Fedaykin Posté 17 juillet 2009 Signaler Posté 17 juillet 2009 Bonjour, L'un d'entre vous à lu ce livre de Michel Guenaire?
Copeau Posté 17 juillet 2009 Signaler Posté 17 juillet 2009 Non, mais ses thèses sont rapidement exposées ici : http://www.contrepoints.org/Quel-avenir-po…iberalisme.html
Fedaykin Posté 17 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 17 juillet 2009 Merci je vais regarder ça, et éventuellemnt lire son bouquin
David Boring Posté 17 juillet 2009 Signaler Posté 17 juillet 2009 L’expérience libérale des vingt dernières années débouche sur une crise d’une très grande ampleur. Nous vivons dans un monde désorganisé, privé de toute régulation politique. Ça a l'air super !
Brock Posté 17 juillet 2009 Signaler Posté 17 juillet 2009 privé de toute régulation politique drole plusieurs fois.
Fedaykin Posté 17 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 17 juillet 2009 En effet ce bout m'a échappé… Ca a l'air beaucoup moins bien du coup
G7H+ Posté 10 août 2009 Signaler Posté 10 août 2009 il estime que le libéralisme a été trahi. Il en raconte la genèse, d’abord en Angleterre, puis en France et aux Etats-Unis Hop, poubelle !
Ash Posté 10 août 2009 Signaler Posté 10 août 2009 G. S. Je suis réticent à l’idée de la politique industrielle. Nous risquons de replonger dans des mésaventures comme le plan Calcul ou Bull. Et il est devenu très difficile d’agir à l’échelon national. Dans quel secteur l’Etat pourrait-il aujourd’hui mener efficacement une politique industrielle ?M. G. L’énergie. En proposant des perspectives de régulation du marché de l’électricité. Ou dans le gaz, en soutenant les projets qui sont susceptibles d’accroître l’indépendance nationale, comme la construction de méthaniers et d’infrastructures adaptées, pour s’émanciper de la dépendance à l’égard des gazoducs. L'indépendance pour mieux réguler et augmenter les prix. Je préfère encore dépendre de Poutine. M. G. Cette crise est très originale. C’est la première à effet de contamination universelle, sans précédent. Maintenant, les économies ouvertes sont beaucoup plus vulnérables. Les seuls pays où les banques ont résisté à l’automne dernier étaient d’ailleurs ceux qui avaient un contrôle des changes, comme le Maroc. Le système ne peut pas continuer à fonctionner ainsi. Le prix de l’éclatement des bulles est trop élevé et les Etats n’adoptent aucune mesure pour corriger le système. Comment ??? Le libéralisme repose sur deux principes : la régulation des marchés et l’éducation des hommes. Je vois une sortie de la crise par ces deux principes. Hé bé… à se demander qu'elle est sa définition du socialisme.
Rincevent Posté 10 août 2009 Signaler Posté 10 août 2009 Comment ??? Oui, ce thème est à la mode chez les réformateurs de gauche, notamment les économistes. Hé bé… à se demander qu'elle est sa définition du socialisme. Oh, ça vaut bien la définition qu'en donne Tenzer, hein. "Le libéralisme bien entendu, fondé sur la transparence, la compétition loyale et le compte-rendu régulier", ça fait rêver. Ou encore, "La concurrence organisée […] repose sur un accès de tous, sans discrimination (sinon, lorsque cela paraît justifié, positive), aux ressources".
Hobbart Posté 11 août 2009 Signaler Posté 11 août 2009 Ce n'est pas un type comme ça qui va améliorer l'image du libéralisme. Les commentaires sous l'article de "Contrepoints" sont assez révélateurs.
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