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Vols aux Galeries


Messages recommandés

Posté

Permettez-moi d'y ajouter ma version Alain Souchon :

Ecoutez d'où leur peine vient

Ces paumés, ces bons à rien

Ecrasés par la misère

L'exploitation et la guerre

Père Noël, à quoi tu sers ?

Tes rennes n'ont pas pris les airs

Alors à Rennes on se sert

C'est gai, la vie de précaire !

(refrain)

La belle tradition

Française

La contestation

Le silence des cons

Galeries Lafayette

Et la glace aux fraises

Qu'on empile à fond

A fond la charrette

A vot' bon coeur les rupins

Ce soir je mange du lapin

Pile tu perds, face je gagne

C'est beau la France qui stagne

Et cette foule sentimentale

Qui ne crie pas au scandale

Je leur crie "Bande de moutons

Demain on va chez Fauchon !

Demain on va chez Fauchon ! "

Posté

Sinon H16 c'est pas bien de recopier les oeuvres des autres sans corriger les fautes.

Environ 25 personnes (féminin pluriel) membres du collectif acheteurs compulsifs, se sont (auxilliaire être) rendues (et non rendus) aux Galerie Lafayette de Rennes, la ils ont remplis leur paniers de victuailles de Noël.

PS : en plus malgré ma connaissance des règles d'accords je suis coutumier du fait.

Invité rogermila
Posté
la ils ont remplis leur paniers de victuailles de Noël.

Il faut pas un accent grave sur le a de [la] ?

Sinon, on peut écrire aussi "las"…. mais le sens n'est plus tout à fait le même . :icon_up:

Posté
Le droit d'auteur n'existe pas en Anarcapie ?

L'attribution de l'auteur manque, effectivement. Mais un simple lien vers ce fil corrigerait ce défaut.

Ou alors tu voulais parler de droit de copie exclusif, distinct des droits naturels, permanents et inaliénables de l'auteur ?

Posté
L'attribution de l'auteur manque, effectivement. Mais un simple lien vers ce fil corrigerait ce défaut.

Ou alors tu voulais parler de droit de copie exclusif, distinct des droits naturels, permanents et inaliénables de l'auteur ?

Non, juste citer sources et references.

Posté
Sinon H16 c'est pas bien de recopier les oeuvres des autres sans corriger les fautes.

Environ 25 personnes (féminin pluriel) membres du collectif acheteurs compulsifs, se sont (auxilliaire être) rendues (et non rendus) aux Galerie Lafayette de Rennes, la ils ont remplis leur paniers de victuailles de Noël.

PS : en plus malgré ma connaissance des règles d'accords je suis coutumier du fait.

Bah voilà. On veut faire plaisir vite fait, et pouf, y'en a qui couinent parce que le droit d'auteur (?) ne serait pas respecté, qu'il y aurait des fôtes, etc…

Bon. Je corrige et mets un lien.

Bande de pinailleurs, va !

Vous êtes pas drôles c'était à h16 de trouver les fautes!

J'ai relu, et j'ai fait quelques modifications substantielles.

Posté

Ce n'est plus un coup médiatique, c'est une épidémie qui s'étend partout dans le pays. Cette prolifération de rapines est le symptôme d'une étape supplémentaire de la déliquescence morale ambiante. Ce pays dégénère. Et il ne s'agit plus de produits de première nécessité, mais de produits de luxe, dont le péquenot moyen mais honnête se passe, pour se serrer la ceinture en prévision d'une année difficile.

Saumon fumé ou foie gras extorqués au nom d'un nouveau droit festif qui prend les habits du gueux pour mieux donner dans la propagande misérabiliste. Jouer sur la peur des classes dangereuses, se faire passer pour un justicier.

Bientôt un droit aux bijoux de luxe ou aux vêtements de haute couture?

Des chômeurs se servent à Monoprix et partent sans payer: une "autoréduction" ou du "pillage"?

LePost - Vendredi 2 janvier, 10h30

C'est le site LeParisien.fr qui s'en faisait l'écho ce mercredi: une dizaine de militants du groupe Agir contre le Chômage! (AC!) avaient bloqué les caisses du Monoprix du Faubourg Saint-Antoine, dans le 11ème arrondissement de Paris en s'y présentant en même temps, le chariot plein, et en refusant de payer. Ils sont repartis avec leurs provisions, sans payer, et ont annoncé qu'ils allaient les redistribuer. Lire la suite l'article

"Permettre aux précaires de fêter aussi le Nouvel An dignement"

Une "autoréduction" comme ils disent: "C'est une autoréquisition qui est juste en ces temps de crise et qui permet aux précaires de fêter aussi le Nouvel An dignement".

Chez Monoprix, on dénonce "un pillage". La direction du groupe se réunira aujourd'hui pour décider si oui ou non l'enseigne va porter plainte.

"Une action non-violente"

Serge Havez, leader du collectif, s'explique sur RMC: "On arrive, on met des choses dans des caddies. On a un tract, qu'on diffuse auprès des clients du magasin pour qu'ils comprennent notre démarche. Ensuite, on négocie avec le patron du magasin: il veut bien nous laisser partir, ou il veut pas. Dernièrement, à Lille, c'était le cas. C'est avant tout une action non-violente."

Rue89 a ébauché la liste des derniers magasins ayant fait l'objet de cette autoréquisition: on en trouve dans toute la France (Grenoble, Rennes, Lille).

Que fait la police? Rien… pour l'instant

D'après le communiqué du collectif après l'autoréduction rennaise, plusieurs policiers étaient présents dans le magasin: "deux nationaux à l'intérieur, et un des RG en fin d'action." Les policiers les ont laissé partir sans intervenir.

D'après RMC, les produits emportés n'étaient pas tous des produits de première nécessité: on trouverait dans les caddies du saumon fumé, du grand vin ou encore du foie gras.

http://fr.news.yahoo.com/63/20090102/tfr-d….html?printer=1

La canaille agit désormais au grand jour, a pignon sur rue avec un site internet pour assurer sa publicité et se qualifie de "résistance".

Les expressions telles que "autoréduction" montrent une grande créativité sémantique.

Les pamplets plus hauts étaient certes drôles, mais loin d'égaler en novlangue les contorsions de ce collectif. Comprenez que bien entendu, c'est la faute à la crise. Maintenant que tout est permis, pourquoi ne pas "aider" les commerçants à solder totalement les prix?

Si l'économie décroît, "l'autoréduction" est en pleine croissance. Ou comment le vol devient acte "de résistance citoyenne" :

(badurl) http://www.collectif-rto.org/spip.php?article734 (badurl)

Une autoréduction, c’est quoi ?

Ce mot sert à qualifier, en France, des pratiques diverses, mais qui ont un point commun : satisfaire nos besoins de manière gratuite ou moins chère, dans une démarche collective. S’y rattachent donc les actions, parfois nommées réquisitions, que les collectifs de précaires mènent souvent avant les fêtes de fin d’année pour obtenir de quoi alimenter leur réveillon sans débourser l’argent qu’ils n’ont pas (voir ci-dessous le récit des actions à Rennes et Buenos Aires en décembre 2008), les grèves de loyer utilisées par les locataires de logements sociaux ou les résidents de foyers, les luttes pour obtenir des réductions ou la gratuité pour les transports en commun, l’électricité et le gaz, la culture et les loisirs… (…)

Mais aussi, tout simplement, les autoréductions sont une forme de lutte qui fait du bien, parce qu’il s’agit d’une pratique offensive et pas seulement défensive.

(…)

Les objectifs étant :

puce.gif d’enrouer, pour un temps, le train de la consommation en cette période de noël.

puce.gifde repartir avec de la bouffe que le directeur du magasin nous aurait gracieusement offert. En jouant la carte de la négociation nous souhaitions éviter que l’action soit pénalisable sous le chef d’inculpation de vol en réunion.

puce.gif de mettre en avant la lutte en cours contre les réformes gouvernementales (Offre Raisonnable d’Emploi, suivi mensuel obligatoire, RSA, Création de Pôle Emploi, renégociation indemnisation chômage) dirigées contre les pauvres : chômeurs, précaires, travailleurs pauvres, retraités.

(…)

Ensemble et pas sans rien ! Tout est à nous !

Nous réquisitionnons et nous redistribuons

Avec ou sans emploi, avec ou sans papiers, nous voulons vivre

On entend claironner ici et là que la crise, qui s’annonce grave voire gravissime, n’affectera heureusement pas les fêtes de fin d’année. Certes on se serrera un petit peu la ceinture, mais le budget qui est ordinairement consacré à ces fêtes (600 euros par foyer) ne variera guère. Et l’on voit fleurir sur les postes de télévision les sourires éclatants des gérants de la grande distribution, qui vont réaliser en cette période une grande partie de leur chiffre d’affaires annuel (de l’ordre des 15%). Ouf. On respire. Il en a fallu de peu que ces instants magiques de détente, de bonne humeur ne soient gâchés par la sombre réalité sociale et économique… Rassurez-vous, ces 600 euros iront bien enrichir gérants et actionnaires.

Pourtant, nombre d’entre nous continuent à être excluEs des festivités : allocatairEs des minima sociaux, bénéficiairEs de la maigre prime de noël grâce à laquelle certaines factures en souffrance pourront être réglées ; intérimairEs, en CDD de trois mois, en CDI payé au SMIC, voire à temps très partiel, dont les salaires ne permettent pas de vivre ; chômeurs et chômeuses, intermittentEs du spectacle, saisonniers et saisonnières dont les droits ont été réduits ; personnes sans papiers sans suivi social ni hébergement ; sans logis et mal logéEs qui font plus que jamais les frais de la spéculation à l’origine d’une crise du logement qui explose ; salariéEs de la grande distribution corvéables à merci car dans la nécessité de tout faire pour garder leur emploi et compléter un salaire insuffisant par des heures supp, payées aux abords du SMIC horaire par des entreprises ultra bénéficiaires ; bref, précairEs, salariéEs et autres exploitéEs de tout poil qu’on plume.

(…)

Un autre partage des richesses produites par toutes et tous devient vital.

Voilà pourquoi, ensemble et solidaires, nous réquisitionnons et nous partageons !

Cette action n’est pas isolée… elle s’inscrit dans une lutte globale contre ce monde qui nous étouffe…

A Rennes le 20 décembre. A Grenoble aujourd’hui.

Étendons ces pratiques, organisons nous !

D’autres autoréductions

Remarquons le mensonge principal et l'extrême démagogie. Le prétexte est de lutter contre la société de consommation, alors que dans les faits il s'agit d'inventer "un droit à la rolex" pour les pauvres, que Julien Dray n'aurait pas renié.

Ce mouvement revendique une hypocrite "lutte sociale" alors que dans les faits, il s'agit d'exciter les bas instincts, de déchaîner la convoitise et le goût du luxe, de transformer la jalousie en éducation populaire, de pousser l'envie jusqu'au pillage.

Décidémment, la crise a bon dos.

Invité rogermila
Posté
J'ai le sentiment que ce n'est pas prêt de s'arrêter…

Oui, surtout si les directions des magasins se montrent pleutres dans leurs réactions et optent, finalement, pour une répercussion vers l'ensemble de la clientèle des dommages financiers subis.

Chez Monoprix, on dénonce "un pillage". La direction du groupe se réunira aujourd'hui pour décider si oui ou non l'enseigne va porter plainte.
Posté

espéce de Maurice B, tu as mis des questions d'orthographe sur le capcha de ton blog !

Captcha anti-spam :

complétez le mot "tr
*
nte-sept" …

Comment je vais faire maintenant pour poster. :icon_up:

Posté

Effectivement, c'est une barrière subtile. Et on dit "potentats locaux", pas "patentas" :icon_up: .

Posté

"Saumon, foie gras, Champagne: les Caddies étaient pleins à craquer".

Pourquoi avoir bêtement économisé pour noël? J'aurais dû m'inscrire à leur comité des fêtes pour précaires, mais néanmoins amateurs de bonne chair et de mets fins.

Comme je le disais, la crise a bon dos pour imposer ce qui s'apparente à de la propagande sur un mode militaire. Le tract distribué lors de cette opération "d'autoréduction" forcée :

Nous ne paierons pas

C’est la crise. Médias et professionnels de l’économie ne cessent de nous répéter qu’elle va s’amplifier. Et nous devrions la subir chacun de notre côté, regarder silencieusement les loyers et le prix de la bouffe continuer d’augmenter.

Pourtant, en cette période de Noël et de passage à un nouvel an, la richesse matérielle de l’Occident s’expose partout face à la misère du monde ; elle déborde dans les rues à côté des sans-logis, elle scintille dans les publicités pour nous enjoindre à consommer. S’auréolant d’un espoir de croissance et de regain du CAC 40, elle se veut promesse d’avenir radieux par ces temps frigorifiés par l’individualisation et la concurrence.

Et cette richesse est bien gardée, vigilée, il faut être respectable pour y accéder, travailler plus pour gagner plus ou moins, être raisonnable et accepter n’importe quel emploi gracieusement offert, se mobiliser pour un quart de SMIC ou pour un RMI mini mini sous contrôle condamné à devenir RSA LE FERA PAS.

Vive la crise

Cette crise montre (si c’était encore nécessaire) la débilité d’un système où certains misent la vie des autres au casino. Et quand ils perdent c’est encore à nous de renflouer leurs bourses. D’assister les entreprises.

Pour fêter le nouvel an, nous serions censés dépenser des miettes de salaires ou une maigre prime de Noël dans les supermarchés. Qu’est ce qu’ils croient ? Ce soir nous ne jouerons pas cette fable. Nous ne paierons pas.

Pour la première fois depuis longtemps, cette crise rend palpable que le capitalisme comme période de l’histoire humaine peut arriver à sa fin.

Ici et maintenant, dans ce supermarché, nous arrêtons le flux de marchandises un temps, afin que nous soient concédées les victuailles nécessaires pour fêter cette bonne nouvelle.

D’autres ont d’ailleurs eu la même idée et se sont organisés pour se réapproprier des richesses, à Rennes la semaine dernière, à Grenoble il y a quatre jours, ou encore presque chaque jour en Grèce, où des assemblées en révolte organisent des autoréductions dans les supermarchés pour nourrir le mouvement.

L’autoréduction est une tradition de lutte des mouvements de chômeurs et de précaires que nous appelons à développer maintenant, en cette année qui s’annonce riche en révoltes joyeuses.

Étendons ces pratiques, organisons nous !

À plus.

Soldes de 100%

avant fermeture définitive du capitalisme

Les empêcheurs d’encaisser en rond - collectif À bientôt

(badurl) http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4180 (badurl)

Invité rogermila
Posté
"Saumon, foie gras, Champagne: les Caddies étaient pleins à craquer".

J'aurais dû m'inscrire à leur comité des fêtes pour précaires, mais néanmoins amateurs de bonne chair et de mets fins.

Je signale que ces agitateurs politiques et pilleurs de magasins, bien connus de l'intelligentsia gauchiste et familièrement appelés "La Coorde", ont eu droit à plusieurs pages dans un article d'encensement élogieux, dans l'avant-dernier numéro de….. "Télerama".

tiens ….tiens…. étonnant non ?

Posté
Effectivement, c'est une barrière subtile. Et on dit "potentats locaux", pas "patentas" :icon_up: .

J'ai mis ça moi !

Faut vraiment que je dorme.

Posté
J'ai le sentiment que ce n'est pas prêt de s'arrêter…

Cela pourrait s'arrêter trés vite. Il suffirait que quelques dizaines de personnes se foutent à venir squatter les appartements et frigos des redistributeurs de manière non violente.

Invité rogermila
Posté
Terrifiant. On en vient à souhaiter que les vigiles leurs redistribuent quelques bons coups de matraque.

Est-ce que tu as lu " l'Empereur du Pole Nord " ou vu le film du même nom (avec Lee Marvin) qui traite de ce problème (et en particulier, de la chasse aux fraudeurs dans les transports ferroviaires) pendant la crise des années trente aux USA ?

Invité jabial
Posté

Le romantisme du bon voleur, on s'en fout. On est les méchants ici. Robin des bois, on rêve de le descendre à la mitrailleuse lourde :icon_up:

Posté
Le romantisme du bon voleur, on s'en fout. On est les méchants ici. Robin des bois, on rêve de le descendre à la mitrailleuse lourde :icon_up:

Robin des bois non : il vole à l'Etat pour rendre aux contribuables.

Posté
Robin des bois non : il vole à l'Etat pour rendre aux contribuables.

Plutôt Jesse James.

dar04-3.jpg

Citation: "Tu me donneras l'argent à moi qui suis pauvre et je te le rendrai à toi qui le sera devenu… Ainsi, tout le temps le riche donnera au pauvre, et ça ne sortira pas de la famille!"

Frank James

Posté

Je ne supporte pas les gauchistes qui assimilent ces voleurs à Robin des Bois, voir même le qualifie de communiste.

J'ai heureusement trouvé la lumière sur ce site :

C'était une belle après-midi ensoleillée. Suivant de près les principes bouddhistes d'observation du monde qui nous entoure, je vaquais paisiblement à la contemplation de mon gros orteil gauche, pour voir si il était plus gros que le droit (et ça peut durer des heures).

Je fus extrait de cette profonde méditation spirituelle par quelques propos qui m'indisposèrent fâcheusement.

Un passant, bien de sa personne, clamait à ses proches que (je cite) : Robin des bois était un communiste avant l'heure : Robin volait aux riches pour redistribuer aux pauvres.

God Verdom, mon sang ne fit qu'un tour. Il fallait faire taire l'impudent personnage.

J'alpaguai l'outrecuidant, le sermonnant comme il se doit : Hola l'ami, que ne révises-tu point tes classiques, plûtot que d'annoner des bêtises plus grosses que mon sexe. Dis-moi l'ami, qui sont les méchants riches dans le conte de Robin des Bois?

Hé bien, le prince Jean, le sherif de Nottingham, et "Sir Hiss" le serpent répondit l'abruti.

2005_08_16_robin1.JPG

Bien vu, répondis-je. Ces trois personnages ne sont-ils point les symboles de l'Etat? Le prince Jean gouverne, le serpent "sir Hiss" le conseille, et le sherif fait la police?

Heuuu, ma foi si! prononça le faquin.

Je renchéris : Et leur richesse ne vient-elle pas des taxes avec lesquelles ils accablent le petit peuple?

2005_08_16_robin2.JPG

Ben… oui répondit la chose.

Je portai alors le coup de grâce à la bête : Ainsi donc, Robin des Bois reprend à l'Etat ce que l'Etat a volé au petit peuple via les taxes, et Robin rend cet argent au petit peuple. Ainsi donc Robin des Bois n'est pas communiste, mais bien libertarien avant l'heure.(casséééééééééé).

Ainsi justice fut faite.

Harry Peal.

P.S. En réalité j'ai juste bien fermé ma gueule, je l'ai traité de gros con, mais suffisamment bas pour qu'il ne m'entende pas, et j'ai continué à contempler mes gros orteils.

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