Nick de Cusa Posté 24 janvier 2009 Signaler Posté 24 janvier 2009 Où peut-on lire du bien des patrons qui vont au delà de la normale pour faire du bon travail? Je tenais à mettre en avant Geoff Polites, malheureusement décédé le 20 avril 2008. Non seulement il a réussi à remettre Jaguar sur la voie du succès, et ça faisait une paire de décennies que ses prédécesseurs avaient essayé en vain, mais en plus, quand il appris qu'il avait un cancer dont il ne se tirerait pas, il a dit, bon, éh bien je finis le travail alors, et sans un battement de cil, il l'a fait. Geoff Polites: a great manSteve Cropley Those who knew Geoff Polites, the universally admired Jaguar-Land Rover chief executive who died over the weekend, knew perfectly well that he was ill. But we were mostly able to put it out of their minds because his demeanour, workload and optimistic outlook on life made him seem anything but a man with major health concerns. He was still working at “full steam”, as he would have put it, until a few weeks ago, but died in his native Australia a few days after the birth of a grandchild he had been hoping to see. Polites was the prototype of a straight-talking Aussie, an inspirational leader who served in his youth as a top-level Aussie Rules football umpire (“a top place to learn about the importance of fairness”). He had been both a car company boss and a big-note Sydney car dealer in previous lives. A friend of the former Ford boss, Jac Nasser, he took charge of the two UK companies in 2005 during their most problematic phase in recent history, when Jaguar’s huge losses were wiping out the profits that Land Rover’s new wave of products were just starting to earn. Despite his illness, Polities didn’t shirk from any part of the massive challenge of turning the company’s fortunes around. Land Rover is earning billion-dollar profits, Jaguar has reached break-even (with profit around the corner) and the rationalisation move from the old Brown’s Lane factory has completed. More importantly, the twin brands now have stable management and a credible forward model plan orchestrated by the company’s new Indian owners. Polites couldn’t make the signing ceremony for the sale of JLR to Tata. A huge shame, as orchestrating all of this was his supreme achievement. Polites hoped to offer Tata another three years’ service, but with typical realism he left nobody in any doubt this might not be possible. His death leaves the company’s new Indian masters with a difficult decision, so early in their ownership, simply because his balance of experience and skill will be very hard to replace. But the twin UK marques are now securely founded in a way they were not when he moved into his last big challenge. And their future success – which looks more likely than not – will be his memorial. http://www.autocar.co.uk/blogs/autocarconf…-great-man.aspx
Jesrad Posté 24 janvier 2009 Signaler Posté 24 janvier 2009 On a causé du patron de Porsche récemment. Il y aurait peut-être de la place aussi pour Richard Branson ? J'ajouterais Thierry Desmarest, pour des raisons perso.
Alxandr Posté 24 janvier 2009 Signaler Posté 24 janvier 2009 Et pourquoi pas Bill Gates ? Rien ne l'obligeait à offrir de telles sommes à des oeuvres caritatives ou humanitaires, d'autant qu'il les avait gagnées.
POE Posté 24 janvier 2009 Signaler Posté 24 janvier 2009 J'ajouterais Thierry Desmarest, pour des raisons perso. Tiens donc ? Et pourquoi pas Bill Gates ? Rien ne l'obligeait à offrir de telles sommes à des oeuvres caritatives ou humanitaires, d'autant qu'il les avait gagnées. En plus, il fortement limité l'héritage qu'il va laisser à ses enfants.
Vincemobile Posté 24 janvier 2009 Signaler Posté 24 janvier 2009 Warren Buffet. Il est parti de rien, il est devenu le plus riche au monde, il a presque tout donné à la fondation Bill Gates. Le tout en investissant de manière intelligente, long-termiste et sans spéculer. Chapeau l'artiste.
Alxandr Posté 24 janvier 2009 Signaler Posté 24 janvier 2009 En plus, il fortement limité l'héritage qu'il va laisser à ses enfants. Je pense que ses enfants ne seront pas les plus malheureux. Pas plus, d'ailleurs, que si l'héritage était astronomique…
Herbert West Posté 24 janvier 2009 Signaler Posté 24 janvier 2009 Michael O'Leary, le patron de Ryanair. Un libéral qui ne mâche pas ses mots, qui insulte publiquement et dans un style très fleuri ses nombreux ennemis, à savoir principalement le gouvernement irlandais, les écolos, les féministes, la presse ou la commission européenne ; ça change des grands patrons étatistes français.
Luciole Posté 25 janvier 2009 Signaler Posté 25 janvier 2009 Et pourquoi pas Bill Gates ? Rien ne l'obligeait à offrir de telles sommes à des oeuvres caritatives ou humanitaires, d'autant qu'il les avait gagnées. +1
Jiplasse Posté 25 janvier 2009 Signaler Posté 25 janvier 2009 Et pourquoi pas Bill Gates ? Rien ne l'obligeait à offrir de telles sommes à des oeuvres caritatives ou humanitaires, d'autant qu'il les avait gagnées.
Alxandr Posté 25 janvier 2009 Signaler Posté 25 janvier 2009 Michael O'Leary, le patron de Ryanair. Un libéral qui ne mâche pas ses mots, qui insulte publiquement et dans un style très fleuri ses nombreux ennemis, à savoir principalement le gouvernement irlandais, les écolos, les féministes, la presse ou la commission européenne ; ça change des grands patrons étatistes français. Pour les mêmes raisons, quoiqu'il possède encore plus d'ennemis qu'il insulte, je cite un patron héros supplémentaire : Rocou
Rincevent Posté 26 janvier 2009 Signaler Posté 26 janvier 2009 J'ajouterais Thierry Desmarest, pour des raisons perso. Si tu veux bien développer, je veux bien savoir pourquoi. Sinon, ça peut se faire par MP. Sinon, tu as aussi le droit de ne pas expliquer, si c'est très perso.
Saucer Posté 26 janvier 2009 Signaler Posté 26 janvier 2009 Si tu veux bien développer, je veux bien savoir pourquoi. Sinon, ça peut se faire par MP. Sinon, tu as aussi le droit de ne pas expliquer, si c'est très perso. Les esprits tordus pourraient en effet penser que trois petits points.
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