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Les facs en grève régulière désertées par leurs étudiants


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Bon, ça y'est c'est lancé, je pensais qu'on allait l'éviter pour une fois mais bon…

Blocage de l’université de Nanterre demain à 7h30

lundi 18 octobre 2010

A.G de la fac de Nanterre aujourd’hui : la grève et le blocage ont été voté, rendez vous est pris demain à 7h30 en bas de la passerelle de la station de rer A "Nanterre Université" pour bloquer, toutes les bonnes volontés sont bienvenues. Il y aura sans doute beaucoup de lycéens de Nanterre qui affrontent depuis une semaine une dure répression dans leur manifestations : tabassages, gazages, arrestations, comparutions immédiates, hospitalisations … mais rien ne les décourage et ils seront avec nous demain. Les professeurs et administratifs seront également de la partie.

Paris.indymedia.org

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"qui affrontent depuis une semaine une dure répression dans leur manifestations : tabassages, gazages, arrestations, comparutions immédiates, hospitalisations … "

les lycéens ?!? leur plus grand danger, ce sont eux-même, à force de faire n'importe quoi.

des fois, quand je lis les tracts de la propagande gauchiste, je me demande si en fait ce sont pas des faux écrits par des types qui se foutent de leur gueule.

de toute façon, le jour où ils auront vraiment affaire à la répression qu'ils dénoncent (et qu'ils méritent, le savent-ils ?), ils seront trop occupés à sauver leur peau de branleur pour écrire et diffuser des tracts débiles.

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Voila, maintenant reste a savoir si elle portera plainte si le périmètre de l'université (fermée pour le coup) est franchi par des 'manifestants'.

Je mets manifestants entre parenthèse, parce que les manifs CGT/FO et les grèves des transports (mais pas les blocages et piquets) sont tout a fait légitimes, par contre, les manifestations spontanées sont totalement illégales et quand elles sont accompagnées de dégradations et de violences, s'apparentent bien plus a l'émeute qu'a la manifestation.

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Cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s,

La présidence a entendu lors du dernier conseil d'administration une délégation d'étudiants et a indiqué qu'elle demanderait aux enseignants de ne pas comptabiliser les absences de ce jour entre 12h et 14h, à l'heure des assemblées générales et mardi de 10h à 13h à l'heure de la manifestation. Cette disposition, de nature à garantir le débat et la libre expression au sein de notre université, avait pour corollaire le respect des biens et des personnes, et par voie de conséquence le respect dû aux personnes d'aller et venir sans entraves sur nos campus.

Une assemblée générale de 300 étudiants réunie aujourd'hui Amphithéâtre C sur le campus Porte des Alpes a voté, sans décompte précis des voix, le blocage du campus mardi matin, empêchant les 6000 à 7000 étudiants qui le fréquentent chaque jour d'accéder à leurs activités. L'autre assemblée générale de 300 étudiants réunie Amphithéâtre Jean-Baptiste Say sur le campus Berges du Rhône, a voté en faveur de la mise en place de barrages filtrants et a prévu un rassemblement d'étudiants et de lycéens demain, à l'issue de la manifestation, sur le Campus Berges du Rhône.

L'équipe présidentielle, comme elle l'a toujours fait, considère que les actions de blocage des campus sont inacceptables et de nature à créer des situations de tension très fortes au sein de la communauté universitaire. En outre, les actions de blocage ont généré des dégradations des biens de l'université et porté atteinte aux personnes. Dans le contexte des événements violents qui se sont produits aujourd'hui dans l'agglomération lyonnaise - 10 voitures incendiées à la Croix-Rousse, destructions massives de vitrines et de mobilier urbain - et celui de l'irruption de groupes de lycéens et d'individus cagoulés sur le Campus Berges du Rhône vendredi après-midi, engendrant des dégradations dans nos locaux, la présidence considère que la sécurité des personnes et des biens n'est plus garantie.

En conséquence, l'équipe présidentielle décide la fermeture administrative de l'Université Lumière Lyon 2 à compter de ce soir 21 heures, jusqu'à nouvel ordre.

8,5 % de gauchistes et de gogos. On dirait presque le taux de syndicalisation dans la population active. Apparemment, ça suffit pour faire fermer une fac, ça suffit pour faire fermer un pays.

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Je mets manifestants entre parenthèse, parce que les manifs CGT/FO et les grèves des transports (mais pas les blocages et piquets) sont tout a fait légitimes

il ne faut pas confondre légitimité et légalité. D'abord, du point de vue de la stricte légalité les grèves organisées par les syndicats en France sont limite-limite, et les pratiques illégales telles que piquets, blocages et intimidations, plus que courantes. D'autre part, des grèves dans les transports, remettant donc en question la liberté de circulation, ne sauraient être légitimes, même si malheureusement légales, et dans le cas qui nous concerne, elles sont doublement illégitimes car elles visent à remettre en question, par la force et le chantage, les débats et le vote d'un parlement (certes composé d'ignares malhonnêtes) élu démocratiquement dans des conditions dépourvues de fraude. La pratique syndicaliste en France relève du coup d'Etat.

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D'autre part, des grèves dans les transports, remettant donc en question la liberté de circulation, ne sauraient être légitimes

Jamais je ne soutiendrait l'esclavage, fut il de fonctionnaires, si ils ne veulent pas travailler, qu'ils ne travaillent pas, dans les faits, la ou les piquets de grève et ou l'intimidation sont combattus efficacement, on observe une diminution du service qui corresponds au taux de grévistes, ce qui n'est franchement pas impressionnant :icon_up:

Dans l’hypothèse fantaisiste d’une grève générale de plus de 50% des employés de la SNCF/RATP, il est clair que le monopole légal sautera dans les deux semaines sans avoir besoin de forcer qui que ce soit a travailler.

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Jamais je ne soutiendrait l'esclavage, fut il de fonctionnaires, si ils ne veulent pas travailler, qu'ils ne travaillent pas, dans les faits, la ou les piquets de grève et ou l'intimidation sont combattus efficacement, on observe une diminution du service qui corresponds au taux de grévistes, ce qui n'est franchement pas impressionnant :icon_up:

Et ainsi porter préjudice à l'activité de leur employeur et ne pas réaliser les taches pour lesquels on les paie, mais qu'est-ce qui pourrait autoriser une telle barbarie au mépris du Droit? ah oui!! la fameuse loi qui autorise le droit de grève sous condition, mais des conditions purement symboliques hein. En attendant, ce sont bien les français qui sont esclaves des grévistes -fonctionnaires ou pas-.

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Et ainsi porter préjudice à l'activité de leur employeur et ne pas réaliser les taches pour lesquels on les paie, mais qu'est-ce qui pourrait autoriser une telle barbarie au mépris du Droit? ah oui!! la fameuse loi qui autorise le droit de grève sous condition, mais des conditions purement symboliques hein. En attendant, ce sont bien les français qui sont esclaves des grévistes -fonctionnaires ou pas-.

Si le choix est entre garantir que l'activité de leur employeur soit maintenue et garantir que personne n'est obligé par la force de travailler, mon choix est vite fait.

Ensuite, le droit de grève tel qu'il est devenu, avec l'impossibilité de virer les grévistes, l'impossibilité de faire appel a l'intérim, sans parler des activité illégales des grévistes au delà de la grève, j'y suis totalement opposé, mais ce n'est pas parce que la grève telle qu'elle existe est illégitime que l'esclavage deviens légitime, or, obliger les gens a travailler quand ils ne le souhaitent pas, c'est de l'esclavage.

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Si le choix est entre garantir que l'activité de leur employeur soit maintenue et garantir que personne n'est obligé par la force de travailler, mon choix est vite fait.

Ensuite, le droit de grève tel qu'il est devenu, avec l'impossibilité de virer les grévistes, l'impossibilité de faire appel a l'intérim, sans parler des activité illégales des grévistes au delà de la grève, j'y suis totalement opposé, mais ce n'est pas parce que la grève telle qu'elle existe est illégitime que l'esclavage deviens légitime, or, obliger les gens a travailler quand ils ne le souhaitent pas, c'est de l'esclavage.

Ces personnes se sont engagées librement à travailler pour leur employeur en échange d'un pécule, personne ne les a obligé.

D'autre part: où vois-tu qu'il existe de l'esclavage? Ces personnes ne font pas grève pour leurs conditions de travail, elles font grève pour des motifs totalement différents qui n'ont rien à voir avec leur entreprise et du même coup contreviennent à leurs engagements vis-à-vis de leur employeur, ce qui est beaucoup plus grave mais est couvert par la loi. Et même si tu es insatisfait avec tes conditions de travail, tu peux négocier pour les améliorer ou tu peux chercher meilleur ailleurs, personne ne te retient, bref ce n'est pas de l'esclavage.

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Où vois-tu qu'il existe de l'esclavage? tu as une drôle de conception des relations du travail. Ces personnes ne font pas grève pour leurs conditions de travail, ils font grève pour des motifs totalement différents qui n'ont rien à voir et du même coup contreviennent à leurs engagements vis-à-vis de leur employeur. Et même si tu es insatisfait avec tes conditions de travail, tu peux négocier ou tu peux chercher meilleur ailleurs, personne ne te retient, bref ce n'est pas de l'esclavage.

On doit avoir un problème de communication, dans les faits, on rend la grève illégale, les employés d’une entreprise, pour une raison qui les regarde, refusent collectivement de travailler, tout simplement en ne venant pas au travail, tu fais quoi pour les en empêcher ?

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On doit avoir un problème de communication, dans les faits, on rend la grève illégale, les employés d’une entreprise, pour une raison qui les regarde, refusent collectivement de travailler, tout simplement en ne venant pas au travail, tu fais quoi pour les en empêcher ?

Bien sûr qu'on ne peut pas les obliger par la force, mais il y aurait rupture du contrat, avec les sanctions prévues à cet effet: réduction de salaire ou licenciement.

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neuneu2k ne dit pas le contraire. Quelqu'un qui ne veut pas travailler, on ne doit/peut pas l'en empêcher. Par contre, son patron devrait avoir le droit de le virer et de le remplacer par quelqu'un qui veut bosser.

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neuneu2k ne dit pas le contraire. Quelqu'un qui ne veut pas travailler, on ne doit/peut pas l'en empêcher. Par contre, son patron devrait avoir le droit de le virer et de le remplacer par quelqu'un qui veut bosser.

:icon_up:

Alors on est d'accord.

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Je suis allé voir par acquis de conscience : campus désert (à part une poignée d'étudiants paumés qui errent), toutes les entrées fermées à clé avec le message affiché.

Pas de trace des insurgés, visiblement ils étaient occupés à manifester ailleurs.

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http://www.lefigaro.fr/actualite-france/20…multiplient.php

La mobilisation contre la réforme des retraites ne faiblit pas, dans les lycées. Mardi matin, le ministère de l'Éducation nationale annonce que 379 établissements sont perturbés, contre 261 lundi et 306 vendredi dernier. C'est même la plus forte mobilisation enregistrée depuis le début du mouvement, puisque mardi dernier, également journée de grève nationale, 350 lycées étaient bloqués.

L'Union nationale lycéenne (UNL), première organisation, n'a pas encore diffusé d'estimation, mais la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl), deuxième organisation, évoquait 1200 lycées «engagés», dont 850 connaissant «blocage ou barrage». Lundi, l'UNL avait évalué à 900 le nombre de lycées bloqués, donc la tendance est également à la hausse.

Côté étudiants, entre six et dix des 83 universités du pays étaient bloquées, et certaines étaient fermées administrativement, ont annoncé le ministère de l'Enseignement supérieur et l'Unef, première organisation étudiante. A l'Université de Strasbourg (UdS), la plus grande de France en nombre d'étudiants (plus de 42.000), une partie des locaux a été occupée dans la nuit de lundi à mardi. La mobilisation étudiante est donc montée d'un cran: jusqu'à présent, il n'y avait pas eu autant de blocages d'universités

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Dans l’hypothèse fantaisiste d’une grève générale de plus de 50% des employés de la SNCF/RATP, il est clair que le monopole légal sautera dans les deux semaines sans avoir besoin de forcer qui que ce soit a travailler.

j'en doute fort. On est en France. Les syndicats sont les maîtres et les gouvernants leurs complices. Rien que là, on a les raffineries bloquées à cause d'une réforme mineure d'un système de retraites condamné. Dans un autre pays, ce serait à cause du coup d'Etat d'une junte, chez nous c'est par caprice égoïste. Et puis, ce n'est pas comme si on était en crise depuis les années 70, on a des milliards à jeter par les fenêtres, d'ailleurs l'Etat donne l'exemple.

Posté
La mobilisation contre la réforme des retraites ne faiblit pas, dans les lycées. Mardi matin, le ministère de l'Éducation nationale annonce que 379 établissements sont perturbés, contre 261 lundi et 306 vendredi dernier. C'est même la plus forte mobilisation enregistrée depuis le début du mouvement, puisque mardi dernier, également journée de grève nationale, 350 lycées étaient bloqués.

L'Union nationale lycéenne (UNL), première organisation, n'a pas encore diffusé d'estimation, mais la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl), deuxième organisation, évoquait 1200 lycées «engagés», dont 850 connaissant «blocage ou barrage». Lundi, l'UNL avait évalué à 900 le nombre de lycées bloqués, donc la tendance est également à la hausse.

marrant, avec les syndicalistes, c'est toujours au moins du X3. Au fait, de quel droit on laisse des lycéens, donc principalement des mineurs, se syndiquer ?!? Déjà que c'est grotesque chez les étudiants. On se syndique au sein d'une entreprise, lorsqu'il y a un contrat de travail et tout et tout, ou à la rigueur un cadre règlementaire comme pour les agents de police ou les magistrats, mais dans un lycée ou une fac', ça rime à quoi ?

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Se syndiquer c'est liberhalal non ? Droit de s'organiser librement… si les "syndicats" étudiants ne servaient qu'à proposer des services, guides les étudiants et les aider dans des démarches administratives, en quoi ça serait mal ?

Le problème, c'est que les syndicats sont majoritairement dirigés par des gauchistes qui ne sont là que pour faire de la démagogie et bloquer le pays… <–<

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http://etu.univ-lyon2.fr/etudes/maintien-d….kjsp?RH=ETU_FR

Cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s,

Compte tenu des événements graves qui se sont déroulés à Lyon aujourd'hui du fait de groupes de casseurs et non de personnes participant à la manifestation organisée ce mardi, la présidence considère que les conditions ne sont pas réunies pour permettre la réouverture de l'université Lumière Lyon 2 dans des conditions normales de sécurité.

Rappelons qu'à de multiples reprises, nos locaux ont été utilisés par ces groupes comme refuge après avoir mené des actions violentes sur la voie publique.

En conséquence, la présidence décide de maintenir sa décision de fermeture de l'Université et d'arrêt des cours jusqu'à nouvel ordre.

Le forum des associations prévu demain, mercredi 20 octobre, et après demain, jeudi 21 octobre, est reporté à une date ultérieure.

L'équipe présidentielle.

Invité rogermila
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Combien d'étudiants à l'Université de La Rochelle ?

Quid du quorum nécessaire lors d'un vote democratique ?

Le blocage de l'université de La Rochelle a été voté aujourd'hui pour la journée de demain lors d'une assemblée générale qui a réuni environ 300 étudiants :icon_up: opposés à la réforme des retraites, a-t-on appris de source étudiante.

Le blocage sera effectif demain à partir de 07H00, a précisé Julien Baron, porte-parole du mouvement.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/10/…ersite-vote.php

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Se syndiquer c'est liberhalal non ? Droit de s'organiser librement… si les "syndicats" étudiants ne servaient qu'à proposer des services, guides les étudiants et les aider dans des démarches administratives, en quoi ça serait mal ?

Le problème, c'est que les syndicats sont majoritairement dirigés par des gauchistes qui ne sont là que pour faire de la démagogie et bloquer le pays… <–<

d'abord, niveau services, les syndicats étudiants c'est néant. Je ne parle même pas des "syndicats" de lycéens, par décence. Tu as remarqué toi-même pourquoi. Si on avait des syndicalistes responsables et véritablement soucieux du sort de leurs collègues, je dirais pourquoi pas, mais en l'occurrence, en France, parler de syndicats d'étudiants ou de syndicats de lycéens, c'est juste un euphémisme pour désigner les jeunesses communistes. Ou l'Inquisition Espagnole (nobody expects the spanish inquisition !!!). Donc, à défaut d'un véritable syndicalisme, on s'en passera allègrement.

Adam Smith lui-même disait à ce sujet: "ceux qui partagent le même métier se réunissent rarement, même pour se divertir, mais leur conversation se fait inévitablement au détriment du public."

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Se syndiquer c'est liberhalal non ? Droit de s'organiser librement… si les "syndicats" étudiants ne servaient qu'à proposer des services, guides les étudiants et les aider dans des démarches administratives, en quoi ça serait mal ?

Se syndiquer est liberhalal pour des individus responsables oui, ensuite, il faut bien voir qu'un syndicat d'étudiants ou de lycéens majeurs ou émancipés peut exister, mais il est dans ce cas bien mal nommé, il s'agit d'une association de consommateurs, pas d'un syndicat.

Et dans le contexte français, là ou un syndicat de travailleur a des moyens d'action légitimes et illégitimes, un syndicat lycéen et/ou étudiant n'a que des moyens d'action illégitimes: blocages et dégradations.

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Combien d'étudiants à l'Université de La Rochelle ?

Quid du quorum nécessaire lors d'un vote democratique ?

Ce chiffre de 300 revient souvent, ça doit être la contenance standard d'un amphi (me suis jamais posé la question de savoir combien pouvait contenir un amphi, passons). On devrait faire un film sur le sujet. Il s'appellerait naturellement "300", mais je crains que les amateurs de corps bodybuildés et de nobles héros grecs luttant contre l'obscurantisme ne soient amèrement déçus.

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Le blocage a commencé un peu après 7h a l'université de Lille 3. Des dizaines d'étudiants se voient refuser l'accès aux amphis, barrés par des barricades de chaises et de tables.

Si le blocage se déroule globalement dans le calme, les débats sont vifs autour de l'opportunité d'une telle action. "Avant de se battre pour la retraite, il faudrait déjà avoir un boulot", opposent les anti-bloquage aux manifestants. Parfois les choses s'enveniment: plusieurs étudiants et enseignants sont passés par la force ai travers des barrages.

Une nouvelle assemblée générale doit se tenir a 10h.

Lille 2 et Lille 1 doivent également se déterminer ce midi, avant un défilé cet après-midi dans les rues de Lille.

À Lille III, une assemblée générale a voté le principe d'un blocage (285 voix « pour », 254 « contre » et 56 abstentions selon l'UNEF).

(badurl) http://www.nordeclair.fr/Actualite/Depeches/2010/10/21/nef-1296175.shtml (badurl)

:icon_up:

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Si je devais parler de guerre civile, je ne parlerais pas des quelques casseurs voleurs de console de jeu, mais bien de ce type de rapports violents entre "personnes civilisées", dans des lieux censés être dédiés à l'étude et la formation.

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Lyon 2 fait le paris que ça va se tasser pendant les vacances et a annoncé sa réouverture le 2 novembre. Peut être pas un si bon calcul que ça si d'autres facs se retrouvent bloquées…

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