14 avril 2010 Signaler Posté 14 avril 2010 Action Directe: en semi-liberté, l'ex-militant Cipriani est sorti de prisonAprès plus de 23 ans passés derrière les barreaux, l'ex-militant du groupuscule armé Action Directe Georges Cipriani, 59 ans, est sorti mercredi matin de la maison centrale d'Ensisheim (Haut-Rhin) dans le cadre du régime de semi-liberté accordé par la justice. Veste de cuir, ample chevelure blanche réunie en catogan, M. Cipriani est sorti vers 08H45 de la prison dans un fourgon pénitentiaire escorté par deux véhicules de gendarmerie. Parmi les quinze gendarmes postés devant la maison centrale, un officier a confirmé qu'il s'agissait bien de M. Cipriani. Les autorités avaient fait le black-out autour de ce transfèrement, officiellement annoncé pour mercredi mais dont l'heure exacte était inconnue. Contactée par l'AFP, l'administration pénitentiaire avait ainsi refusé de communiquer sur le dossier. Le cortège est ensuite arrivé vers 09H50 au centre de semi-liberté de Souffelweyersheim (Bas-Rhin), près de Strasbourg. Escorté par une douzaine de gendarmes, M. Cipriani est sorti menotté du fourgon avant de s'engouffrer dans le bâtiment. Il avait été arrêté le 21 février 1987 dans une ferme du Loiret en compagnie des autres membres du noyau dur d'Action directe, Jean-Marc Rouillan, Joëlle Aubron et Nathalie Ménigon. Cipriani avait été condamné deux fois à la perpétuité, notamment pour les assassinats en 1987 du PDG de Renault Georges Besse et en 1985 de l'ingénieur général René Audran du ministère de la Défense. Après plusieurs demandes infructueuses, il est le dernier des ex-membres d'Action directe à bénéficier du régime de semi-liberté qui lui a été accordé fin février par le tribunal d'application des peines (TAP) antiterroriste et finalement validé par la Cour d'appel de Paris le 1er avril. Il pourrait bénéficier dans un an d'une liberté conditionnelle. La mesure de semi-liberté prévoit que Cipriani travaille 22 heures par semaine à la Banque alimentaire de Strasbourg et qu'il apporte une aide bénévole d'une dizaine d'heures hebdomadaires au Secours populaire. Il devra passer ses nuits au centre de Souffelweyersheim et a notamment pour interdiction d'aborder publiquement les faits pour lesquels il a été condamné. "Pas informé" du transfèrement, son avocat Me Jean-Louis Chalanset a toutefois déclaré que son client était "soulagé" et "satisfait" d'être sorti de prison. "Ses conditions de détention ont été très dures, il passé sept ans à l'isolement" qui ont "contribué à le fragiliser psychologiquement", selon le conseil, qui avait indiqué début avril à l'AFP que son client allait "beaucoup mieux, même s'il (avait) encore besoin d'un léger traitement psychique". Après plus de deux décennies passées en prison, Georges Cipriani appréhende aussi "d'être un peu libre", même si la semi-liberté est "très contraignante". Il espère toutefois obtenir une permission de sortie "d'ici quelques mois", a expliqué le conseil. Selon un membre du collectif "Ne laissons pas faire", qui soutient les anciens membres d'Action Directe encore détenus, Georges Cipriani veut retrouver "l'anonymat" et ne souhaite pas donner d'interview. Cipriani est titulaire d'un CAP de pâtissier et a suivi par correspondance des études supérieures sur le marxisme dans une université allemande. Les autres anciens d'Action Directe, Ménigon, Rouillan, Max Frérot et Régis Schleicher, ont tous bénéficié d'un régime de semi-liberté. Jean-Marc Rouillan est de nouveau en prison après avoir violé en 2008 les conditions de cette mesure à la suite d'une interview controversée à L'Express. http://www.google.com/hostednews/afp/artic…dN2CyWj6gKJdvJw L'histoire ne dit pas s'il regrette ou non ses gestes…
Lameador Posté 14 avril 2010 Signaler Posté 14 avril 2010 L'histoire ne dit pas s'il regrette ou non ses gestes… C'est effectivement le point le plus important Tout comme Dieudonné (militant " entre autres " de la liberté d'expression) il est soutenu pour de mauvaises raisons par de (très) mauvaises personnes. Mais s'il se retire du militantisme politique, je ne suis pas spécialement choqué de voir un criminel libéré en conditionnelle longtemps après les faits. Quant à Rouillan, il a persisté à glorifier ses actes, je suis heureux que cette ordure soit en taule. P.S : ce thread a été necroposté. Il y est question de grève de la faim. Ma référence politique (à gauche du post, comme quoi on peut d'une certaine façon dire d'elle qu'elle est à gauche) a mis en place une solution simple, innovante et efficace pour répondre à une grève de la faim
José Posté 14 avril 2010 Signaler Posté 14 avril 2010 C'est effectivement le point le plus important… Sale prog', va ! La taule, c'est pour punir ; on vise pas la rédemption.
Lameador Posté 14 avril 2010 Signaler Posté 14 avril 2010 Sale prog', va !La taule, c'est pour punir ; on vise pas la rédemption. Et, je ne t'ai pas insulté En défense de ma position, je dirais que : * la norme de la société dans laquelle on vit est que la prison doit faire l'objet de réductions INDIVIDUALISEES de peines, point pour lequel il existe plein d'arguments valables, qu'ils soient religieux(cette adjectif inclut les arguments moraux) ou utilitaristes * le fait de continuer à revendiquer les actes qui ont conduit à l'incarcération est une marque de refus des valeurs de la vie en société, marque de refus qui justifie la non-réduction peine, et ce ain de marquer une différence entre ceux qui font le choix de tourner la page et ceux qui réitereraient leurs actes dans des conditions identiques. Le point sur lequel je pense qu'on serait potentiellement d'accord, c'est que la société n'a pas à s'adapter à quelqu'un qui la refuse. Mais c'est au contraire un argument POUR les réductions de peines, et ce même si j'ai tendance à considérer que : * Badinter est une ordure * la peine de mort peut se justifier dans certain cas * les réductions de peine devraient TOUJOURS être exprimées en pourcentage pour les condamnés à perpétuité
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