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Patrons agressés et sequestrés


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  • 9 months later...
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Des ouvriers métallurgistes séquestrent leurs patrons

Des salariés en colère retiennent depuis vendredi 16 septembre, au matin, cinq responsables de Constellium sur le site de Ham (dans l'est de la Somme), où le groupe de transformation d'aluminium veut supprimer 127 postes sur 200. Ils menaçent de les séquestrer durant tout le week-end.

Profitant d'une visite du président de cette activité pour le monde, Paul Warton, en compagnie du directeur pour la France, Hervé Pelcerf, les salariés de ce site de production de profilés en aluminium (cadres de fenêtres, barres et structures), ont bouclé le site vendredi matin vers 10 heures.

(badurl) http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/09/16/des-ouvriers-metallurgistes-sequestrent-leurs-patrons_1573606_3234.html (badurl)

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Heureusement les captifs sont parvenus à s'évader. :lol:

C'est quand même déplorable que les gendarmes soient obligés de ruser pour libérer des personnes séquestrer. On se demande bien qui a autorité sur qui.

Somme : «l'évasion» des cadres de Constellium séquestrés par les salariés

Les quatre dirigeants de l'entreprise Constellium retenus depuis vendredi matin par des salariés de l'entreprise à Ham, dans la Somme, sont parvenus à s'échapper cette nuit. Au grand dam des employés qui protestaient contre un plan social prévoyant la suppression de 127 postes sur les 200 que compte cette usine de transformation d'aluminium (cadres de fenêtres, barres et structures). Une cinquième personne, responsable des ressources humaines du site, initialement retenue, avait été relâchée auparavant par les salariés.

Interrogé ce matin par France-Info, Benoît Mérelle, délégué CFTC, n'en revient toujours pas. «Cette nuit, vers 2 heures du matin, nos cadres dirigeants se sont évadés avec l'aide de la gendarmerie par la voie ferrée. La gendarmerie nous a tendu un leurre en allant aux barrières nous demander ce qu'on allait faire… Pendant ce temps-là, leurs autres copains faisaient évader les cadres», déplore le syndicaliste. Les quatre cadres se sont engouffrés dans une ouverture taillée dans une grille du site par les gendarmes, a-t-il précisé à l'AFP.

«On n'est pas des voyous»

Les employés, désemparés, espèrent néanmoins le retour de leurs dirigeants pour discuter. «On n'est pas des voyous, on ne mettra pas notre site à sac, c'est notre outil industriel», souligne le délégué CFTC.

Vendredi, profitant d'une visite du président de cette activité pour le monde, Paul Warton, en compagnie du directeur pour la France, Hervé Pelcerf, les salariés du site ont décidé de les prendre en otage. Vers minuit, à l'issue d'une tentative de médiation infructueuse, les salariés avaient décidé de poursuivre leur action.

«Les salariés sont écoeurés par l'attitude de la direction», assure Benoît Mérelle. «Il n'y a pas de dialogue. On n'a obtenu aucune avancée concrète» alors que les syndicats demandent la pérennisation du site et soutiennent un projet de réindustrialisation qui a reçu l'intérêt d'un fonds d'investissement, mais a été repoussé par Constellium, regrette-t-il. Les salariés craignent en effet que le plan social ne soit qu'«une fermeture déguisée» avant de définitivement mettre la clé sous la porte, l'an prochain. La direction affirme au contraire que cette restructuration est nécessaire pour assurer sa survie, alors que le site a perdu 14 millions d'euros sur les trois dernières années.

http://www.leparisie…011-1612521.php

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"nos cadres dirigeants se sont évadés avec l'aide de la gendarmerie"

Oh. Si maintenant on ne peut plus compter sur la gendarmerie, où va-t-on !

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C'est quand même déplorable que les gendarmes soient obligés de ruser pour libérer des personnes séquestrer.

Il y a la méthode russe.

Tu gazes tout le monde et tu pénètres en tirant sur tout ce qui bouge.

Efficace pour mettre fin à la prise d'otage.

Mais cela a de petits inconvénients.

Invité jabial
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Je pense que face à ce type de "terroristes" du dimanche, des matraques suffiraient, hein.

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Il y a la méthode russe.

Tu gazes tout le monde et tu pénètres en tirant sur tout ce qui bouge.

Efficace pour mettre fin à la prise d'otage.

Mais cela a de petits inconvénients.

La méthode chinoise est pas mal aussi: ceux qui ont séquestré les cadres sont exécutés avec facture de la balle à la famille.

Invité jabial
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La méthode chinoise est pas mal aussi: ceux qui ont séquestré les cadres sont exécutés avec facture de la balle à la famille.

Sont passés directement du communisme au fascisme sans passer par le libéralisme.

Comme beaucoup d'ex-pays communistes d'ailleurs, mais pas tous.

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Je pense que face à ce type de "terroristes" du dimanche, des matraques suffiraient, hein.

Mouais.

La dernière fois que les CRS ont voulut déloger des "terroristes" du dimanche par la force.

Ils y sont allés à 1200 avec blindés et hélicoptère.

Bilan 2 morts parmis les forces de l'ordre (on parle de tir "ami") et un blessé grave.

Et depuis 36ans, cela fout la merde en Corse.

"Le 21 août 1975, quelques dizaines d'hommes, entraînés par Edmond Simeoni, occupent la ferme d'un viticulteur d’Aléria d'origine pied-noir suspecté d'être mêlé à un scandale financier. Le leader de l'Action régionaliste Corse (ARC) fait connaître les raisons de ce coup de force en ces termes :

«
Il s'agit de dévoiler le scandale des vins mettant en cause le propriétaire de la cave et plusieurs de ses amis négociants. Après avoir bénéficié de prêts exorbitants, les responsables des caves vinicoles ont mis sur pied une énorme escroquerie de plusieurs milliards d'anciens francs, au préjudice de petits viticulteurs.
»

Par la suite, 1 200 gendarmes et CRS furent acheminés afin de donner l'assaut avec l’appui de blindés et d'hélicoptères, et vider la cave de ses occupants.

Le vendredi 22 août voit la reddition des occupants de la ferme Depeille, après une fusillade qui fera deux morts parmi les forces de l'ordre et un blessé grave (Pierrot Susini a le pied arraché) parmi les manifestants. Les autonomistes quittent leur retranchement les armes à la main alors que de nouveaux renforts arrivent par hélicoptères. La foule tente alors de forcer les barrages, entonne l’hymne corse et finit par venir incendier les restes de la ferme et des bâtiments viticoles. Toute la nuit à Bastia ont lieu de violents affrontements.

L’ARC est dissoute le 27 août, ce qui donne lieu à de nouveaux affrontements armés à Bastia, qui se soldent par un mort et plusieurs blessés parmi les forces de l'ordre dépêchées du continent.

Le drame d’Aléria jette l’opprobre sur les finances et la politique locale, et portera même préjudice aux vins corses. « Ces trois minutes qui ébranlèrent la Corse » marquent le point de départ de la radicalisation du nationalisme corse."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Al%C3%A9ria

Perso la ruse ne me gêne pas.

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Heureusement les captifs sont parvenus à s'évader. :lol:

L'interview france-info du responsable syndical sur cette opération de sauvetage est savoureuse : "(…et leurs copains les ont fait évader par la voie ferrée). Mais là, on comprend pas nous, c'est une aberration, on voulait juste passer à la table des négociations…"

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L'interview france-info du responsable syndical sur cette opération de sauvetage est savoureuse : "(…et leurs copains les ont fait évader par la voie ferrée). Mais là, on comprend pas nous, c'est une aberration, on voulait juste passer à la table des négociations…"

Les flash actu sur FIP sont un peu du même tonneau, avec un truc dans le style : "Les salariés de l'usine sont consternés suite à l'évasion des cadres qu'ils avaient commencé à séquestrer…". C'est délicieux la façon dont ils se ridiculisent aux yeux oreilles de leurs auditeurs. :lol:

Il y a la méthode russe.

Il y a aussi la méthode normale. Celle qui laisse quelques contusions et hématomes à ceux qui bafouent en toute impunité la liberté de circulation des personnes, pour leur signaler que, finalement, ils prennent quand même des risques en faisant ça.

Je pense que face à ce type de "terroristes" du dimanche, des matraques suffiraient, hein.

Voilà.

Perso la ruse ne me gêne pas.

C'est juste un encouragement à recommencer.

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Mouais.

La dernière fois que les CRS ont voulut déloger des "terroristes" du dimanche par la force.

Ils y sont allés à 1200 avec blindés et hélicoptère.

Bilan 2 morts parmis les forces de l'ordre (on parle de tir "ami") et un blessé grave.

Perso la ruse ne me gêne pas.

Sans aller si loin,il y a la prise d'otage d'Ouvea : http://fr.wikipedia.org/wiki/Prise_d%27otages_d%27Ouv%C3%A9a qui n' a pas été une franche réussite non plus.

Mais ce n'est pas la négociation avec les ravisseurs qui est dommageable tant qu'ils tiennent le terrain. C'est la quasi absence de condamnation après les faits.

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Tu es sûr de ton chiffre là ? D'habitude il en faut bien moins que ça ! :icon_boire2:

3 escadrons de gendarmeries dépêchés et plusieurs sources indiquant sensiblement le même nombres de forces de l'ordre.

Il faut dire que l'état était tout sauf blanc dans cette affaire.

Si vous voulez parler de spoliation par l'état, il y aurait à dire sur le sort de la corse suite à la guerre d'algérie.

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Cela ne dispense pas de condamnations.

1 500 € d’amende avec sursis, telle est la peine dont ont écopé Olivier Besancenot et dix de ses collègues pour séquestration.

Ah oui. C'est vrai. :rolleyes:

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Ah oui. C'est vrai. :rolleyes:

Je me demande combien coûte une amende pour la contrebande d'un produit lourdement taxé par l'Etat, par exemple du tabac.

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Je me demande combien coûte une amende pour la contrebande d'un produit lourdement taxé par l'Etat, par exemple du tabac.

D'après le directeur régional des douanes ça peu aller jusqu'à 10 ans de prison pour trafic en bande organisée et une amende qui peut représenter une à trois fois la valeur de la marchandise saisie. Il suffit donc d'avoir un petit stock dans l'arrière boutique et le tour est joué.

Visiblement certains l'ont bien compris.

Serge Lavie, le buraliste qui se «voit mourir»

[…]

Plusieurs fois, le service des Douanes est intervenu et a dressé un procès-verbal d’infraction au contrevenant. Mais « les amendes il s’en fiche. Pour vous donner une idée, ce qu’il vend en 1 heure, moi je le vends en un mois. Depuis qu'il a ouvert, j'ai perdu 60 % de mon chiffre d’affaires. Aujourd'hui, je voudrais vendre mon bureau de tabac, mais c’est impossible. J’ai un peu l’impression de me battre contre du vent ». Serge Lavie comprend mal la lenteur administrative à l’heure de la rigueur budgétaire et de l’augmentation des prix annoncée. « Ça devient tellement sérieux qu’on n’arrive plus à payer nos factures ».http://www.rmc.fr/ed…se-voit-mourir/

Rôôh, bientôt 30% de cigarettes en provenance de réseaux souterrains. La France est en train de se grécisée. :popcorn:

http://www.bienpubli…i-nous-enfument

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Contrairement aux fils de discussion concernant les méfaits de racailles type NA, je ne vois aucun appel de quiconque ici de faire usage de la force la plus déterminée pour déloger ces racailles syndicalistes.

C'est vrai que voler un pull chez Célio ou brûler une bagnole, c'est plus grave que de priver 5 personnes de leur liberté, et ce en bande organisée, de manière préméditée, afin d'exercer un chantage sur les autorités, acculées à des stratagèmes ridicules pour essayer de se sortir de la situation.

Les racailles de cités devraient faire la même chose, entourer un commissariat de bouteilles de gaz vides en menaçant de tout faire sauter. Je n'ose imaginer, dans ce cas, la réponse impitoyable des autorités, et le sort qui serait réservés à ces noirs et ces arabes non encartés dans le gang des vraies racailles, les syndicalistes.

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Contrairement aux fils de discussion concernant les méfaits de racailles type NA, je ne vois aucun appel de quiconque ici de faire usage de la force la plus déterminée pour déloger ces racailles syndicalistes.

J'ai mis du temps à comprendre ce que signifiait "NA"…

C'est vrai que voler un pull chez Célio ou brûler une bagnole, c'est plus grave que de priver 5 personnes de leur liberté, et ce en bande organisée, de manière préméditée, afin d'exercer un chantage sur les autorités, acculées à des stratagèmes ridicules pour essayer de se sortir de la situation.

+1

Enfin, je considère que ce n'est pas ni plus, ni moins grave. C'est aussi grave.

… le sort qui serait réservés à ces noirs et ces arabes non encartés dans le gang des vraies racailles, les syndicalistes.

+1

On ne dira jamais assez les ravages des jusqu'aux boutistes syndicaux.

Les larcins ont toujours existé.

Mais ce terrorisme intellectuel et physique nous empêchant de travailler, d'employer, bref de choisir notre vie, est plus insidieux. Et fait bien plus de ravages dans l'économie et dans les conscience.

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Mais ce terrorisme intellectuel et physique nous empêchant de travailler, d'employer, bref de choisir notre vie, est plus insidieux. Et fait bien plus de ravages dans l'économie et dans les conscience.

Et on ne parle même pas des grèves et autres mouvements sociaux à la limite de la sédition, la notion de troisième tour social qui expose clairement que la rue s'en branle du résultat des élections et que ce sont les syndicalistes les patrons, quelque soit la majorité élue.

Ne voyant aucune avancée dans les négociations salariales, les employés de l'usine en liquidation New Fabris à Châtellerault (Vienne) ont répété lundi 13 juillet qu'ils étaient "capables" de faire sauter l'établissement s'ils n'obtenaient pas une prime de licenciement de 30 000 euros.

Une menace qui rappelle celle formulée en juillet 2000, quand la filature Cellatex de Givet (Ardennes) était mise en liquidation judiciaire. Face au refus de la direction de négocier leurs conditions de départ, les 153 salariés du site avaient déversé de l'acide sulfurique dans la Meuse et menacé de faire exploser une cuve contenant 56 000 litres de cet acide. Après l'intervention des pouvoirs publics, les salariés de Cellatex avaient obtenu gain de cause. Entretien avec Maurad Rabhi, qui était à l'époque secrétaire du comité d'entreprise et délégué syndical CGT. Il est aujourd'hui secrétaire général de la fédération textile habillement cuir de la CGT.

Le jour où des jeunes de banlieue feront cela, on peut être certain que c'est la troupe qu'on enverra pour abattre les apprentis terrosistes comme des chiens.

La prochaine fois que je rencontrerai des racailles de banlieue, je leur expliquerai où se trouve leur intérêt, il faut absolument qu'ils adhèrent à la CGT, ils pourront impunément, et à visage découvert, faire mille fois pire que ce qu'ils font déjà, sans pratiquement rien risquer au plan judiciaire.

Je suis sidéré que le cas de Cellatex, mentionné ci-dessus, n'ai pas conduit à des peines de prison très lourdes. On est en présence d'actes de terrorisme caractérisés, d'atteinte directe à la sûreté publique. Faire péter 56 000 litre d'acide sulfurique, c'est une autre limonade que de caillasser des bus ou de casser un abribus.

Au contraire, Maurad Rabhi y a fait ses classes, et a acquis du galon depuis. Ce genre de comportement est récompensé.

Comment se sont passées les négociations ?

On nous a proposé le strict minimum. Les discussions avec les pouvoirs publics nous ont fait comprendre que le rapport de force était clairement en notre défaveur. Il fallait inverser ce rapport de force. Nous avons séquestré pendant vingt-quatre heures le maire de Givet, le député, le conseiller général, le président de la communauté de communes et le liquidateur, qui étaient venus pour une réunion de travail. Ils étaient venus les sacoches vides, alors forcément, ça s'est mal passé. On a fini par les libérer.

Comment en êtes-vous venus à déverser de l'acide sulfurique dans la Meuse et à menacer de faire exploser une cuve qui en contenait 56 000 litres ?

Nous avons compris que seuls les pouvoirs publics pouvaient nous venir en aide. Il fallait marquer les esprits. Nous avons déversé de l'acide sulfurique dans la Meuse, en le neutralisant immédiatement avec de la soude, avec l'aide d'un chimiste de l'entreprise. Nous avons ensuite menacé de faire exploser le reste de la cuve, ce qui aurait eu des conséquences bien plus graves. Ensuite, le battage médiatique a fait son effet et Martine Aubry [ministre du travail à l'époque des faits] a tapé du poing sur la table. On a fait un montage un peu compliqué, mais Rhône-Poulenc a pris ses responsabilités et a accepté de payer des primes de licenciement décentes.

Si les négociations n'avaient pas abouti, auriez-vous vraiment mis vos menaces à exécution ?

Je suis trop respectueux des hommes et de l'environnement pour prendre de tels risques. Mais il est clair que certains salariés l'auraient fait sans hésiter. Il y a même un gars qui m'avait demandé de l'argent pour acheter une mèche et un détonateur !

Tranquille, le mec : il séquestre des élus de la république, ça passe. Et il obtient ce qu'il veut en mettant un coup de pression supplémentaire en menaçant d'une attaque terroriste. Normal.

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Cette paranoïa identitaire teintée de procès d'intention est ridicule. Lisez les 20 premières pages de ce fil, où l'on n'a cessé (depuis le premier message) de pointer l'absence de réaction musclée des autorités comme principale source de l'escalade violente, en montrant la proximité méthodologique des syndicats avec les bandes armées de la voyoucratie. Il y a même une partie de la discussion consacrée aux moyens d'autodéfense proportionnés contre lesdites bandes armées syndicales.

Mais il est vrai qu'à ce moment tu prenais encore quelques vacances du forum. :mrgreen:

Quant au désir d'attaque d'un commissariat par encerclement, c'est déjà fait: http://tempsreel.nou…x-reprises.html

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C'est nouveau ça. Il y aurait donc régulièrement des syndicalistes incarcérés pour leurs méfaits, et condamnés par la justice. J'avoue que cela m'a échappé. Je n'ai aucun exemple en tête.

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C'est nouveau ça. Il y aurait donc régulièrement des syndicalistes incarcérés pour leurs méfaits, et condamnés par la justice. J'avoue que cela m'a échappé. Je n'ai aucun exemple en tête.

Certains ont été condamnés, à des peines certes trop légères. Et l'on a clairement exprimé que le laxisme de la justice à l'égard de ces exactions était un scandale, exactement comme on le fait dans le cas des racailles de zones sensibles bénéficiant de la culture de l'excuse.

Donc ceci correspond à un procès d'intention sans aucun fondement autre que des slogans victimaires et pleurnichards:

Contrairement aux fils de discussion concernant les méfaits de racailles type NA, je ne vois aucun appel de quiconque ici de faire usage de la force la plus déterminée pour déloger ces racailles syndicalistes.
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Certains ont été condamnés, à des peines certes trop légères. Et l'on a clairement exprimé que le laxisme de la justice à l'égard de ces exactions était un scandale, exactement comme on le fait dans le cas des racailles de zones sensibles bénéficiant de la culture de l'excuse.

Comme qui par exemple? Et condamnés à quoi?

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Comme qui par exemple? Et condamnés à quoi?

Besancenot dernièrement.à 1500€ avec sursis.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/09/05/besancenot-poursuivi-pour-sequestration-a-nanterre-decision-rendue-lundi_1567659_3224.html

Sinon Bové, 4 mois ferme:

http://www.france.attac.org/archives/spip.php?article5642

Sinon pour répondre à Teabag, la police n'est pas là pour combler le laxisme des juges.

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Donc ceci correspond à un procès d'intention sans aucun fondement autre que des slogans victimaires et pleurnichards:

Pleurnichard? Ben voyons. :facepalm:

J'attends tes exemples de syndicalistes condamnés pour leurs forfaits. Pour le moment, je t'ai présenté un cas précis (des syndicalistes qui s'en prennent violemment à la police, où ceux-ci ne sont pas condamnés, et tu as présenté un cas où des jeunes de banlieue ont eux été condamnés. Je sais pas pourquoi, mais je trouve que cela renforce mon propos.

Tiens un autre exemple : des syndicalistes ont mis la main sur un arsenal de niveau militaire, plusieurs milliers d'armes de guerres, issus de la faillite de Manufrance. Condamnations, zéro. Trouve-moi un cas où plusieurs armes de guerres ont été retrouvés chez n'importe qui d'autre (des jeunes de banlieue par exemple) sans qu'il y ait eu la moindre condamnation, ou au minimum un passage devant le juge.

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