Barem Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Bonjour à tous, Tout d'abord je vous remercie de lier mon sujet avec un autre s'il y a lieu de faire une telle manipulation. (bien que je n'ai pas réussi à trouver des discussions pouvant répondre à ma question). Ma question est la suivante : bien que je reconnaisse que vous n'avez pas réellement ce rôle à jouer, pouvez vous me donner des noms de manuels, etc pouvant m'aider à exercer ma prise de note ? (j'ai quelques difficultés quand je lis à relever l'essentiel, à synthétiser, …) Pour ma part, j'ai déjà trouvé des manuels méthodologiques à ce sujet, (en bibliothèque) mais ils sont véritablement assommant à lire (comme le disais Revel : "le manuel tue l'envie de lire". ) De ce fait, je vous pose une autre question s'alliant à la première : Avez vous déjà appris dans votre vie des méthodes simples et efficaces permettant la prise de note ? Merci pour vos réponses. Cordialement.
Barem Posté 30 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2009 Je ne pense pas que chercher des synthèses d'œuvres sur Internet soit la meilleur solution Nirvana. (en tout cas, si c'est ce que vous insinuez)
Skeggjöld Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Les manuels ne sont pas convenables car ils ne sont pas adaptés à votre personnalité. Vous conformer à un carcan pré-établi par de prétendus spécialistes n'améliorera en rien votre capacité à prendre des notes et vous trouverez cela encore plus pénible. La prise de notes efficace est assez difficile à réaliser, et cela peut prendre un an pour que vous trouviez votre façon de faire. Personnellement, je note tout sans la moindre abréviation et avec l'écriture la plus lisible et élégante possible, parce que prendre des notes ne vous sert à rien si vous n'avez pas envie de les retravailler et de les apprendre. Et comme j'ai horreur des prises de notes tellement foisonnantes d'abréviations qu'elles en deviennent illisibles, je n'en utilise pas. Cette méthode a l'avantage de ne pas vous habituer à une écriture abrégée ; de nombreux étudiants utilisent des abréviations jusque dans leurs copies parce qu'ils ont ce réflexe inconscient, et cela est très pénalisant, quelle que soit la matière que vous étudiez. Je vous conseille de réfléchir à plusieurs méthodes possibles pour voir celle qui vous conviendrait le plus et d'alterner pour une période donnée. A la fin, vous étudierez les points forts et les points faibles de vos combinaisons pour établir la combinaison de prise de notes qui vous est optimale. Par exemple, la première semaine vous essayez avec un ordinateur ou un netbook (si vous en avez les moyens), la semaine d'après vous tentez la prise de notes synthétique avec abréviations, celle d'après, vous tentez de rédiger le plus possible sans la moindre abréviation, etc. Il faut aussi que vous preniez conscience que la prise de notes a plusieurs objectifs ; celui de noter l'essentiel du cours, celui de vous permettre de le travailler ou de l'apprendre ensuite, et celui de vous apprendre à écrire vite et bien, car si vous avez des examens à passer, vous verrez que ce sont souvent des épreuves de vitesse, et que le seul moyen de vous former est de prendre en note le plus rapidement possible les propos des enseignants.
Nirvana Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Personnellement, je note tout sans la moindre abréviation et avec l'écriture la plus lisible et élégante possible, parce que prendre des notes ne vous sert à rien si vous n'avez pas envie de les retravailler et de les apprendre. Et comme j'ai horreur des prises de notes tellement foisonnantes d'abréviations qu'elles en deviennent illisibles, je n'en utilise pas. Cette méthode a l'avantage de ne pas vous habituer à une écriture abrégée ; de nombreux étudiants utilisent des abréviations jusque dans leurs copies parce qu'ils ont ce réflexe inconscient, et cela est très pénalisant, quelle que soit la matière que vous étudiez. Et moi qui pensais être le seul…
Barem Posté 30 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2009 Les manuels ne sont pas convenables car ils ne sont pas adaptés à votre personnalité. Vous conformer à un carcan pré-établi par de prétendus spécialistes n'améliorera en rien votre capacité à prendre des notes et vous trouverez cela encore plus pénible. La prise de notes efficace est assez difficile à réaliser, et cela peut prendre un an pour que vous trouviez votre façon de faire. Personnellement, je note tout sans la moindre abréviation et avec l'écriture la plus lisible et élégante possible, parce que prendre des notes ne vous sert à rien si vous n'avez pas envie de les retravailler et de les apprendre. Et comme j'ai horreur des prises de notes tellement foisonnantes d'abréviations qu'elles en deviennent illisibles, je n'en utilise pas. Cette méthode a l'avantage de ne pas vous habituer à une écriture abrégée ; de nombreux étudiants utilisent des abréviations jusque dans leurs copies parce qu'ils ont ce réflexe inconscient, et cela est très pénalisant, quelle que soit la matière que vous étudiez.Je vous conseille de réfléchir à plusieurs méthodes possibles pour voir celle qui vous conviendrait le plus et d'alterner pour une période donnée. A la fin, vous étudierez les points forts et les points faibles de vos combinaisons pour établir la combinaison de prise de notes qui vous est optimale. Par exemple, la première semaine vous essayez avec un ordinateur ou un netbook (si vous en avez les moyens), la semaine d'après vous tentez la prise de notes synthétique avec abréviations, celle d'après, vous tentez de rédiger le plus possible sans la moindre abréviation, etc. Il faut aussi que vous preniez conscience que la prise de notes a plusieurs objectifs ; celui de noter l'essentiel du cours, celui de vous permettre de le travailler ou de l'apprendre ensuite, et celui de vous apprendre à écrire vite et bien, car si vous avez des examens à passer, vous verrez que ce sont souvent des épreuves de vitesse, et que le seul moyen de vous former est de prendre en note le plus rapidement possible les propos des enseignants. J'apprécie votre réponse, par contre ce n'est pas pour mes études que je vous pose cette question mais pour mes lectures personnelles. Je m'apprête à lire Du pouvoir de Jouvenel et il me faut absolument savoir prendre des notes pour capter l'essentiel de ses propos. En tout cas, je suis tout à fait d'accord avec vous au sujet des carcans pré-établis des spécialistes et sur de l'envie de retravailler et d'apprendre ses notes (expérience vécue)
Marquis de Sade Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 J'apprécie votre réponse, par contre ce n'est pas pour mes études que je vous pose cette question mais pour mes lectures personnelles.Je m'apprête à lire Du pouvoir de Jouvenel et il me faut absolument savoir prendre des notes pour capter l'essentiel de ses propos. En tout cas, je suis tout à fait d'accord avec vous au sujet des carcans pré-établis des spécialistes et sur de l'envie de retravailler et d'apprendre ses notes (expérience vécue) Vous croyez que la compréhension dépend des prises de notes ?
Barem Posté 30 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2009 Marquis, je crois plutôt que la mémoire a besoin de prise de note. On peut comprendre ce qu'un auteur dit, mais peut on s'en rappeler des mois, des années plus tard ? Si la lecture est un moyen d'appréhender le monde différemment, il faut se souvenir de ce que l'on lit, du moins le conserver et être prêt à le réutiliser. Jim16, vous avez sans doute raison, c'est en définitif une question de goût et de type de mémoire du lecteur (mémoire auditive ou visuelle)
Esperluette Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Vous êtes sûr que ce n'est pas plutôt la manière de lire qui pose problème ? On dit "lire" mais les processus impliqués dans cette activité, donc les stratégies qui y président, donc les résultats, sont-ils identiques chez tous ?
Barem Posté 30 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2009 Vous êtes sûr que ce n'est pas plutôt la manière de lire qui pose problème ?On dit "lire" mais les processus impliqués dans cette activité, donc les stratégies qui y président, donc les résultats, sont-ils identiques chez tous ? Insinuez vous par cette phrase que l'on peut très bien se souvenir de tout ce que nous avons put lire si préalablement nous savons lire correctement ? Il est vrai, je l'ai lut il y a quelques années, on peut distinguer des conditions favorables ou non pour s'immerger dans cette activité. Cependant, comme cela m'intéresse aussi, je vous demande qu'elles sont, pour vous, ces conditions favorables ?
dop Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 J'apprécie votre réponse, par contre ce n'est pas pour mes études que je vous pose cette question mais pour mes lectures personnelles.Je m'apprête à lire Du pouvoir de Jouvenel et il me faut absolument savoir prendre des notes pour capter l'essentiel de ses propos. En tout cas, je suis tout à fait d'accord avec vous au sujet des carcans pré-établis des spécialistes et sur de l'envie de retravailler et d'apprendre ses notes (expérience vécue) Noter les idées principales pendant la lecture puis les regrouper et faire un plan ?
Esperluette Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Insinuez vous par cette phrase que l'on peut très bien se souvenir de tout ce que nous avons put lire si préalablement nous savons lire correctement ? Je ne sais s'il existe une seule méthode pour lire correctement mais en effet, je tends à penser que la compréhension (suivre le raisonnement de l'auteur, relever les termes mal compris, établir les ponts logiques dans le discours, l'articulation des idées) facilite grandement la mémorisation à long terme. Je préfère retenir une démarche intellectuelle plutôt que des citations. D'où lecture analytique. Pour illustrer mon propos : http://transtextuel.wordpress.com/2009/02/…de-savoir-lire/ Il est vrai, je l'ai lut il y a quelques années, on peut distinguer des conditions favorables ou non pour s'immerger dans cette activité. Cependant, comme cela m'intéresse aussi, je vous demande qu'elles sont, pour vous, ces conditions favorables ? Je ne sais pas. Je me borne à des constats empiriques.
Barem Posté 30 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2009 Ainsi vous ne prenez jamais de notes ? Votre idée n'est pas à rejeter Dop.
h16 Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Moi, je ne note rien. De toute façon, avec un crayon dans les doigts, je fais des petits dessins ce qui nuit à l'écoute. En général, sur une réunion d'1H30, il y a rarement plus de 5 minutes de trucs intéressants. Et j'ai une mémoire qui arrive à stocker environ 5 minutes de conversation. Ca tombe bien, finalement. En gros, une fois que tu as pris l'habitude d'écouter (vraiment), tu vois que nous passons notre temps, en dialogue, à dire trois ou quatre fois les mêmes informations, avec beaucoup de salade autour, des gestes, des petites blagues, mais dont le contenu informatif est très faible. C'est moins vrai pour un cours magistral, mais ceux-là sont en général appuyés sur un support qui se suffit. Dans ce cas, c'est plutôt l'anecdote, le talent d'orateur qui sert de médium pour le support et les notes sont là encore inutiles.
Nirvana Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Pour illustrer mon propos : http://transtextuel.wordpress.com/2009/02/…de-savoir-lire/ Je suis justement en pleine lecture de "L'anglais : comment traduire" Pas mal du tout.
dop Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Ainsi vous ne prenez jamais de notes ?Votre idée n'est pas à rejeter Dop. Recherchez plutôt des méthodes de synthèses des concours où il y a de nombreuses pages à synthétiser ( =/= résumer) en un nombre de mots limités.
Esperluette Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Ainsi vous ne prenez jamais de notes ? Si. Quoique des lectures, ce fut très rare. Je m'intéresse surtout aux articulations logiques dans un discours. @Nirvāna J'ai eu l'honneur d'avoir l'auteur pour prof (à Paris III). Excellente et très amusante.
Rincevent Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 En général, sur une réunion d'1H30, il y a rarement plus de 5 minutes de trucs intéressants. Et j'ai une mémoire qui arrive à stocker environ 5 minutes de conversation. Ca tombe bien, finalement. 1h30 de réunion ? Ca ne devrait pas exister. Si il faut décider d'un truc, on réunit les strict nécessaire, et on aboutit en 30-40 minutes à la décision. Franchement, la seule raison de faire une réunion si longue, c'est une réunion de présentation. Ou un pot de départ.
Marquis de Sade Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Finalement, je me ravise. C'est vrai que la prise de note peut aider, sinon à la compréhension, du moins à l'appropriation. S'approprier ce qu'on lit, le faire sien, voilà qui permet ensuite d'en parler avec ses propres termes ou avec les termes dont on sait notre auditoire friand. De vulgariser, en somme.
Rincevent Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Ca fait des années que je me suis promis de lire ce texte sur le sujet.
Esperluette Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 De vulgariser, en somme. Ou d'établir des mises en perspective personnelles parmi les idées et auteurs après assimilation.
LeSanton Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Je m'apprête à lire Du pouvoir de Jouvenel et il me faut absolument savoir prendre des notes pour capter l'essentiel de ses propos.En tout cas, je suis tout à fait d'accord avec vous au sujet des carcans pré-établis des spécialistes et sur de l'envie de retravailler et d'apprendre ses notes (expérience vécue) C'est un exercice à pratiquer régulièrement pour s'améliorer. Aidez-vous de la préface; le sommaire établi par l'auteur est l'articulation de sa pensée; et quand vous serez suffisamment aguerri, vous vous rendrez compte que vous êtes capable d'écrire (ou de recopier) le quat-de-couv… (certains ici, me dit-on, sont des maîtres en la matière)
Barem Posté 30 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2009 Vous avez tout à fait raison transtextuel. Vos propos me font d'ailleurs penser à ceux d'un auteur dont j'ai oublié le nom, certainement un philosophe. Cela parait raisonnable, je suivrais votre jugement Le santon. Au fil de mes discussions sur ce forum, je remarque qu'il me reste beaucoup à apprendre…
Marquis de Sade Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 Vous avez tout à fait raison transtextuel. Vos propos me font d'ailleurs penser à ceux d'un auteur dont j'ai oublié le nom, certainement un philosophe. Dans l'ordre d'idée avec laquelle transtextuel t'as séduit(e ?), on trouve Michel de Certeau. Peut-être l'auteur dont tu parles toi-même, peut-être pas. Contexte : tout le monde parle de consommation de masse. Hypothèse : il y a peut-être consommation de masse, mais l'usage que font les consommateurs de leurs produits leur est propre. Leur trajectoire personnelle est donc à chercher dans l'usage qu'ils font des produits qu'ils consomment, de leurs approches. Et ceci s'applique aussi bien au domaine culinaire qu'au domaine littéraire, etc. Si ça t'intéresse, deux livres de Certeau s'articulent autour de cette hypothèse. Le premier est "La culture au pluriel", le second est "L'invention du quotidien" dont le 2ème tome traite de la cuisine ! Sinon, toujours dans le même ordre d'idée (ramifier ce qu'on lit présentement à d'autres perspectives, à d'autres auteurs, à d'autres livres) je pense que plus on en sait, plus il est facile de le faire (statistiquement, s'entend, il y a plus de chance pour que "ah, tiens, il me rappelle tel auteur"). Donc au début, tu vas la roter. Question personnelle : es-tu un de ces boulimiques de lecture ?
Barem Posté 30 juillet 2009 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2009 Dans l'ordre d'idée avec laquelle transtextuel t'as séduit(e ?), on trouve Michel de Certeau. Peut-être l'auteur dont tu parles toi-même, peut-être pas.Contexte : tout le monde parle de consommation de masse. Hypothèse : il y a peut-être consommation de masse, mais l'usage que font les consommateurs de leurs produits leur est propre. Leur trajectoire personnelle est donc à chercher dans l'usage qu'ils font des produits qu'ils consomment, de leurs approches. Et ceci s'applique aussi bien au domaine culinaire qu'au domaine littéraire, etc. Si ça t'intéresse, deux livres de Certeau s'articulent autour de cette hypothèse. Le premier est "La culture au pluriel", le second est "L'invention du quotidien" dont le 2ème tome traite de la cuisine ! Sinon, toujours dans le même ordre d'idée (ramifier ce qu'on lit présentement à d'autres perspectives, à d'autres auteurs, à d'autres livres) je pense que plus on en sait, plus il est facile de le faire (statistiquement, s'entend, il y a plus de chance pour que "ah, tiens, il me rappelle tel auteur"). Donc au début, tu vas la roter. Question personnelle : es-tu un de ces boulimiques de lecture ? que voulez vous dire par "boulimique de lecture" ? En lisant votre première remarque, j'ai l'impression de parler à un anthropologue ou un sociologue. Si vous voulez connaitre mon parcours, cela fait quelques années que je ne lis plus, et je cherches à reprendre cette activité essentielle, en commençant par la philosophie politique. (étudier les différents théories : communisme, socialisme, LIBERALISME, anarchisme, …)
Esperluette Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 que voulez vous dire par "boulimique de lecture" ? Quelque chose qui ressemble à moi avant la prépa, j'imagine : http://www.etudes-litteraires.com/forum/vi…=153857#p153857
h16 Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 1h30 de réunion ? Ca ne devrait pas exister. Si il faut décider d'un truc, on réunit les strict nécessaire, et on aboutit en 30-40 minutes à la décision. Franchement, la seule raison de faire une réunion si longue, c'est une réunion de présentation. Ou un pot de départ. Oui, ça c'est dans les fantasmes manageriaux de Rincevent. Dans la réalité, c'est pas tout à fait ça. Et des réunions comme ça, c'est surtout des tours de table où chacun expose où il en est, histoire de tenir informé ses colatéraux. (certains ici, me dit-on, sont des maîtres en la matière)
Esperluette Posté 30 juillet 2009 Signaler Posté 30 juillet 2009 CPGE littéraires je suppose ? Tu supposes bien.
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